Il la redescendit, la détacha, Perrine embrassa son mari en le remerciant, elle tomba à genoux et entrepris une fellation.
Elle repose dans le lit, son mari lui demande tout en passant ses mains sur les marques qu’il lui a faites, « tu as aimée », il joue avec ses seins, tire sur les anneaux, suis du doigt le contour de la marque qui orne le sexe de sa femme, il est tendre, caresse la femme qu’il aime.
« Oui, comment as tu eu l’idée? »
Il prit un sein de sa femme à pleine main, le mordit pour y laisser des traces de dents, fit de même avec l’autre et répondit « je voulais voir jusqu’où je pouvais aller, avec toi, il n’y a pas de limite.. »
« je supporte tout par amour, tu es mon mari et mon maître, en plus j’aime qu’on s’occupe de mes seins, tu me le referas? », il promit.
Un jour arriva un ami d’Henri-Louis, Louis-Benoît de Terrisac,
Il avait été blessé dans une bataille sur les marches de l’est, avait été amputé de l’avant-bras gauche, il se retrouvait à 30 ans, infirme, désargenté avec pour toute ressource une petite rente d’invalide.
Henri accueillit avec joie ce compagnon d’armes, qu’il avait toujours apprécié. Il lui offrit de rester au château, du moins jusqu’au printemps.
Il lui présente Perrine, Lison et Suzon, lui expliqua que comme son père il est libertin, les règles de fonctionnement de sa maison, que ce sont des soumises, mais que Perrine est aussi sa femme.
Les deux hommes prirent l’habitude d’assister aux leçons de musique, de chant et de lecture et d’administrer eux-mêmes les punitions.
L’humeur de « loulou » comme l’appelle Henri, s’est améliorée, il est de nouveau gai, la présence de Lison et Suzon dans sa couche, y est certainement pour quelque chose, il apprécie également de pouvoir utiliser Perrine la fougueuse, l’inépuisable Perrine.
Il confie à son ami Henri-Louis, qu’il approuve son mode de vie, certes il n’est pas conforme à la morale traditionnelle, mais il est plein de bon sens et de justice. Dans son monde on ignore la jalousie, la mesquinerie, il s’y sent bien, il confie à son ami qu’il aurait aimé travailler dans le bois, il a toujours aimé les arbres, a appris à les exploiter avec l’intendant de son père et se demande si…
Henri lui dit, « j’ai peut être quelque chose à te proposer qui fera ton affaire, nous verrons cela au printemps, il fait trop mauvais pour courir les chemins, nous prendrons Blaise avec nous, il est toujours de bon conseil ».
Henri lança une invitation à son père et à trois de ses compagnons de libertinage, dont le chevalier d’Herberac, pour une fête qui durerait deux jours.
Les quatre hommes arrivèrent, les compagnons du comte étaient ravis, à part Perrine, ils ne connaissaient pas les soumises d’Henri.
La bibliothèque avait été aménagée avec une table et des lits, un feu d’enfer brûlait dans la cheminée, les hommes se mirent nus, les soumises l’étaient déjà depuis longtemps, Toinon, et Blanche, une servante que Perrine avait recrutée également.
Blanche comme Toinon, avait une forte poitrine (qu’Henri adorait travailler…), était basse du cul, plutôt grassouillette, elle s’était adaptée aux règles du château, elle savait elle aussi d’où elle venait, au moins ici, elle mangeait tous les jours à sa faim et ne risquait pas de se faire violer par un croquant puant le bouc.
Anselme et Roland, nus assumeraient leur rôle de valet et « fouteur », « Courtaud », trop rustique ne serait que « fouteur » et aide.
Henri-Louis se lève et déclare à l’assemblée, qu’il va leur présenter ses soumises d’une manière inédite, les femmes furent placées au milieu de la pièce, bras attachés dans le dos. Il convie ses amis à s’approcher et pour ceux qui le désirent imiter ses gestes, il entreprend alors de ligoter la poitrine de Perrine, corrige de ci de là sur celles de Lison et Suzon, des cordes mal fixées, puis se déclare satisfait de l’ouvrage réalisé, en vérifie la solidité.
Il prend la laisse et guide Perrine sous la corde enroulée autour d’un cabestan, invite ses amis à en faire autant.
Une fois les crochets fixés, il manuvre le cabestan, demande à ses compagnons de l’imiter, les 3 soumises se retrouvent suspendues par leurs seins.
Suzon et Lison grimacent un peu, Perrine sourit, elle est resplendissante dans sa nudité, jambes écartées elle offre aux regards la marque sur son ventre, son clitoris au bout duquel pend un anneau, Henri est fier de sa femme.
Le comte félicite son fils pour cette invention et déclare qu’il va l’adopter en son château, à tour de rôle chaque homme flagelle les soumises ainsi offertes, ne les marquant pas trop, les caressant, les faisant hurler leur jouissance.
Les soumises sont descendues et libérées de leurs liens, les poitrines malmenées présentent la marque des cordes.
Les hommes caressent les poitrines offertes, les femmes se pâment sous les caresses.
Henri-Louis invite l’assemblée à passer à table. Tout le monde s’exécute, il disparaît derrière une tenture avec Toinon et Blanche, lorsqu’elles revinrent, tous virent que leur poitrine était écrasées entre deux planches, des bougies fixées sur des aiguilles qui traversaient les mamelles.
Le comte derechef, félicita son fils pour cette idée, qui déclara aussi vouloir adopter.
Le repas commença, les valets avaient allumés des chandeliers sur la table, mouchés les chandelles des chandeliers muraux, le spectacle des servantes se déplaçant avec leurs bougies allumées plantées dans les seins était surprenant.
Entre les plats les soumises étaient utilisés par les hommes présents, 6 hommes pour 3 femmes permettaient de les utiliser à plein, les confortant ainsi dans leurs rôles de femelles soumises, les femmes se prêtaient de bonne grâce aux exigences de leurs maîtres.
A tour de rôle elles étaient prises en con et cul pendant qu’elles satisfaisait un maître avec leur bouche.
Henri-Louis, fit avancer par les valets une sorte de plate-forme, qu’il fit disposer face à la table, la plate-forme était recouverte d’un capiton, elle était environ à 2 pieds du sol.
Perrine fut le première appelée par son maître, un des fouteurs s’allongea sur la plate-forme face à la table, Perrine due s’allonger sur l’homme qui la prit dans son sexe, le deuxième fouteur la prit dans son anus, et ils entamèrent un va-et-vient dans ses orifices, Perrine ne tardât pas à hurler sa jouissance, Henri la fit changer de position, elle s’assit sur le sexe d’un des fouteurs, comblant ainsi son anus, se coucha en arrière en écartant les jambes, l’autre fouteur lui bourra le sexe, les maîtres tournaient autour de la plate-forme pour admirer le spectacle, les fouteurs éjaculèrent ensemble dans Perrine qui jouit en hurlant.
Lison et Suzon furent requises pour nettoyer les orifices de Perrine avec leur langue, elles s’exécutèrent, y mettant toute leur science érotique, Perrine eu à nouveau un orgasme.
Le repas reprit, la conversation roula sur la mise en valeur des terres du domaine.
Henri-Louis expliqua qu’avec Blaise ils avaient mis en valeur une partie des terres, les semis y étaient prometteurs de bons rendements, ils mettraient en valeur le restant des terres au printemps, qu’il mettait les fermes en métayage au denier 10, reprenant ainsi la méthode de son père, méthode qui avait l’avantage de ne pas pressurer le croquant et d’assurer ainsi un rendement et un dévouement total de la part des métayers.
Enfin, avec son ami Louis-Benoît de Terrisac
Suzon fut conviée à rejoindre la plate-forme et reçut en hurlant sa jouissance la même médication que Perrine.
Lison et Toinon furent requises pour le nettoyage.
Ils reprirent le repas.
Lison à son tour fut invitée à se prêter à l’exercice de la plate-forme, elle le fit avec sa lascivité habituelle et hurla elle aussi sa jouissance.
Suzon, Toinon et Perrine la nettoyèrent avec leur langue.
Le repas repris, les conversations aussi, les soumises furent requises pour soulager avec leurs bouches les maîtres, passèrent sous la table et donnèrent satisfaction à chacun.
Les soumises allèrent se nettoyer dans l’étuve et revinrent prêtent à être utilisées de nouveau durant la nuit.
Les maîtres avaient été nettoyés par Toinon et Blanche.
Tout le monde se coucha dans les lits disposés dans la bibliothèque, les soumises furent utilisées au gré de leurs maîtres.
Le lendemain fut identique, dans la soirée avant le repas Henri-Louis déclara à ses amis que cette soirée était la première et la dernière de ce type organisé au château, un double mariage.
Lison avait conquis le cur de Louis-Benoît, Henri-Louis avait accédé de bonne grâce à son désir, ce soir le chapelain allait les unir, la fête ne serait donc pas une orgie, mais un mariage, les présents applaudirent et félicitèrent le futur époux, le chevalier d’Herberac, se dirigea vers la sortie, disparu et revint avec Margot, qu’il avait envoyé quérir et annonça qu’il voulait profiter de l’occasion pour épouser lui aussi sa soumise.
Le chapelain en maugréant procéda aux unions selon le rite de l’église de Rome, en récompense Lison pratiqua sur lui une longue et salace fellation en public, le paillard, changea d’avis et la perspective de boire et banqueter le fit changer d’humeur, il était désormais content.
Margot également lui pratiqua dès qu’il fut en état une fellation tout en lui enfonçant un doigt dans l’anus, le prêtre ne chantait plus en latin…
Perrine, Lison et Margot, allèrent quérir leurs maitres et maris respectifs et leur demandèrent d’être utilisées durant la soirée par les invités, Suzon, se contentant de les soulager avec sa bouche, elle désiraient subir toutes les pénétrations et flagellations qu’on jugerait bon de leur imposer.
Leurs maîtres et maris flattés d’autant de soumission acceptèrent avec joie.
La fête reprit.
Le comte « père » Philippe-André proposât que l’on divise le repas en trois parties, les entrées, les plats, les desserts, pour le café et les alcools, il avait une idée.
Son fils lui dit qu’il lui accordait d’avance sa demande.
Le comte prit une corbeille (la vida de son pain et demanda une plume et du papier, il déchira le papier en trois, il inscrivit quelques mots sur chaque morceau, il convia alors Perrine, Lison et Margot à tirer chacune un papier.
Les jeunes femmes s’exécutèrent.
« Qui a tiré « entrée »?… », « Moi, Maître », répondit Lison.
« Eh bien lis, dis nous ce qui t’attend? »
« Attachée sur un chevalet, seins liés avec pinces et poids, pinces et poids au sexe, cravachée sur tout le corps par tous les Maîtres, pénétrée dans la bouche, branlée avec interdiction de jouir sans l’avis de mon Maître, si je jouis, pendue par les seins, aiguilles, cire et cravache sur mes seins et mon sexe… Merci Maître ».
Louis-Benoît de Terrisac, se fit aider pour passer les attaches aux poignes et chevilles de sa soumise, se fit également aider pour lier une corde qui faisait le tour de chaque sein, le serrant, le faisant enfler, installa sa soumise sur le chevalet, attacha les bracelets aux pieds de l’instrument, fixa les poids aux seins et aux lèvres du sexe et entrepris de branler doucement le clitoris de sa soumise et désormais épouse.
Puis il cravache le cul de la femelle comme il sait qu’elle aimait être traitée, tout en branlant doucement le clitoris et doigtant l’anus, il ne tarde à investir la bouche de sa soumise, se satisfait,, puis passe le relais à un de ses compagnons.
Celui-ci se comporte peu ou prou de la même manière, il en fut ainsi jusqu’au cinquième qui branlant furieusement le clitoris fit jouir Lison, ce qui ne l’empêcha pas d’utiliser sa bouche jusqu’au bout.
Le sixième, le cravache et se vide dans sa bouche.
La soumise est détachée, regagne sa place à table et profite des mets de l’entrée.
Le temps s’écoule, le comte « père » questionne: « qui a tirée « plats »?… »
« Moi, Maître », répondit Perrine, elle continua.
« Attachée sur un chevalet, seins liés avec pinces et poids, pinces et poids au sexe, foutue en bouche par tous les Maîtres, foutue en cul à sec, cravachée et branlée par les fouteurs et « Courtaud », interdiction de jouir sans l’avis de mon Maître, si je jouis, pendue par les seins, aiguilles, cire et cravache sur mes seins et mon sexe… Merci Maître ».
Toinon et Blanche réapparurent débarrassèrent les entrées et revinrent avec un plat.
Henri-Louis, lie les seins de sa femme et soumise, l’attache, la dispose.
« Courtaud », Anselme et Roland, les « fouteurs » se préparèrent, se consultèrent. Le sexe de « Courtaud » était impressionnant, il ressemblait à celui des chevaux dont il partageait la vie.
Henri-Louis présente son vit devant la bouche de sa femme et entreprend de se satisfaire, « Courtaud » entra brutalement dans Perrine, elle ne pu retenir un cri de douleur, déjà une main titillait son bouton, tirait sur l’anneau, une cravache cinglait ses seins, puis une deuxième.
« Courtaud » prenait son temps, Henri-Louis éjacula dans la bouche de sa soumise, un de ses compagnons le remplaçât.
Herberac, introduit son sexe dans la bouche de Perrine, et guidant la tête par les cheveux entreprend de se satisfaire, « Courtaud » continue son travail de démolition, les frères, cravachent, branlent, Perrine sent monter en elle l’excitation, elle sait déjà qu’elle ne tiendra pas jusqu’au bout sans jouir.
Herberac se libère dans sa bouche, « Courtaud » dans son cul, Perrine sent une onde de plaisir la parcourir.
Le troisième investit sa bouche, un des fouteurs investit son anus, les coups, les caresses pleuvent, Perrine se sent de plus en plus excitée. L’homme se libère sur sa figure, la maculant de sperme, elle a l’impression qu’elle va jouir, elle adore cette caresse.
Le quatrième ne fait pas de manière, lui investit la bouche jusqu’à la gorge et entend se servir de sa gorge pour obtenir satisfaction, le « fouteur » arrive à ses fins et éjacule sur sa croupe, Perrine gémit d’aise, elle adore également cette caresse. L’homme qui utilise sa bouche arrive également à ses fins, Perrine est au bord de l’explosion.
Le cinquième, pénètre sa bouche avec douceur, le fouteur la prend délicatement, son clitoris est caressé doucement, ses seins cravachés à petits coups rapides et légers, Perrine ne peux plus se retenir, elle hurle sa jouissance.
L’homme accélère ses pénétrations en bouche, le fouteur en cul, les coups pleuvent sur les seins. L’homme se vide enfin dans sa bouche.
Le sixième réclame une cravache, pénètre sa bouche, et tout en lui ordonnant de l’aspirer, la cravache sur le dos en donnant l’ordre au fouteur de lui « péter le cul… », les deux hommes ne tardent pas à éjaculer dans Perrine, elle s’écroule épuisée et heureuse.
Elle rejoint la table, et continue le repas, le sperme coulant de son cul, sur son cul, sur sa figure,son Maître, lui dit qu’elle n’est qu’une « putan soumise », elle lui confirme avec joie.
Toinon et Blanche sont requises pour nettoyer les « fouteurs » avec leur langue.
Le repas continue.
Le temps s’écoule, le comte « père » questionne: « alors, Margot?… »
« A genoux sur la plate-forme, poids au sexe, godée dans le cul, chaque maître est branlé entre mes mamelles, éjacule sur ma poitrine, ma figure ou dans ma bouche, rajoute un poids à chaque pince et me branle le sexe avec un gant en crin une minute, interdiction de jouir sans l’avis de mon Maître, si je jouis, pendue par les seins, aiguilles, cire et cravache sur mes seins et mon sexe… Merci Maître ».
Herberac s’exclame « Comte, cher ami, vous étiez son maître auparavant, mais c’est une de ses caresses préférées, comment avec vous eu l’idée?
Tout comme vous, Chevalier, je le connais, ne restait plus que le sort, il lui a été favorable, je parie 10 Louis, qu’elle jouit au quatrième…
Pari tenu… », les hommes éclatèrent de rire.
Toinon et Blanche réapparaissent, seins éclairés, elle apportent des vacherins et autres tartes, servent, Blanche sera requise pour retourner le sablier servant à mesurer le temps de branlage du clitoris de Margot.
Herberac installe des poids au sexe de sa soumise, lui gode le cul et attaque.
Margot presses ses gros seins l’un contre l’autre, Herberac se laisse faire, laisse sa soumise le guider, il éjacule sur la poitrine de sa femme. Il prend le gand de crin, au signal, branle le sexe de Margot pendant un minute. Sur l’indication de Blanche le temps écoulé, il s’arrête.
Un autre maître prend sa place, ajoute ses poids, Margot sens son sexe mouiller, elle adore avoir du sperme sur sa poitrine et être rudoyée au sexe, le deuxième homme la laisse également guider son plaisir, il choisit d’éjaculer dans sa bouche, elle avale le jus de l’homme, au signal, il la doigte avec le gant de crin, elle se sent s’échauffer de plus en plus.
Le troisième ajoute ses poids, se met en place, Margot continue de branler entre ses mamelles, l’homme les lui pince, les claque, elle continue imperturbable, il choisit d’éjaculer sur sa figure, Margot lèche le sperme qui coule jusqu’à sa bouche, l’infernal gant de crin lui irrite le sexe et le clitoris, elle sais qu’elle va avoir un orgasme, elle tremble de se retenir.
Le quatrième arrive, rajoute à nouveau des poids, Margot adore cette sensation d’étirement de son sexe, le sexe va-et-vient entre les seins de Margot, l’homme pince et tord les pointes, Margot grimace, puis il la laisse faire, il choisit d’éjaculer sur sa poitrine à nouveau, Margot sent la mouille l’envahir, elle va craquer, le gant de crin, irrite son clitoris et son sexe, elle hurle sa jouissance.
« Pari gagné vous me devez 10 Louis d’Herberac… 10 Louis en Champagne et ribaude… »
Les deux autres hommes se succédèrent et choisirent d’éjaculer sur sa poitrine, Margot se releva, elle était couverte de sperme, son maître lui flatta la croupe en lui disant qu’elle était une « bonne putain soumise, vide-couilles », Toinon la nettoya avec une éponge, elle revint s’asseoir à table à côté de son maître.
Arriva le moment des cafés, Lison et Margot se consultèrent.
« Nos Maîtres, pourrions-nos demander une faveur? »
Henri-Louis, acquiesça, « demandez, si vous allez au-delà de nos désirs ou nous surprenez… vous aurez satisfaction… »
Margot prit la parole « Mes Maîtres, Lison et moi, devons tout à Perrine, elle m’a remplacé, grâce à elle je suis mariée au chevalier d’Herberac et Lison au vicomte Louis-Benoît de Terrisac, nous demandons à être pendue par les seins pour notre punition par nos maîtres respectifs, mais que Perrine en soi dispensée, par contre nous désirerions que la scène soit éclairée par des bougies plantées dans les seins de Perrine, Suzon, Toinon et Blanche, que Suzon, Toinon et Blanche soient utilisées dans tous les orifices après une bonne fouettaison…, que Perrine soit branlée en con, par chaque Maître… »
« Excellent, original, oui da… il sera fait ainsi… »
Herberac et Terrisac, aidé d’Henri-Louis, à cause de son handicap, préparèrent Margot et Lison, les autres maîtres préparèrent les poitrines de Perrine, Suzon, Toinon et Blanche, les fouteurs feraient le service à table.
Les chandelles furent mouchées, celles des poitrines des soumises allumées.
Margot et Lison furent amenées aux cabestans, chandelles fichées dans les seins, allumées, attachées.
Les hommes actionnèrent les cabestans, les soumises pendues par leurs seins s’élevèrent, leurs maîtres respectifs saisirent les cravaches et entamèrent la punition réclamée par leurs soumises.
Perrine fut contrainte d’écarter les jambes, de mettre ses mains sous les seins et chacun commença à la branler, elle avait liberté de jouir.
Perrine, mouillait comme une folle, ses petites et grandes lèvres étaient écartées, son sexe fouillé, son clitoris caressé, léché, tiré par l’anneau, le plus cruel était qu’elle ne pouvait pencher sa tête pour voir qui la maniait, elle en venait à haïr les bougies fichées dans ses seins, elle ne pouvait s’empêcher de jouir de ces caresses anonymes, en fait elle adorait ça.
Margot et Lison furent redescendues, libérées, elles remercièrent leurs maîtres, Perrine après qu’on lui eut enlevé les bougies plantées dans ses seins, s’approche de son maître et mari et lui demande « enlèves moi la cire à la cravache, mon maître, mon amour et après prends moi en con, j’ai le feu au ventre… »
Henri-Louis saisit une cravache, sa soumise s’était agenouillée les mains derrière la tête, offrant sa poitrine, il la cravache au sang, comme le désire Perrine, la fit s’allonger sur la plate-forme, écarte les jambes et pénètre le sexe qui est marqué à ses initiales, lorsqu’il éjacule, Perrine manifeste sa jouissance en hurlant son plaisir.
Chacun regagne la table, le café et divers alcools sont servis, des dragées, fruits secs sont à la disposition des convives.
Les « fouteurs » installent un chevalet sur la plate-forme, ils prennent Blanche par la main, la positionne sur le chevalet, elle n’est pas attachée, elle reçoit l’ordre de ne pas bouger, le comte « Père » et deux invités vont disposer d’elle, chacun prend une cravache, Blanche est marquée, caressée, flattée, en même temps les cinglements continuent, puis elle sent un sexe s’introduire dans son anus, un autre dans sa bouche, elle ne tarda pas à satisfaire le sexe qui occupait sa bouche, elle sent au rythme des coups qui malmène son anus que l’homme qui la possède va jouir, il ne tarde pas à éjaculer dans son conduit, aussitôt un autre sexe prend sa place dans son con, l’homme a entrepris de prendre son plaisir sans s’occuper du sien, elle ne tarde pas à jouir en hurlant son plaisir, l’homme éjacule enfin en elle.
Suzon et Toinon reçurent la même médecine.
La petite communauté continua à se développer, ici point de noblesse de cour, mais de coeur, libertine, les croquants étaient fiers d’offrir leurs filles, les aristocrates de les utiliser et les doter, l’harmonie était parfaite, elle cessa près d’un siècle plus tard, après la prise de la Bastille, mais ceci est une autre histoire…