Les parents de Sophia était à peine partis pour la foire de l’agriculture, la laissant seule à la ferme, qu’elle s’empressa de s’adonner à sa passion favorite : la baise zoophile.
Elle était jeune, mais très perverse et lubrique. Une lubricité qui l’avait amenée très jeune à préférer la baise avec des animaux, plutôt qu’avec homme ou femme.
Dans un premier temps, comme elle était seule et sûre de ne pas être dérangée, elle décida de s’habiller comme une salope, ce qu’elle était d’ailleurs ! Elle alla chercher dans une cache spéciale à la cave des vêtements et sous-vêtements cochons, notamment une robe ultra-courte et décolletée, une guêpière redresse-seins, des bas résille et un slibard cochon ouvert à l’entre-jambe. Elle pris aussi un DVD de film zoo et alla se maquiller de manière lubrique.
Ceci fait, habillé comme une pute, elle s’installa devant la télévision après avoir inséré le DVD dans le lecteur et avoir mis en route l’appareil.
Alors que les premières images montraient une femme âgée d’au moins soixante-cinq ans, nue et simplement vêtue d’un porte-jarretelles et de bas noirs, occupée à branler le fourreau velu d’un gros chien afin de lui faire sortir sa trique, Sophia se versa un gros verre de vin rouge qu’elle avala d’un coup. Cela la fit grimacer mais la fustigea. Puis elle se posa au bord du fauteuil, cuisses écartelées de manière à dévoiler son attirail à bourre. Déjà l’odeur de cyprine embaumait la pièce. Elle siffla un coup et, très vite, Molosse, le Danois fidèle s’approcha.
L’animal dut sentir les effluves de baise qui sourdaient du conin de sa maîtresse car à peine fut-il là que son braquemard sortit en partie de son fourreau velu. Il était presque paré.
Il suffit à la jeune salope de le branlocher quelques secondes et son zob impressionnant se balança bientôt entre ses pattes. Un gros vit rouge en forme de batte, long d’au moins vingt centimètres.
A la vue d’un tel morcif, la cramouille et le derge palpitèrent et un torrent de jus gicla du vagin, inondant les cuisses. Des fragrances qui excitaient le clebs au plus haut point.
Le molosse, qui portait bien son nom, s’approcha et renifla du museau, s’enivrant semble-t-il lui aussi des effluves de baise. Fou d’envie, il se mit à languoter les trous à baise de la jeune fille (elle avait à peine dix-huit ans !), passant son long, râpeux et large appendice buccal sur la foune et le trou puant, le couvrant d’une bave glaireuse.
▬ Ouaaahhh…, Molosse ! OuiiiIII… ! Bordel, comme tu me bouffes bien !… Putain, comme c’est agréable et jouissif de se faire gamahucher par la langue d’un clébard !
Le décolleté de sa robe était si prononcé qu’elle n’eut qu’à écarter légèrement les pans pour faire jaillir ses lourdes rondeurs tétonnières. Aussitôt elle entreprit de se masturber les tétines et de se masser les mamelles.
Très vite, elle délaissa les images obscènes qui montraient la soixantenaire occupée à se faire enconculer par deux clébards bien montés, l’un la prenait au cul et l’autre dans la chagasse, pour se jeter au sol et, en se cambrant, et offrir sa croupe à son chien. L’animal eut rapidement compris et se jeta sur la salope pour, guidé par sa maîtresse, lui enfiler son zob canin dans la connasse dégoulinante.
Il se mit alors à la bourriquer avec frénésie, envoyant en même temps des giclées de foutre de plus en plus abondante, inondant la craquette d’un torrent de sirop viril.
▬ Oh oui, Molosse, défonce-moi ! Vas-y et éclate-moi la cramouille, inonde la de ton bon foutre et fais la miauler de plaisir !
Le jus de Sophia se mélangeait avec la foutrasse du clebs. Un cocktail qui empestait la pièce et qui faisait palpiter les narines de la gamine et affolait celle-ci.
Un chien pouvait baiser pendant très longtemps, mais au bout de trois orgasmes qui la secouèrent comme une damnée, la fille reçut du clebs une intense décharge, véritable raz de marée de sperme canin qui l’envoya au septième ciel.
▬ OuaaahhhHHH… ! Ça y est… j’ai un autre orgasme… Et il est du tonnerre ! VouiiiIII…!… RaaaAAAHHH…!
Elle se secoua une dernière fois, fustigée par les flèches du plaisir, puis s’écroula, repue pour quelques instants.
Le Danois s’écarta et alla s’allonger pour, tournant son mufle, venir se sucer la pine.
▬ Ouah, c’était trop bon, tu sais Molosse. Tu m’as comblé au-delà de toute espérance. Tu as été formidable. Ta biroute m’a fait jouir terriblement. Maintenant, faut que j’aille voir mon bel étalon préféré. Et, surtout, goûter à son admirable zob !
Son repus fut donc de courte durée. Elle avait déjà envie de remettre ça le plus vite possible et le cheval, surtout son braquemard, allait lui permettre de jouir comme une folle.
Sans prendre la peine de nettoyer sa foune et ses cuisses enfoutrées, pensant à juste titre que Flika allait adorer son odeur de chienne en chaleur, mais réajustant ses jarretelles et ses bas, elle sortit, non sans s’envoyer un autre coup de rouge ravigotant.
*
Sans plus attendre, la gamine sortit et alla à l’étable où se trouvait Flika, le jeune étalon à la grosse biroute de presque soixante centimètres.
Elle installa d’abord un gros ballot de paille sous l’animal qu’elle recouvrit d’un épais plaid.
Il ne lui fallut ensuite que quelques minutes de caresses et de mots apaisants pour que l’étalon y aille d’une bandaison affolante. La fillette vit le dard sortir de sa cachette velue et s’allonger démesurément. Aussitôt, elle le saisit et se mit à passer sa langue le long de la colonne bitale noire tâchée de rose au goût fauve en salivant comme une cochonne. Mais elle voulait bien sûr plus que cela. Le languoter ne suffisait pas à son extase ; il lui fallait qu’elle le pompe.
L’animal eut un hennissement de plaisir quand il sentit les lèvres se refermer sur son énorme gland évasé et quand la bouche se mit à aspirer sa biroute phénoménale.
Ce n’était pas la première fois qu’elle pipait Flika, souvent en secret, et savait y faire pour lui aspirer une bonne partie de son dard. Depuis le temps qu’elle le pratiquait, sa bouche s’était faite à la taille du mufle viril.
Le canasson ne cessait de hennir de plaisir sous les assauts de la bouche chaude et baveuse qui lui pompelarder agréablement le piston en salivant avec abondance. D’autant que de ses doigts graciles elle savait y faire pour lui grattouiller les burnasses pleines de bon foutre gluant et au goût qu’elle savait fantastique.
Avec un tel traitement, le cheval ne tarda pas à avoir son panard. Dans un long frémissement de son corps, il secoua sa tête de haut en bas, hennit plus fort et la fillette sentit la vibration de son priape chevalin, annonciatrice de l’éjac.
Elle n’eut que le temps de se reculer, bouche ouverte et tout en le branlant, que déjà un torrent de jute épaisse et gluante giclait du sguègue chevalin. Un pacsif de vingt bon centilitres de jus qui venait l’enfoutrer du front jusqu’au menton, non sans qu’elle en avale un bon pacsif avec gourmandise.
Alors seulement elle décida qu’après cela il était tout naturel qu’elle se fasse enconner et enculer par cette banane monstrueuse. S’allongeant sur le ballot et avançant son ventre vers le sexe de l’étalon, elle s’en saisit et le colla à ses lèvres conales. D’un mouvement du bassin, elle enfila près de quinze centimètres de bidoche zobale dans son ventre chaud et accueillant.
▬ Putain de merde, quel coup tu fais, Flika ! Oh oui ! Ton zob me chanstique ! RaaaAAAHHH ! Ouiiii…!
En donnant de violents coups de ventre, elle fit aller et venir la trompe chevaline dans son garage à bites. La taille du priape lui ravageait agréablement le vagin, lançant des ondes de plaisir dans son corps et la faisant grogner et crier de jouissance.
Il fallut que le canasson y aille de sa foutrée : un raz de marée du jute gluante, pour qu’enfin elle prenne son panard et hurle son pied comme une folle, le corps secoué de soubresauts orgasmiques.