Histoires de sexe Histoires de sexe arabes Premières histoires de sexe

Humilié par mon patron ! – Chapitre 1




— J’espère que tu es prête ! Tu vas voir à trois ce qu’il va se passer…

— Un…

Au moment précis où le compte à rebours débuta mon instinct me fit placer les mains sur chacune de mes fesses pour pouvoir les écarter un maximum.

— Deux…

Je sentais les va-et-vient de plus en plus rapides et brutaux, ses testicules frapper contre mes lèvres inférieures et en partie sur mon clitoris, je me sentais partir.

— Et trois ! 

Il enleva son gros sexe de mon trou du cul sans utiliser ses mains. Le bruit d’un tire-bouchon de vin que l’on retire se fit violemment entendre ! Je sentais l’air s’engouffrer dans l’orifice pour y combler d’air le vide laissé par son sexe. Je sentais petit à petit mon esprit et mes convictions volaient en éclats.

— Eh bien, eh bien, voilà maintenant une bonne chose d’accomplie, ton fion est enfin dilaté par ma bite ! J’en ai rêvé !

Il m’attrapa de manière autoritaire par la nuque et me plaça face au miroir de ma chambre.

— Regarde-toi dans cette putain de glace, tu es devenu ma petite pute.

Il avait raison, mon reflet était celui d’une personne que je ne connaissais pas, du moins, je ne me reconnaissais plus. Mon visage était déformé par le collant qu’il m’avait enfilé au début de notre ébat sodomite. J’avais des narines de truie, mes yeux étaient à moitié étirés vers l’extérieur de mon visage et le mascara que je portais dégouliné sur mes joues.

J’étais debout devant ce miroir, le cul en arrière avec mes deux mains écartant mes fesses et laissé entrevoir pour le plus grand plaisir de mon patron, la première dilatation anale de ma jeune vie.

Pourtant, je prenais du plaisir à être ainsi humiliée, jamais mon petit-ami ne m’avait prise comme cela, ça seule folie sexuelle était de me prendre en levrette.

— Oh, tu as cru que j’allais te laisser éternellement plantée là devant ta foutue glace, hein ! Viens par là…

Je n’ai pas eu le temps de me remettre de cette autre moi, qu’il me tira aussitôt par le haut du collant que je portais et me mis à ses genoux en face de son sexe. L’odeur de mon cul et de sa bite se mélangeait pour y laisser place à une senteur enivrante ce qui eut effet de me faire mouiller comme jamais.

— Maintenant, tu vas me nettoyer la bite et boire le petit-lait qui va te servir de petit-déjeuner, c’est important, surtout que tu as pas mal de poids à perdre dans la salle de sport de l’entreprise, n’est-ce pas ? Je crois que tu vas te régaler !

C’est avec une fermeté et un doigté d’expert qu’il déchira le collant au niveau de ma bouche pour y introduire son sexe. D’un geste puissant, il me l’introduisit au plus profond de la gorge. Ma bouche et ma gorge étaient devenues non pas un troisième orifice, mais un second anus pour lui !

— Alors ton cul, il a quel goût ? Hein ?

J’essayais de lui répondre, mais seuls quelques gémissements parvenaient à ses oreilles.

— Ce n’est pas grave de toute façon, je me fous de ton avis !

Je le sentais forcer encore plus fort en essayant toujours d’aller plus loin. J’étais en train de vraiment m’étouffer et à manquer d’air, il faut dire que le collant que je portai rendait la respiration par mes narines désagréables et presque impossible.

— Ah, je viens, je vais jouir petite pute… Tiens prend tout… AH !

Il s’agrippa fortement à ma tête et je sentais un jet terriblement puissant et épais s’engouffrer dans mon sophage et partir directement en direction de mon estomac !

L’air commençait à manquer et je pensais m’évanouir que d’un geste sûr et rapide, il retira son sexe et tira sèchement sur le collant vers l’arrière que j’en tombais les fesses par terre.

— Si ton petit-ami te voyait…

Avec ses mots, je repris un peu mes idées et je vis sur le bout de son gland aucune trace de sperme, j’avais pris comme il me l’avait dit plus tôt, mon petit-déjeuner.

Et dire qu’il y a quelques jours encore, je n’étais qu’une petite-amie fidèle et maintenant, je ne suis qu’une chose à la merci de mon patron.

— Demain matin on attaque la semaine et je veux que ton cul soit propre !

— Oui, monsieur.

Related posts

Tel maître, tel chien. – Chapitre 1

historiesexe

Découverte du plaisir – Chapitre 1

historiesexe

Une collègue sympa – Chapitre 2

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .