La plage des cochons

Cest un apéro au champagne qui donne le top départ de ce week-end de folie. Mon chéri nous explique ce quil propose pour le séjour.

Les filles, toujours partantes pour un séjour inoubliable ?

Cest un « Oui ! » enthousiaste qui lui répond.

Je vous explique. Cest simple : après lapéro, resto ; ensuite, achat de robes pour la boîte ce soir.

Mais on en a apportées je lui dis.

Beaucoup trop habillées pour le genre détablissement où je vais vous emmener ; et nayez aucune inquiétude : dans ce genre de boîte, il y a des règles strictes, vous navez rien à craindre. Si des gens vous font des propositions, vous êtes libres daccepter, ou pas. Si vous refusez, personne ninsistera. Vous risquez juste de vous faire tripoter les fesses un peu, mais cest le jeu. Cet aprèm, plage. Bien sûr, ce sera celle des cochons car vous avez une dette envers Tatiana. Ce soir, boîte, et demain on verra. Nous repartons lundi. Pour les frais, le séjour est réglé sauf les faux frais ; jentends fringues et autres.

Mais tu ne vas pas tout payer ; nous allons participer, reprend Tatiana.

Ne vous inquiétez pas : il ne me coûte pas cher à moi non plus.

Pour votre initiation à lexhib, vous allez être gâtées ; et toi, ma chérie, je te réserve une surprise de taille.

Instantanément je sens que je mouille déjà : il peut être parfois très surprenant, et lallusion à notre dette dÉlodie et moi envers Tatiana plus la plage des cochons, tout ça est en train de me faire monter en pression.

Lapéro terminé, nous quittons la chambre pour aller déjeuner au restaurant de lhôtel, et cest nus que nous y allons tous les quatre. Durant le repas, la discussion tourne autour du week-end, qui sannonce très chaud. Les filles ont décidé de se lâcher complètement, tout en gardant les limites quelles se sont fixées. Moi, jannonce que je nen ai pas et souhaite bien méclater ; avec mon chéri, on a un pacte de confiance : chacun fait ce quil veut, et sil y a une relation, cest capote obligatoire ; les rapports non protégés, cela nous est réservé.

Après avoir mangé une délicieuse salade, nous partons à la découverte du village, les filles comme nous, main dans la main ; personne ne remarque le comportement des filles. Des boutiques, et surtout de celles où lon trouve des vêtements sexy. Nous y entrons car je viens de flasher sur une robe qui ressemble plus à un filet ; ce sera ma tenue pour aller en boîte : une robe, un string, pas de chaussures non plus. Les filles on choisi une minijupe ultra courte avec une sorte de chemisier en dentelle, un minuscule string et soutien-gorge, le tout noir comme pour moi. Pour mon homme, jarrive à lui faire prendre un string et un marcel ajouré.

Comme il faut moins chaud, nous décidons daller à la plage. Jai hâte, mais je suis aussi stressée de découvrir cette fameuse plage des cochons ; les filles sont à peu près dans le même état que moi. Armés de nos draps de bain, nous voilà partis tels des conquérants à lassaut de la dite plage.

Tous les quatre nous parcourons la plage main dans la main. Le spectacle est assez impressionnant ; nous sommes au bon endroit. Jy découvre des couples enlacés ; une femme est en train de faire une fellation, dautres font lamour. Des filles sont en 69 au milieu dun cercle dhommes, bite à la main. Un mec encule une femme en levrette ; dautres se caressent tendrement en sembrassant.

Nous installons nos draps de bain les uns près des autres, puis allongée sur le dos je me pose un instant, le temps de savourer la chaleur du soleil sur ma peau. Les filles ont entrepris un crémage de protection solaire. La tête sur le torse de mon chéri, la main sur son sexe, je regarde un instant les filles senduire de crème solaire ; elles le font avec soin, application et douceur, sans oublier le moindre centimètre carré de peau. Puis viennent les petits bisous sur la bouche, sur les seins ; les caresses sont timides. Un homme les mate debout, la main sur la queue ; un second arrive. Une idée me traverse lesprit :

Mon amour, jai envie de toi maintenant. Tu veux bien ?

Même sil ne veut pas, je nen ai pas pour longtemps pour la faire changer davis.

Si tu veux ; je sais que tu meurs denvie de baiser devant tout un tas de monde ; alors vas-y, fais-le bien, et tu auras une belle surprise.

Et en plus une surprise ! Cen est trop, je vais mappliquer. Je lembrasse tendrement, lui lèche les tétons en lui massant le sexe. Un coup dil : le nombre de spectateurs a grossi ; les filles se sont lancée dans un 69 torride. Tous les quatre, nous sommes cernés par une bonne vingtaine de mecs, la queue à la main, qui se caressent avec négligence. Il y a aussi des femmes qui observent avec intérêt.

Je continue par une fellation appliquée ; chaque coup de langue, chaque caresse sont calculés : je sais comment amener mon chéri à un orgasme puissant. Je glisse sur lui ; je sens lodeur de son parfum Hugo Boss que je lui ai offert. Encore des baisers enflammés. Je lèche et suce ses tétons que jaimerais tant voir décorés dun piercing. Son sexe glisse le long de ma fente ; je mouille comme une fontaine. Son gland est juste à lentrée de mon vagin où il senfonce un peu. Je me dresse sur les genoux ; il est toujours en moi.

Des « Ouiii Je jouiiis ! » viennent des filles couchées côte à côte, les mains sur leur vulve, et certainement des doigts en elles. Elles se lèvent, font quelques pas ; le cercle souvre. Quelques mains quelles repoussent les touchent, et elles senfuient vers la mer. Nous voilà tout les deux, seuls avec au moins une quarantaine de spectateurs ; je suis grisée par la situation.

Je vais menvoyer en lair devant tous ces voyeurs qui ont la bite à la main ; cest moi la vedette, et faire du cinéma, je sais le faire ! Je menfonce sur son phallus bandé au maximum. Je couine, gémis. Un coup dil à Pat suivi dun clin dil complice : il gémit aussi. Je me masse les seins ; il me masse les fesses. Je me plie en deux sur lui en le palpant ; lui me broie les seins, me tire les tétons. Je gémis fort, crie, je me tire les cheveux avec des « Ah ouiii » de bonheur. Pat me soulève les fesses et me besogne avec force. Je crie encore, et lorgasme arrive au galop, fort. Je me tords sans simuler, secouée par les spasmes, mais il continue et moi je passe en mode simulation qui se transforme en mode nouvel orgasme. Le temps de récupérer, et Pat me soulève, se dégage et mentraîne au centre du cercle de tous ces vicieux en train de se branler parce quils ont vu une nana se faire sauter devant eux.

Mon chéri me fait magenouiller, prend le premier par le bras, le place en face de moi la bite face à ma bouche et me dit :

Ça te tente, comme surprise ?

En guise de réponse jattrape sa queue, la fourre dans ma bouche et le suce avec force, mais il se dégage pour me dire :

Moi en dernier : le meilleur, cest pour la fin !

Je suce le premier qui se branle en même temps et méjacule dans la bouche. De mes mains libres je branle les queues qui passent à ma portée. Je les suce tous les uns après les autres ; certains méjaculent sur le visage, sur les seins Je colle, ça pue, le goût est infâme ! Les yeux fermés, je reçois tout ce sperme ; jen ai plein la bouche, ça me coule sur les seins et le long de tout mon corps. Je ne sais pas combien ils sont, mais ça dure ! Je jouis de bonheur, je métale ce liquide gluant partout, je couine et gémis : il faut quils croient quils me font du bien. Puis plus rien. On messuie les yeux : cest Pat. Je ne vois que son sexe devant mon nez. Celui-là, il est pour moi ! Je lengloutis et le pompe avec force jusqu’à ce quil éjacule au fond de ma gorge.

Pat me relève, mattrape par la main. Le cercle souvre et nous courons vers la mer. En chemin, nous croisons les filles qui me regardent avec un air complètement ahuri ; au fond de moi, je pense quelles nont certainement pas tort ! Je plonge dans leau tiède de la Méditerranée, histoire de me débarrasser de cette coque de sperme.

Après un long et bon bain, je me suis débarrassée de tout. Nous retournons à nos serviettes.

Alors Julie, cétait comment, le bukkake, comme disent les Japonais ?

Super bien, mais franchement dégueu. Jai voulu essayer ; cest fait. Très peu pour moi !

Tu vois, entre filles on ne fait pas de cochonneries au moins ; pas vrai, ma puce ? répond Tatiana.

Cest certain : on est propre, nous ! ajoute Élodie.

Hé, vous, la bande de gouinasses, si vous continuez à me les briser, jen prends une sur chaque épaule et je vous fous à la baille ! OK ?

Va chercher tes potes avant, espèce de macho de Marseillais ! ricane Tatiana.

Oh putain, con !

Elles viennent de commettre une grave erreur. Dun geste il relève les filles en les prenant par une main, un genou à terre les attrape derrière le genou, les soulève et les charge sur ses épaules, telles de vulgaires sacs de ciment, et part comme un boulet de canon en direction de leau. Je ne veux pas manquer cela et cours après eux. Les filles gesticulent, hurlent, crient au viol, mais rien ny fait ; et je peux vous dire que même avec les deux sur le dos, il court vite ! Il entre dans leau, bascule les filles et, la main collée sur leur ventre, il les projette au loin. Elles nous font une jolie bombe avant de se retrouver sous leau. Revenues à la surface, elles reviennent à la charge et une belle partie de combat aquatique dont je fais partie sengage, le but étant de mettre mon chéri sous leau. Tu parles Même sous leau, il est insaisissable. Comme des gamins, nous passons tous les quatre un très bon moment de rire, de complicité du plaisir partagé dun simple jeu.

Nous décidons de rentrer à lhôtel pour nous doucher et nous préparer pour la soirée. Nous, les filles, ce sera robe bustier ultra légère, et dessous un string. Pat, short et débardeur filet. Nous partons à découverte des boutiques du village textile ; mais en premier, prendre un pot.

Une terrasse de café glacier nous tend les bras. Une inspection visuelle, et là je repère un homme seul assis à une table, la quarantaine, mais son comportement me trouble : il mate le cul des nanas qui passent près de lui dune façon assez explicite. Jappelle les filles.

Hé, les filles, vous voyez le mec derrière moi ? Je suis sûre que cest un voyeur : regardez comment il mate les nanas.

Ah oui, tu as raison ; et alors ? On sen fout de ce mec ! répond Tatiana.

Ça ne vous dirait pas un petite exhib, histoire de lallumer ?

Bonne idée ; on y va ! approuve Élodie.

Pat et moi nous nous installons à une table un peu à lécart de celle des filles ; le serveur vient prendre les commandes. Les filles discutent, faisant mine de ne pas voir le type. De là où nous sommes, nous voyons les filles et le mec. Jappuie ma tête sur lépaule de Pat ; une main sur sa cuisse, je joue la belle amoureuse. Les filles bavardent, une main posée sur la cuisse de lautre, et effectuent de petits mouvements de caresses qui remontent petit à petit le long de la jambe. Le mec, les yeux rivés sur elles, ne bouge plus, se contorsionne pour mieux voir. Les filles sont sympas avec lui car je vois leurs cuisses souvrir pour laisser entrevoir la dentelle de leur string blanc. Moi, jai passé ma main sous le tissu du short de Pat pour atteindre lobjet de tous mes désirs.

Le mec à lair excité ; il bouge sans cesse : un coup la main sous le menton, un coup il regarde tout autour de lui, visiblement inquiet, pour revenir sur les filles dont les doigts se sont infiltrés sous le tissu si fin de leur robe. Elles sembrassent. Élodie balade furtivement ses mains sur la poitrine de sa « Chiwie », puis sous la robe : cest plus discret. Lhomme met sa main dans la poche de son short ; elle doit être percée ou décousue. Je suis certaine quil est en train de se tripoter. Le serveur revient avec les consommations. Elles interrompent leur jeu et jettent un coup dil dans notre direction ; je leur envoie un pouce levé mais elles ne répondent pas et retournent à leur occupation. Tatiana passe sa main sous la robe dÉlodie et je vois quelle est en train de lui enlever son string avec laide complice de son « Bébé », comme elle dit.

Lhomme est captivé par le spectacle ; il doit voir les doigts de Tatiana caresser la minette dÉlodie. Sa main bouge dans son short : il se branle ! Tatiana jette un coup dil dans sa direction : il sarrête net. Elle reprend son exploration. Elle caresse, ou peut-être enfonce-t-elle ses doigts dans la vulve de sa puce. Elodie sagite ; lhomme aussi. Il est troublé. Vu les mouvements de son short, il est en train de se frotter le gland ou le frein, la partie la plus sensible chez les mecs ; enfin, chez Pat, cest certain. Un frottement continu des doigts humides sur le frein, et cest léjaculation assurée : jai déjà testé sur Pat. Cest efficace et discret. Les filles on remonté leur robe très haut sur leurs cuisses, laissant voir distinctement leur anatomie où leurs doigts sagitent, et caressent malicieusement lentrée de leur caverne.

Moi, je caresse toujours mon chéri qui ne perd pas une miette du spectacle, les yeux cachés derrière ses lunettes de soleil. Sa main est posée très haut sur ma cuisse et son petit doigt me chatouille la minette ; si jinsiste, il va tacher son short ! Je retire ma main et lembrasse : il faut quil soit en forme ce soir. Lhomme est très agité. Je le vois avaler sa consommation dun trait et partir précipitamment, la main toujours dans la poche de son short.

Nous rejoignons les filles, nos consommations à la main.

Alors, les filles, vous pouvez être fières de vous ! Vous lavez fait se branler et éjaculer, ce cochon. Bravo !

Et toi, Pat, tu tes régalé au moins ? demande Élodie avec son air joueur.

Oh con ! Je vous le dis : si vous continuez comme ça, je ne réponds plus de rien.

Puis une discussion très animée sensuit. Le sujet : lexhib, et la soirée dans le club libertin que nous avons repéré tout à lheure. Les filles sont surexcitées, et comme pour se lancer un défi, elles nous informent que dans le club elles veulent faire lamour devant nous et tout le monde si cest possible pour arriver au maximum de leur désir dexhib. Pat et moi approuvons lidée, et pour les motiver nous leur disons que nous le ferons aussi.

Nous trinquons à la soirée qui sannonce riche en évènements.

[ à suivre ]

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