Chapitre 7, On se revoit ?
Le soir, étant encore une fois frappé dinsomnies comme ça marrivait de temps à autre, je décidai de ressortir le bout de papier griffonné par Julie laprès-midi même. Jinscrivis le numéro sur lécran et mis longtemps avant denvoyer le sms suivant :
« Coucou Julie, cest Quentin, voilà, je sais pas pourquoi mais jai envie de te renvoyer un sms car, comme je te lai dit tantôt, jai envie de garder le contact. En plus ton histoire et toi mavez troublé, à tel point que je ne trouve pas le sommeil »
Quelques minutes plus tard, je reçu sa réponse, content quelle soit tout comme moi, une nocturne.
« Hey Quentin ! Jattendais ton sms, merci, ça me fait plaisir. Toi non plus tu narrives pas à dormir
Je me disais quon pourrait peut-être se voir alors si tu ne dors pas, jai une voiture si tu veux »
Je ne mattendais pas à une réponse pareille, je me réjouissais davance de cette idée.
Je lui répondis alors réjoui :
« Oh oui ça me plairait vraiment, voici mon adresse, je tattends avec plaisir, tu pourras finir ton histoire Je te fais du café ou du thé ? »
« ça fait longtemps que quelquun na plus été au petit soin avec moi à deux heures du matin lol du thé stp, le temps de me rhabiller, de démarrer et jarrive chez toi ! See you soon ! »
Une demi-heure plus tard, elle toquait à ma porte. Je laccueillis dans mon « humble chez moi », en gros un petit appart pas trop mal situé et pas trop mal foutu.
Je linstallais dans le salon pendant que jallais chercher le thé. Elle mavait lair plus souriante que dans le train, je men réjouis.
Je lui demanda si elle voulait bien continuer son histoire, elle me répondit que jaurais dû oublier tout ça, mais je persistais en lui disant que je tenais à faire sa connaissance.
Elle sourit, but une gorgée de thé et reprit où elle sétait arrêtée.
Après cette soirée avec sa sur, il ny avait plus une nuit où elles restaient seules, allant parfois dans le lit de Julie, parfois dans celui de Caroline. Leur mère était de toute façon trop arrangée pour se rendre compte de quoi que ce soit. Une chaude soirée dété où les deux surs profitaient de la terrasse, Caroline demanda ouvertement à Julie : « Dis ma soeurette, je te fais découvrir doucement des trucs et jadore ça, mais moi tu ne me fais rien, ce nest pas un reproche mais à chaque fois que je moccupe de toi ça mexcite puis je reste frustrée un petit peu Tu voudrais que je tapprenne aussi à toccuper dune fille ? »
Julie fut abasourdie par cette question. Elle avait imaginé une ou deux fois faire ce que sa sur lui faisait, mais sans jamais aller plus loin. Et maintenant que la question était sur la table, elle doutait soudain.
Caroline sen aperçu et, le regard déçu, monta dans sa chambre sans rien dire.
Julie resta quelques minutes de plus sur la terrasse puis monta en direction de la chambre de sa sur. Là, pour la première fois depuis ces derniers temps, elle vit la porte de sa sur fermée. Elle louvrit doucement et vit Caroline en train de pleurer sur son lit. Doù Julie était, elle ne pouvait voir que les fesses, le dos et les cheveux de Julie. Elle voyait aussi sa poitrine se gonfler spasmodiquement en fonction des sanglots qui animaient sa sur. Elle approcha delle sur la pointe des pieds, monta sur son lit et, en se penchant, déposa un baiser dans le cou de sa sur, endroit quelle savait très sensible chez elle. Caroline se figea alors. Sans un mot, la main de Julie alla trouver lattache du soutien-gorge de sa sur qui céda vite. Sa langue descendit alors le long de son dos, pendant que ses mains descendaient déjà son mini short. Julie remarqua quil ny avait rien dautre à enlever, et se dit que sa sur avait prévu le coup. Peu importe, elle continua à descendre avec sa langue. Caroline, de contentement, avait écarté les cuisses. Julie glissa ses doigts le long de sa fente, déjà trempée. Elle découvrait pour la première fois lodeur si particulière dune femme qui mouille.