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Confession d'un homme perdu – Chapitre 2




Mars 2018, déjà un mois depuis cette première fois.

Sur ce mois, Nathalie et moi n’avons fait l’amour qu’une seule fois, mon désir pour elle est  toujours aussi fort, mais mes besoins réclament plus, beaucoup plus.

J’ai repris une masturbation plus conventionnelle et la consultation des tubes pornos avec mes mots clés préférés « japanese mom » où j’apprécie de voir ces femmes sur leur réserve finalement succomber à leurs envies.

Cependant, je dévie parfois de mes habitudes, d’abord un peu et puis de plus en plus souvent. Entre deux pornos classiques se glisse désormais fréquemment une vidéo catégorie « sissyhypno ». Je ressors le petit gode rose de Nathalie et l’utilise sous la douche lorsqu’elle n’est pas à la maison, sans réussir à atteindre un orgasme de la même intensité que la première fois.

Puis petit à petit, d’abord de façon honteuse, je commence à fouiller son tiroir à lingerie, à caresser ses culottes, slips, tangas ou strings, parfois à les retirer du linge sale pour les renifler et les lécher, jusqu’à finir par les essayer et m’admirer dans le miroir sur pied de la chambre, trouvant mon cul plutôt pas mal bien qu’ayant moins de hanches que Nathalie. Après ses slips, c’est ses parures que je veux essayer : ses soutien-gorges sont trop petits par rapport à ma carrure, mais les bas et les collants jarretières me vont, presque, comme un gant.

Lors de ces occasions, je ne peux m’empêcher de me caresser à travers l’étoffe de tissu, reproduisant sur moi les gestes que je lui faisais il n’y a pas si longtemps, et parfois de m’enfiler à nouveau en portant ses dessous et m’imaginant être elle.

Ne pouvant rester dans cette situation de frustration et constatant que mon comportement masturbatoire devenait de plus en plus gay, je décide de retrouver l’homme en moi et de la tromper avec une femme.

C’est avec cet état d’esprit que je contactais presque toutes les femmes de plus de 30 ans sur viva…et Wanno pendant près de 3 semaines pour un résultat proche du néant, les seules  répondant s’avérant être des escortes.

Peut-être l’effet d’une quasi-abstinence sexuelle (une fois par mois, un désert pour moi), mais un jour alors que je me connecte sur mes sites habituels, je décide de cliquer, juste pour voir, sur « rencontre gay » et consulte les annonces et profils. Beaucoup de jeunes, de vieux dominants ou adeptes de pratiques qui ne m’attirent pas (uro, scato, etc.) et pour ma tranche d’âges, une majorité de passifs. Bien que j’avais pour idée de relancer ma virilité, je ne réussis pas à contacter les passifs, les trans ou trav

La consultation de ces profils m’a un peu troublé et, quelques jours plus tard, je surfe de nouveau sur ces catégories, et publie finalement l’annonce suivante « homme hétéro de 42 ans recherche plan branle/suce pour une première fois. Je porterai la lingerie de ma femme. Je ne peux recevoir, mais me déplace sans difficulté. Merci de joindre une photo en érection afin d’estimer si je pourrais la prendre en bouche  ».

24 heures après cette annonce, plusieurs réponses sur la messagerie du site en question. Beaucoup sans photo, quelques unes hors sujet (« rejoins moi au gloryhole du sex-shop XXX demain », « Contacte moi, je préfère venir chez toi te baiser la gueule devant ta femme ».) et deux/trois correspondant aux critères de l’annonce.

Je réponds aux trois candidats, j’explique au troisième que je ne le choisis pas car il est visiblement TBM, et cela m’apeure pour l’instant, et contacte les deux autres.

Après plusieurs échanges, compte tenu des disponibilités des uns et des autres, un rendez-vous est fixé avec Perrin le coquin, un homme bi de 52 ans au physique quelconque (ni gros, ni musclé), dont la verge me semble de taille raisonnable pour une première fois.

Pour préparer ce rendez-vous, je m’étais préalablement épilé le haut des cuisses pour que cela fasse la jonction avec la couture des bas, et ne pas avoir à tout raser et devoir m’en expliquer à Nathalie. Pour ce qui est du reste du corps, mon torse n’est velu qu’au niveau des tétons et sous le nombril, quant aux parties intimes, elles avaient connu lors d’une précédente relation durant ma vingtaine une épilation définitive, coupe ticket de métro, seuls quelques poils récalcitrant nécessitant un traitement manuel.

C’est ainsi qu’un petit matin, après avoir déposé Nathalie à son travail, je lui indique que je reprends le sport et lui montre mon sac, sans lui indiquer que ce n’est pas mes affaires de sport qui sont à l’intérieur, mais plutôt certaines des siennes

En arrivant sur place, mon cur est un peu emballé, et je me demande franchement ce que je fais là, mais je finis par sonner à l’interphone de sa résidence. C’est un homme en jogging et claquettes dans sa cinquantaine et dont le visage s’accordait à son physique, rien d’exceptionnel en somme, qui vient ouvrir.

Nous montons au deuxième étage et je lui demande où se trouve la salle de bains pour pouvoir me changer. Il m’indique le fond du couloir et je m’y rends alors.

Je m’enferme dans la salle de bains, toujours nerveux, et décide que puisque je suis là, autant aller au bout. Je me déshabille complètement et sors les vêtements de Nathalie. Pour l’occasion, je lui ai emprunté une paire de bas gris opaque, une culotte dentelle taille basse noire avec un petit nud rose sur le devant et une petite robe grise, la seule dans laquelle je rentrais en raison de la différence de stature. Délicatement, je commence à glisser les bas sur mes jambes et ajuste sur la démarcation afin de laisser à penser que ma peau est toute aussi douce sous les bas, puis je remonte cette petite culotte noire jusqu’au haut de mes fesses. Je me mets alors de profil, et me dis « il a quand même de la chance, j’aimerai moi-même avoir ça sous la main ». Enfin, j’enfourne la petite robe et note qu’elle est trop courte pour empêcher de voir le haut des bas. Je me regarde une dernière fois dans la glace en me disant « Nathalie, dans cette tenue devant moi, je t’aurais baisée », puis je suis sorti de la salle de bains, sachant que j’allais jouer le rôle de Nathalie.

Il m’appelle de sa chambre dont il a laissé les volets semi-clos. J’approche en essayant, pathétiquement peut-être, de me déhancher, je fais le tour sur moi-même, lui dis que la robe est trop courte et lui demande :

— Ça te plait ?

— Beaucoup, me répond-il, approche

Quand je me rapproche, je m’aperçois qu’il porte également un slip de femmes. Je me retrouve contre son corps face à face et commence à embrasser ses épaules, son torse, pendant que ses mains me caressent à travers la robe. Je me répète « fais lui ce que tu aimes que Nathalie te fasse » et commence à masser ses fesses tout en continuant à embrasser son corps. C’est à ce moment qu’il me dit :

— Retourne toi, et ondule.

Il me caresse comme si j’avais des seins et après quelques ondulations de mes fesses le long de sa jambe je finis par sentir que la jupe est trop courte car quelque chose bute sur mon slip lorsque je remonte totalement.  Il ajoute alors :

— A genoux, salope !

Et tout en me disant comment peut-il me traiter de salope, j’obéis et m’agenouille devant lui comme si cela était naturel.

— Suce moi maintenant.

Je fais alors glisser sa culotte à mi cuisse et me retrouve nez à nez avec son sexe déjà en érection, comme j’avais pu le constater précédemment. Je prends sa bite en main, regarde cet homme dans les yeux par défi, je la décalotte et commence à embrasser son gland, un petit bisou, comme on fait la bise sur les joues des enfants. Perrin, le coquin, pousse un premier râle, ce qui m’enhardit. Je sors la langue et lèche sa queue sur toute sa longueur avant de passer aux couilles et de remonter jusqu’au gland.

C’est le moment décisif, je lèche et embrasse chaque partie de son entrejambe depuis quelques minutes, mais je sens qu’il faut maintenant que je la prenne en bouche.

J’ouvre grand la bouche et gobe sa bite, comme un hot-dog, je salive abondamment et crache dessus pour faciliter le passage de sa queue entre mes lèvres. Il me caresse les cheveux comme pour m’encourager et je lève les yeux pour m’apercevoir qu’il penche la tête vers l’arrière et qu’il a l’air d’apprécier, ce qui m’est confirmé par ses paroles suivantes :

— Tu es bonne, salope, lève-toi, enlève ta robe et allons dans le lit.

Il enlève son slip alors que je garde le mien et les bas et s’allonge dos sur le lit, les jambes légèrement écartées, et redonne ses ordres

— Allonge-toi et suce moi bien, n’oublie pas de lécher mon trou du cul.

Sans amour propre aucun, je reprends ma fellation en me plaçant la tête entre ses jambes afin de pouvoir alterner avec la lèche de son trou du cul et de ses couilles. Il aime d’ailleurs quand j’en prends une en bouche et fait tourner ma langue autour, si j’en crois ses râles.

Il me demande soudain que je change de position pour que nous nous mettions en 69, et encore une fois je m’exécute. Une fois au dessus de lui, il me dit :

— Maintenant, je veux que chaque fois que tu descends, tu prends tout en bouche.

Il me caresse la bite à travers la dentelle et je sens ses mains sur mes jambes à travers le nylon. Malheureusement pour moi, ma queue refuse de se dresser. Dès lors je me dis que je dois absolument y aller à fond.

J’embrasse de nouveau sa queue, puis glisse ma langue sur son gland en le titillant et en bavant dessus, et agrippant chacune de ses cuisses, j’avale sa queue et pousse pour en prendre le plus dans ma bouche, quitte à me démonter la mâchoire. A chaque essai, j’en prends un peu plus, et l’entends gémir, je continue à m’appliquer à descendre au maximum jusqu’à ce que j’atteigne mes limites et ressente un réflexe de déglutition. Je persévère pendant ce qui me semble une éternité, et c’est alors qu’il crie :

— C’est bon salope, je viens, prends tout.

Je ne saisis le sens de sa phrase que lorsque sa première giclée atteint le fond de ma gorge, et la seconde l’intérieur de mes joues. J’avale le tout par pur réflexe, et continue de le sucer sentant sa queue diminuer de taille progressivement. Je pose ma tête sur sa hanche et le branle machinalement tout en baisant son bas ventre, l’intérieur de ses cuisses ou ses couilles, et il gémit de contentement. Après 5 minutes où je tente tout pour qu’il retrouve un semblant d’érection, il m’annonce qu’il ne pense pas pouvoir remettre le couvert et me demande de partir.

Je retourne dans la salle de bains, remets mes habits civils et il me raccompagne à l’entrée de sa résidence.

Au moment de se quitter, il me dit :

— Tu es une bonne suceuse, si tu restes sur le site, tu vas devenir populaire.

Sur la route du retour, même si je n’avais pas bandé, ni joui, j’avais ses derniers mots en tête et admettais du bout des lèvres à moi-même que je pouvais être fier de ma prestation, et que si je n’étais pas gay, j’avais quand même un côté bi assez développé.

Peut-être je pourrais remettre cela une autre fois, avec un homme qui me plairait physiquement.

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