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Anne se montre – Chapitre 1




Comme mon nom l’indique, je suis d’origine basque, mais vit en région parisienne. J’ai 37 ans et travaille à la direction d’un grand groupe pharmaceutique.

    Grand brun aux yeux tirants sur le vert, j’entretiens mon physique pas trop musclé par des séances quotidiennes de gymnastique et la fréquentation assidue des salles de sport.

    Il y a 6 ans que je suis marié à Anne, mais nous nous connaissons depuis près de 7 ans, depuis exactement le jour où j’ai fêté mes 30 ans.

    Christophe, l’un de mes meilleurs amis, issu d’une famille plus qu’aisée de diplomates, m’avait proposé d’organiser ma petite fête dans leur résidence secondaire de la vallée de Chevreuse. J’avais invité une vingtaine de personnes et m’apprêtait à passer une soirée inoubliable, bien que seul à ce moment-là. Je m’étais fait plaquer quelques semaines avant par ma copine du moment. Elle jugeait que j’étais trop souvent absent. A l’époque, je n’étais que visiteur médical, mais avais déjà gravi quelques échelons dans la hiérarchie pour diriger une équipe régionale. Elle pensait, à juste titre, que je la trompais régulièrement, mais elle ne correspondait pas à celle que je recherchais, trop rigide, trop stricte dans son comportement et son habillement, alors que j’aime les femmes court vêtues qui portent des dessous sexy.

    Je m’adonnais presque quotidiennement à la masturbation, surtout le matin au réveil ou sous la douche, et n’étais pas trop pressé de me coller à une nouvelle nana.

    La maison de mon ami se trouvait dans un quartier résidentiel, au fond d’une grande allée privative. De construction assez récente, elle était très fonctionnelle et bénéficiait de tout le confort. Le must était sa piscine qui occupait tout le sous-sol et débouchait, grâce à de larges baies vitrées, sur une large terrasse où nous avions dressé le buffet et installé la sono.

    Christophe m’avais promis d’arriver tôt, ce samedi après-midi, pour m’aider à préparer la soirée, aidé en cela par Valérie, sa copine du moment. Quel canon, cette Valérie, hôtesse de l’air, avec qui j’aurais bien aimé m’envoyer en l’air justement. Elle était dotée d’une paire de seins et de fesses à faire bander un eunuque. Mais on ne touche pas à la femme d’un pote surtout quand il vous prête sa maison.

    Vers 17 heures, je les vois arriver tous les deux, non tous les trois, car ils sont accompagnés d’une ravissante blonde.

    – Bonjour Pantxo. Tu as déjà préparé plein de choses. Je te présentes ma copine Anne, me dit Valérie. J’ai pensé que tu serais content de l’avoir parmi tes invités.

    – Oh, oui, bien sûr.

    En une fraction de secondes, je dévisage la copine. Vêtue d’une jupe courte qui ne cache rien de ses longues jambes fuselées et d’un t-shirt blanc moulant qui dessine parfaitement une belle poitrine généreuse, Anne est tout à fait le genre de fille qui me fait bander comme un taureau. Elle est très peu maquillée et ses longs cheveux blonds ondulent jusqu’à la moitié de son dos.

    Elle me sourit et me tend la main. Je l’attrape par les épaules et l’embrasse chaleureusement sur les deux joues.

    – Je vais tout faire pour la mettre dans mon lit ce soir, cette jolie blonde, pensai-je immédiatement.

    La soirée se déroule dans un concert de rires, de blagues, de danses effrénées. Tout le monde s’est rassasié du buffet froid, du punch et du vin.

    Je ne lâche pas Anne d’une semelle, la faisant danser, la faisant manger et boire. A aucun moment, elle ne semble gênée par mon insistance vis à vis d’elle.

    La soirée est déjà bien avancée et quelques invités sont déjà partis. Après une série de rocks endiablés, quelques slows nous permettent de reprendre notre souffle. Anne se plaque contre moi, sa poitrine écrasée contre mon torse, et je sens ses tétons poindre à travers son soutien-gorge et son t-shirt. Mes mains parcourent son vêtement collé par la transpiration et son ventre est imbriqué dans le mien. C’est sur, elle ne peut pas ignorer mon érection. Prenant sa tête entre mes deux mains, j’oblige sa bouche à trouver la mienne et nos lèvres se soudent, s’entrouvrent, laissant nos langues se chercher, se mêler. Mes mains ont repris l’exploration de dos et de ses fesses et elle est soudée à moi. Ma queue raide est à l’étroit dans mon pantalon et me fait mal, tellement elle est dure.

    – J’ai envie de toi, lui murmurai-je à l’oreille.

    – Moi aussi, mais attends encore un peu.

    Nous continuons à danser, nous embrassant goulûment, nous pelotant, détachés de ceux qui nous entourent, quand Valérie vient m’extirper Anne des bras.

    – Viens, on va se baigner.

    Elles m’abandonnent au milieu de la terrasse et, main dans la main, se ruent vers la piscine déjà occupés par d’autres invités.

    Elles quittent rapidement leurs chaussures et leurs vêtements. J’ai le temps de détailler et d’admirer les belles formes d’Anne avant qu’elle ne plonge, seulement vêtue de ses sous-vêtements. Décidément, elle me plait de plus en plus et j’ai hâte de caresser ses jambes, ses belles petites fesses musclées et surtout ses seins qui débordent de son soutien-gorge.

    Je les regarde batifoler quelques instants puis me déshabille et plonge à mon tour pour rejoindre Anne qui m’accueille les bras grands ouverts et m’enserre la taille avec ses jambes. Elle se jette en arrière et se laisse flotter, seulement portée par ses bras écartés. Son soutien-gorge de coton blanc est si fin et si mouillé que je vois parfaitement ses beaux seins ronds et ses mamelons rosés et dardés. Je l’attrape par les hanches et lui plaque son pubis contre le mien. Elle resserre encore plus ses jambes autour de ma taille. Puis je caresse son ventre et mes mains remontent vers sa poitrine, effleurant ses seins à travers son soutien-gorge. Ma queue raide de désir s’est échappée de mon caleçon et appuie sur sa culotte. Ma main droite abandonne son ventre et se glisse en sa cuisse et sa culotte. D’un doigt, je l’écarte et mon gland vient buter sur sa vulve, trouvant rapidement l’entrée de sa chatte. Elle se redresse alors et ma queue est engloutie dans sa grotte surchauffée. Elle a les yeux fermés et sa respiration s’est accélérée.

    Je tente un rapide coupe d’?il autour de nous et m’aperçois que d’autres couples nous ont imités, à commencer par Christophe et Valérie qui sont très proches de nous.

    Anne se tient à moi par ses bras autour de mon cou et ses jambes encerclant ma taille. Je sens parfaitement bien ses seins contre les miens, ainsi que les battements rapides de son c?ur. Je commence de lents va-et-vient dans sa chatte accueillante.

    Quelqu’un a baissé la lumière et la pénombre est plus propice à ces ébats aquatiques. Une musique douce nous provient de la terrasse qui est maintenant déserte. Les derniers invités, qui ne voulaient probablement pas se mêler à nous, ont du s’éclipser en douce.

    Les muscles vaginaux d ’Anne enserrent si bien ma queue que je sens le plaisir monter dans ma tige raide. Je ralentis mes mouvements en elle pour ne pas jouir trop vite et continuer de vivre ce moment de bonheur. Nos bouches sont soudées en un long baiser où nos langues se mêlent et nos dents s’entrechoquent. Mes mains écrasent ses seins à travers son soutien-gorge et pincent ses mamelons dardés. Au comble de l’excitation, je ré-accélère mes va-et-vient en elle, dans un bruit de clapotis de l’eau qui nous entoure, et me répands en elle en de longues giclées, tandis qu’elle râle en écrasant ma verge à l’intérieur de son vagin contracté.

    – Je t’aime, veux-tu m’épouser, m’entendis-je lui dire.

    Eclatant de rire, elle me répond :

    – Mais tu vas vite en besogne, bel ami.

    A côté de nous, Christophe et Valérie nous ont imité. Valérie est adossé au mur de la piscine et a retiré son soutien-gorge. Christophe est empalé en elle, la maintenant par les hanches et la baise avec toute l’énergie d’un forgeron. Les seins de Valérie, fripés par le contact de l’eau, montent et descendent au rythme de la queue qui le pilonne. Au moment où il se répand en elle, elle hurle tellement fort qu’on n’entend plus la musique.

    Nous sortons de l’eau et, dégoulinants, nous nous enlaçons, nous nous embrassons, tandis que nos mains parcourent nos corps mouillés. Anne se détache de moi, retire son soutien-gorge et se culotte et, sans se sécher, remet son t-shirt et sa jupette qui se collent immédiatement à son corps mouillé. Comme tout à l’heure au moment de son déshabillage, j’ai eu, un court instant, le temps de voir ses beaux seins, volumineux à souhait, aux tétons dardés ainsi que ses fesses rondes et fermes et son minou aux poils blonds détrempés.

    Elle me quitte rapidement et se rue au buffet pour se servir un verre de Coca. L’imitant et me moquant du regard des autres, je retire mon caleçon et me rhabille rapidement.

    Rejoignant Anne au buffet, je me colle dans son dos, couvrant sa nuque et son cou de baisers et empoignant ses seins dont les bouts pointent à travers son t-shirt mouillé. Je les fait rouler entre mes doigts et les pince légèrement. Telle une chatte en chaleur, elle plaque ses fesses contre mon bas-ventre et ondule lascivement, sa tête rejetée en arrière, posée lascivement sur mon épaule.

    Il fait un peu frais et nos corps sont parcourus de frissons, de froid et de plaisir, quand une nouvelle série de rocks vient nous réchauffer. Nous ne sommes plus que 8 personnes et, apparemment, personne n’est pressé d’aller se coucher.

    Dansant toujours avec Anne, je la fais virevolter au rythme de la musique et, à chaque fois, sa jupe se soulève, dévoilant ses fesses et sa chatte à la vue de tout le monde. Elle ne semble pas s’en offusquer et son sourire éclatant et son regard éblouissant me font même penser qu’elle en retire un certain plaisir.

    Nous dansons ainsi plusieurs rocks d’affilée. Essoufflés, couverts de sueur, les vêtements collés au corps, nous retournons nous asseoir et nous désaltérer. Elle s’assied sur mes genoux et je l’enlace. Nos lèvres se soudent tandis que mes mains explorent son corps. Ma main gauche caresse ses seins à travers son t-shirt, excitant les bouts dardés, pinçant légèrement les bouts. Elle gémit doucement de plaisir et se colle encore plus à moi. Ma main droite a pris possession de ses cuisses, remontant doucement du genou vers son pubis en se glissant sous sa jupe. Tout le haut de ses cuisses est mouillé d’un liquide poisseux, mélange de sa cyprine et de mon sperme, et ses poils sont tout collés. Je passe un doigt entre ses lèvres qui s’écartent immédiatement pour le laisser passer et trouve son petit bouton de chair dur et raide en haut de sa fourche. Avec la pulpe de mon doigt, je le masse, le fait rouler. Elle a les yeux fermés et un son grave continu s’échappe de sa bouche. Elle respire de plus en plus fort et je la sens prête à jouir, sous le seul attouchement de mon doigt sur son clito. Enserrant ma main entre ses cuisses, elle explose en silence, retenant son cri de jouissance. J’écrase son clito sur son pubis et pince plus fort son mamelon.

    Desserrent son étreinte, elle libère ma main et je porte mes doigts à ma bouche pour goûter son odeur de femelle en rut. Elle me sourit et nos lèvres se rejoignent en un long baiser au parfum de cyprine et de sperme.

    Elle se lève, se tourne vers moi.

    – Je vais prendre une bonne douche, viens vite me retrouver.

    – J’en meurs d’envie, et surtout de lécher ta petite chatte et de m’abreuver à sa source, et de te faire encore jouir et de jouir avec toi.

    – Viens vite.

    Elle m’abandonne et rentre dans la maison.

    Je me sers un verre de punch et le sirote lentement, revivant par la pensée les moments que je viens de vivre et imaginant les suivants.

    Christophe s’approche de moi, accompagné de valérie.

    – Alors, elle te plaît ma copine ?

    – Oh oui, beaucoup. Excusez-moi, je vous abandonne. On rangera tout ça demain.

    – Nous aussi, on va aller se coucher. Regardes, tout le monde est parti.

    – Bonne nuit et bonne b?

    – Toi aussi, me répond Christophe en me faisant un clin d’?il.

    En rentrant dans la chambre, seule une petite lampe de chevet brille. Anne est allongée sur le dos, un léger drap recouvrant à peine son ventre et le haut de ses cuisses. Elle a les yeux fermés et sa respiration lente et régulière semble indiquer qu’elle s’est endormie. Je reste quelques instants à l’admirer. Enfin, je peux voir sa belle poitrine aux seins ronds et fermes, aux aréoles roses clairs au centre desquels pointent un joli mamelon un peu plus foncé. Ils sont un peu étalés sur son thorax et se soulèvent au rythme de sa respiration.

    Je quitte rapidement ma chemise et mon pantalon et, nu, m’approche du lit. Ma verge pointe déjà vers le plafond, dans l’attente de nouveaux plaisirs. Accroupi à côté du lit, je glisse une main sous le drap et caresse sa cuisse, remontant vers son pubis. Ses cuisses sont débarrassées du jus gluant qui les recouvraient, mais sa chatte est toujours le siège d’une bonne mouille que j’ai envi de lécher. Anne ouvre les yeux, me souris et écartes les jambes pour faciliter la progression de ma main. Elle attire mon visage contre le sien et sa bouche reprend possession de la mienne.

    – Je t’aime, fais moi jouir.

    – Moi aussi , je t’aime.

    Tandis qu’une main explore sa chatte, massant son mont de Vénus, titillant son clitoris, le faisant rouler entre deux doigts, comme une petite bitte raide, l’autre explore sa nuque, ses cheveux, son visage, sa bouche avant de descendre sur ses seins dont les bouts sont maintenant tout durs.

    Ma bouche quitte la sienne et je couvre le reste de son visage de baisers, puis son cou et sa poitrine. Du bout de la langue, je titille un mamelon avant de le saisir délicatement entre mes lèvres, de l’aspirer, de l’allonger et le tirer doucement pour lui procurer un mélange de douleur et de plaisir qui la fait gémir.

    Puis elle attrape ma tête à deux mains et me force à descendre vers son ventre. Ma bouche quitte ses seins et couvre son ventre de petits baisers avant de se perdre dans sa fine toison bouclée blonde. Approchant ma langue de son clito, j’introduis un doigt dans sa chatte surchauffée et commence à la masturber lentement. Maintenant, je peux mieux dévisager sa chatte et suis surpris par la longueur inhabituelle de ses petites qui dépassent de près de deux centimètres de sa conque humide. Délaissant son clito, j’attrape une de ses nymphes entre mes lèvres et la suce comme un fruit délicieux et goûteux. Un deuxième doigt a maintenant rejoint le premier dans son vagin et mon autre main a repris possession de ses seins pour en exciter les bouts.

    Anne a les bras en croix, les jambes écartées et se laisse aller, se concentrant uniquement sur le plaisir que je lui procure. Tout d’un coup, elle me repousse, se relève et se met à quatre pattes sur le lit.

    – Viens en moi, je veux te sentir au fond de moi. Prends moi comme une chienne. Vides toi encore dans ma chatte.

    Je me mets à genoux derrière elle et l’attrape par les hanches. D’un seul coup, je la pénètre à fond et mon ventre claque sur ses fesses tandis que ma queue s’écrase sur son utérus. Elle hurle sa jouissance. Je reste ainsi quelques secondes sans bouger. Elle a étendu les bras en avant, ses seins écrasés sur le lit et est cambré à l’extrême pour me sentir au plus profond de sa grotte bouillante. C’est elle qui donne le mouvement de va-et-vient de ma queue dans son vagin en se balançant d’avant en arrière. Je la maintiens toujours par les hanches, la serrant de plus en plus et mes doigts sont imbriqués dans sa chair élastique. Elle accélère le mouvement et mon ventre claque sur ses fesses, faisant vibrer tout son corps, faisant frotter ses mamelons sur le drap lui procurant encore plus de plaisir. Nous sommes tellement excités tous les deux qu’il ne nous faut pas beaucoup de temps pour jouir. Au moment où je me déverse en longues giclées dans son vagin, je sens celui-ci se contracter sur ma queue et des flots de mouille sont expulsés sur mes couilles en train de se vider. Nous hurlons tous les deux notre jouissance

    Puis nous nous retrouvons allonger côte à côte, mon bras droit sous sa nuque, nous câlinant doucement, reprenant notre souffle, souriant à notre bonheur. Après un dernier petit baiser, nous nous endormons dans les bras l’un de l’autre, persuadés que cette soirée n’est que le début d’une longue vie commune.

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