Je reprends une de mes anciennes histoires, originalement intitulée « la babysitter » et publiée il y a déjà un certain temps et jamais finalisée. Pas d’inquiétude cette fois, tout est écrit et arrivera petit à petit…
Bonne lecture !
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Faisons la connaissance d’Emeline, jeune fille de 18 ans, jeune provinciale montée à la capitale pour effectuer son stage de licence.
En matière de caractéristiques physiques, Emeline est de taille moyenne avec des formes plutôt généreuses, sans être grasse, dotée d’une poitrine d’un bon 95C, un fessier rebondi, des cheveux longs et noirs encadrant un beau visage souriant, illuminé par de grands yeux verts. Elle sait qu’elle attire souvent les regards concupiscents des hommes, mais malgré ce physique avantageux, elle n’a eu que quelques copains qui n’avaient qu’une idée en tête : « se la faire ». Restant au fond d’elle-même assez romantique, elle avait vite envoyé sur les roses ses malappris, mais cela faisait qu’elle était toujours vierge et cela commençait à lui peser, lui attirant plusieurs remarques de ses amies qui devenaient carrément lourdes à la fin.
Pourtant, Emeline est une fille curieuse et même coquine, loin d’être une petite prude innocente. Elle a souvent surfé sur des sites X et se masturbe fréquemment en lisant des histoires ou en regardant diverses vidéos allant du soft au hard. Cependant, au fil du temps, les orgasmes procurés par ses fidèles doigts ne lui suffisent plus, elle veut plus !
Voilà pour notre jeune héroïne, contextualisons désormais la situation. A son arrivée sur Paris, elle emménage dans un petit studio de 18m² du 20ème arrondissement, au loyer « modeste » de 650 par mois. Autant dire qu’avec ses parents qui ne roulent pas sur l’or et son salaire de stagiaire, les fins de mois sont difficile, et elle réfléchit sérieusement à faire de petits boulots à côté pour essayer de vivre à peu près décemment.
Un soir, alors que son stage venait de prendre fin, mais qu’elle comptait rester sur Paris encore quelque temps pour trouver un futur travail, Emeline se rendit à la laverie du quartier. Sur le chemin, elle reçoit un coup de fil de sa mère qui lui fait part qu’une de ses connaissances parisiennes cherche apparemment une aide-ménagère certains soirs de la semaine. L’avantage est que cela lui laisserait plusieurs soirées de libres en lui fournissant un petit complément de revenus, de plus, elle habite à deux pas de chez Emeline, une occasion à ne pas louper ! Ni une, ni deux, Emeline saisit son portable et compose le numéro de l’amie de sa mère. Après deux sonneries, une voix répond.
Oui allo ?
Bonjour Madame, je suis Emeline, la fille de Marie, elle m’a parlé de votre recherche pour une aide-ménagère.
Ah oui Emeline ! Enchanté, si tu le souhaites, tu peux venir demain soir à 19h, je te montrerais l’appartement et t’expliquerais ce que j’attends de toi. Cela te convient ?
Oui très bien ! A demain alors !
Le lendemain soir, Emeline s’habille de façon assez classique, un jean et un sweat-shirt. Arrivée à l’heure précise au domicile de la femme, Emeline sonne. Une femme d’une cinquantaine d’années lui ouvre et Emeline ne peut s’empêcher de la détailler. L’amie de sa mère lui fait en effet forte impression du haut de son mètre quatre-vingt avec ses longs cheveux blonds, sa robe élégante et sa poitrine arrogante. C’est une très belle femme qui se tient devant elle, élégante, raffinée et Emeline se sent toute petite avec son style vestimentaire qui dépareille fortement.
Euuuh, bonjour Madame, je suis Emeline.
Enchantée jeune fille, moi c’est Florence. Entre donc, entre donc ! Sois la bienvenue.
Emeline rentre dans l’appartement et reste interloquée par sa dimension. Un appartement d’une telle taille dans la capitale doit coûter une fortune, même si nous ne sommes pas dans le quartier le plus huppé de Paris.
Assieds-toi, je t’en prie ! Désires-tu boire quelque chose ? Alcool ? Soda ? Jus de fruits ? Café ?
Je veux bien un café s’il vous plaît.
Florence en prépare deux et revient s’asseoir à côté d’Emeline, lui explique qu’elle cherche quelqu’un pour s’occuper du ménage de son appartement, car compte tenu de sa taille, elle n’a pas le temps de tout faire aussi souvent qu’elle le souhaite. De plus, elle est souvent absente le soir, aussi, Emeline peut venir plusieurs fois dans la semaine, pour un salaire plus que correct pour ce type de travail. Tout à coup, le téléphone de Florence sonne et après une brève discussion, la grande femme raccroche.
Tiens, comme je te disais, je vais devoir m’absenter. Si tu n’as rien de prévu, tu peux commencer ce soir ?
Pas de problèmes, je n’avais rien de prévu.
Florence lui montre où sont rangés les ustensiles et produits ménagers avant de sortir. Emeline ne perd pas de temps et s’attèle à la tâche, commençant par passer un bon coup d’aspirateur dans le salon avant de passer à la cuisine, le couloir et enfin, la chambre de Florence. Elle se demande si elle a le droit d’y rentrer, elle ne souhaite pas pénétrer l’intimité de l’amie de sa mère, mais elle ne le lui a pas précisé. S’apprêtant à l’appeler, son regard est soudainement attiré par un objet rose qui traîne à côté de l’oreiller. Intriguée et devinant plus ou moins ce que c’est, elle entre dans la pièce pour être sûre d’avoir bien vu. Pas de doute, c’est bien un gode.
Aguichée malgré elle, elle se saisit de l’engin. Il est de taille moyenne, mais assez gros (environ 15*6 centimètres), veineux et légèrement collant. Emeline le renifle, il dégage un léger parfum qui n’est pas celui du silicone. Est-ce l’odeur intime de Florence ? S’en est-elle servie dans la journée ? Excitée, Emeline le repose et c’est alors qu’elle aperçoit sur la table de chevet un magazine porno. Elle le feuille et surprise, ce ne sont pas des photos d’hommes avec d’immenses sexes qui en ornent les pages, mais des femmes léchant d’autres femmes, en pénétrant d’autres équipées d’énormes godes ceintures. Florence est lesbienne ? se demande Emeline. Non pas qu’elle ait de préjugés sur les homosexuels, bien au contraire, c’est un milieu qu’elle connaît et plusieurs de ses connaissances et amies sont gays. En continuant à feuilleter le magazine, elle atterrit dans une section plus trash, du BDSM lesbien où l’on voit des femmes ligotées, cravachées, encagées…
Emeline est scotchée et n’arrive pas à reposer le magazine et malgré elle, elle sent son cur s’accélérer. Cependant, l’heure tourne et il lui reste du travail. Elle passe un rapide coup d’aspirateur dans la chambre avant de passer la serpillère sur le parquet du salon. Alors qu’elle termine quelques poussières sur les meubles, la clef tourne dans la serrure et Florence fait son entrée.
Emeline, tu es encore là ? Ne te tue pas à la tâche dès le premier soir voyons, dit Florence en riant.
Non, pas de problèmes, je souhaitais finir ça avant de partir.
Emeline baisse les yeux en la présence de Florence, car en revoyant cette belle femme, son cerveau repense immédiatement au gode et aux images du magazine. Et son esprit incontrôlable lui envoie des images auxquelles elle a peur de réellement penser. Florence la règle pour la soirée et lui souhaite une bonne soirée en lui demandant si elle peut revenir vendredi, ce qu’Emeline accepte.
A peine de retour chez elle, l’entrejambe en feu, elle se jette sur son PC et se masturbe frénétiquement sur des vidéos lesbiennes. L’était-elle également ? N’ayant pas de réponse à cette question, cela ne l’empêcha pas d’avoir néanmoins un des meilleurs orgasmes depuis longtemps…