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L'inconnue de la voiture 12 – Chapitre 1




1er janvier 2018, 5h30. A cette heure-ci, il n’y avait pas grand monde sur le quai de la gare de Toulouse Matabiau. Nous étions une dizaine, peut-être quinze, à attendre le TGV de 5h40 en partance pour Lyon. Et à voir leurs mines de déterrés, tous avaient peu dormi, ou comme moi, pas dormi du tout. Je revenais de la soirée que mon meilleur ami avait organisée pour le Nouvel An. Je n’étais pas chaud pour venir à cette soirée, qui se déroulait à 550km de chez moi. Je travaillais le 30 au soir, puis le 1er dans l’après-midi, et me condamnais ainsi à un aller-retour express, juste pour l’évènement. Pourtant, j’avais abdiqué. Il faut dire que mon ami avait su trouver les mots justes, en me promettant une tonne de bouffe, d’alcool, et de filles. Tout, m’avait-il assuré, pour passer la plus belle soirée du Nouvel An. Et effectivement, il y avait un bon buffet, une réserve d’alcool presque illimitée, et plein de filles. Plein de filles en couple, avec qui rien ne pouvait arriver. J’ai bien essayé les quelques célibataires de la soirée, mais quand l’une me disait préférer les filles, l’autre était juste trop saoule pour répondre quoi que ce soit. A cinq heures, j’ai donc annoncé à mon ami qu’il était temps pour moi de rentrer à Lyon, et c’est ainsi que je me suis retrouvé un peu bourré et très frustré, à attendre dans le froid.

Quand le train est entré en gare, tout le monde s’est précipité pour monter et se mettre au chaud. Nous étions deux en voiture 12. Une femme était en train de s’assoir à sa place, dans les fameux "carrés" de la SNCF, ou deux paires de sièges se font face. La place qui m’était attribuée se trouvait à l’autre bout du compartiment, pourtant je me suis avancé vers elle, j’ai regardé mon billet et ai fait mine d’avoir trouvé ma place. Je me suis installé face à elle, lui lançant un sourire et un timide bonjour de la tête. Je l’ai dévisagée, aussi discrètement que possible. Elle était jolie. Très jolie. Les cheveux blond vénitien, les yeux verts, des tâches de rousseur. Vingt-cinq ans à tout casser. Je ne pouvais rien voir de son corps, dissimulé sous un gros manteau. Puis le train est parti. Deux minutes plus tard, le contrôleur passait une annonce pour nous annoncer les arrêts que le train allait faire, les horaires, mais aussi pour nous souhaiter à tous, avec une pointe d’humour, une bonne année. Ma voisine et moi-même avons souri en écoutant le message, ce qui m’offrait une parfaite excuse pour entamer la conversation.

_ Si je peux me permettre, il a raison, ai-je commencé, bonne année !

_ Merci, m’a répondu la jolie voisine, dont la voix allait terriblement bien avec son physique. Bonne année aussi !

_ Merci ! Vous aussi vous avez dû écourter votre réveillon ?

_ Oh, oui, mais mon réveillon ne valait pas vraiment la peine de rester plus, de toutes façons.

_ Ah ?

_ Oui, je suis venu ici pour mon copain, on était censés faire la fête ensemble, mais à 23h, il était ivre mort et vomissait dans la rue. Ma soirée n’a été que désastre et frustration, je ne suis pas mécontente de rentrer.

_ Comme je vous comprends…

En voyant son air intrigué, je lui ai raconté la raison de ma venue à Toulouse, les promesses de la soirée non tenues, et ma frustration, à moi également. Elle m’a répondu qu’on faisait une belle paire, dans un sourire qui m’a instantanément charmé. Nous avons ainsi discuté, de nos soirées respectives, de nos boulots qui nous attendaient, et un peu de tout et de rien. A 6h30, le train repartait de Carcassonne, son premier arrêt. Bercé par le balancement du train, je me sentais partir, et ce malgré la conversation avec ma voisine. Je me suis excusé auprès d’elle, expliquant que je n’avais pas dormi et que je commençais à le ressentir.

_ Pas de soucis, je vous en prie, m’a-t-elle répondu. Je pense que je vais faire pareil.

Je lui ai souri, et l’instant d’après, je partais dans une sieste bien méritée.

Je me suis réveillé trois quart d’heure plus tard, nous quittions la gare de Béziers. Ma voisine dormait toujours, la tête contre la vitre. Sa jambe était collée contre la mienne, et je n’ai pas osé bouger pour profiter pleinement de ce contact. Sa bouche était entrouverte, et je l’entendais qui grognait dans son sommeil. Lorsque les grognements sont devenus gémissements, je me suis rendu compte que sa main était entre ses cuisses, et qu’elle était visiblement en plein rêve érotique. C’est un gémissement, un peu plus fort que les autres, qui l’a réveillée. Quand elle a ouvert les yeux et qu’elle m’a vu éveillé face à elle, elle est devenue toute rouge.

_ Oh mon Dieu, est-ce que j’ai parlé ?

_ Disons que vous avez fait du bruit.

_ Non…

_ Vous aviez l’air d’être en train de rêver.

_ Qu’est-ce que j’ai fais comme bruit ?

_ Disons que… je pense que la frustration parlait pour vous.

Morte de honte, elle a pris conscience de sa main entre ses cuisses, et l’a immédiatement reposée sur la tablette face à elle.

_ Non non, me suis-je empressé de dire avec un semblant d’humour, ne vous embêtez pas pour moi, continuez !

_ Ça va pas, m’a-t-elle répondu en rigolant.

_ Vous préférez que quelqu’un le fasse pour vous ?

Ma question était sortie toute seule. Je l’avais posée avec un sourire, mais j’étais sérieux, et son absence de réponse m’a fait comprendre qu’elle l’avait bien saisi. Elle a regardé partout autour d’elle. Nous étions définitivement seuls. J’ai finalement osé me lever pour venir m’assoir à côté d’elle, et j’ai posé ma main sur la sienne. Nos regards se sont croisés à nouveau, et elle m’a souri. J’ai pris ce sourire comme un accord, et j’ai posé ma main sur sa jambe. Je ne l’avais pas vu avant, mais sous son gros manteau, elle portait une robe pailletée, noire et dorée, qui remontait à mi-cuisse. Sous sa robe, des collants. Ou plutôt, je l’ai senti en remontant mes doigts lentement, des bas. J’ai ralenti quand j’ai senti sa peau sous mes doigts, très haut sur sa cuisse. Elle tremblait, et a carrément sursauté quand j’ai passé mes doigts sur la dentelle de son sous-vêtement. Le tissu était plus qu’humide.

_ Vous rêviez de quoi ?

_ Qu’on me baisait, a-t-elle répondu dans un souffle.

_ Votre petit ami ?

_ Non, un inconnu.

_ Enlevez votre culotte.

Elle s’est exécutée presque immédiatement. Ses deux mains ont glissé sous sa robe, et j’ai vu un string en dentelle noir descendre le long de ses jambes. Je l’ai récupéré moi-même et l’ai porté à mon nez, sans la lâcher des yeux. Il sentait bon, il avait l’odeur de son désir.

_ Vous êtes frustrée par votre soirée, moi aussi, lui ai-je dit en mettant le string dans ma poche. Je vous propose un truc. Commençons un peu mieux cette nouvelle année.

_ Ok… m’a-t-elle dit tout bas. Mais ce n’est pas une soirée, mais plutôt plusieurs mois de frustration, que j’ai subis.

J’ai ressenti sa remarque comme un appel à l’aide. Alors je lui ai souri, et sans rien ajouter, j’ai ouvert son manteau. J’ai lentement caressé son corps, de ses cuisses à son cou, en passant sur son décolleté, puis de nouveau sur ses cuisses.

_ Vous êtes très belle, lui ai-je dis en glissant mes doigts un peu plus proche de sa fourche, c’est un véritable gâchis.

Mes doigts touchaient maintenant son sexe, brûlant, dégoulinant. Elle était entièrement épilée, et visiblement l’épilation était récente. Sûrement avait-elle prévu le coup pour son réveillon. Elle gémissait, maintenant, tandis que mon doigt allait et venait le long de sa fente. C’était le moment idéal pour entamer la conversation.

_ Depuis quand ne vous a-t-il pas fait l’amour ?

_ Bientôt deux mois. Mais on habite pas ensemble.

_ Ce n’est pas une raison. Vous vous masturbez alors ?

_ Quotidiennement.

Deux doigts glissaient le long de son sexe, puis à l’intérieur. Elle était trempée. Et mes questions les plus indiscrètes s’enchaînaient. Je lui ai demandé comment elle se masturbait, comment elle aimait être prise, sur quoi elle fantasmait secrètement. Et elle répondait, les yeux fermés, de plus en plus excitée au fur et à mesure qu’elle se dévoilait à moi.

_ Levez-vous maintenant, ai-je dis en lâchant subitement son sexe, et venez vous assoir face à moi.

Dans son regard, j’ai lu un mélange de frustration et de curiosité, puis de l’excitation. Elle s’est alors levée de son siège et s’est assise sur la tablette. Je me suis glissé à sa place comme j’ai pu, malgré le manque d’espace, et me suis ainsi retrouvé entre ses cuisses. D’une main, j’ai écarté ses jambes, et de l’autre, j’ai remonté sa robe. Enfin je pouvais voir son sexe, rose, gonflé et perlant de désir. Sans dire un mot de plus, j’y ai plongé ma tête. Je l’ai léchée avec passion, passant ma langue entre ses lèvres, jusqu’à son clitoris que j’ai sucé. La main dans mes cheveux, elle grognait tandis que je goûtais à son jus. Quand la radio a retenti et que le contrôleur a annoncé notre arrivée à Sète, ma jolie partenaire a tenté de me repousser, de peur qu’on nous voit. J’ai tenu le coup, et ai continué à la lécher jusqu’à ce que nous entrions réellement en gare. Alors nous nous sommes rassis convenablement, le temps que nous repartions. J’avais déjà remis ma main entre ses cuisses quand le contrôleur est venu vérifier nos billets. Nous avons tenté d’agir le plus innocemment possible, malgré ses joues rouges, sa robe relevée très haut sur ses cuisses, et sa mouille que je sentais encore dans ma barbe. Une fois seuls à nouveau, ma main est retournée sur son sexe et j’ai recommencé à la caresser.

_ Je n’en ai pas encore fini avec vous, lui ai-je dis à l’oreille.

Je l’ai branlée très lentement, enfonçant mes doigts en elle, deux, puis trois, puis remontant pour titiller son bouton. Elle n’en pouvait plus, elle me disait qu’elle allait jouir, alors pour la rendre folle, j’arrêtais de la toucher. Elle me suppliait, mais je ne craquais pas, et la regardais en suçant mes doigts. Puis j’y retournais. J’ai joué ainsi avec elle jusqu’à la prochaine gare, à Montpellier Saint-Roch. Hélas cette fois, il y avait plus de monde sur le quai, des gens sont montés et nous n’avons plus été seuls en voiture 12. Nous n’étions pas nombreux, il y avait cinq personnes de plus de nous, mais c’était trop pour continuer notre petit jeu. Quand le train a redémarré, elle s’est penchée vers moi et m’a chuchoté :

_ Il faut que vous me baisiez. S’il vous plaît! Je m’arrête à Nîmes, c’est le prochain arrêt. S’il vous plaît !

_ Allez aux toilettes, je vous rejoins.

Elle a retiré son manteau et s’est précipitée vers les toilettes sans attendre une seconde de plus. J’ai attendu une minute avant de me lever à mon tour et de la rejoindre. J’ai tapé trois fois à la porte avant de l’ouvrir. Elle m’attendait debout, timide. Je me suis alors avancé vers elle et je l’ai embrassée, pour la première fois. Puis elle a attrapé la boucle de ma ceinture et m’a dit :

_ Baisez-moi. Maintenant, s’il vous plaît !

Je l’ai retournée, face au siège des toilettes, et pendant qu’elle remontait sa robe sur ses hanches, je défaisais ma ceinture et sortais mon sexe dur de mon pantalon. Ça n’a pas traîné. Je n’ai eu qu’à écarter ses fesses, apercevant à l’occasion son anus brun, terriblement tentant, puis j’ai glissé mon gland tout contre ses lèvres, et c’est elle qui a fait le reste. En ondulant du bassin, elle a petit à petit avalé mon sexe. C’est alors que j’ai commencé à aller et venir en elle. J’agrippais ses fesses d’une main, tandis que l’autre était partie à la recherche de sa poitrine, dont je n’avais pas encore assez profité à mon goût. Je l’ai baisée ainsi, en levrette, son sein dans ma main, pendant un moment. Mais le train n’arrêtait pas de bouger, et l’équilibre dans les toilettes était précaire. Aussi nous avons décidé de changer de position.

Je me suis assis sur le trône, et ma partenaire est venue me chevaucher. Aussitôt, je me suis à nouveau engouffré dans son sexe. Elle montait et descendait sur moi tandis qu’une de mes mains reprenait son sein, d’une taille plus que raisonnable d’ailleurs, et l’autre son cul. Dans cette position, j’ai même pu venir la téter, suçant et mordillant ses tétons. Elle me gémissait dans l’oreille, me disait à quel point c’était bon, et comme ça lui avait manqué d’être aussi bien baisée. Incapable de résister, j’ai claqué son cul, comme pour lui dire à quel point c’était bon pour moi aussi. Elle a crié, avant de mettre sa main devant sa bouche de peur qu’on l’entende, et a accéléré le rythme. Alors je l’ai claquée encore un peu, et elle a glissé sa main entre ses cuisses pour se branler le clito. L’effet a été quasi immédiat, et elle a joui en mordant ses doigts pour ne pas trop crier. Elle tremblait, ravagée par l’orgasme, mais ne s’est arrêtée de bouger que lorsque je lui ai dis que j’allais venir à mon tour. Elle s’est alors retirée en vitesse, et s’est accroupie entre mes cuisses. Sans plus attendre, elle a pris une bonne partie de mon sexe en bouche, et l’a branlé à la base. Ici aussi, l’effet a été immédiat. J’ai éjaculé copieusement dans sa bouche, et elle a avalé toute ma semence en me regardant de ses beaux yeux verts. Elle a continué jusqu’à ce que je commence à débander contre sa langue.

_ Merci, a-t-elle alors chuchoté en lâchant mon sexe.

_ Merci à vous aussi !

_ Pourquoi est-ce qu’on continue à se vouvoyer ?

Je ne m’en étais même pas rendu compte. On a tous les deux ri, tout en se rhabillant. Ce qui m’a fait pensé que j’avais sa culotte en poche. Je l’ai sortie et lui ai tendu, mais elle a refusé.

_ J’aimerais que vous gardiez un souvenir de ce 1er de l’An, m’a-t-elle dit, décidée à continuer le vouvoiement.

Loin d’être contre l’idée, j’ai rapidement remis le sous-vêtement en poche.

Le train est arrivé à Nîmes très peu de temps après. Il était 8h30. Ma partenaire de voyage s’est levée pour prendre ses affaires, réajustant sa robe pour qu’on ne devine pas trop son absence du culotte, et m’a longuement embrassé.

_ C’est bête, lui ai-je dit, mais je ne sais même pas comment vous vous appelez.

_ Ce n’est pas grave, m’a-t-elle répondu, je suis sûr que vous n’avez pas besoin de mon nom pour vous rappeler de moi.

Et elle a quitté le train. Trois minutes plus tard, je repartais. Je me suis rendormi, touchant du bout du doigt la dentelle de son string dans ma poche, rêvant de cette belle inconnue de la voiture 12, que je ne reverrai sûrement jamais.

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