Chapitre 1 : Le voyage de Françoise.
Elle avait rencontré Claude dans une exposition de meubles et d’objets décoratifs à Marseille. Par la suite, ils sont devenus amis. Claude, passionné de voile, possédait un magnifique voilier de 16 mètres. Il l’invita plusieurs fois à bord pour une promenade en mer et, en juillet, elle lui promit de l’accompagner pour une croisière d’environ trois semaines. Peu de temps avant de partir de Marseille, le port d’embarquement, je reçus un message étrange : "Claude, je te demande de rencontrer Françoise à l’aéroport, de l’accompagner et de prendre soin d’elle. C’est une demande un peu particulière que m’a fait un ami. Elle porte une veste jaune. Ne lui pose aucune question. Elle nous accompagnera pendant une partie du voyage. Plus tard je t’expliquerai." Le texte, style télégramme, ne me plut pas beaucoup, et encore moins toutes ces choses mystérieuses ; mais Manu était un ami. Françoise était une belle jeune fille de 24 ans, vétérinaire depuis peu de temps. Nous n’avions échangé pratiquement aucune parole, fidèle à la promesse faite à Claude. À l’arrivée, nous avons attendu l’hôte pour qu’il nous emmène à un hôtel afin de passer une nuit ; le lendemain matin, nous devions partir très tôt. Je n’ai pas eu l’occasion de demander la raison de tous ces mystères. Après l’embarquement, nous avons navigué par beau temps, par vents faibles. Manu m’a alors invité dans sa cabine et commença à m’expliquer la raison de la présence de notre passagère. Je ne connaissais pas Françoise, mais un ami me demanda de la conduire jusqu’à l’île du Levant, située en mer Méditerranée. Il me précisa qu’il dirigeait un haras où s’entraînaient des "pony girls". Je n’avais vraiment aucune idée de lemplacement de cette île, pas plus de ce qu’était une pony girl. Alors j’ai cherché sur Internet, et j’ai découvert certaines choses. Savez-vous ce qu’est une pony girl ? Oui, bien sûr ; je sais. J’ai écrit plusieurs articles à ce sujet répondis-je. Eh bien le problème, cest que Françoise vient de terminer ses études de vétérinaire et a toujours beaucoup aimé les animaux, en particulier les chevaux. Avez-vous une idée de sa signification ? Pour le moins, les choses que j’ai romancées et que j’avais cherchées sur Internet n’était pas quelque chose de facile à comprendre. Ce qui est important, c’est d’écrire une histoire, de prendre des photos, des accessoires, et de créer également une fiction. Je suis tout à fait d’accord avec toi ; mais il semble qu’elle soit bien décidée à s’entraîner dans cette ferme. Que veux-tu que je te dise ? Ce n’est pas moi qui vais la convaincre du contraire. Mais c’est une folie sans pareille. Une jolie fille ayant fait des études universitaires qui désire se changer en animal de trait, c’est incroyable ! Apparemment, elle voulait s’entraîner pour devenir une pouliche… Tu as vu qu’elle a des jambes longues et bien formées. Comment se présente la suite de l’histoire ? D’abord nous passerons par l’île du Levant ; nous la débarquerons sur cette île, puis nous continuerons notre voyage en mer Méditerranée. J’espère que cela ne te gêne pas si nous allons à l’île du Levant. Au contraire, cela m’intéresse de connaître la ferme, parce que cela me donnera des idées pour écrire mes contes. Deux jours de navigation passèrent au cours desquels nous n’avons pas échangé un mot avec Françoise, qui semblait apprécier ses derniers jours de liberté. Elle passait des heures au soleil, vêtue d’un minuscule bikini qui moulait ses formes, à l’entière satisfaction de l’équipage et des invités. Enfin nous arrivâmes à l’île du Levant. Je fus surpris lorsque je vis Manuel sortir d’un sac une paire de menottes qu’il mit aux poignets de Françoise avant de descendre à terre. Celui qui devait diriger la ferme était là ; il nous souhaita la bienvenue et, immédiatement, une femme s’occupa de Françoise. Nous avons partagé le déjeuner avec celui qui nous souhaita la bienvenue. Les quelques questions que je lui posai à propos de la ferme ne reçurent que des réponses évasives, sans aucune précision ni aucun détail. Nous suivions le plan que nous avions programmé. Un peu plus tard, j’obtins des informations concernant la formation de Françoise dans la ferme.
Chapitre 2 : La formation de Françoise.
Après le débarquement, Françoise fut conduite dans une salle où on lui retira les menottes. Elle dut se mettre complètement nue, et ressentit une certaine honte, bien qu’elle fût en présence d’une femme. Maintenant, elle devait voir le médecin, car nous devions vérifier si elle était en bonne santé. Viens par ici. Elle dut se présenter toute nue devant un médecin, ce qu’elle n’avait jamais fait. Le praticien lui prit les mensurations habituelles. Tour de poitrine : 87 ; tour de hanches : 90 ; puis sa taille : 1,68 mètre. Il lui demanda de s’allonger sur la table et mesura la longueur de ses jambes, de la chatte jusqu’aux talons : 86 cm. Il se retourna pour jeter un coup d’il sur la fiche. Je vois que vous désirez vous former pour devenir une pouliche Vos longues jambes vous seront utiles. Puis sa main glissa de la cheville jusqu’à l’aine, atteignant les lèvres de son con. Il lui demanda d’écarter les jambes, et de nouveau ses mains glissèrent sur ses jambes, de ses genoux à sa chatte ; son doigt toucha les lèvres. Oui, vous avez de bonnes jambes. Je vais faire quelques radios de votre corps. Il fit les radios, puis continua à l’ausculter. Les nichons de Françoise n’étaient pas très gros, mais bien fermes, avec des mamelons saillants d’un rouge cerise remarquable. Je pouvais dire qu’elle avait une belle paire de nichons. Puis ce fut le tour de son cul. Les hanches de Françoise étaient étroites, mais très proéminentes et bien rondes. Le médecin se mit à séparer les fesses en faisant ressortir leurs formes admirablement cambrées. Il enduisit son trou du cul de vaseline, mit un gant et enfonça son majeur dans le trou du cul étroit de Françoise. Il lui demanda de s’installer sur une chaise spécialement conçue pour un examen gynécologique. Elle écarta ses jambes pour laisser voir sa chatte surmontée dune petite touffe de poils noirs. Il écarta les lèvres de la vulve, puis introduisit un spéculum dans son con afin d’examiner l’intérieur de son trou d’amour. Il termina l’examen en insérant un doigt profondément dans le minou. C’est alors que le médecin dit à Françoise qu’il allait prendre des photos. Ainsi, il commença à prendre plusieurs photos de la partie exposée du corps, y compris la chatte mais aussi le trou du cul. Puis il lui demanda de s’agenouiller en écartant bien les jambes ; il photographia son cul sous divers angles. Ma chère Françoise, vous êtes en parfaite santé. Nous devons encore faire une photo, afin de nous assurer que vous ne vous êtes pas faite engrosser ; vous devrez prendre des bains de soleil entièrement nue pendant deux jours, de façon à ce que le bronzage soit uniforme ; les marques très visibles de votre maillot de bain rend cela indispensable. Mon assistante vous dira ce qu’il convient de faire. Françoise avait le visage rouge de honte du fait de l’examen et pour avoir subi deux enculades prodiguées par la main de ce médecin qui lui avait introduit un doigt dans son con et dans son cul. Elle resta silencieuse en attendant l’assistante du médecin, qui lui appliqua une crème hydratante et lui dit de s’allonger au soleil dans le solarium. Françoise fut amenée à sa chambre, où elle devait rester pendant sa formation. Il n’y avait qu’un lit assez dur, un banc, rien de plus. Il y avait une salle de bain pour six chambres. Elle devait prendre une douche, puis se rendre à son lieu de relaxation. La salle de relaxation était un endroit spacieux où se trouvaient des chaises et un énorme écran. Il y avait des femmes, toutes jeunes et originaires de divers pays du monde. Toutes ces femmes étaient nues ; elles ne portaient qu’un corset qui soulignait leur taille fine. Personne ne fut surpris de voir une nouvelle venue dans la ferme. Elle prit place à l’emplacement qu’on lui avait indiqué et attendit. Peu de temps après, la projection commença. Il s’agissait de vidéos, où on voyait des poneys se livrant à diverses tâches, comme déplacer de lourdes charges. Les vidéos montraient aussi comment les poneys étaient utilisés comme des bêtes de sexe et étaient sévèrement punis à la moindre incartade. Elle ne fut pas la seule à se masturber. La vue de ces femmes traitées comme des jumenta l’excitait beaucoup. Puis elles s’en allèrent dîner. Afin de s’habituer à leur nouvelle vie, elles durent manger à même le sol et sans couverts. Aujourd’hui, on leur permit d’utiliser les mains mais, par la suite, elles devaient prendre leur nourriture avec la bouche. Ensuite elles regagnèrent leurs chambres. Françoise était bouleversée. La vue de ces poneys traînant des chariots sur lesquels on avait disposé des charges très lourdes, de les voir se faire fouetter pour des infractions mineures avait fortement impressionné Françoise. Elle s’endormit. Le jour suivant fut une journée de repos. Elle dut prendre des bains de soleil pour que sa peau soit parfaitement bronzée. En fin de journée, elle dut de nouveau voir le médecin. C’est alors qu’on lui accrocha un anneau à chaque mamelon, un autre au nombril, et finalement un anneau sur chaque lèvre de son con. Françoise se sentait heureuse de devenir une pouliche, malgré la douleur que lui procuraient les perforations. En guise de compensation, le médecin lui demanda de lui faire un "pompier", chose que Françoise fit immédiatement : elle s’agenouilla et prit la bite entre les mains, et elle commença à sucer cette belle pine. Avant qu’il ne décharge, le médecin retira sa bite, et lui envoya son foutre sur le visage. Elle regagna sa chambre et se coucha pour se reposer et pour oublier la douleur des pénétrations, pendant que le foutre du médecin séchait sur sa peau. Le lendemain la formation commença. Le matin quelques cours théoriques eurent lieu tels que :
Le comportement du poney ;
Utilisation des voix buccales ;
Utilisation des harnais ;
Prédisposition à donner son corps ;
Développement de la force et de la vitesse ;
Soumission à son instructeur ;
Pénalités pour manquer à ses devoirs ;
Instruments utilisés pour la punition.
L’après midi, il y eut un entraînement physique : placement correct des harnais, des freins, des clignotants, et apprentissage des mouvements des pouliches. Après avoir appris les pratiques appropriées pour appliquer les peines décidées seulement par l’instructeur pour manquement grave aux devoirs, elles retournèrent dans la salle qui leur avait été attribuée pour les trente premiers jours. À partir de ce moment, elles seraient logées dans l’étable et devraient apprendre à manger, les mains attachées dans le dos, dans un plat posé sur le sol. À toute heure du jour, elles pouvaient être réquisitionnées pour satisfaire les besoins sexuels de n’importe quel homme vivant à la ferme ; les relations intimes entre les pouliches étaient formellement interdites. Après un mois de formation, Françoise était devenue un être tout à fait différent de celui qui avait fait son apparition à la ferme. Françoise dormait sur la paille, et son corps était marqué par les violents coups de fouet qui lui avaient été administrés. Son cul était rubicond ainsi que son dos et sa chatte. Le cul et le con de Françoise étaient visités une dizaine de fois par jour. En fonction de leur apprentissage et de leur comportement à effectuer rapidement leurs obligations, elles étaient marquées au fer sur le sein droit, et Romy accepta d’être marquée avec beaucoup de fierté. Enfin, le jour arriva où les pouliches purent montrer leurs compétences. Celles qui furent classées parmi les cinq premières avaient le droit de participer à un tournoi international. Les cinq plus mauvaises reçurent cinquante coups de fouet sur leurs nichons et cent coups sur leur cul et, de plus, elles durent manger de la luzerne pendant deux jours. Tous les poneys étaient excités à l’idée de pouvoir prendre part à la compétition internationale et firent de leur mieux pour gagner, encouragés par les violents coups de fouet et les décharges électriques que l’on appliquait à l’aide d’un pic enfoncé dans leur cul. Les harnais avaient été attachés. Dès le signal, toutes les pouliches commencèrent à courir, mais Romy malgré le peu de temps passé en formation, et grâce a ses longues jambes parvint au sommet en moins de vingt minutes. Alors Françoise, la Françoise que j’avais vue prendre des bains de soleil sur le bateau était en sueur après l’effort, et les dix nouvelles marques de fouet que l’on voyait sur son dos et sur son cul la rendaient heureuse. Le rêve était accompli. Elle remarqua que son entrejambe était mouillé ; ce n’était pas la transpiration qui faisait couler cette mouille de son con. Après une courte pose, ce fut le signal pour la deuxième course, longue d’un kilomètre… Après un bain rafraîchissant, on demanda à Françoise de se rendre dans la salle de bal. Au cours de cette nuit-là, Françoise fut baisée quinze fois dans son con, vingt-cinq fois dans son cul et dix fois dans sa bouche. C’était succulent !!
Elle s’endormit dans la grange et ne se présenta pas en classe le lendemain matin. Elle dut subir une effroyable punition : on l’emmena dans la salle de dressage ; ses mamelons furent attachés à ses poignets et ses nichons reçurent de violents coups de fouet. L’un des soigneurs, brandissant un fouet, s’approcha d’elle et lui infligea avec une force inouïe un terrible coup de fouet sur la partie inférieure de ses nichons. Françoise retint un gémissement, mais ses yeux se mouillèrent. Le second coup de fouet lui cingla le nombril, où un anneau était attaché. La douleur était intense.
Pourrez-vous dormir, pouliche Françoise ?
Non, Monsieur, je n’en suis pas sûre.
Tout en l’interrogeant, il lui donna un formidable coup de fouet sur son cul, qui laissa une trace indélébile. Françoise avait son cul tout rouge, dun beau rouge.
Toutes les pouliches étaient placées sur un même pied d’égalité.
Non, Monsieur ; je me suis endormie non seulement à cause de la course, mais cette nuit plusieurs hommes m’ont baisée, et à la fin, j’étais épuisée.
Pour ça, tu es une pouliche pour gagner les courses et pour donner ton cul, tu sais ?
Oui, Monsieur ; je ferai ce que vous me demanderez. Elle reçut une douzaine de coups de fouet. Les coups de fouet les plus douloureux étaient ceux qui lui furent administrés sur les nichons. Malgré la douleur qui persistait, les marques de flagellation étaient très visibles ; Romy se sentit fière en tant que pouliche reconnue dans la ferme. Non seulement on la baisa la nuit passée, mais elle fut aussi punie très sévèrement du fait des fautes qu’elle avait commises. Six mois s’étaient écoulés depuis son entrée à la ferme. Elle était consciente de ses obligations : de s’adonner à la gymnastique quotidienne, et de jouir pendant les séances de baise avec les hommes de la ferme qui adoraient pénétrer son con et son cul. La ferme était conçue afin de former des pouliches qui ne restaient pas à la ferme, mais étaient envoyées dans des hippodromes. La pouliche pensait que, du fait de son appartenance à l’hippodrome, on ne lui demanderait plus de se faire baiser ; mais elle se trompait.
Pour faire monter les enchères, l’hippodrome institua une prime qui était attribuée à celui qui pariait sur la pouliche qui remporterait la course ; le gagnant avait le droit de baiser n’importe quelle pouliche qui avait pris part à la compétition. Finalement les autorités durent renoncer à cette action, du fait qu’une centaine de candidats voulaient Françoise, ce qui n’était pas possible. On modifia la règle ; seul un groupe sélectionné pouvait utiliser Françoise comme il le voulait : il pouvait l’enconner, l’enculer et même l’engrosser. Ainsi, la fréquence des parties de baise avait diminué considérablement et, peu de temps après, Françoise n’était enculée que trois ou quatre fois par semaine.
Bjorn