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Petites chattes mouillées – Chapitre 1




Javais 18 ans à lépoque. Comme tous les vendredis, jétais avec mes copines. Cette soirée-là, on était chez Marie et ses parents étaient déjà couchés. Notre but était toujours de faire une nuit blanche parce quon était jeunes et folles. On avait volé une bouteille de fort à ses parents. On buvait des shooters et il faisait chaud. Nous étions 5.

Lambiance nétait pas la même que dhabitude. Je sentais une tension, des petits regards coquins, on se frôlait, on se touchait. On avait les hormones en feu, ça se voyait. Javais couché avec toutes les filles qui étaient présentes, mais individuellement. Jétais lentreprenante du groupe et la seule qui était au courant des expériences lesbiennes des autres. Mon amie Marie se leva pour se rendre à la salle de bain. Cétait le moment idéal pour passer à lattaque. Javais envie delle, jen mouillais de désir. Je me levai et je lai suivi Jai tourné la poignée, la porte nétait pas verrouillée. Mon amie mattendait, elle était en soutien-gorge. Sans plus attendre, je lai agrippé par les hanches pour lassoir sur le bord du comptoir. Javais envie delle, javais envie de goûter à sa mouille. Je voulais massoir sur son visage pour couler dans sa bouche directement. Malgré que mes pensées fussent très sexuelles et intenses, je savais que je ne devais pas la brusquer. Jétais plus expérimentée quelle, Marie navait couché quavec moi. Jai commencé par lui embrasser les joues doucement. Je mouillai mon doigt et le fit glisser sur ses lèvres. Elle suça mon doigt comme si cétait un gros pénis. Elle se tordait de plaisir, elle semblait affamée, javais envie de la faire jouir. Jai glissé jusquà sa bouche où nos langues se sont rencontrées. Elle goûtait lalcool dû aux nombreux shooters que nous avions bu. Je léchai ses lèvres et les mordillai. Je suçai sa langue, aspirai toute la salive quelle contenait. Je voyais dans ses yeux quelle voulait plus. Sa vulve était appuyée sur le bas de mon ventre et malgré quelle ait toujours sa petite culotte, je sentais la chaleur qui sen dégageait. Jai laissé ma langue descendre le long de son cou pour me rendre tout près de ses seins. Jattendais son approbation, mais cest elle qui a poussé ma tête vers son mamelon gauche. Je lai alors gobé entièrement en pinçant lautre mamelon avec ma main. Jai senti son souffle se couper puis, des halètements de plaisir. Nous devions être discrètes, ses parents étaient tout près et nos amies aussi. La dernière fois que nous avions eu une relation sexuelle, nous nous étions rendues assez loin. Nous avions touché et mangé nos chattes. Cest ce que javais envie à ce moment-là, mais nous devions être raisonnables

Ça devait faire trente minutes que nous étions parties. Nos amies se posaient des questions, mais elles avaient continué à boire et navaient pas vraiment vu le temps passer. Marie et moi étions décoiffées et avions le visage tout rouge. Je devais en parler aux autres. Lalcool aidant, jai pris une grande respiration et jai dit :

«Les filles, jai quelque chose à vous avouer. Depuis quelques années, jai eu la chance de faires plusieurs expériences sexuelles. Jai couché avec chacune dentre vous, mais je sais que vous nêtes pas au courant.»

Leur réaction fut étonnante. Elles ont ri, je ne comprenais plus rien. Elles mont alors expliqué quelles étaient toutes au courant de mes expériences lesbiennes. Non seulement ça, elles mont avoué quelles avaient déjà toutes couchées ensemble. Je nen croyais pas mes yeux ni mes oreilles. Jétais excitée, je devais jouir. Jimaginais mes amies qui reproduisaient ce quon avait expérimenté Marie nous proposa daller faire un tour dans sa chambre Pourquoi pas?

Rendues dans sa chambre, elle entama le mouvement et enleva son haut. Quelques secondes plus tard, nous étions 5 filles en brassière. Laurence et moi avions les plus gros seins. Cétait la fille que je préférais et cétait avec elle que javais eu le plus de plaisir (Laurence était très belle et dégageait une sensualité désarmante. Nous couchions ensemble depuis presque 4 ans. Chaque party que nous avions, on collait nos sacs de couchage et quand tout le monde dormait, on sembrassait et on se doigtait mutuellement jusquà ce quon atteigne lorgasme. Jadorais jouer avec ses gros seins. Jadorais les voir bouger quand elle sassoyait à cheval sur moi pour que nos chattes se touchent. Sa langue était agile et me donnait facilement du plaisir.) Les filles étaient belles et chaudes. Malgré une légère gêne, on se dévorait des yeux. Jinitiai le mouvement. Je pris ma préférée, Laurence, par la main et lemmenai avec moi sur le lit de Marie. Javais envie de jouer à mon jeu préféré, celui du médecin et de la patiente souffrante. Comme jétais plutôt dominatrice à lépoque, je jouai le rôle du médecin. Les autres filles nous regardaient, un peu en retrait.

Laurence arrivait à lurgence avec un problème au niveau du vagin, évidemment. Elle avait toujours sa petite culotte et son pantalon. Je me présentai, docteur Isabelle et lui demandai de mexpliquer la raison de sa visite.

«Depuis quelques jours, jai mal lorsque je me masturbe. Jai limpression que ça brûle. Jai aussi mal aux seins, ils sont très sensibles et je ne tolère presque pas de vêtements dessus. Jai peur davoir une maladie, pouvez-vous mexaminer, docteur?»

Évidemment que je pouvais lexaminer. À ce moment, cétait mon plus grand désir. Je lui demandai de retirer son jean et son soutien-gorge et de se coucher sur ma table dobservation. Je lui dis que, pour être plus confortable, je devais retirer mon pantalon aussi. Elle ny voyait pas dinconvénient. Lattraction sexuelle était palpable, mais nous devions rester dans nos rôles. Cétait difficile, car je voulais la faire jouir comme je savais si bien le faire. Je commençai mon examen par le haut de son corps. Elle était étendue, offerte, ouverte, presque nue. Je passai ma main dans ses cheveux, lui tâtai le crâne, descendit au niveau de ses joues. Je lui demandai douvrir la bouche pour vérifier le fond de sa gorge. Jy pénétrai mon doigt pour vérifier son «gag reflex». Elle eut un haut le cur, je rigolai. Elle me dit quelle avait la bouche sèche, quelle devait boire de leau. Sans quelle ne sy en attende, je fis glisser de la salive de mes lèvres jusquà sa bouche. Je vis quelle appréciait, elle en redemanda. Je déposai mes lèvres sur les siennes. Je fis couler toute la bave que javais et je lui crachai au visage. Elle ne sembla pas offusquée, elle se releva pour membrasser à nouveau. Dans un élan de passion, jempoignai ses seins et les tordit fortement. Elle lança un cri de surprise. Je devais continuer mon examen pour me rendre le plus vite possible à son intimité humide et poisseuse. Je minstallai à califourchon sur elle. Malgré quelle fût couchée sur le dos, ses seins étaient énormes, mais fermes. Comme elle mavait dit quelle avait mal à la poitrine, précédemment, je devais lexaminer. Doucement, je touchai son sein gauche. Je mouillai mes doigts et dans un mouvement circulaire, caressai son mamelon qui était déjà en érection. Je pinçai tendrement ce petit bout qui pointait le ciel. Laurence eut un petit râle, je savais quelle aimait ce traitement. Elle me dit quelle avait mal aux deux seinsbelle méthode pour que je moccupe des deux en même temps! Je mouillai quatre doigts et touchai ses deux belles mamelles dures. Laurence décrocha de son rôle et me dit quelle nen pouvait plus, quelle voulait que je goûte sa mouille qui coulait dans sa culotte.

«Franchement, mademoiselle! Un peu de tenue! Vous vous plaignez de douleursje noserai pas vous mangez la vulve»

Et pourtant, je rêvais de lavoir en bouche. Elle avait un goût particulier, presque sucré qui me rendait folle. Après plusieurs minutes à mattarder sur sa poitrine volumineuse, je lui baisai la région du ventre. Je lui demandai décarter les jambes, ce quelle fit sans hésiter. Jappuyai un genou entre ses jambes, elle eut un choc électrique. Ses dessous étaient trempés, elle avait chaud et respirait vite. Elle ondulait en se frottant le vagin contre moi. Pour lagacer, je me dégageai delle. Elle me foudroya du regard, elle avait besoin de sexe. Je penchai ma tête sur son pubis et lembrassai. Il était doux, fraîchement rasé, il sentait bon. Lodeur de mouille était forte. Avec mes dents, je descendis ses bobettes au niveau de ses genoux lentement, en prenant bien soin dappuyer tout mon visage contre son petit minou. Je minstallai à quatre pattes entre ses jambes et soufflai sur ces orifices qui nattendaient que ma langue et mes doigts. Plus je mapprochais, plus mon souffle devenait chaud, plus elle gémissait, plus je trippais. Ma langue vint sappuyer sur son bouton rose et dur. Je léchais tout autour, je faisais bouger ma langue rapidement sur son clitoris. Javais les fesses dans les airs, jétais concentrée et passionnée par le vagin de Laurence. Je la sentais proche de lorgasme, javais le goût quelle mexplose en bouche.

Sans que je men rende compte, mon amie Alexanne est venue sinstaller à larrière de moi. Dun coup sec, elle a fait pénétrer ses doigts dans mon vagin qui était très humide. Javais les jambes écartées au maximum, tous les orifices prêts à se faire abuser. Tout en faisant des va-et-vient très rapides à lintérieur de moi, Alexanne cracha sur mon anus. Cétait du nouveau pour moi, jétais très excitée et très curieuse de voir la suite. Dune main, elle écarta mes fesses et déposa sa grosse langue humide sur mon petit trou. Sa langue était épaisse, chaude, javais limpression quune grosse queue voulait me sodomiser. Jattrapai sa tête avec ma main et tirai ses cheveux pour que son visage entier soit dans mon cul. Javais perdu la carte, je ne savais plus où jétais. Je ne moccupais même plus de Laurence qui avait la chatte de Roxanne plein la bouche.

Je devenais agressive, je devais jouir. Je me suis couchée sur le dos et jai exigé Alexanne et Marie de venir soccuper de moi. Il ny avait plus aucun jeu de rôle. Nous étions nous-mêmes, jeunes filles en chaleur qui bouffaient des chattes et des anus, jouant avec des seins, des langues et beaucoup beaucoup de salive. Marie sinstalla sur moi, en position du 69 et goba mon clitoris enflé de désir. Alexanne saccroupit entre mes jambes et pénétra mon vagin de sa langue. Elle attrapa le premier objet qui lui tomba sous la main, soit une chandelle longue et effilée et lappuya entre mes deux fesses. Le mélange entre ma mouille et sa bave lubrifiait à merveille mon trou du cul viergepour linstant. Doucement, tranquillement, lobjet entra dans mon orifice. Javais mal, mon anus était étiré, mais cette douleur mexcitait. Je navais quune idée en tête, profiter du moment et faire tout ce qui me faisait fantasmer. Déjà, deux filles pour moi toute seule, jétais aux anges. Alexanne abusait de mon cul, Marie abusait de mon clitoris. Rapidement, jai jouis, les jambes qui tremblaient, le souffle coupé, le pouls à 100 miles à lheure. Mais pas question de marrêter maintenant. Je navais pas encore pris la position qui me faisait capoter. Javais envie de frotter mon vagin à celui dune autre fille. Le plus mouillé, le plus coulant, idéalement. Je restai couchée sur le lit, Roxanne sapprocha de moi. Elle membrassa avec sa bouche pleine de jus qui venait de la chatte de Laurenceje le reconnaissais. Dune main, je touchai sa vulve pour juger de son taux dhumiditéjétais satisfaite. Jécartai les jambes et lui demandai de venir se coller contre moi. Installées en ciseaux, nos deux vagins se frottaient en partageant leurs fluides respectifs. On entendait des bruits de succion et des cris étouffés. Je serrais les jambes de ma partenaire pour intensifier le contact de nos petites chattes. Sa main agrippait mon sein qui était tout rouge tellement elle le serrait fortement. Mon but était quon jouisse en même temps. Je voyais mes autres amies couchées par terre, qui samusaient avec la chandelle qui menculait plus tôt. Laurence sapprocha de moi, voulant se faire bouffer par ma bouche experte. Elle se tenait accroupie, comme si elle était assise sur mon visage. Jaspirai son clitoris, je savais quelle adorait ça. La chambre sentait le sexe sale, un mélange entre la mouille de 5 filles, leur bave et la sueur. Je fût secouée dun orgasme puissant en même temps que Roxanne. La scène était incroyable. Javais une chatte dans la gueule, une chatte appuyée sur ma chatte Quelques secondes plus tard, cest Marie qui se faisait sodomiser qui jouit. Nous étions épuisées On se coucha sur le lit en sembrassant tendrement, les cinq chattes qui coulaient…en se promettant de recommencer aussi souvent que possible

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