(Ce récit est entièrement fictif, inspiré de fantasmes)
CHAPITRE 1
Eh toi là ! Décale du milieu, tu gènes pauvre folle !
C’est avec ces doux mots que commençait ma journée du 17 novembre. Je m’appelle Sacha, j’étais à l’époque un jeune homme de 19 ans, en étude de médecine.
Les derniers mots que l’homme venait de prononcer étaient pour moi des mots courants : j’étais de taille moyenne, environ 1m70, très fin, des cheveux longs et blonds atteignant le milieu de mon dos. Cette apparence physique peu glorieuse pour un jeune homme de mon âge me valait souvent des comparaisons à des travesties ou encore plus directement à une fille.
Ma parole t’es sourde ma grande !
Je me retournai donc vers l’homme en brandissant mon plus beau doigt d’honneur et lui rétorquant :
Premièrement, c’est « Monsieur » et deuxièmement le feu est rouge donc merci de se taire !
L’homme referma la fenêtre de sa voiture et démarra en trombe. Je continuais donc ma route en pensant à mes études et mon avenir. J’étais en train de marcher dans les rues de Paris quand soudain je me suis arrêté pour je ne sais pas quelle raison devant un magasin de lingerie féminine. Je suis resté comme ça pendant au moins 10 min à regarder ces divers bouts de tissus si sublimes. Je me suis même surpris à avoir un début d’érection en regardant un ensemble de bas et de porte-jarretelles.
Puis tout à coup, un bruit de moteur me rappela à l’ordre, décidément c’était la journée. Je reprenais donc ma route tout en me demandant et en étant très gêné de ce qui venait de m’arriver avec ce magasin… J’étais toujours dans la rue quand je réalisais quune voiture semblait me suivre, mais je m’étais vite rassuré en me disant que c’était rien et que je devais me faire des idées…
Quelque temps plus tard, j’arrivais enfin à ma destination : chez moi. J’habitais dans un petit appartement au cur de Paris, c’était une ancienne chambre de bonne, mais cela suffisait largement à mes attentes, mêmes si plus n’aurait pas été de refus ! Je commençais donc à réviser mes cours, mais je n’arrivais pas à me concentrer, je ne pouvais pas sortir de ma tête l’image de cet ensemble… Il était sublime, raffiné, mais sexy : composé d’un petit string en dentelle blanche qui semblait mouler à perfection la forme de mes hanches. Je commençais à nouveau à ressentir les débuts d’une érection quand tout à coup mon téléphone sonna « NUMÉRO INCONNU », ça me semblait étrange, personne ne mappelait jamais et je n’avais pas pour habitude de décrocher, mais cette fois je ne savais pas, j’ai pris et j’ai décroché :
Allô ?
Derrière toi.
Et là, trou noir…
– – – –
Je me réveille d’un bond sur un lit, je regarde autour de moi : une chambre entièrement rose, semblable à une chambre de filles stéréotypées, avec plein de poupées, des robes et un meuble blanc trônait au milieu de la pièce, mais était verrouillé par un cadenas.
Eh bien, on est réveillé ?
Une femme venait d’entrer par la porte à gauche du lit, c’était une jeune femme, elle devait avoir environ 25/30 ans, brune avec des petites lunettes carrées, un maquillage des sourcils impeccable lui donnant un air très autoritaire et des lèvres pulpeuses qui étaient marquées par un rouge à lèvres brillant, c’était un véritable canon en plus, elle portait une tenue noire que l’on aurait pu voir dans des films érotiques : un décolleté plus quouvert noir et se mêlant à une mini-jupe en cuir noir. Je remarquais au passage que j’étais attaché au lit.
Oui, bon euh vous êtes gentille, mais vous êtes qui ? Je suis où ? Et, pourquoi je suis là ?
Vous êtes chez moi. Je m’appelle Sophia et toi tu es là, car tu as été vilaine.
Ce mot résonna fort dans mes oreilles, elle venait de me parler au « féminin » !? Mais dans un sens, ça n’avait pas semblé si désagréable…
Vilaine?
Vous savez que je suis un homme ? Et puis merde, sortez-moi de là !
Un homme ? Un homme ne désire pas porter des sous-vêtements féminins que je sache…
Elle vient de lâcher ça avec une sérénité déconcertante, ça semblait… Irréel…
Écoutez, j’ai une petite amie, je regardais pour lui offrir !
Tu mens, tu n’as aucune petite amie. Je sais beaucoup de choses sur toi, tu ne le penses pas, mais je sais beaucoup de choses. Mais rassure-toi, je ne suis ni ton amie ni ton ennemie. Je suis juste là pour punir le garçon que tu étais et féliciter la femme que tu es.
La « FEMME » ?! Mais vous êtes malade ma parole ! Je suis un homme, un vrai !
Ah oui ? Nous allons voir ça…
Elle s’approcha de moi et m’asséna une grande claque dans la tête.
Tu viens et tu me suis, chienne.
Elle me saisit par les cheveux et me traîna au sol
Mais, vous êtes folle !
Une nouvelle claque arriva sur mon visage.
Tais-toi chienne. Rentre dans la douche et utilise les produits que je t’ai mis à disposition. Ne lave surtout pas tes cheveux. Je vais t’apporter tes vêtements.
Elle me jeta avec une vigueur incroyable dans la douche. Je me décidais donc à obéir, pensant que c’était le mieux à faire et que cela me permettrait de quitter cette situation de malade au plus vite. Je me saisis donc du savon et je commençai à me savonner quand tout à coup avec stupeur je m’aperçus que tous mes poils tombaient, de mes bras, mes jambes, la totale ! Par ailleurs mon pénis n’étant pas de taille énorme… sa taille si petite ressortait.
Ah tu es prête. Tiens, prends ça.
Elle me tendit deux pilules.
Jamais, vous êtes folle !
Pas de problème, on va faire ça vite.
Dans son autre main, cette dernière avait une petite serviette qu’elle me colla sous le nez. Tout commença à tourner…
– – – –
Oui ? D’accord, très bien. Au revoir. Ah, mais ma petite folle des dessous s’est réveillée ! Alors que penses-tu de tout ça ? Regarde-toi et lève-toi, je t’en prie !
La première chose qui me choqua était ma tenue : Je portais de hauts talons roses à plateformes auxquels venait s’ajouter une paire de bas blancs, une immense robe rose bonbon venait s’ajouter à ça, on aurait dit une tenue digne de ces hommes forcés à la féminisation, des « sissy », mes mains étaient tenues dans des fins gants en soie.
Mais qu’est-ce que c’est ce délire …
Tu le sauras en temps voulu, mais d’abord je finis de te préparer.
Elle me prit délicatement par la main, j’étais incapable de bouger. Elle me fit m’asseoir face à un petit meuble dont elle sortit tout un panel de choses et commença à me maquiller.
Puis une fois fait elle se saisit d’une brosse et coiffa mes cheveux. Elle me susurra à l’oreille :
Maintenant, je finis de te former pour aujourd’hui… Mais avant ça… regarde-toi.
Et là, deuxième choc. Ce n’était pas le reflet d’un homme que je voyais, mais d’une poupée. J’étais transformée en une fille, je venais de passer de l’autre côté… Tout à coup, elle me saisit et me jeta sur le lit. Elle commença à défaire sa jupe et se jeta sur moi, me força à me tourner. Je me dis enfin que c’était, malgré ma tenue, un bon point pour moi quand tout à coup je sentis quelque chose pénétrer violemment dans mon anus. Pris d’un élan de surprise je me retournai pour découvrir que la femme qui avait fait de moi une « sissy » était en fait un homme ! Mais c’était si bon, je sentais son immense verge me déchirer mon anus, mais c’était un bonheur, chaque coup qu’elle me mettait faisait entrer en moi une vague de chaleur intense. Elle accélérait quand tout à coup je me mis à la supplier de continuer :
S’il te plaît, prends-moi, plus vite !
Je ne savais pas pourquoi je venais de dire ça, mais cette dernière remarque la fit sourire. Elle sortit son membre de l’intérieur de moi avant de me retourner. Elle prit ma tête et m’appuya longuement contre sa verge.
Allez ma chérie, fais-toi plaisir.
Ce fut l’électrochoc, à peine eut-elle fini sa phrase que je me jetais sur son pénis, l’avalant d’un coup. C’était si chaud et si bon… J’aspirais tout ce que je pouvais tout en commençant à branler ce jouet de chair qui m’était offert.
Continue petite chienne…
J’étais en chaleur, elle s’en rendit compte et glissa trois de ces doigts dans mon anus et commença à me doigter tandis que je continuais et branlais la bite de concours de cette sublime créature. Tout à coup cette dernière se retira de ma bouche et se plaça face à moi avant de lâcher tout son sperme sur mon visage. C’était chaud et humide, l’odeur était si forte, mais c’était un délice. Je me surpris d’ailleurs à me jeter sur cette verge gonflée et dégoulinante de sperme.
Eh bien… Pour un homme tu sembles bien féminine, n’est-ce pas ma chère chienne ?
Il te faut un nom quand même, allez, c’est décidé, tu es désormais Krystal. Tu es ma chienne à moi désormais.
J’étais au paradis dans ma robe.
A suivre…