Je suis rentré de Rodez et j’ai loué un 2 pièces à Toulouse. Après le travail, les soirées sont longues. Nous sommes en été et il faut très chaud. Heureusement je me suis abonné à canalsat et je peux voir les films porno de XXL tous les soirs. Je suis encore au chômage et je peux dormir le matin. Ça ne va pas tarder à changer mais pour l’instant j’en profite.
Un soir, vers 21 h 30, je part me balader dans le centre de Toulouse. Je suis habillé d’un short en jean assez court et d’une chemisette blanche légère. En me promenant je passe devant le dernier cinéma porno de la ville encore en activité. Il est à peine imaginable que 20 ans plus tôt il était presque impossible de trouver un cinéma non porno. Je décide de rentrer et je prend un ticket. Je remarque que la caissière est vêtue assez léger, avec une jupe plissée très courte, qui dégage ses jambes assez bien proportionnées, et un corsage en satin fermé sur une poitrine assez opulente et libre comme le montrent les tétons qui pointent sous le tissus. Je rentre dans la salle. Une fois que mes yeux se sont habitués, je distingue une salle assez grande mais pratiquement vide, 2 personnes! Je remarque un escalier sur la gauche qui conduit à un balcon. Je l’emprunte.
Le balcon est composé de 6 rangs de siège divisés au milieu par une allée en escalier. Là il y a du monde, une dizaine de personnes. Je repère des places inoccupées et je vais m’y installer. En m’asseyant je défait les boutons de mon short et le baisse. Je m’assoie cul nu sur le siège. J’enlève complètement mon short ainsi que ma chemise. Je suis à poil et j’adore ça. Je commence à me caresser en regardant le film et je ne remarque pas l’homme qui vient s’installer derrière moi légèrement sur la gauche. Il fait un peu de bruit pour que je le remarque. Je me retourne un peu et je constate qu’il ne peut pas me voir complètement. Je me positionne pour arranger ça et lui avance un peu pour mieux voir. Je tends la main vers lui et je tombe sur un sexe raide et assez volumineux. je le branle mais la position est très inconfortable, je décide donc de passer derrière. J’enjambe le dossier des siège, prends mes affaires et m’installe à côté de lui. Mais un mec, à poil, qui enjambe les sièges dans une salle de cinéma ça ne passe pas inaperçu. Sans attendre je me penche sur son sexe et je le prends en bouche. Je le pompe, le titille avec mes dents, caresse son gland avec ma langue ce qui fait qu’il ne tarde pas à jouir. J’avale tout et me redresse. Tout le monde est autour de moi, dés que j’ai fini de sucer la bite, deux mains viennent me caresser les fesses, une main se pose sur ma bite, deux autres me caressent le dos, je suis l’objet de tout le monde. Pour faciliter le contact avec un maximum de personnes, je décide d’aller dans l’allée centrale, je reste debout, à poil et j’attends. Tout le monde me suis et une bouche vient me gober la bite, d’autres s’occupent de mes fesses, un doigt de mon cul, et deux ou trois mains de mon dos et mon bas ventre. Je suis aux anges. Soudain je sens un objet dur contre mes fesses. Ce n’est pas un doigt ou un bâton, c’est une bite encapuchonnée d’un préservatif. Un doigt vient me lubrifier le cul et je sens la bite commencer à forcer doucement mon fion. J’écarte les fesses avec mes mains et me penche en avant. Avec la différence de niveau due aux marches, je tombe nez à nez avec une belle bite bien dressée. J’ouvre la bouche et la prends. Je suce la bite pendant qu’une autre me défonce le cul tout en étant moi même sucé. Je sens monter en moi le plaisir et je fait tout pour le retarder. Mon baiseur connait la musique et ralenti quand il sent que je monte trop vite en pression. Je suce la bite en la mordillant quand, sans prévenir, elle me lâche tout dans la bouche. Cette giclée de sperme déclenche ma jouissance, et la jouissance de mon baiseur. Je sens son sexe palpiter dans mon cul. Dommage qu’avec ces protections obligatoires par ces temps de sida on soit obligés de mettre des capotes. Une bonne giclée dans le cul ça doit être le pied. Je pense l’essayer avec une personne de confiance, dont je sois sûre. Je récupère à peine qu’une voix me dit.
— Suis moi.
C’est un homme assez grand qui me tourne le dos et se dirige vers l’escalier. En plus il a récupéré mon short et ma chemisette. Je le suis, suivi de tout le monde. Je descends les escaliers et je tombe sur deux mecs qui sortaient. Du coup ils décident de rester et se joignent aux autres. L’homme se dirige vers une petite pièce aménagée au fond de la salle et entièrement faite de vitres. Je suis l’homme dans la pièce et je repère un divan en tissus rouge qui peut recevoir au moins 6 personnes. Personne ne nous suit et tout le monde se poste derrière les vitres.
— Le monde ne te gène pas?
— Pas du tout, je suis un peu exhibitionniste.
— Couche toi à plat ventre s’il te plait.
Il me met quelque chose sous le bas ventre pour que mon cul soit un peu surélevé. Il m’écarte les fesses et me lubrifie la rondelle. Il se couche sur moi, les bras tendus pour ne pas m’écraser et je sens son sexe se glisser entre mes fesses. Sans le guider avec ses mains, son sexe trouve tout de suite le chemin et son gland vient frapper à la porte. J’ouvre et il rentre sans forcer d’un seul trait. L’homme me pistonne vigoureusement, je sens son sexe palpiter dans mon cul. Ses va et vient sont réguliers et amples. Il sait ce qu’il fait. Doucement mon plaisir monte et je regrette que personne ne soit entré pour s’occuper d’autres parties de mon corps. Pour l’instant s bite est tellement prenante que je ne suis quun cul. Tout mon être est focalisé sur les sensations que me procure mon cul. Ma tête est un cul, mon ventre est un cul, ma bite est un cul, c’est le cul qui commande.
— Tu me préviens quand tu pars.
— Ok.
Au bout d’un bon moment, n’en pouvant plus je crie.
— Vas y je pars, lâche tout.
Je pars dans une jouissance démente tellement l’attente à été longue, mon corps se raidi, mon cul se resserre sur la bite qui me fait du bien et je sens qu’il décharge tout. Je suis complètement dans les vapes, je ne sais plus ou je suis et je m’écroule sur le divan. Lui se redresse et va ouvrir la porte qu’il avait fermé. Je comprends pourquoi il n’y avait que lui. Il devait me vouloir pour lui tout seul.
Tout le monde entre et commence à s’occuper de moi. Je pars dans un état semi-comateux et je laisse toutes ses mains s’occuper de moi.
Je reprend conscience quand la lumière de la salle s’allume. Je suis seul sur le divan, toujours nu avec des taches de sperme sur mon dos. La caissière apparaît, pas du tout étonnée de la scène, elle me dit.
— Il faut partir monsieur.
— Je veux bien mes il faudrait que je m’essuie.
— Attendez je vais vous chercher quelque chose.
Elle quitte la pièce et j’en profite pour masseoir. Elle revient avec des feuilles d’essuie-tout. Je remarque que le boutonnage de son corsage monte moins haut que tout à l’heure à mon arrivée. Elle me tend les feuilles.
— Vous voulez que je vous aide?
— Volontiers.
Elle passe derrière moi et m’essuie le dos.
— C’est la première fois que je vous voit.
— Oui mais j’étais déjà venu voir Emmanuelle en 1974.
— Je n’était pas encore là.
Une fois essuyé je cherche les affaires et là mon cur s’arrête.
— Que se passe t il?
— Mes affaires ont disparu.
— Vous êtes sure?
— Oui je ne les vois pas dans la salle.
Je me lève et fait le tour du divan sans résultat.
— Le salaud, il est parti avec mes affaires.
— De qui parlez vous?
— Du type avec un pantalon léger et une chemisette vert-pomme.
— Lui ce n’est pas possible, je l’ai vu sortir et il avait que son sac habituel.
— Vous le connaissez?
— Pas de nom, mais il vient presque tous les jour passer 6 à 7 heures ici. Suivez moi.
Elle quitte la salle, je la suis à poil me demandant ce qui va arriver.
— Si je suis obligé de sortir comme ça, je risque d’avoir des problèmes.
— Ne vous en faites pas, on va trouver une solution. Tiens ce ne serait pas ça par hasard?
Elle se penche pour ramasser mes affaires que l’homme avait déposé à côté de la porte à lextérieur de la pièce. Ce faisant, elle dégage sa jupe et je peux constater qu’elle ne porte pas de slip et qu’elle a de très belles fesses. En se redressant, elle remarque la direction de mon regard et fait plusieurs tours sur elle même de manière à ce que sa jupe parte à l’horizontale et me dévoile tout. Elle est rasée et intégralement bronzée comme moi.
— Alors?
— Magnifique.
— Merci mais ce sera tout. Habillez vous maintenant. Au fait vous allez ou faire du naturisme?
— Au cap.
— Moi aussi. Peut être qu’on s’y rencontrera?
— J’espère.
Je me rhabille et je quitte la salle. Elle me suit et me dit au revoir avec un sourire malicieux.
Je suis retourné souvent dans ce cinéma, mais désormais j’y vais avec des feuilles d’essuie-tout, des préservatifs et du gel et toujours habillé de manière à pouvoir être très vite à poil.
Il m’est arrivé d’autres aventures dans ce cinéma mais ceci est une autre histoire.