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Au septième ciel (décollage) – Chapitre 2




(Histoire vraie et vécue par l’auteur)

Le train venait de toucher le béton de la piste dans un crissement strident. De ma main droite, je positionnais les deux manettes des gaz sur la position "off". Le nez de l’avion s’abaissa jusqu’à que la béquille avant touche le sol. Je freinais progressivement. Le badin indiquait 80 noeuds. Les volets étaient baissés au maximum. Peu à peu, le Baron perdait de sa vitesse.

La tour venait de me donner l’ordre de dégager la piste aussitôt que possible et d’aller m’arrèter face à une porte de débarquement.

— De Fox Sierra 211 à Rivesalte tower, je vais rester pour la journée. Demande autorisation de stationner sur secteur Aviation générale Nord.

— Rivesalte Tower à Fox Sierra 211. Autorisation accordée, suivez l’itinéraire A1, etc etc…..

La procédure d’atterrissage s’était déroulée selon le manuel du parfait pilote.

Ma passagère était assise derrière moi, dans le fauteuil VIP, toute nue, enveloppée dans une des couvertures que je lui avais indiqué et qu’elle avait été chercher dans l’un des caissons, au dessus des fauteuils.

Elle me regardait d’un oeil brillant. On aurait dit des milliers de diamants scintillant sur ses pupilles. Sa bouche était entrouverte et laissait apparaître une rangée de dents étincelantes. Ses cheveux étaient peignés comme si elle sortait du salon de coiffure. Ils tombaient sur sa poitrine de part et d’autre de son visage…. Mon Dieu qu’elle était belle!

Je remontais les volets et coupais l’admission… les hélices sarrêtèrent de tourner. Un silence assourdissant envahit le cockpit. par la vitre de gauche, je voyais une voiture de la gendarmerie s’approcher…..

— Habille toi vite! je crois que nous allons avoir un contrôle en règle….

— Par qui?…. pourquoi?…..

— Gendarmerie de l’air + Police de l’Air et des Frontières, surement….. ils chassent les trafics de drogue!

— Et après? Nous on fait quoi? me demandait elle avec une voix dans laquelle je pouvais déceler de linquiétude.

— On avisera! Mais habilles toi vite. Ils sont là!

Effectivement, la clio bleue sérigraphiée vint de garer à quelques mètres de l’avion. Deux gendarmes et un policier se dirigèrent vers nous. J’ouvrais la porte de la cabine. L’escalier descendit automatiquement et j’en profitais pour sortir de l’appareil.

Les agents des forces de l’ordre portaient leur main droite à la visière de leur casquette et l’un d’eux, le plus gradé: un adjudant de gendarmerie m’annonça:

— Police de l’air et Gendarmerie Nationale. Bonjour Commandant! … contrôle de routine. Vous avez des passagers à bord ?

— Bonjour Messieurs. Oui! une passagère arrivée à destination finale. Je repars à vide d’ici 2 ou 3 heures pour LFMH – Saint Etienne (NdA).

—- Brevet de pilotage et certificat d’autorisation de vol de laéronef SVP.

—- Tout de suite! je monte le chercher.

Je remontais dans l’avion pour prendre mon attaché Case dans lequel se trouvaient tous les documents que nous oblige à emporter avec nous : la Direction de l’Aviation Civile. Un des gendarmes passa sa tête à lintérieur et aperçu ma passagère. D’une voix surprise il s’exclama:

— Tiens! Sylviane…. quel hasard? Qu’est ce que tu fais là?

— Roger ? Quelle surprise! tu es de service?… et Françoise, qu’est ce qu’elle devient depuis le temps?…..

— Elle est à la maison avec les petits. Il va falloir que l’on se fasse une grillade un de ces soirs…. Parle en à ton époux.

— Excellente idée! Je le verrai ce soir.

L’adjudant tourna son regard dans ma direction et me dit:

— Laissez tomber commandant! on ne va pas vous retenir plus longtemps. Est ce que vous avez besoin de quelque choses ?

— Oui, merci Adjudant! Pouvez vous demander au responsable "escale" de nous envoyer un véhicule?….car d’ici à l’aérogare, il y a une bonne trotte!

—- Sans problème! On vous envoie quelqu’un! Vous n’allez pas vous farcir les deux kilomètres et nous, malheureusement on affiche complet!

Il salua militairement et monta dans la voiture suivi de ses collègues auxquels il devait sans doute expliquer les raisons pour lesquelles il avait décidé de couper court au contrôle.

Moi, je n’avais rien à me reprocher. Mes licences étaient en règle, l’avion sortait de révision… mais cela nous aurait fait perdre notre temps. Ors notre programme était tout à fait autre que de subir un contrôle de police… tout nécessaire et légitime que ce dernier puisse être.

Ainsi ma passagère se nommait: Sylviane! Joli prénom…. qui allait à ravir à son physique, à sa beauté.

— On fait quoi ? me demanda Sylviane d’une voix quelque peu inquiète.

— Je vais louer une voiture et on va sortir du coin.

— et la suite du programme?

— On sort du périmètre aéroportuaire, on essaie de trouver une chambre et…..

— Tu as beaucoup de temps?…. tu as parlé de 3 heures au gendarme.

— C’est le maximum! après laéroclub va commencer à sinquiéter et téléphoner ici à la tour. A mon retour, ils vont me poser toutes sortes de questions. En plus, ils vont me facturer les heures d’immobilisation de l’avion.

En causant je m’étais rapproché d’elle. Elle était toujours assise dans son fauteuil VIB. Elle croisait les jambes et dévoilait ainsi non seulement ses cuisses de déesse mais aussi son entrejambe.

Elle n’avait pas repassé sa culotte de dentelle….

Elle me fixait. J’approchais ma tète de la sienne et nos bouches se joignirent dans un profond baiser. Sa langue s’enroulait autour de la mienne, fouillait tous les recoins de ma bouche. Ma main gauche alla se poser sur son sein. je remarquais qu’elle n’avait pas revêtu son soutient gorge, non plus… mais seulement son chemisier blanc.

Sous mes doigts je sentais le téton devenir plus volumineux et durcir.

Sa main alla vers mon entre-jambe et ne pouvait pas ne pas s’apercevoir de mon érection grandissante.

La fermeture à glissière fut descendue rapidement. Sa main passa dans mon slip boxer et je sentis sa main se saisir de ma verge. Ses doigts trouvèrent rapidement le gland, allèrent récupérer les quelques goutes qui perlaient de l’orifice de l’urètre et se mirent à me masser la "tête" de mon sexe avec l’aide de ce liquide visqueux. C’était bon! je bandais de plus en plus fort et elle s’en rendait compte, la coquine!

Elle sorti mon sexe du slip lequel apparut dans toute sa splendeur. Étant assise, sa bouche était à la hauteur de l’objet vibrant qu’elle venait de sortir.

D’abord ce fut de la pointe de sa langue qu’elle vint taquiner l’orifice, puis ensuite elle descendit le long du frein, elle fit le tour deux ou trois fois de la corolle et enfin, descendit le long de la hampe en déposant des baisers furtifs.

Sa main emprisonnait mes bourses d’une légère pression. Elle les tirait en arrière comme si elle voulait les tirer vers mes fesses. Ma verge se tendait de plus en plus jusqu’à me faire mal.

Elle devait ressentir ce que moi je ressentais car elle releva sa bouche et engloutit le gland. Je sentais la chaleur de sa cavité buccale, sa langue qui me caressait de sa danse folle. Elle engloutissait de plus en plus profondément ma verge dans sa bouche;qui me paraissait grossir et grandir seconde après seconde.

Je ne suis pas un surhomme, ni un cheval. je suis un homme normalement constitué… du moins: je le crois. Mon pénis mesure lorsqu’il est en érection 17cm de long pour un diamètre de 6cm et j’étais étonné de le voir totalement disparaitre dans la bouche de mon amante.

Elle faisait de vas et viens en s’aidant de sa main de libre. Je ne sais pas combien de temps cela dura mais à un moment donné, je ressentis un bien être indescriptible en dessous des bourses et d’un seul coup dans un éblouissement formidable, je me déversais par saccades dans la bouche qui m’accueillait.

Elle aspirait et avalait tout. Je sentais mes genoux trembler et fléchir. De sa langue elle récupérait tout le sperme qui aurait pu subsister. De ses deux pouces de par et d’autre de l’orifice d’où venait de jaillir ma liqueur d’Amour, elle l’écartait pour aspirer tout ce qui avait pu encore subsister dans le canal. Du bout de sa langue qui dardait comme une pointe de stylet, elle essayait de l’introduire dans mon méat.

Je ne sais plus combien de temps dura ce traitement sublime. Mon érection baissa et ma verge devin flasque perdant de sa superbe. Elle déposa un baiser sur le gland, leva les yeux et me demanda:

—- Tu as aimé ?

—- A la folie! Merci….

—- Moi aussi, mon aviateur. J’aime ton gout et ta saveur! J’espère que tu en auras pour tout à l’heure…

J’eus à peine le temps de me rendre présentable que japerçus un minibus de la CCI de Perpignan arriver. Nous sortîmes de l’avion. J’allais chercher la valise de Sylvianne dans le coffre latéral droit et après l’avoir déposé dans le véhicule, je fermais le Beech à clés. Sait on jamais!!!

Rapidement, nous arrivâmes au comptoir de la société AVIS. Il ne restait plus qu’une Peugeot 607 en location. Autant qu’à faire… pourquoi pas? Restons dans le standing!

Une fois dans le véhicule, j’interrogeais Sylvianne.

—- Tu veux aller où ?

—- Je vais te guider; Je viens d’avoir une idée. Prend l’autoroute en direction de Barcelone.

Je conduisais normalement. Le compteur marquait 130.

Je m’étais mis sur la fille de gauche afin de dépasser tous les poids lourds espagnols qui rentraient au pays, à la queue leu leu, comme une longue chenille roulant "gueule à cul" en dépit du code de la route qui impose des distances de sécurité.

La mains gauche de ma compagne était posée sur ma cuisse et s’approchait tout en me caressant vers l’objet de ses convoitises, dans mon pantalon, qui commençait rien que de penser à la suite, à grossir et grandir.

La voiture possédant une boite auto, je n’avais pas à me préoccuper de changer les vitesses. Ma main gauche tenait le volant tandis que la droite alla se poser sur la cuisse dénudée de ma passagère. Sa peau était soyeuse, sa chair chaude. Au contact de ma main, elle écarta les cuisses afin de faciliter mon ascension .

Mes doigts butèrent contre sa chair en haut de ses cuisses, où celles là laissaient la place au pubis. Je touchais des poils poisseux.

Je laissais glisser mes doigts dans une recherche à l’entrée de la grotte des plaisirs.

Je passais ses grandes lèvres qui étaient grandes ouvertes comme une invite pour rencontrer d’office l’entré de sa vulve.

Tout était mouillé de sa liqueur d’amour. Mon index ignora cette entrée à laquelle Sylvianne venait de m’inviter d’un mouvement en avant de son bassin.

Le doit rencontra ce qu’il cherchait: ce petit bouton qui était congestionné au maximum et tout mouillé. Lorsque je l’effleurai, un profond soupir suivi d’un râle de bonheur s’échappa de la bouche de ma compagne.

Elle avait les paupières closes. Ses lèvres étaient entr’ouvertes laissant apparaître un bout de langue virevoltant de droite à gauche. je caressais son clitoris de mouvements circulaires alternant de vite à lentement en accentuant parfois la pression de mon doigts.

D’un seul coup Sylviane se tétanisa, serra les cuisses emprisonnant ma main. Elle souleva son bassin et comme si ce dernier allait à la rencontre d’un pénis imaginaire, elle rentra dans une transe provoqué par un orgasme phénoménal. Elle tremblait de tout son corps. On aurait pu croire qu’elle était en train de succomber à une crise d’épilepsie.

Profitant de la lubrification du lieu, mon doigt puis deux s’étaient trouvés le passage et étaient entré dans le vagin. Légèrement recourbés vers le haut ils commencèrent un va-et-viens. Rapidement un deuxième orgasme fit suite au premier.

(Si vous avez aimé: il y aura une suite car nous n’en sommes pas resté là. Vous vous en doutez!)

A bientôt donc!

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