Il y a quelques semaines, je me suis décidé à franchir le pas, et je suis allé découvrir les charmes d’un sauna naturiste. M’étant renseigné, il ne devait s’agir d’un lieu de débauche, mais d’un sauna chic…
Bonjour à toutes et à toutes,
Je m’appelle Marc, j’ai 45 ans, grande taille, d’allure sportive, et brun aux yeux verts. Je suis commercial sur un petit secteur, et gère donc mes déplacements très librement et discrètement vis-à-vis de mon entreprise.
Je suis naturiste, et j’ai découvert récemment un espace de détente hammam sauna de grande classe et visiblement bien fréquenté. Hommes et femmes déambulaient librement, certains drapés de larges serviettes, d’autres nus avec une serviette sur l’épaule.
Je me promenais donc, passant de sauna en hammam, en épiant ses demoiselles à loisir. Je décidai au bout d’un moment de faire une pause et m’installai dans un petit sauna seul.
Ce hammam était composé de bancs en bois entourant un foyer à l’âtre. Cette petite pièce octogonale, pouvant recevoir une dizaine de personnes, baignait dans une pénombre rassurante.
Je m’étais donc installé sur un des bancs en hauteur, assis sur ma serviette. Le foyer m’interdisant la vue sur la porte d’entrée du sauna. J’étais installé depuis moins d’une minute, les yeux clos, lorsqu’un homme est entré dans la pièce.
Ce dernier s’est dirigé directement vers moi, et m’a demandé s’il pouvait s’asseoir à côté de ma place. J’acceptai sans problème, quoiqu’assez étonné, dans la mesure où le lieu était totalement vide.
Je fermai donc de nouveau les yeux, en soupirant d’aise, les jambes écartées, laissant largement visible mon sexe mou, sans m’en rendre compte.
Soudain, je sentis une présence près de mon oreille, c’était mon voisin qui timidement, me dit :
Cela vous dérange si je me masturbe à côté de vous ?
Et là, je ne sais pas si j’étais particulièrement cool et relax ce jour, ou si ma curiosité venait de s’éveiller, je m’entendis lui répondre :
Non, pas de problème, et tournai la tête dans sa direction.
Il faut que je précise que je suis un hétéro 100%, amoureux de ma compagne depuis plus de 20 ans et je n’ai jamais eu envie d’aller voir ailleurs, que cela soit pour une autre femme ou encore moins à fortiori un homme.
Je découvris donc cet homme d’une cinquantaine d’années bien tassée, d’allure sportive tout de même, avec son sexe en main. Il s’était agenouillé sur le banc, les cuisses largement ouvertes, et le sexe en érection, mais pas encore décalotté.
Il faisait venir sa main sur sa verge tendue qui prenait de belles proportions, pas une bite de cheval, mais un mat dans la moyenne, assez fine, environ 4 centimètres de large, et longue d’à peu près 13 centimètres.
Je le fixai donc quelques secondes, comme dans un état second, sans réaction, mais pourquoi avais-je répondu « Oui »?.
Je tournai la tête, regardant fixement devant moi, puis refermai les yeux. Et je le sentis bouger.
Dans ma semi-conscience, je ne m’étais pas rendu compte de l’état dans lequel la vision de son sexe érigé m’avait mis.
J’étais à nouveau les jambes écartées, et cette fois-ci, mon sexe au repos jusqu’alors, étais en train de gonfler et de prendre des dimensions honorables.
Mon voisin l’avait sans aucun doute remarqué et avait pris cela comme une invitation. Il vint donc se placer à genoux sur le banc inférieur où reposaient mes pieds ; le buste droit, mais mon sexe dressé à hauteur de son visage.
Je ne savais que faire, le doute m’envahit, que devais-je faire : lui signifier mon désaccord et cesser sur l’instant cette expérience, ou laisser les choses suivre leurs cours et découvrir la suite.
La situation était extrêmement excitante : cet homme pratiquement entre mes cuisses, en train de se branler lentement ; moi les cuisses ouvertes lui exposant ma bite raide désormais ; et le risque de se faire surprendre par n’importe quel visiteur.
Sans conviction particulière, je le laissai donc faire, en pensant qu’il allait se terminer rapidement, en éjaculant sur sa serviette.
Mais mon inactivité et ma queue au garde à vous lui ont donné un regain courage. Lui craintif presque timide au départ, s’est lentement incliné vers mon sexe tout en continuant à se masturber des deux mains, jusqu’à venir déposer un baiser sur mon gland.
Voyant que je ne réagissais pas, il s’est enhardi et à commencer à me sucer lentement centimètre par centimètre. Moi, j’étais là, toujours dans la même position, sans avoir bougé d’un pouce, le regardant aller et venir sur les 5 premiers centimètres de ma bite.
En fait, je crois que je mourrai d’envie de savoir si les hommes sucent mieux que les femmes.
Ma compagne ne rechigne pourtant pas à la besogne, et il est fréquent que lors des préliminaires, voire au gré de ses envies, elle me pompe sans ménagement.
Je voulais voir si lui, cet homme visiblement gay, engloutirait toute ma bite jusqu’à la garde. Chose que ma compagne n’arrive pas à faire.
Mon orgueil de mâle voulait savoir si mon sexe était à son goût, si celui-ci était suffisamment gros, s’il était suffisamment long et vigoureux, voilà ce qui me traversait l’esprit à cet instant-là.
Et soudain, ce qui devait se produire s’est produit …
La porte s’est ouverte … lui s’est remis assis à mes pieds en une seconde, moi j’ai couvert mon sexe de mes mains.
Nous en étions là, de nos émotions, contractés, en attente et à l’affut de voir qui allait entrer, quand nous entendîmes la porte du foyer s’ouvrir et avons réalisé que ce n’était pas un visiteur, mais la jeune femme en charge de l’entretien des feux et de la sécurité des lieux.
Nous ne pouvions pas la voir, elle non plus, car la petite trappe d’accès au foyer se situait par chance à notre opposé.
Celle-ci quitta les lieux sans un mot. L’homme se redressa et me fit face. Bizarrement, je n’avais pas débandé complètement, je le fixai droit dans les yeux et pris l’initiative, je lui dis simplement :
Suce-moi, sur un ton martial,
sans attendre, il se pencha de nouveau, une main venant me caresser les couilles, et l’autre sur sa bite que je devinais dure, sans pour autant la voir.
Il avança le visage vers ma queue et me prit de nouveau en bouche.
C’était exquis, lent et précis. Je ne pus m’empêcher de prendre sa tête en main pour l’accompagner dans son mouvement qui allait de plus en plus vite.
Les images se bousculaient dans ma tête, l’excitation montait. Je voulais qu’il me gobe complètement, j’étais obsédé par cela. Il s’appliquait à descendre de plus en plus bas sur ma tige, une dizaine de centimètres était parcourue, mais bloquait là.
Je n’ai pas une queue énorme, mais elle est surtout large, un peu moins de 6 centimètres. Je compris donc que cela allait terminer comme avec ma compagne : pas de bite avalée en entier.
Cela n’était finalement pas bien grave, car au final, l’excitation atteignant son comble, j’explosai dans la bouche de cet inconnu de long jet crémeux, tout en lui maintenant la tête en place.
J’avais toujours rêvé de terminer une pipe comme cela avec ma compagne, mais celle-ci n’avait jamais voulu.
Il sétouffa sur le coup, et laissa mon sperme se répandre sur mon membre, qu’il enduisit de ma semence. Il termina en me branlant doucement avec mon jus, ce qui me procura des coups d’électricité sur toute la hampe.
Je repris peu à peu mes esprits et me rendis compte de ce que je venais de faire. Je me levai et m’enfuis de ce sauna à moitié débandé, sans me retourner.
Je ne sais même pas si cet inconnu a eu du plaisir ou s’il s’est donné du plaisir. Ce dont je suis certain, c’est que c’était une expérience à vivre, c’était intense et fou …
Cette histoire est totalement vraie, et c’est avec beaucoup d’émotion que je vous la livre.