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Y a-t-il une limite au plaisir ? – Chapitre 2




Thomas était dans le train depuis 1h maintenant. Malgré les messages qu’il avait envoyés, il n’avait pas eu de nouvelle d’Annie. Il avait pris ce train avec stress, que se passerait-il une fois arrivé ?

La semaine avait été rapide, il avait eu pas mal de travail et l’esprit très occupé à essayer de comprendre sa soirée avec Annie. Elle l’avait totalement contrôlé et il avait adoré, il aurait exécuté absolument tous ces ordres avec plaisir, sans limites. Il se remémora plusieurs fois la soirée, chaque fois il se masturba et jouît très vite. Maintenant il partait pour « perdre son esprit » comme elle le lui avait dit. Assis dans ce train avec rien à faire, il commença à fantasmer sur son arrivée, il descend du train, elle est là, magnifique, et elle l’accueille à bras ouverts. Il la serre fort et entend à son oreille :

— Dors mon esclave

Il tombe alors dans une profonde transe qu’elle guide doucement

— Ton corps se relâche et tu retrouves la transe profonde que tu affectionnes. Tu respires mon odeur, tu sais que tu es en sécurité et que je peux prendre soin de toi. Laisse-toi aller, totalement relâché. Je veux que tu sois capable de retrouver cet état lorsque je claque des doigts, un simple claquement et tu retombes dans cette transe, obéissant et immobile. Cette commande est mémorisée et tu y répondras à chaque instant. Maintenant à trois tu vas te réveiller sans souvenir de cette transe. 1….. 2….. 3 !

Thomas se redresse et va entamer la conversation mais un « clap » résonne à son oreille et il s’effondre sur Annie.

— C’est bien, relâché et immobile, à chaque transe tu iras un peu plus profond en étant plus relâché et plus obéissant à ta maitresse. Je veux que tu remplaces mon prénom par Maitresse dès que nous sommes seuls ou non écoutés, cette habitude doit devenir permanente et tu la trouves naturelle et normale car je suis ta maitresse ; à 3 tu te réveilles sans souvenir mais mes commandes restent ancrées en toi encore plus fortes à chaque utilisation : 1… 2…3 !

Thomas se redresse inconscient de l’emprise de sa maitresse et commence la conversation :

« Comment vas-tu maitresse ? Content de te revoir.

Elle sourit et illumine la gare. Ils discutent quelques instants puis vont prendre le métro. Ils y sont face à face debout. Elle passe ses bras autour de ses épaules et Thomas veut l’embrasser mais « Clap » il s’endort avant.

— C’est bien mon petit soumis, encore plus profond que précédemment. Je veux que tu m’obéisses et qu’à chaque arrêt de métro tu sois dix fois plus excité, au bord de l’orgasme, chaque mouvement te mène si proche de la libération mais tu ne pourras jouir qu’avec mon autorisation. Tu peux me supplier pour l’avoir mais tu ne peux pas contourner, tu dois avoir mon autorisation pour jouir. Réveillé et conscient de ton incapacité à jouir.

Thomas a un visage fermé, il réalise le contrôle de sa maitresse. Le métro s’arrête et repart, il regarde Annie avec peur, une bosse est clairement visible sous son pantalon. Une dame assise en face à bien compris l’état d’excitation de Thomas et le regarde comme un malpropre. Nouvel arrêt, au départ il pousse un petit gémissement… combien en reste-t-il ? Il ne le sait pas et ne sait pas quoi dire à Annie. Nouvel arrêt…

« S’il vous plait Maitresse, mettez fin à cette torture

— Non, j’adore voir l’humiliation sur ton visage, beaucoup ont compris ton état tu sais.

— Oui maitresse le métro repart aah aah aah je vous en supplie. Thomas est rouge de honte, le stress le fait transpirer.

— Clap

— Thomas tu m’obéis, je veux que tes mains se collent à ce poteau, impossible de les décoller avant ma descente. Tu vas rester là au milieu, toujours plus excité, au bord de l’orgasme avec l’incapacité de parler tant que tu es à ce poteau. Plus tu as honte et plus l’orgasme approche, tellement proche et pourtant toujours plus proche. Réveille-toi à 3 ; 1… 2… 3 !

Annie va s’assoir face à lui, il est bloqué là au milieu, à la vue de tous et le métro s’arrête… et repart. Et s’arrête, une dame descend et lui glisse « vous êtes odieux, Monsieur ». Sa honte se renforce et son excitation s’amplifie. Encore un arrêt, il n’en peut plus. Annie se lève vers la porte et lui souffle « jouis maintenant ». Instantanément Thomas éjacule, il fait de petits mouvements mais ne peut émettre le moindre son. Le métro s’arrête et Annie descend alors que l’éjaculation se poursuit et mouille son pantalon. Deux personnes quittent leurs places et changent de wagons abasourdies par ce spectacle incompréhensible. Il pousse un gémissement, ses mains se décollent du poteau et il veut sortir mais la porte se referme devant lui. Il se retourne, un couple rit surement de lui. La honte lui provoque une nouvelle érection.

— Votre billet monsieur

Thomas ouvre les yeux, ils se redressent dans ce train vers Lyon et réalise qu’il est allé loin. En se baissant pour attraper le billet dans son sac à ses pieds et voit son pantalon humide de sperme. Il tire sur son tee-shirt pour le cacher, attrape le billet et le donne au contrôleur qui le regarde de façon curieuse.

« Tout va bien Monsieur ?

— Oui oui, bafouille Thomas.

— Bonne fin de voyage.

Une fois le contrôleur plus loin il se lève et part aux toilettes. Il a bien joui dans son caleçon. Il revient à sa place et repart aux toilettes pour se changer puis se réinstalle et se parle dans la tête. Encore 30 minutes de voyage, dans quel état me met cette fille ! une érection refait son apparition, elle est difficilement visible sous le jean et si elle voulait une relation normale ? Ou si elle ne vient pas ? Est-ce que je veux être son petit ami ? Son esclave hypnotisé ? Plus que 30 minutes pour le savoir.

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