Je m’appelle Henri, j’ai 48 ans. Divorcé depuis quelques années, j’ai enchaîné les aventures, toutes sans lendemain. Il est vrai que ma recherche première était le sexe et non quelque chose de sérieux. Plutôt libertin, je n’avais jamais trouvé quelqu’un qui me correspondait vraiment. J’aime le sexe, le réel, mais je suis aussi très cérébral et un brin pervers, même si je respecte toujours mes partenaires.
Toutefois, il y a 6 mois, j’ai rencontré une jeune femme de 29 ans, Valérie, avec qui je me suis vite très bien entendu sur le plan sexuel. Aussi chaude que moi, on peut dire qu’elle savait être une véritable salope dès que l’on baisait. J’ai compris que l’on pouvait aller plus loin. Un soir, je lui proposai de regarder un film porno. j’ai vu que ça l’excitait beaucoup. Dans le film, trois couples baisaient, passant de l’un à l’autre.
« Tu as déjà fait ça ?, me demanda-t-elle.
‒ Oui, pourquoi, tu aimerais ?
‒ Oui !
‒ Tu l’a déjà fait ?
‒ Oui et non… !
‒ C’est à dire ?
‒ Je t’expliquerai peut-être un jour, en attendant, organise-nous quelque chose !
‒ Une partouze ?
‒ Oui !
‒ OK ! »
C’est ainsi que nous sommes devenus un vrai couple libertin, allant de soirées en soirées, dans lesquelles Valérie était de plus en plus salope. Nous n’avions plus aucun tabou, si ce n’est que nous évitions tout ce qui était crade, même si chacun était libre de faire ce qu’il veut. Nous baisions en fonction de nos humeurs, du simple trio aux partouzes privées, avec de nombreux couples, en passant par un gang bang avec 5 ou 6 hommes que je lui organisais de temps à autre, en lui faisant la surprise d’ailleurs. Nous étions toujours très respectueux l’un de l’autre et également de nos partenaires, mais quand nous baisions, nous étions de vrais salauds, très crus et nous aimions particulièrement le hard. De plus, nous recherchions des couples comme nous, le simple échangisme soft ne nous intéressait plus. En fait nous étions aussi pervers et cérébraux l’un que l’autre.
Toutefois, j’avais toujours en tête sa réponse énigmatique : "oui et non !". J’avais l’impression qu’elle me cachait quelque chose. Aussi je décidai d’aborder le sujet en lui demandant des précisions. Elle me répondit :
« Tu es vraiment sans tabou, maintenant ?
‒ Je pense, pourquoi?
‒ Non, comme ça ! Veux-tu que je te présente ma famille ?
‒ Pourquoi, tu veux qu’on se marie ?, dis-je en riant.
‒ Non, juste comme ça, on peut passer le week-end prochain, ils ont une belle maison à la campagne, isolée. On pourrait même y organiser une partouze, un de ces jours, s’il nous la laisse. Il n’y a pas de voisins, on peut crier et jouir sans problèmes (sourire) !
‒ D’accord ! Comment sont tes parents ?
‒ Très sympas. Par contre, je te préviens, ils aiment le sexe autant que nous !
‒ Ah bon, c’est sympathique ! Mais préviens-les quand-même, on ne sait jamais, qu’on ne les surprenne pas en mauvaise posture, ce serait gênant !
‒ Ne t’inquiète pas pour ça ! »
Nous voilà donc partis le WE suivant chez ses parents. Toujours intrigué, je lui demandai :
« Dis-moi, il y a un rapport entre cette visite à tes parents et le fait que je t’ai demandé si tu me cachais quelque chose ?
‒ Peut-être… ?
‒ Ah, et tu ne veux pas m’en dire plus ?
‒ Tu me fais confiance ?
‒ Oui, bien-sûr, mais…
‒ Alors, ne pose plus de question et promets-moi que si quelque chose te dérange là-bas, tu me le diras !
‒ Oui, mais qu’est ce qui pourrait me déranger ?
‒ Ne pose plus de question !
‒ D’accord ! »
Nous sommes arrivés vers 19h00, le samedi. Valérie me présenta à ses parents, Roger, 54 ans et Jeanne, 51 ans. De suite, le contact fut sympathique. ils avaient bien fait les choses pour me mettre à l’aise et la soirée se déroula de manière fort agréable.À la fin du repas, nous avions l’impression de nous connaître depuis longtemps. De plus, tous deux étaient physiquement très beaux. Roger était visiblement très sportif, quant à Jeanne, hummm, très sensuelle. Juste ce qu’il fallait de rondeurs et de formes, une poitrine magnifique. À plusieurs reprises, j’avais senti des regards un brin coquins à mon égard, mais j’essayais de ne pas en tenir compte. En effet, on a beau être libertin, tout de même, c’était la mère de Valérie.
Pendant le repas, nous avons parlé du reste de la famille, un fils de 25 ans et une autre fille de 20 ans. Mais nous en reparlerons plus tard.
Quant à Valérie je la sentais très à l’aise. À plusieurs reprises, il y avait eu des allusions au sexe, à notre relation et à chaque fois, elle en avait profité pour me caresser sous la table, ce qui m’avait particulièrement excité. Il me tardait vraiment qu’on aille se coucher, même si je n’avais l’intention de dormir.
Après le repas, nous sommes allés au salon prendre une coupe de champagne, malgré les protestations de Jeanne.
« On a déjà trop bu, non ?, nous sermonna Jeanne.
‒ Mais non, il faut bien recevoir notre hôte !
‒ En plus papa, tu sais que quand maman boit un peu trop, elle ne se contrôle plus !, dit Valérie, en riant.
‒ Justement, je n’ai pas l’intention de dormir cette nuit…
‒ Ah bon, on va vous laisser alors.. ! »
Jeanne était assise à côté de moi et me dit :
« Il est encore bien chaud, ce soir. je ne vous cache pas que malgré notre âge, nous ne sommes pas des puritains ! »
En disant cela, elle me caressait légèrement la cuisse, ce qui m’excitait beaucoup.
« Ça tombe bien, moi aussi… ! », dis-je, en riant.
Nous avons continué ainsi pendant quelques temps avant que Valérie nous propose d’aller nous coucher et de dormir, avec un sourire en coin. Tout le monde rit et nous nous sommes séparés pour aller dans nos chambres respectives.
Je trouvais curieux que, alors que la maison étant grande, Jeanne nous avait mis dans la chambre à côté de la leur, mais bon…
Une fois chacun dans notre chambre, Valérie alla se coucher directement, moi j’allai pendre une douche. Quand je sortis de la douche, Valérie était allongée sur le lit et se caressait.
« Viens vite, je suis très excitée !
‒ C’est la conversation avec tes parents qui t’a excitée?
‒ Oui, entre autre, ils te plaisent ?
‒ Oui beaucoup, très sympathique, c’était une bonne soirée !
‒ J’ai vu que ma mère te plaisait, coquin, mais j’ai vu aussi qu’elle ne te laissait pas indifférente !
‒ C’est vrai, mais bon, c’est ta mère !
‒ T’as envie de la baiser ?
‒ Oui, mais bon, il y a toi, ton père, donc n’y pensons plus ! »
Cette conversation m’ avait excité et je bandais très fort !
« C’est moi ou ma mère qui t’excite ?
‒ Tu es une vraie salope ! »
À ce moment, alors que Valérie commençait à me sucer, j’entendis des cris provenant de la chambre de ses parents.
« Ils se sont mis un film porno, on dirait !, me suggéra Valérie.
‒ Humm, j’en regarderais bien un aussi, je suis très excité !
‒ Tu est vraiment un cochon. Ça tombe bien, je suis une grosse salope. Tu veux qu’on aille le regarder avec eux ?
‒ Ça va pas, avec tes parents et je fais quoi si ta mère me caresse ?
‒ Tu la baises si elle veux ! Je t’ai dit qu’ils étaient très chauds. Mon père sera sûrement d’accord. Ça te choque si je te dis que ce sont mes parents qui m’ont fait visionner mon premier film porno ?
‒ Heu, mais…, non ! », répondis-je, un peu surpris.
En fait, j’étais tellement excité que j’étais prêt à accepter n’importe quoi. Après tout, cela se passait bien et je commençais à comprendre le secret de Valérie.
« Bon, si je comprends tu veux que je baise ta mère, ils nous attendent et toi tu baise avec ton père, c’est ça ?
‒ Tu as tout compris. Choqué ? Tu veux arrêter là ou continuer ?
‒ Après tout, tu es majeure et ça a l’air de t’exciter !
‒ Oui, terriblement !
‒ Bon, mettons carte sur table : Vous baisez tous en famille ?
‒ Oui, nous sommes tous très cochons et nous connaissons quelques couples qui pratiquent l’inceste comme nous. Toi, tu es le premier membre extérieur à pénétrer dans notre cercle. Si tu y restes, tu verras on s’éclate vraiment !
‒ Si je comprends bien les réunions de famille se terminent en partouzes !
‒ Pas toujours, mais souvent. La maison est isolée, nous pouvons faire ce qu’il nous plaît !
‒ Ta mère, elle aime quoi ?
‒ Tout ou presque, c’est une vraie salope. Sperme, sodomie, double pénétration etc… Tu peux la traiter comme une chienne !
‒ D’accord, allons baiser avec eux !
‒ Allons d’abord les espionner ! »
Nous nous sommes levés et dirigés vers leur chambre d’où les cris étaient de plus en plus forts.
En fait, la porte était entre-baillée et laissait entrevoir ses parents sur le lit avec effectivement, un film porno à la télé, dans lequel on voyait une belle partouze. Jeanne suçait Roger. La vue du corps de Jeanne m’excita encore plus et enlevait mes dernières réticences, s’il y en avait encore.
Roger parlait à sa femme avec des mots crus :
« Suce-moi bien, ma salope, imagine que celle d’Henri !
‒ Oh oui, elle doit être bonne, tu ne veux pas qu’on aille les rejoindre, j’ai trop envie qu’il me baise et de te voir baiser ta fille, ça fait longtemps !
‒ Non, si ça doit se faire, Valérie va nous l’amener et on baisera ensemble !
‒ C’est trop dur, s’ils ne viennent pas, faudra que tu me défonces pour me calmer et ça risque de durer toute la nuit !
‒ T’inquiète pas, je connais ta fille, salope comme elle est, je pense qu’elle nous a ramené un baiseur sans tabou qui ne sera pas choqué par la situation. on pourra même aller plus loin par la suite ! »
À ce moment là, Valérie me fit un sourire et me dit :
« On y va ? Je suis trop excitée, faut que je baise et surtout que je te voie baiser ma mère !
‒ Oui, faut vraiment, maintenant, que je baise cette salope ! »
Valérie poussa la porte et dit :
« Papa, maman, on ne peut pas dormir, vous faites trop de bruit !
‒ On est désolés, joignez-vous à nous, Henri, vous devinez la situation, je suppose ?
‒ Oui Roger, pas de souci ! Jeanne me fait trop envie. Si vous m’offrez son cul et sa bouche, je vous regarderai baiser Valérie !
‒ Avec plaisir, viens ma fille, suce-moi, que ta mère s’occupe d’Henri !
‒ Humm, cela faisait un moment. Comment trouves-tu mon Henri ?
‒ Il est parfait, on va bien s’éclater !
‒ Viens Henri, ta vas voir, je suce divinement, j’ai tout appris à ma fille !
‒ Vas-y, ensuite, je te préviens, je vais te défoncer comme une chienne, car c’est du hard que je veux !
‒ Moi aussi ! », me rétorqua la mère de Valérie
Sitôt dit, sitôt fait, elle engloutit ma queue. J’en profitai pour caresser le cul de Valérie qui suçait son père. Loin de trouver cela choquant, j’étais maintenant très excité.
« Roger, faudra tout me raconter au sujet de vos partouzes en famille !
‒ On va tout te raconter, tu verras on est très chauds et on s’éclate !
‒ Vas-y, encule moi, j’ai trop envie ! », me demanda Jeanne.
Elle se retourna et me présenta son cul que je dilatai dans un premier temps avec deux doigts, puis n’y tenant plus, je la pénétrai avec ma queue, sans avoir à trop forcer.
« Oh chérie, il m’encule bien, c’est trop bon, ahhhh, je crie… !
— Roger, encule ta fille aussi, elle aime ça aussi, cette salope !
‒ C’est vrai, tourne toi ! »
Roger et moi nous les baisions vraiment avec fougue en les traitant de salopes et de chiennes. C’était vraiment hard. Nos deux femmes criaient tellement et en redemandaient à tel point que je réalisais la chance que nous avions d’être dans une maisons isolée.
Nous avons baisé nos deux femmes pendant une bonne heure, passant de l’une à l’autre, avant de les prendre en double, l’une après l’autre. Enfin, Roger et moi avons décidé de nous faire jouir. Nous nous sommes branlés au-dessus d’elles avant d’éjaculer notre sperme sur leurs visages.
« Embrassez-vous et goûtez nos deux spermes ! », leur commanda Roger.
Ce qu’elles firent sans rechinier.
« Maintenant, faites-vous jouir comme deux bonnes lesbiennes. Henri, viens, on va se boire une bière fraîche et laissons-les se finir, elles adorent ça ! Ça t’a plu ?
‒ Beaucoup, ça s’est vu, non ?
‒ Oui, content de t’avoir connu, on va bien s’amuser avec toi. Tu verras, nos deux autres enfants sont aussi très chauds et je ne te parle pas des parents de Jeanne. Viens, laissons-les, je vais te parler un peu plus de nous, notre histoire et ce que nous aimons… ! »
Nous sommes sortis de la chambre alors que Valérie faisait un 69 avec sa mère, tout en me faisant un clin d’oeil qui voulait dire : "bienvenu dans ma famille"
La suite, si vous le souhaitez !