Se tenant par la main, ainsi que deux amants, Solange et Christian regagnèrent la voiture à lintérieur de laquelle les attendaient Luc et Isabelle.

Vous voilà, les accueillit Isabelle. Nous avons été séparés…

En effet, acquiesça Solange Avec Christian, nous étions au premier rang, contre la balustrade… Le spectacle vous a plu ?

Énormément, approuva Isabelle, cétait magnifique.

Surveillant distraitement la cohue des voitures qui leur barrait la route, Solange se polarisa sur la douce tiédeur qui régnait au sein de son sexe. Son garnement de neveu avait réussi à faire naître dans le secret de ses entrailles, un incroyable brasier. Elle navait quune hâte : se retrouver seule dans sa chambre, où elle savait retrouver ses jouets érotiques qui calmeraient cet ardent désir qui lui consumait le vagin. Elle aurait sous la main sa collection de sextoys : depuis lincontournable vibromasseur, le masturbateur de clitoris, les boules de Geisha et le prodigieux uf vibrant télécommandé. Si elle avait su comment allait se dérouler sa soirée, comment son jeune neveu allait allumer ce pernicieux désir au sein de ses entrailles, elle aurait pris la précaution de placer ses boules à lintérieur de son vagin, avant de partir. Avec ces divins engins au creux de son sexe, elle aurait été assurée déprouver un apaisement sexuel. Elle les avait maintes fois utilisés, avec toujours un résultat surprenant, quel que soit lendroit où elle se trouvait.

Serrant frénétiquement ses cuisses sur sa vulve trempée, tentant par-là dapaiser quelque peu ce désir qui la faisait mouiller, Solange eut une pensée pour son adolescent de neveu. Lui aussi devait éprouver le même malaise érotique qui lui torturait les entrailles. Elle se sentait en partie responsable, même si elle ne lavait pas voulu, du trouble sexuel qui devait perturber ladolescent. Elle aurait dû se souvenir quà cet âge un adolescent avait le sang ardent et quun rien suffisait pour affoler sa libido. Les souvenirs des jeux érotiques auxquelles elle sadonnait avec son frère jumeau, alors quils avaient tous deux lâge de Christian, auraient dû la mettre en garde. Le fait dattirer son neveu contre elle, de lui faire subir le contact de sa poitrine et de son ventre navait pu quexacerber les sens en éveil de lado.

Se sentant coupable du désir quelle avait fait naître à son insu chez son jeune neveu, Solange jugea quelle se devait dapporter un apaisement à ce dernier. Mais quoiquelle sen défende, sous prétexte de calmer le désir de lado, cest son propre désir quelle tenait à assouvir : elle souhaitait ardemment sentir la raideur du jeune membre viril dans sa main. Sans plus réfléchir, sa décision fut prise. Vu le nombre de voitures qui formait un bouchon devant eux, ils allaient bien en avoir pour plus dune heure avant datteindre sa demeure située à quelques kilomètres de "Capbreton" ! Ce laps de temps était suffisant pour lui permettre de mettre son projet à exécution. Elle allait procurer à son neveu ce plaisir qui le soulagerait, et qui lui apporterait à elle-même un véritable contentement.

Lintérieur de la voiture nétait éclairé que par courts instants, chaque fois quils passaient à hauteur dun lampadaire, ce qui était bien insuffisant pour chasser lobscurité de lhabitacle de la "308". Ce qui lui permettrait dagir à sa guise. Son frère était par trop concentré sur sa conduite pour se rendre compte de ce qui se passait dans son dos ; quant à sa belle-sur, lobscurité de la nuit et le ronronnement du moteur semblaient lavoir quelque peu assoupie. De toute façon, létroitesse entre les sièges avant et arrière de la "Peugeot" empêchait aux passagers de devant de voir ce qui se passait derrière eux, à moins de se pencher ; mais pourquoi Isabelle le ferait-elle !

Aussi rassurée, Solange décida de passer aux actes

Christian sentit son cur semballer soudainement. Sa tante venait de poser une main sur sa cuisse en une douce caresse. Dans un lent va-et-vient, depuis ses genoux jusquà sa cuisse, les doigts fureteurs ségaraient par instant, lui frôlant les couilles. Se faisant de plus en plus audacieuse, la main ne tarda pas à se poser sur la bosse que faisait sa verge en érection. Surpris par cet attouchement hardi, du fait de lendroit où ils se trouvaient, il lança un regard apeuré en direction de sa tante. Celle-ci le regardait, un sourire complice aux coins des lèvres.

Sentant soudain les doigts qui pressaient son membre érigé agripper la languette de la fermeture de sa braguette, et la faire glisser, Christian éprouva un sentiment de panique. Anxieux, il porta son regard en direction de ses parents, alors que sa tante glissait sa main à lintérieur de son pantalon. Son père, trop attentionné à diriger la voiture dans la cohue, ne risquait pas de sintéresser à ce qui se passait à larrière du véhicule, quant à sa mère, elle semblait somnoler. Quelque peu rassuré, Christian se cala alors confortablement sur son siège, sabandonnant avec délice à la main qui furetait dans son pantalon.

Évitant de trop regarder son neveu, afin que son frère ne soupçonne quelque chose par lintermédiaire du rétroviseur, Solange nen continua pas moins son exploration à lintérieur du pantalon de Christian. Ses doigts dénichèrent immédiatement ce quils étaient venus chercher.

Le membre viril en érection formait une bosse notable, déformant le slip qui le protégeait encore. Terriblement émue par ce quelle osait, Solange referma ses doigts autour de cette grosseur affolante. Palpant en connaisseuse lorgane bandé, elle constata avec saisissement que son neveu possédait une virilité particulièrement dilatée. Cette découverte déclencha en elle un regain de désir qui lui tarauda le bas-ventre : cette bite au volume étonnant quelle tâtait provoqua au sein de son vagin un nouvel afflux de cyprine.

Lesprit et les sens troublés par cette verge étonnamment ventrue quelle enserrait de ses doigts, Solange songea avec nostalgie quil y avait longtemps quelle navait ainsi emprisonné un sexe masculin. Le dernier homme quelle avait accepté dans son lit et entre ses cuisses était un couvreur portugais qui était venu remettre en état le toit de sa maison ; et cela remontait maintenant à plus de quatre mois : une éternité ! Son sexe, privé depuis de pénétrations viriles, rendu affamé par une si longue privation, avait un besoin urgent de sentir un membre masculin le pénétrer. La queue quelle sentait frémir sous sa paume, avait lui jugea-t-elle, le volume adéquat pour la combler ; cétait dailleurs la seule de disponible pour cette nuit ! Sa décision fut immédiatement prise ! Christian serait son amant le temps quil demeurerait chez elle, et cela dès cette nuit Après le père quelle avait initié sexuellement quelques années auparavant, elle se réservait de déniaiser le fils de la même manière Ce serait un vrai bonheur, songea-t-elle, dapprendre à son jeune neveu les délicieux échanges érotiques entre un homme et une femme. Tous les amants quelle avait eus jusquà présent étaient des hommes murs, mariés la plupart du temps ; ce serait la première fois quelle ferait lamour à un adolescent, certainement encore innocent.

Mais pour linstant, malgré lenvie quelle en avait, Solange conçut quelle ne pouvait repousser le slip protecteur qui lui cachait cette verge tant convoitée : même sil était minime, le risque était quand même trop grand. Aussi se contenta-t-elle de refermer ses doigts autour de la lénorme excroissance que formait la queue gonflée. Gênée par lexigüité de la braguette, elle tâcha quand même de procurer du plaisir à son jeune partenaire, en le masturbant du mieux quelle put, bien décidée à lamener jusquà la jouissance libératrice

Confortablement installé sur la banquette arrière de la « 308 », cuisse contre cuisse avec sa sensuelle tante, Christian était partagé entre deux sentiments : une intense excitation qui lui travaillait le bas-ventre et le comblait de plaisir et la crainte dêtre surpris par sa mère.

Même dans ses fantasmes les plus fous, il naurait imaginé un pareil scénario : sa tante, la sur de son père, le branlant sans vergogne à quelques centimètres de ses parents Bizarrement la proximité de ses derniers, alors que Solange lui étreignait la bite, procurait à Christian un plaisir dune rare intensité. Fermant les yeux, il se concentra sur leuphorie que lui procurait la perverse caresse. Malgré son slip qui formait un écran au-devant des doigts féminins qui lui massaient la verge, il éprouvait une véritable félicité. Son excitation était-elle, que le frottement insistant des doigts le long de sa verge, en une si voluptueuse masturbation le porta rapidement au seuil de la jouissance.

Véritable experte dans lart de procurer du plaisir aux hommes, sa tante activait ses doigts le long de sa bite exacerbée, en une masturbation de bas en haut, déclenchant dans ses entrailles des ondes incendiaires. Depuis trop longtemps en état dexcitation, Christian sentit soudain sa verge se durcir, alors quun long frémissement partant de ses couilles gonflées lui traversait le bas-ventre, signe, il le savait à une éjaculation imminente. Dans un effort de tout son être, il tenta de freiner cette explosion quil sentait sur le point de jaillir en lui.

Mais comme si elle avait deviné ce qui se passait dans ses entrailles, sa tante accéléra soudain le mouvement de va-et-vient de sa main, déclenchant dans son sexe tendu les premiers spasmes de la jouissance. Affolé, comprenant quil ne pourrait retenir lorgasme quil sentait monter depuis ses couilles, et de ce fait, labondante éjaculation qui allait en sensuivre, Christian bloqua vivement le poignet de sa perverse parente de sa main, tentant ainsi de mettre fin à laffolante masturbation.

A sentir sous ses doigts la dureté du membre viril de ladolescent, accentua chez Solange le désir de pouvoir prendre en main ce pal de chair pour le guider dans lantre brûlant de son sexe. Plutôt courte, la bite quelle percevait sous le tissu tendu du slip lui paraissait extrêmement imposante. Son neveu, lui, semblait-elle, avait été étonnamment gâté par la nature, et vu le nombre de membres masculins quelle avait tenus en main, elle avait acquis une certaine compétence en ce qui concernait la taille des bites.

Pour linstant, Solange éprouvait un réel ravissement à percevoir sous ses doigts la dureté de la queue de son jeune neveu. Ne pouvant saisir la jeune verge du fait de lécran du slip, elle singénia à presser la dure colonne de chair, concentrant plus particulièrement son attouchement à la base du gland étonnement dilaté. Observant dun il connaisseur la montée du plaisir sur le visage de son jeune partenaire, elle tâcha dy déceler les signes avant-coureurs de la jouissance. Christian était en proie à cette érection depuis le début de la soirée, il nallait pouvoir tenir encore longtemps ; aussi Solange accentua sa masturbation, agitant plus rapidement sa main le long de la protubérance qui gonflait le devant du slip.

Percevant de légers tressaillements agités Christian, Solange comprit que ce dernier se trouvait enfin au seuil de lorgasme. Cette constatation la combla de bonheur. Elle était sur le point de voir son entreprise se réaliser. Oubliant que son frère pouvait la surprendre par le biais du rétroviseur, elle fixa intensément le visage de son jeune partenaire, suivant la montée du plaisir chez ce dernier. Elle accéléra le va-et-vient de sa main le long de la pine durcie, tout en la pressant fébrilement entre ses doigts, bien décidée à lui faire cracher sa liqueur.

Lorsque Christian dans un ultime réflexe tenta dimmobiliser son poignet, Solange sut quelle avait gagné. Et comme pour lui donner raison, elle sentit la jeune queue tressauter violemment entre ses doigts et cracher enfin sa semence virile, comme elle lespérait. Dans une réaction immédiate, acquise au fil de ses nombreuses aventures amoureuses, elle referma sa main à hauteur du gland qui éjaculait par saccades sa crème laiteuse. Un immense sentiment de contentement lenvahit en sentant le sperme juvénile imbiber le tissu du slip et lui souiller la paume.

Les yeux clos, le bassin tendu au-devant de la main qui le branlait, Christian cessa de lutter contre cette jouissance qui prenait possession de ses entrailles. Malgré lépaisseur de son slip qui formait un écran aux doigts qui le masturbaient, le plaisir ressenti dépassait tout ce quil avait connu jusqualors. Même sil avait réussi à immobiliser la main de sa tante à lintérieur de son pantalon, cette dernière nen continuait pas moins de lui presser la verge de ses doigts, lamenant inexorablement à lorgasme. Soudain, alors que dans sa tête un véritable feu dartifice explosait, tout son bas-ventre se tétanisa. Sa queue se dilata au maximum avant dexploser dans un prodigieux orgasme. Tels des geysers colossaux jaillissant de son gland dilaté, sa semence jaillit avec une force incroyable, souillant lintérieur de son slip. Dans un spasme interminable qui le cambra sur son siège, Christian songea quil navait jamais connu une telle jouissance. Son gland nen finissait plus de cracher sa liquide séminal.

Pendant tout le temps que son neveu déchargea sa semence intime, Solange scruta son visage crispé, prenant un plaisir immense à y lire les effets de sa jouissance. Voir jouir ses partenaires avait toujours été pour elle un sujet de contentement. Chacun réagissait différemment à la jouissance et leurs visages reflétaient à divers degrés lintensité de leur plaisir. Le rêve secret de Solange était de pouvoir prendre en photo le visage de chacun de ses amants au moment de leur éjaculation et de les exposer ; ce serait la galerie de lorgasme Elle était certaine que son exposition aurait énormément de succès.

Ce nest que lorsquelle sentit la verge quelle enserrait cesser progressivement de vibrer entre ses doigts que Solange se décida de retirer délicatement sa main du pantalon de son jeune complice. Dun mouvement naturel, imitant un bâillement de sommeil, elle porta sa main souillée à sa bouche pour en lécher avec gourmandise le peu de sperme qui sétait agglutiné au creux de sa paume.

Cest lors de son adolescence, quand, par jeux, elle amenait son jumeau à léjaculation, quelle avait appris à aimer cette semence grasse et liquoreuse que son frère lui déversait dans la main ou sur le visage. Ensuite, au fil des amants qui avaient défilé dans son lit et qui sétaient épanchés dans sa bouche, le plaisir pour cette liqueur épicée navait fait que croître. Elle avait ainsi appris que le liquide séminal avait un goût différent pour chaque homme quelle suçait. Elle avait aussi compris les effets érotiques que cette liqueur blanchâtre avait sur ses amants, lorsquelle laissait cette dernière sécouler, mêlée à sa salive hors de ses lèvres, en minces filets.

Ça navance vraiment pas !… A cette allure on nest pas encore rendu !…

Lexclamation de Luc, sénervant au volant, tira Solange de ses songes érotiques.

Se penchant au niveau des sièges avant, elle plaça son visage entre celui de son frère et de sa belle-sur. Dans la lueur des phares de la "308", elle tenta de se repérer. Devant eux la file de voitures était toujours aussi importante. Connaissant la région pour lavoir maintes fois parcourue, Solange reconnut les premiers faubourgs de Bayonne : ils navaient fait que huit kilomètres depuis quils avaient quitté le parking

Au rond-point, prends sur ta gauche, conseilla-t-elle Il vaut mieux regagner le pont Grennet Ensuite tu prendras en direction de Boucau Cest peut-être un peu plus long, mais tu auras moins de monde

Après que sa tante ait retiré la main de son pantalon, Christian sempressa de remettre de lordre dans sa tenue, remontant la fermeture Éclair de sa braguette. Sa verge souillée de sperme avait rapidement repris un volume normal. Se sentant abandonné, après lintense jouissance que sa tante venait de lui faire connaître, il porta son attention sur sensuelle complice sexuelle. Accoudée aux sièges avant, sans sen douter, sa tante lui offrait les rondeurs suggestives de ses hanches ainsi que le renflement troublant de sa croupe Le spectacle des attributs féminins, plein de sensualité qui soffrait à ses regards, procura à Christian un réel envoûtement érotique. Stimulé par les caresses que Solange lui avait procurées, il osa un geste que seule la complicité qui sétait établie entre lui et sa tante pouvait inciter. Jamais il ne se serait permis un tel geste, si Solange navait pas la première, créé ce lien intime entre eux deux en le branlant. Terriblement ému quand même par ce quil sapprêtait à accomplir, Christian posa une main cajoleuse au creux des reins de sa tante. Puis, appréhendant une réaction de cette dernière, il simmobilisa.

Comme au bout de quelques secondes, Solange ne réagissait pas à ce contact, semblant même ignorer cet attouchement licencieux, Christian senhardit. Le cur battant, nétant quand même pas complètement rassuré, il laissa descendre sa main jusquà la naissance de la croupe, que la position adoptée par sa tante mettait particulièrement en relief.

Tout en conseillant son frère sur la route à suivre, Solange ne pouvait sempêcher de penser à ce quelle venait daccomplir. Branler le propre fils de son jumeau lui avait procuré un insolite, mais intense plaisir. Elle sétait retrouvée quelques années plus tôt ; à lépoque où en compagnie de Luc elle découvrait la sexualité. Ils étaient un peu plus jeunes que Christian : leurs sensualités à tous les deux les avaient perturbés très tôt Or un jour, alors quelle manipulait la queue dressée de Luc, un étrange liquide en avait jailli. Stupéfaite, elle avait cru que son frère lui pissait dans la main et elle lui en avait fait le reproche. Mais celui-ci, aussi étonné quelle, lui avait juré quil nen était rien, sans pour autant pouvoir lui expliquer la raison de cette éjaculation liquide, sinon quil en avait éprouvé un réel plaisir Au lendemain de cette découverte, pleine de curiosité Solange sétait empressé, dès quelle lavait pu, de manipulé la bite de son frère entre ses doigts. Ce nétait pas encore une véritable masturbation, comme elle devait apprendre à les réaliser plus tard, mais cela avait suffi à procurer du plaisir à Luc, et faire jaillir de nouveau ce liquide étrange.

Tout en malaxant la petite verge dressée, que Luc lui offrait avec plaisir, Solange se concentrait plus particulièrement sur la minuscule ouverture placée au sommet du champignon de chair rose ; minuscule bouche par où allait jaillir ce mystérieux geyser… Mais à se montrer aussi attentionnée à découvrir les réponses à ses interrogations, Solange avait eu maintes fois le visage souillé par ce liquide incolore, qui jaillissait en rafale de la queue triturée.

Sentant la main de son neveu se poser au creux de ses reins, Solange esquissa un sourire de contentement : Christian osait se montrer entreprenant ; ce qui nétait pas pour lui déplaire, bien au contraire. Lorsque les doigts de son jeune partenaire glissèrent depuis ses reins jusquà ses fesses, un sentiment de plaisir lenvahit. Son adolescent de neveu devenait audacieux.

Au bout de quelques secondes dimmobilité de la main contre le haut de sa croupe, Christian osa enfin senhardir. Il entreprit enfin de lui caresser les fesses avec douceur, comme sil avait encore peur dêtre rabroué. Solange songea que si elle ne laidait pas, jamais Christian noserait aller plus avant dans ses attouchements, et elle ne connaîtrait pas ce pervers plaisir dêtre caressée par son propre neveu. Prenant alors fermement appui sur les sièges avant, sur lesquels elle était accoudée, elle souleva légèrement sa croupe, offrant ainsi à son audacieux neveu la possibilité de glisser sa main jusquà sa chatte enflammée.

Victime dune réelle émotion, Christian nosait hasarder sa main plus avant sur les rondeurs fessières, craignant que sa tante naccepte ses hardiesses érotiques. Aussi son cur semballa soudainement lorsque cette dernière lui fit comprendre quelle était consentante en soulevant ses fesses de son siège. Cétait trop irréel pour lado quil était.

Bien quelle se soit soulevée de son siège afin que Christian puisse glisser sa main jusquà son entrejambe, où il trouverait lobjet de tous ses fantasmes dadolescent, son neveu demeurait figé. Ce comportement narrangeait pas les plans érotiques de Solange qui comptait bien sur les attouchements de ladolescent pour connaître à son tour un peu de plaisir. Comprenant quelle se devait de nouveau, diriger les ébats, Solange lança sa main dans son dos, afin de retrousser sa jupe sur ses reins, libérant ses fesses de tout obstacle

La vue de la tache blanche du slip de sa tante, dans la pénombre de lhabitacle de la "308", déclencha chez Christian un afflux de concupiscence. Faisant fi de ses craintes, il nhésita plus à glisser sa main sous le derrière tendu que sa tante lui offrait si complaisamment. Mais lorsque ses doigts effleurèrent le tissu extra fin du vêtement intime qui enserrait les rondeurs jumelles, il éprouva un tel choc émotionnel quil stoppa lavancée de sa main. Cétait la première fois quil palpait ainsi une croupe féminine, même si celle-ci se trouvait protégée dans son écrin de soie.

Lorsque la main de son neveu saventura sous sa jupe retroussée, frôlant les rondeurs jumelles de ses fesses, Solange ressentit un long frisson de contentement. Elle allait enfin connaître un peu dapaisement sexuel après cette longue attente où lexcitation lui avait torturé les entrailles. Sa chatte qui navait cessé de shumidifier, trempant abondamment lentrejambe de son slip, avait un besoin urgent dattouchements. Elle se doutait bien que Christian ne lui procurerait pas lorgasme quelle espérait, mais les caresses de lado lui apporteraient un certain soulagement. Il pourrait momentanément calmer ses sens en émoi : au moins jusquau moment où elle irait le rejoindre dans sa chambre. Car elle en avait décidé, Christian éteindrait le brasier quil avait allumé au tréfonds de son vagin. Il lui devait bien ça ! En même temps, à la pensée dinitier son adolescent de neveu aux ivresses des rapports sexuels enflammaient limaginaire de Solange.

Impatiente de percevoir contre sa vulve embrasée, les premiers attouchements qui lui procureraient ce plaisir quelle attendait, Solange demeura étonnée de ne pas sentir les doigts fureteurs progresser en direction de lépicentre de sa féminité. Christian semblait tout à coup comme incapable dévoluer dans son entremise, pris peut-être par la crainte. Elle se devait de lencourager encore une fois. Toujours bien calée sur les sièges avant, elle agita sa croupe davant en arrière, frottant ses fesses contre les doigts immobiles, dans une invite sans équivoque.

Encouragé par le roulis de la croupe sous sa paume, Christian, après un moment dimmobilité passé à reprendre ses esprits, laissa son majeur suivre le long sillon séparant les rondeurs jumelles des fesses, le cur battant. Lorsque dans sa pérégrination, sa phalange effleura une partie du slip bizarrement humide, il réalisa quil venait datteindre le Saint-Graal que tout adolescent rêve de découvrir. Sous son doigt, séparé par le délicat tissu de la culotte ajustée, se trouvait ce mystérieux et tant convoité sexe féminin. Cette partie féminine qui, depuis des mois, le faisait fantasmer. Cette étrange moiteur quil percevait sous sa phalange combla Christian de bonheur : sa tante mouillait !

Bien que nayant jamais connu sexuellement de filles, ces seules relations féminines sétaient soldées jusquà présent à de furtifs baisers, et seulement avec des copines de son âge. Cependant, curieux de tout ce qui touchait au sexe, surtout féminin, Christian sétait amplement informé grâce à internet. Les récits érotiques quil avait lus sur certains sites comme « Xstory », lui avait ainsi appris que lorsque les femmes étaient fortement excitées, leurs sexes sécrétaient un liquide plus ou moins abondant. Or daprès ce quil percevait présentement sous son doigt, sa tante devait être terriblement excitée

Au comble du bonheur, du fait de sa découverte, Christian singénia à frôler de sa phalange la tâche dhumidité, qui selon lui, localisait la position de la chatte de sa tante. Eprouvant un indescriptible plaisir, il plaqua son doigt contre le tissu humide du slip, faisant pénétrer celui-ci à lintérieur du sexe, quil était censé protégé. Or comme il appuyait un peu plus fortement son attouchement, il lui sembla que son doigt senfonçait légèrement dans le repli de la vulve. Terriblement ému, il comprit quil venait de découvrir lorifice sexuel de sa partenaire ; cette ouverture donnant accès à la grotte féminine, lieu de délices que tout adolescent rêve un jour dexplorer. Conscient de la découverte quil venait de faire, Christian tenta denfoncer son majeur plus profondément dans la cavité quil venait de localiser. Mais lentrejambe du slip, plaqué au sexe quil protégeait, lempêcha de parfaire son exploration, ne lui permettant dintroduire que quelques millimètres de son doigt dans louverture convoitée.

  Comme il ne pouvait senfoncer dans la faille sexuelle comme il le désirait, Christian se contenta donc de frotter celle-ci de sa phalange, éprouvant un vif plaisir. Or soudain, alors quil astiquait avec application le sillon que formait la fine culotte à lendroit de la vulve, sa tante tressaillit subitement. Etonné de cette réaction, Christian continua son attouchement, attentif aux effets que ceux-ci pouvaient avoir sur sa parente.

Lorsque Solange pour la seconde fois projeta son pubis au-devant de ses doigts, suite à un attouchement précis, Christian en comprit soudain la raison. Ses lectures sur le site « Xstory » lui revinrent en mémoire. Certains récits faisaient mention dun organe que les femmes possédaient à la jointure de leurs grandes lèvres sexuelles, appelé "clitoris". Toutes les histoires racontaient la même chose : quand ce "bouton damour", comme bien souvent il était appelé, était stimulé par attouchements, cela déclenchait chez la femme une intense excitation sexuelle.

Incité par le souvenir de ses lectures, Christian fureta le long de la vulve dont il percevait les contours sous le tissu ténu du slip féminin. Ce quil cherchait se trouvait à la commissure des grandes lèvres sil en croyait ce quil avait lu, aussi palpa-t-il, fureteur, le haut de la fente quil devinait sous le tissu. Or comme il appuyait son majeur à un endroit précis pour la énième fois, un brusque sursaut de sa tante le surprit, et le renseigna en même temps. Il venait de toucher cet endroit magique décrit dans ses lectures. Au comble du bonheur, il appuya de nouveau sa phalange à lendroit qui avait déclenché ce sursaut chez sa partenaire, tout en la frottant davant en arrière. Un nouveau soubresaut agita le bas-ventre de sa tante, tandis que son doigt shumectait au contact du slip de plus en plus trempé.

Cependant, alors quil singéniait à frictionner cette partie du sexe féminin qui semblait apporter tant de plaisir à sa parente, Christian sentit, étonné, sa verge se redresser lentement au bas de son ventre. Cette érection le stupéfia. Jamais habituellement il ne bandait aussi rapidement après une éjaculation, et celle quil venait de connaître quelques instants plus tôt avait été particulièrement abondante…

Lorsque la main de son neveu lui avait frôlé les fesses, Solange en avait éprouvé une telle émotion sexuelle quune bouffée de désir lavait enveloppé tel un voilage de volupté. Ce même désir qui depuis le début de la soirée avait pris possession de ses entrailles, la faisant abondamment mouiller. Cen était trop pour Solange. Cet impérieux désir qui lui taraudait le vagin devenait trop intense ! Il fallait quil soit maîtrisé ! Et pour cela, pourquoi ne pas utiliser son neveu, le forcer à la branler, lobliger à atténuer ce brasier qui lui consumait le sexe. Même sil ne se montrait pas aussi expert que les amants dont elle avait lhabitude daccueillir entre ses cuisses, lado lui apporterait un peu dapaisement : même si ses attouchements restaient maladroits. Aussi saccoudant plus confortablement aux sièges avant, entre son frère et son épouse, Solange écarta largement les cuisses afin de faciliter à Christian laccès à sa chatte ruisselante dune ondée brûlante. Les jambes bien écartées, elle suivit la progression des doigts le long de sa raie des fesses avec une émotion grandissante. Lorsque lado atteignit enfin sa vulve trempée par la cyprine que son vagin en émoi distillait, son cur semballa. Le frôlement des doigts contre sa fente lui procura une incontestable euphorie, même si Christian ne pouvait se montrer très adroit dans ses effleurements du fait de lécran de la culotte, qui faisait obstacle à ses palpations.

Solange se laissa lentement gagner par une douce torpeur sexuelle sous le massage voluptueux dont était gratifiée sa fente. Bien que quelque peu maladroites les caresses de Christian lui apportait quand même un plaisir diffus qui la comblait. Soudain, alors quelle sabandonnait aux troublants frôlements des doigts qui parcouraient le sillon de sa vulve, un soudain frisson voluptueux lui traversa le bas-ventre, la faisant se cambrer : lors des va-et-vient que Christian effectuait à laide de son doigt, le long du sillon séparant les grandes lèvres de sa chatte, ce dernier venait de frôler son clitoris, déclenchant une vive réaction au sein de son vagin

Depuis sa puberté, son bouton damour était la zone érogène la plus sensible chez Solange ; un simple effleurement de celui-ci suffisait pour lamener rapidement aux portes de lorgasme. Son neveu, songea-t-elle intriguée avait eu une chance inouïe, pour avoir comme ça découvert son clito, et cela malgré lécran de sa culotte. Mais lorsque pour la seconde fois, le même frisson de volupté lui parcourut le creux des reins, Solange sentit sa vulve fondre littéralement. Elle se mordit les lèvres afin détouffer le gémissement de plaisir qui allait en jaillir. Ce ne pouvait être le fait du hasard. Pour la deuxième fois, Christian venait de stimuler son clitoris, lui procurant de nouveau un lancinant plaisir. Décidément, songea-t-elle, son adolescent de neveu semblait être moins innocent quelle ne le pensait.

Dominée par le plaisir que lui procuraient les frictions de son "berlingot", Solange se laissa doucement emporter par la volupté ; déçue cependant que sa culotte trop ajustée de par sa position soit un obstacle aux attouchements de Christian. Une houle sensuelle de plus en plus dévastatrice parcourait son bas-ventre ainsi que ses reins, avant dirradier ses seins, gonflant douloureusement ses mamelons.

Lidée de laisser la jouissance la submerger et la libérer enfin de ce diabolique désir qui la liquéfiait lui vint à lesprit. Surtout que le doigt de son jeune partenaire sur son "bouton de rose" se faisait de plus en plus ensorcelant. Alors quelle sabandonnait à la douce volupté qui sournoisement prenait possession de ses organes sexuels, les phares de la voiture éclairèrent soudainement le portail de son habitation : une ancienne ferme quelle avait restaurée et où elle avait invité la famille de son frère à venir y passer une semaine. La vision de sa demeure illuminée ramena Solange à la réalité. Dans un sursaut de tout son être, elle échappa à la main de lado qui avait bien failli lamener à lorgasme, pour séjecter de la voiture afin daller ouvrir le portail de fer.

Alors que Luc rentrait la voiture au garage, Solange, suivit de sa belle-sur et de son neveu, pénétra dans limmense hall qui desservait la maison.

Excusez-moi, sexclama Isabelle. Jai trop envie daller aux toilettes. Jai cru que jallais faire pipi dans ma culotte !

A cette remarque Solange songea avec amusement que si sa culotte était trempée ce nétait pas dû à des fuites urinaires.

À peine sa belle-sur partie, Solange sapprocha de Christian quelle saisit par la taille pour lattirer contre elle. Plaquant son bas-ventre à celui de son jeune complice, elle perçut avec émotion la raideur du membre viril, lui frapper le pubis. Le désir qui la travaillait depuis le début de la soirée saccentua encore, la faisant vaciller sur ses jambes. Comment ladolescent pouvait-il bander, alors quelle lavait fait jouir quelques instants auparavant ?

Jai envie que tu me fasses lamour, susurra-t-elle à loreille de Christian

Comme ladolescent demeurait muet, Solange frotta lascivement son bas-ventre contre la dureté que faisait la verge bandée.

Humm, jai bien limpression que toi aussi tu as envie !… Tu ne veux pas me baiser ?

Oh, tantine !

Ça veut dire oui ?

Oh oui, sexclama alors Christian incrédule.

Alors, laisse la porte-fenêtre de ta chambre ouverte, je viendrais te rejoindre quand tes parents seront endormis

Ne pouvant résister au désir de sentir cette jeune verge qui sincrustait dans son ventre, Solange plongea sa main en direction de la braguette de son neveu et referma ses doigts autour de lénorme protubérance.

Hum, jai hâte de sentir ton gros bout dans ma chatte, murmura-t-elle.

Le bruit de la chasse deau venant des toilettes força Solange à reprendre une attitude correspondante à une tante avec son neveu.

Nhésitez pas à me faire part de vos critiques ; surtout ce qui vous agace dans mon histoire, cela me permet daméliorer mon écriture.

Fulvia

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