Je vous ai raconté comment j’étais devenu voyeur puis exhibitionniste malgré moi.

Je vais vous raconter maintenant comment j’ai à 17 ans baisé pour la première fois avec une femme mariée de 30 ans.

Au retour de vacances, pour gagner un peu d’argent, je rendais service aux voisins.

Des nouveaux venaient de s’installer dans la maison d’en face juxtant la nôtre.

Un couple sans enfant dans la trentaine.

Par chance leur chambre donnait de trois quart sur la mienne.

Très récemment arrivés, ils n’avaient pas encore de rideaux et j’avais une vue imprenable sur les lieux sans qu’ils ne s’en rendent réellement compte.

C’est ainsi que j’ai pu découvrir la merveille qu’était Cecilia, trente ans, cheveux longs noirs, une poitrine de rêve, un cul à damner un saint.

Un soir, couché dans mon lit, le spectacle offert me rendit amoureux de cette nouvelle voisine.

Son mari sans le savoir, me la présenta sous toutes les coutures.

D’elle, à son insu, j’ai tout vu.

Déshabillage en règle, lingerie soyeuse de rêve, des seins comme je les aime, pas trop gros, bien accrochés, n’ayant besoin d’aucun soutien, des aréoles claires pour une noiraude, ouahhh, une chute de rein à croquer, des fesses arrondies et fermes, en un mot tout pour faire bander comme un âne, un jeune de 17 ans comme moi.

Lui, dans les 35 ans, bel homme, très bien membré et très résistant à la baise et à la sodomie, comme j’ai pu m’en rendre compte à plusieurs reprises.

Elle hurlait son amour !

Ce qui me faisait le plus bander, c’était de la surprendre au sortir de sa salle de bains et de la voir se bichonner, se préparer, s’habiller.

Elle sortait toujours les cheveux mouillés, avec une serviette de bain cachant peu ses attouts.

Il y avait d’abord le sèchage des cheveux avec des mouvements amples qui faisaient tomber sa serviette et me montraient ses seins magnifiques, bien accrochés. Je bandais rien que de la voir faire tous ces mouvements pour sècher ses cheveux avec ses seins qui étaient entraînés dans tous les sens! Puis il y avait le choix des vêtements, la lingerie soyeuse, un slip sans couture qu’elle ajustait parfaitement à ses fesses à l’arrondi parfait, le soutien gorge inutile à mon sens qui ne recouvrait que la moitié des seins, puis le pantalon blanc et puis zut, on voit le slip, et puis hop, on l’enlève, on n’en met pas, puis le chemisier, puis le calcul de la fermeture, voit-on assez ou pas assez, puis pas de soutien en ces jours torrides d’août.

J’avais une trique d’enfer de la savoir nue sous ses vêtements vaquant à ses occupations dans la maison

Mon fantasme, quelle soit la première femme de ma vie.

J’avais envie de la déshabiller, de m’occuper de tous ses trésors, de la pénétrer, de la limer, d’exploser en elle avec force.

Comment l’approcher, comment lui dire l’amour que j’ai pour elle, comment va-t-elle réagir, elle est mariée !

Les jours d’août passent, je la vois quasi nue tous les jours à son insu, je me caresse tous les matins, tous les soirs dans mon lit.

J’éjacule en criant Cecilia !

Puis, miracle.

Ils m’appellent pour du jardinage avec elle.

Je suis fou, fou, fou.

Le matin, j’assiste caché dans ma chambre à son habillement

Je sais qu’elle est nue sous son short blanc et sa blouse qui montre ses aréoles pointues.

J’en bande.

Comment approcher une femme de 30 ans mariée et satisfaite apparemment ?

On travaille ensemble, on ramasse les déchets végétaux et on les met dans la poubelle.

Lors de certains passages, on se touche par inadvertance et de mon côté, je recherche ces contacts.

Je bande dans mon short et ça doit se voir car je ne fais rien pour le cacher.

Qui plus est, lors de certains passages, je lui fais sentir mon érection, plus perceptible vu son habillage très léger et l’absence de slip.

Puis la honte ! Elle me demande pourquoi je bande ! C’est moi ?

J’avoue tout, je connais tout de son anatomie, je l’ai vu baiser et sucer son homme, j’éjacule tous les soirs en hurlant son nom, elle a mis le feu en moi.

Elle est stupéfaite,

Elle se rend compte que le manque de rideaux a troublé l’adolescent que je suis.

Elle me dit qu’elle est mariée depuis 1 an et qu’elle ne peut tromper son mari.

Je lui dis que je veux connaître l’amour avec elle, qu’elle est un rêve pour moi.

Elle ne sait quelle attitude adopter, je suis si jeune aussi.

Le dialogue me dit que la porte est ouverte et que j’ai une chance.

Je lui dis que j’ai tout vu d’elle, dans toutes les positions, je lui dis que je l’ai vu mettre un tampax, qu’elle n’a plus de secret pour moi.

Elle me demande que désires-tu ?

Je lui réponds exploser en elle, qu’elle soit la première dans laquelle j’entre ma verge.

Elle est anéantie.

Je vais gagner.

Elle me dit que je suis émouvant et qu’elle ne sait comment corriger cet état de fait.

Je la pousse contre le mur et lui donne des bisous dans le coup.

Je caresse ses seins libres , au dessus de sa blouse d’une main, de l’autre je lui caresse le dos.

Je constate que les pointes de ses seins trouent le tissu, elle est excitée comme une folle.

Ma main dans le dos descend vers le bas, épousant sa croupe, sa chute de rein qu’elle à d’extraordinaire.

Je descends ma main dans son short et accède à ses fesses rondes et fermes. Mon autre main s’est infiltrée sous la blouse et empoigne tour à tour ses petits seins aux aréoles pointues.

J’ouvre les premiers boutons du short, et j’ai accès à son intimité. Je me délecte, pas un poil, lisse, et très humide. Je bande comme un âne.

Je lui descends son short et lui fait sentir mon érection en direct.

Elle n’ose pas prendre d’initiative.

Je lui mets un jambe entre les siennes et je la frotte.

N’y tenant plus, en une fois, je baisse mon short et mon slip et ma verge est rectiligne pointée vers elle, vers le rêve.

Je l’entraîne vers l’intérieur, trouve un canapé, je l’allonge, me couche sur elle et délectation, j’essaye d’entrer en elle.

Elle m’aide en faisant entrer mon gland dans son antre humide. Je m’enfonce au plus profond, je la lime, elle ne participe pas beaucoup, sûrement remplie de remords.

Je ne tiens pas beaucoup tellement mon cérébral est surexcité et j’éjacule en elle comme jamais.

L’éjaculation d’un jeune pour la première fois lui donne un orgasme cérébral inimaginable.

Ce fut le plus beau jour de ma vie.

Depuis, rideaux et distance.

Elle hantera toujours mes nuits et mes masturbations.

Related posts

Ma petite cousine – Chapitre 3

historiesexe

Voyage au Mexique – Chapitre 3

historiesexe

La leçon de piano – Chapitre 2

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .