Lorsque ma mère revint, il était environ 17h. J’avais quitté mon bain depuis un bon moment et j’avais vérifié ma température qui était descendue à 38.5 degrés. Toujours inquiète, ma mère voulu faire le prélèvement de sperme immédiatement pour l’amener au labo avant sa fermeture. J’acceptai, bien sûr, mais ma mère précisa que l’on devait juste provoquer une éjaculation et s’arrêter après.
Nous allâmes dans la salle de bain, où je baissa mon pantalon et évidement j’étais déjà en érection. En voyant mon engin, ma mère déglutie et devint fébrile. Elle attrapa mon pénis d’une main pendant qu’elle tenait le récipient dans l’autre et commença un agréable va et vient. Elle fit cela pendant une vingtaine de minutes mais toujours aucune éjaculation. Pour ma défense, c’était bon mais j’avais goûté à mieux. Elle demanda si l’éjaculation était proche et je lui répondit par la négative. Elle tourna le regard vers moi en rougissant et me dit « une pipe, c’est tout ». L’instant d’après, je retrouvai cette formidable cette sensation que je recherchai.
Je sentais sa langue ramper sur ma hampe, ses douces lèvres caressait l’objet de ses désirs, sa bouche pompant comme une sangsue pour obtenir ce liquide dont elle rêvait. Avec autant de délicatesse et de passion, ce qui devait arriver, arriva. Elle reçue une énorme giclée dans la bouche, elle l’avala et pointa ma bite en direction du récipient, qui reçu lui aussi une bonne giclée, mais les autres n’ont pas échapper à ma mère, qui les avala sans en laisser une goutte.
Elle se releva, se changea et repartie au labo sans un mot. Cependant, je compris, pourquoi elle n’avait rien dit, en regardant par terre. Une flaque d’eau maculait le sol. Une flaque d’eau ? Non ! Cette odeur, je la connaissais. Ma mère avait jouit et si elle n’avait rien dit, c’est parce qu’elle savait que si elle s’était écouté, l’échantillon n’aurait atteint le labo que le lendemain.
De retour de sa petite virée au labo, elle prépara à manger après vérification de ma température, 38.4. Un peu après le début du repas, elle engagea la conversation en me disant qu’elle avait aimé ce que l’on avait fait le matin, que jamais elle n’avait jouit comme ça, que mon sexe était le plus gros qu’elle ait reçue. Et je fus surpris par ses deux dernières déclarations, car je n’y avait pas fait attention dans le feu de l’action, mais selon elle, mon gland frapper violemment le fond de son utérus à chaque fois. De plus, elle m’indiqua que notre médecin était au courant que l’on avait eu des rapports sexuels, qu’il n’y avait pas de risques car il était tenu au secret professionnel, qu’il fallait qu’elle lui en parle à cause des nombreuses éjaculations qu’elle avait reçue afin de savoir s’il y avait un risque de grossesse.
Un peu stressé par la réponse qu’elle allait donné, je lui demanda ce qu’il en était. Elle me dit qu’il faudrait voir un gynécologue et que, selon lui, puisqu’elle a toujours ses règles, même si elle sont irrégulières c’est qu’elle est toujours fertile. Il y avait donc un risque et je pris connaissance de ce qu’elle en pensait. Elle me répondit que tant qu’elle n’aurait pas les résultats des analyses, elle me masturbera mais que ça s’arrêtera là, qu’elle se ferait avorter si elle tombait enceinte. Elle précisa qu’elle était ma mère et que ce qui s’était passé et ce qu’elle m’avait demandé était un moment de folie qui ne devrait jamais se reproduire. Je quittait la table sans un mot car je ne savais pas trop quoi en penser. Une heure après, elle vint prendre à nouveau ma température, qui n’avait pas changé et vit que j’étais en érection.
Comme elle l’avait dit, elle baissa mon pantalon et me masturba pendant une demi heure, sans résultats. Je voyais qu’elle avait envie de plus, car de temps en temps, sa tête s’approchait de mon service trois pièces mais, finalement, rien. Elle stoppa tout, alla se coucher et j’en fis de même, totalement frustré.
Pendant la nuit, je fus réveillé par un gémissement, je regardai l’heure, je n’avais dormi que deux heures. Je me levais pour voir ce qu’il se passait et je trouvai ma mère, en tenue d’Eve, en train de se masturber. Ni une, ni deux, je retirais mon boxer et me dirigea vers elle. Je m’attaqua directement à son vagin. Au début, elle tenta de me repousser, mais très vite, elle appuya sur ma tête pour que je continue. Ses soupirs devinrent des cris, qui devinrent des hurlements, puis vint le geyser que j’accueillis en essayant de boire le plus de cyprine possible. La source, enfin tarit, je me glissait sur elle pour l’embrasser langoureusement. Elle me rendit mes baisers, en répétant entre deux que l’on ne devait pas. Je lui demanda de me dire à qui elle pensait en se masturbant. Elle répondit qu’elle pensait à moi, qu’elle avait envie de moi, qu’elle était excité par l’idée d’être baisée par ma grosse bite, qu’elle voulait sentir mon sperme coulait dans sa gorge et dans sa matrice, que l’idée de tomber enceinte de moi la rendait folle mais que ça l’effrayé aussi.
Je mis fin à ces doutes en disant ceci « Cette grosse bite qui appartient à ton fils, elle est à toi, le sperme qui en sortira est à toi, ce bébé qui grandira en toi sera le nôtre. Tu le veux ou pas ? Car moi, oui. »
Pour seule réponse, elle prit ma bite, la dirigea vers son puits d’amour, me dit « Je t’aime, mon fils » et appuya sur mes fesses pour se pénétrer, criant de plaisir de me retrouver dans sa matrice. J’initiai un mouvement de va et vient, lent et plein de tendresse, tout en lui disant « Je t’aime ma mère, mon amante, ma femme, mère de mon futur enfant ». Elle m’embrassa et lança ses hanches à la rencontre de mon phallus de manière plus frénétique. S’ensuivit un coït plein de passion et de désir pendant lequel elle me supplier de jouir en elle, de la mettre en cloque. Nous avons varié les positions, bien sûr. Nous sommes resté un bon moment en missionnaire, puis fatiguant un peu, elle se mit à califourchon sur moi, position pendant laquelle le plaisir lui fit perdre connaissance. Lorsqu’elle revint à elle, nous nous sommes mis en cuillère afin de reprendre calmement et quand on a commencé à être bien excité, nous nous sommes mis en levrette. Inutile de dire qu’à chaque fois, je lui tapissais, à plusieurs reprises, l’utérus d’une bonne dose de foutre.
Tout cela était bon et je pensais ne pas pouvoir connaître mieux mais c’était sans compter sur ma mère, qui me fit une demande qui m’excita comme jamais. Elle m’ordonna de la sodomiser, en me précisant que je serais le premier à y avoir droit.
Nous nous y sommes repris de nombreuses fois, c’est ça d’avoir un sexe imposant, mais on a finit par réussir et nous en avons profité un maximum. Après nos ébats, je lui ai fait promettre de ne plus faire marche arrière et nous nous sommes mis d’accord. A partir de cet instant, nous baiserons quand l’un de nous en aura envie, nous nous appellerons par nos prénoms quand nous ne serons que tous les deux et chaque fois que j’éjaculerais, ce sera dans son utérus et cela jusqu’à ce qu’elle soit enceinte et je lui fit promettre de garder le bébé.
23 mai 2018
Le soleil se lève, j’ai des courbatures dans tout le corps mais je m’en fiche, je sens contre moi, le corps nue de ma mère, qui durant la nuit, s’est lovée contre moi, telle une femme qui profite de la chaleur de son homme. Je caresse ses grosses fesses que je trouve excitante et l’embrasse tendrement dans le cou afin de la réveiller délicatement, j’ai envie d’elle. Elle ouvre les yeux pour les plonger dans les miens et pose ses lèvres doucement sur les miennes et elle attend. Je lui lève une jambe et ne résiste pas plus longtemps, je me jette sur elle et l’embrasse comme un drogué en manque, je prend mon pénis et l’embroche vigoureusement. Sa réaction ne se fait pas attendre, elle enroule ses jambes dans mon dos et vient à la rencontre de mon pubis. Je l’aime, cette femme qui crie sous mes coups de bite et qui en réclame plus. Notre passion est si intense que je ne tiens pas longtemps et éjacule copieusement. J’ai envie de continué mais finalement, mère nature m’appelle et le ventre de ma mère se fait entendre.
Nous stoppons là après un dernier baiser et descendons régler ses distractions.
Alors que je la rejoint, le téléphone sonne, décidément, on ne pourra pas finir se qu’on avait commencé. C’est le médecin qui nous appelle car il a les résultats complets des analyses de sang et de sperme. Il nous donne rendez vous une heure plus tard, mince. Ma mère se rend compte qu’on a arrêté de prendre ma température et elle vérifie, 37.5 degrés, bonne nouvelle, je suis revenu à la normale. On prend donc un petit déjeuner et on en profite au passage pour se câliner et se dire des mots d’amour. Puis, on monte se laver et s’habiller et là, on remarque l’état de la chambre de ma mère, c’est un bordel monstre, on a vraiment baisé comme des bêtes. Pour vous donner une idée des dégâts, il y avait trois oreillers sur le lit quand je l’ai rejoint, il n’y en a plus qu’un et la table de chevet où se trouvait le réveil et la lampe est renversée. On se regarde et on rigole de la situation car en voyant ça, on voit l’ampleur de la passion qui nous anime. Pour ce qui est de la douche, nous sommes resté sage, quelques bisous et câlins mais c’est tout.
Une fois préparé, alors qu’on s’apprête à partir, je coince ma mère contre la porte, tellement elle m’excite et je vois la même envie dans son regard. Elle est si belle, elle a mis un haut blanc moulant offrant un décolleté plongeant sur sa poitrine, bien qu’il soit inutile car on voit son soutien gorge en dentelle rouge à travers. Son haut est accompagné d’une jupe en simili cuir arrivant à mi-cuisse, qui couvre en partie ses jambes habillés d’un collant noir en lycra. Ses chaussures à talons sont de la même couleur que son soutien gorge. Je décide de relever sa jupe pour vérifier et en effet, elle porte une culotte en dentelle rouge assortie à son soutif. Elle me repousse et tourne sur elle-même et me demande si ça me plaît. Je craque, je la met face à moi et l’embrasse, ni une, ni deux, je descend ma main sur son entrejambe pour lui caresser. Ce qu’elle m’excite, ma mère, ma femelle en chaleur. Elle porte un string. Elle se met à mouiller et me repousse en me disant que c’est pas sympa de la chauffer alors qu’on doit partir mais trop tard, elle se met à trembler et retourne en trombe à l’intérieur.
Je la rejoint, elle est assise dans l’escalier avec un liquide s’écoulant de son entrejambe et maculant le passage, elle ne tiens plus sur ses jambes, elle a jouit. Elle remonta se changer et troqua sa jupe contre un pantalon rouge.
C’est l’air en colère que le médecin nous reçoit. On a quinze minutes de retard, l’excuse ? La voiture a eu du mal à démarrer et moi qui rajoute en rigolant à haute voix « Pourtant, elle a démarré au quart de tour ». Ma mère a piqué un fard. À la réaction de malaise du médecin en la voyant rougir, il a dû comprendre l’allusion. Il nous invita à nous asseoir et prit son thermomètre, 37.5. Il se posa dans son fauteuil, et vérifia les résultats d’analyses. Puis, il nous expliqua la situation. D’après ses explications, que je confirmerai plus tard, je possède une caractéristique génétique unique, provenant des gènes paternels. Je possède 22 paires de chromosomes homologues, comme tout le monde, mais ma particularité, c’est que je n’ai pas une paire de chromosomes sexuels, mais un trio, un chromosome X, un Y et comme cela a été nommé par le généticien qui l’a remarqué, un chromosome Z. Bonjour l’originalité ! Ce chromosome Z était dormant mais semble avoir été activé, la raison de cette activation reste inconnue mais il est clair qu’il stimule les deux autres chromosomes.
La montée de température est dû à cette activation qui a entraîné une modification de ma structure corporelle. Le résultat est le suivant, le pénis est plus gros, la quantité de spermatozoïde est plus importante, je secrète, par la peau, une protéine au propriété aphrodisiaque lorsque je suis excité, cette même protéine est présente dans mon sperme et il est possible qu’elle soit présente dans tous mes fluides corporels tel que ma salive et ma sueur car transmit par mon système sanguin. Il fit un prélèvement des deux et le bouquet, il annonça que mon sperme est étudié car plus résistant que la normale. C’est à dire que la pilule contraceptive n’a aucun effet face à mon sperme et ce dernier m’offre une barrière naturelle pour résister à toutes les MST.
Le médecin conclu son analyse en indiquant que je suis hyper-fertile, que la seule contraception qui pourrait potentiellement fonctionné était le stérilé. Il regarde alors ma mère, puis concentre de nouveau son attention sur moi et me dit qu’il est au courant de ce qu’il s’est passé entre ma mère et moi et qu’il y a de forte chance que je l’ai mise enceinte, mais que ce n’est pas sûr car elle entre dans sa période de ménopause. Ma mère prend la parole et indique au médecin que nous avons renouvelé nos ébats durant la nuit et que nous avons décidé de ne pas nous arrêter, que nous sommes devenu amants, en précisant qu’elle est prête à porter mon enfant et qu’elle en serait heureuse. Le docteur ne fut pas choqué mais voulu être sûr que ma mère et moi étions conscient des risques, il précisa aussi qu’il était tenu au secret professionnel mais que dans ce cas, il faudrait un suivi rigoureux de la grossesse. Voyant que nous étions sûr de notre choix, il m’ausculta pour vérifié le développement de mon corps.
Lorsque je lui présenta la marchandise, je vit dans son regard la même étincelle que ma mère a quand elle est excité. Il palpa mon pénis qui répondit à ses attouchements en montrant toute sa vigueur. Je fis alors quelque chose qui me surpris moi-même, je mis ma main derrière la tête du médecin et la dirigea vers ma bite. Il ouvra la bouche et commença à me suçait avec ardeur.
A suivre