Patricia m’a téléphoné à mon domicile !  Heureusement c’est moi qui décroche.  Je ne comprends pas grand-chose car elle semble fort paniquée.  Sa mère serait entrée à l’hôpital.   Pour couper court je lui promets de passer la voir le lendemain soir.

Elle a un 40aine d’année et vit toujours chez sa mère.  Intelligente mais très mal dans sa peau.  Physique agréable, des chromosomes italiens, un regard un peu halluciné.    Je la rencontre rarement et nous avions  couché 3 ou 4 fois sans grand plaisir.   Mais  5 années auparavant je l’avais entrainée dans un bâtiment vide auquel j’avais accès.  Elle n’avait pas froid aux yeux.  En pleine nuit, nous avions traversé  un entrepôt lugubre.  Elle s’est laissé renverser sur les tables de la cantine, je l’ai déshabillée à toute vitesse et enfilée sans beaucoup de ménagement.    Court et brutal.  La table cognait le mur et ses seins dansaient d’avant en arrière.  J’ai longtemps regretté de ne pas avoir mieux profité de l’ambiance insolite qu’elle semblait aimer et mieux préparé les choses.   Cette fois j’ai 24h pour y réfléchir et aucuns scrupules.   Je suis en service commandé ?  Elle en gardera un souvenir.

Lorsqu’elle ouvrit la porte de l’appartement j’ai été assez déçu de son changement d’allure.  Certainement 15 kg de plus, heureusement toujours le même regard un peu exalté et ses lèvres appétissantes

Je lui colle immédiatement un baiser le plus appuyé possible avec la langue, et très vite je lui explore le dos, les reins, soupèse sa poitrine qui est restée bien ferme. Je glisse la main sous sa ceinture lui caresse les fesses puis le pubis.   

 Je la retourne face au miroir du hall et commence un demi-déshabillage au ralenti.  Je retire son pull, entrouvre son chemisier. Je dégrafe  son soutien le relève par-dessus les seins et lui pince les mamelons.  Je reste dans son dos et le spectacle dans le miroir est très excitant.     

Ses bras sont maintenus en arrière je lui tiens les poignets puis lui fait poser les mains sur mon sexe qui durcit.  Elle tâte maintenant la  bonne bite qui va la labourer mais je veux faire durer les choses et je reste habillé.

Toujours  derrière elle j’ouvre son pantalon et  le descend  à mi-cuisses puis je  commence l’exploration de sa vulve.  Sa culotte la protège bien mal.  Sa respiration s’accélère, elle mouille fort.  Je l’embrasse dans le cou, d’une main je lui pincotte les mamelons, l’autre explore sa chatte, par devant, par derrière.    Quand elle lâche mon sexe je le lui remets entre les mains autoritairement !  Je guette son expression dans le miroir quand mon index force son anus.  Son visage se crispe à peine.   Je l’avais déjà fait dans la  voiture, lors de notre première rencontre !

Elle serait à point pour se faire prendre là debout dans le hall, ou à genoux dans un fauteuil du living mais j’ai envie de situations plus insolites et j’arrive à maitriser mon envie de la culbuter immédiatement.   Lentement je l’approche du miroir et lui écrase la poitrine contre le verre.  Elle frissonne d’étonnement Cela promet

Avant de venir j’avais eu l’idée d’acheter 3 légumes : une très grosse carotte, un concombre, un épi de mais.  Classique mais  intéressant : dès lors comment utiliser au mieux ces accessoires ?  Séparément ou ensemble, et ma queue lui fera-elle encore de l’effet par la suite ?   

Elle a toujours été  docile, je dégage ses épaules.  J’utilise son chemisier et son soutien pour lui lier symboliquement les poignets dans le dos.  Elle jette des regards étonnés,  je crois  que cela l’excite un peu.  En tout cas moi je le suis.  Son pantalon est descendu jusqu’aux chevilles, ainsi que sa culotte.  

J’ai envie de me faire sucer, de la mettre  en levrette, de lui enfoncer mes godes et ma queue et ne sais pas par quel bout commencer !  J’ai aussi envie de  vérifier si son anus est vraiment praticable,   donc je la pousse vers sa chambre.   Elle trottine, je la guide avec de petites claques sur les fesses.  Elle ne se rebelle pas.

Arrivé devant son lit je la penche en avant et glisse la main entre ses cuisses, deux doigts  s’introduisent dans sa chatte, le pouce force l’entrée de sa rondelle.   Ainsi fermement tenue je la mets à genoux sur le lit et lui fait prendre la position d’attente que je préfère.   Tête poussée dans l’oreiller, reins creusés, genoux écartés, la vulve et l’anus bien tenus.   Je la secoue d’une poigne énergique. Tenue comme un pack de bière elle reçoit quelques claques.  A peine un petit cri de surprise et des gémissements délicieux à entendre.

Je lui demande de rester immobile,  lui fais lécher ma main et pars chercher mon sac plein de surprises.  Légumes, capotes, et mon rasoir Braun sur accu.  Il fera office de vibro, et c’est assez performant quand on démonte la grille

Je délie ses mains et elle quitte sa position un peu ridicule.  Ses grands yeux étonnés me regardent sortir les jouets de mon sac Je la  couche sur le dos et lui montre le premier accessoire

J’ai apporté la petite pompe aspirante qu’on utilise pour refermer des bouteilles de vin entamées.   Cet appareil suce avec une force étonnante.  Ses mamelons en font l’expérience..Ils doublent de volume et rougissent ; j’ai 2 bouchons et les mets en place.    Chaque mouvement de son torse les fait danser.   Je joue à les retirer brusquement et les remets plusieurs fois, elle rit nerveusement.

Des marques de suçons parsèment vite son corps, aspirer son clitoris ou ses lèvres est même douloureux

Le concombre est un bel engin luisant, elle le regarde d’un air  craintif et je lui porte à la bouche.  Je veux qu’elle le suce  en guise de répétition générale.   Les années précédentes  je n’avais  eu droit qu’à des rapides bizous sur mon gland mais  ce soir je suis bien décidé à avoir plus.  Elle a fait des progrès et astique le légume de façon correcte, lèche, le mouille, l’enfonce de 10 cm et s’étrangle à moitié.   Amusant.   Je lui caresse les mamelons avec l’objet,  et lui demande de le serrer entre les seins.  Elle semble apprécier le jeu et se renverse sur le dos avec plaisir, Le concombre entre en action, froid et implacable.  Je lui ouvre très largement les cuisses, fait glisser l’objet contre sa vulve, hésite, repart, reviens, redresse son clitoris qui se manifeste et enfin réalise l’introduction d’un mouvement lent et inexorable.   Elle soupire fort et respire de façon saccadée, des petits spasmes agitent son ventre.  Elle commence à réagir de façon intéressante.

Je le lui fais répéter des  paroles crues :  «  Enfile moi plus fort »  «  Je suis ta chienne » « fais moi jouir »  

Je continue à la travailler  avec le légume tout en masturbant son clitoris  de l’autre main, elle se cramponne au lit et se cambre fort.  Je prends mon Braun ; sa vibration est presque insupportable.  Il parcourt un long chemin sur son corps pour aboutir  à l’endroit le plus sensible.   Elle se tortille de plus belle et est parcourue d’une série de tressaillement et de spasmes,  elle a le souffle coupé et n’arrive plus à répéter les phrases cochonnes.    Ok elle a joui une première fois et ses défenses sont tombées.    

Il est temps de passer à d’autres plaisirs. 

Je lui fais saisir le concombre pour continuer à se goder le sexe et sort une belle  carotte.

Je lui annonce : « La carotte et le bâton »   Je mouille la carotte à sa  source , lui relève les cuisses et presse sa rondelle.  Son étoile se resserre par réflexe.  

«  Je suis ta chienne » «  j’inspire fortement » «  Je souffle lentement »  Et lorsqu’elle souffle la carotte se fraye peu à peu un passage.   Je reprends les commandes et d’une main j’actionne le concombre de l’autre la carotte et la pénètre  alternativement par devant et  par derrière.  Ok, elle n’est certainement plus  vierge du cul et c’est un bel avantage pour moi.  Maintenant je suis quasi certain de pouvoir l’enculer quand j’aurai épuisé les autres divertissements.

Elle est donc comblée de partout et bien plus détendue que la dernière fois.

Même si son look est devenu moins sexy qu’il y a 5 ans elle se lâche un peu mieux.  Je sens que ce sera un bon coup si j’arrive juste à ne pas dépasser les limites et à ne pas jouir trop vite.

Je me couche donc à ses côtés et lui demande d’ouvrir mes vêtements.  Elle farfouille un peu mais y arrive.   Elle saisit mon membre d’une main et malaxe mes couilles de l’autre !   Progrès ! Des  copains sont passés par là, ou  elle a beaucoup regardé des vidéos.   La pipe n’est pas encore acquise ! Si j’avance ma queue et lui tire la nuque elle se raidit,  n’allons pas tout gâcher.

Les 2 légumes ne tiennent pas en place,  j’aurais du apporter un vrai plug annal.   Donc mettons-la à califourchon, dos vers moi.   Cela permettra un 69 et qui sait enfin une bonne fellation ?  En attendant elle est à cheval sur moi et  continue à me masturber,  et je dois même la freiner un peu et lui passe une capote.   Elle me la met correctement : je pourrai enfin me réchauffer le membre.  

Le spectacle est classique mais on ne s’en lasse pas : appuyée sur les genoux elle guide mon sexe qui entre verticalement dans le sien. Ses lèvres humides sont parfaitement lubrifiées, j’entre à fond, sort presque et puis la pénètre à nouveau, tantôt  lentement, tantôt d’un seul coup.  Je la tiens par les anches et accentue mes poussées du bassin,  je roule de droite à gauche lorsque je suis à fond d’elle.   Ses mains prennent appui sur le lit, ou parfois serrent ma tige ou titille le clito.     Combien de temps vais-je tenir ?   Je la freine un peu et la penche plus en avant,  sa petite étoile rose est bien tentante et il est temps de l’astiquer une nouvelle fois.    

Le petit bout de la carotte est le compagnon idéal.   Très lentement je force le passage et découvre une agréable sensation.   Nous sommes donc à trois, je me chatouille le sexe à travers elle. Puis le rythme s’accélère et je n’arrive plus à contrôler le jeu.  Tant pis.   Je me lâche et jouit de toute mes forces.   Génial.   Malheureusement je ne sais pas quand je vais récupérer un peu, alors qu’il me reste bien des fantasmes en tête !

J’ai soif, un break est nécessaire.  Repos des guerriers.   Nous explorons son bar, et lui sert un gin-orange assez tassé.  Elle tombe dans l’embuscade car moi je ne bois  que de l’eau

Un fantasme qui me trotte en tête  depuis des années est de limer une femme attachée.   

Je la relève et la conduit vers la salle à manger.  Je l’avais déjà prise couchée le dos  sur une table mais cette fois je la penche en avant et sur le long côté.  Donc sa tête est presque à l’autre bord de la table tandis que ses pieds restent au sol. Ses fesses seront  à bonne hauteur,  sa bouche aussi.   J’ai apporté quelques liens et je lui attache les chevilles aux 2 pieds de la table et les poignets aux 2 autres pieds.

« Madame est servie, on peut passer à table »  

Mon sexe à repris moyennement des forces, je le rhabille donc.

« Ma petite salope va me sucer ? » « Tu ouvres les lèvres, ou tu préfères d’abord l’avoir dans le cul »   « Réponds »  

Je passe derrière et appuye mon gland à son étoile,  elle serre les cuisses inutilement   Je repasse devant et taquine ses lèvres, elle détourne la bouche.  Les choses peuvent mal tourner. Il faut donc la stimuler plus activement.  

Je reprends mon Braun et lui applique sur la rondelle ou  sur le clitoris  tandis que je lui enfonce l’épi de maïs dans le sexe.   Gros et bosselé c’est une sensation nouvelle.  Elle serre inutilement les genoux et commence à geindre les yeux fermés.  Je l’astique à nouveau puis change d’orifice, j’entre très lentement dans son cul mais  en ressort d’un seul coup et ceci à plusieurs reprise. Et finalement mon sexe remplace l’épi de maïs.   Je le regarde avidement entrer dans son corps, cela serre bien fort, mon gland passe puis  la hampe est enfournée sur une belle longueur.   Spectaculaire.  J’attends un bon moment sans plus bouger et en  silence.  Elle jérémie inutilement les dents serrées.    

« ma salope cette fois tu l’as bien eu dans le cul » «  maintenant je vais te limer solidement »

La table est stable, j’ai un bon appui au sol, je lui tiens les anches, ma queue est dure, je fais méthodiquement des aller-retours.   Lentement en avant, rapidement en arrière.  Sa rondelle est dilatée et rose vif. J’y replonge sans difficulté.  Je sens que je ne tiendrai plus longtemps.

L’épi de maïs reprend donc du service : je lui cale au plus profond de la chatte alors que je recommence à l’enculer prudemment.   Nous sommes à l’étroit et je sens toutes les bosses qui frottent le dessous de mon sexe.   C’est délicieux.  

J’accélère le rythme, elle se tord sous l’assaut et crie un peu trop à mon goût. Pourvu qu’un voisin ne se manifeste pas ; j’aurais dû aussi la bâillonner.  Je ne parviens plus à réfléchir et continue à la labourer.  La table résiste, elle est anéantie, je sens une série de contractions dans son ventre et j’en profite pour jouir également.   Ma tension artérielle doit culminer.  Je laisse mon sexe se ramollir dans son anus.   Je suis vidé,  elle respire par à-coup.

Je lui détache les poignets de la table mais les lie dans son dos, je libère ses jambes et la relève.

Elle est pantelante et a mal au cul, elle s’assied dans un fauteuil à côté de moi; je la fais boire et elle se calme petit à petit.   Je l’embrasse gentiment.

C’est le moment idéal pour le dernier chapitre :  je l’agenouille et lui tenant doucement les cheveux pour lui faire comprendre que la fellation est inéluctable.   Cette fois j’ai ma récompense.  Elle ouvre correctement la bouche et y introduit mon sexe qui reprend à peine un tout petit peu de vigueur.  Après quelques efforts j’arrive à éjaculer quelques dernières gouttes entre ses lèvres.     Elle recrache,  avec un spasme.

Cela m’est bien égal,  je lui aurai fait faire quasiment tout ce que j’avais imaginé et cela n’a pas fini en crise de larmes.  Nous nous quittons avec des caresses agréables.  Je pense que demain c’est moi qui lui téléphonerai mais avant je vais reprendre contact avec un copain pour un autre scénario.

Pour être honnête :

Le premier épisode dans le hangar est rigoureusement exact

Le second aussi, elle m’a bien appelé 5 ans plus tard et je l’ai culbuté à plusieurs reprises mais cela ne s’est pas passé de façon aussi méthodique et je n’ai pas utilisé le maïs

La scène sur la table ( la dernière cène) est exagérée, je ne l’ai pas attachée mais « simplement » sodomisée une seule fois.  Comme elle s’est mise à crier j’ai stoppé.

Elle m’a quand même fait un petit suçon de mon gland, rien de très exceptionnel

 

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