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Histoires d'un mâle alpha – Chapitre 14




Je l’ai soulevée et l’ai prise sur le canapé du salon, en cuillère, puis elle sur moi, me tournant le dos. Ensuite la cuisine, puis l’escalier, pour enchaîner dans la douche. Elle avait eu quatre ou cinq orgasmes et j’avais joui deux fois, une fois dans sa bouche et une fois encore sur ses magnifiques seins. On s’embrassait dans la salle de bain.

— Viens, je veux que tu me baises dans le lit de mes parents.

— Un peu cliché mais OK.

— Je pensais pas que les clichés te dérangeaient.

— Pas du tout.

Je l’ai suivie dans la chambre de ses parents. Elle s’est mise à quatre pattes sur le lit, cambrée et a tourné la tête vers moi :

— Viens. Je suis toute à toi.

— Toute ?

— Toute !

Mmmmmm. Je l’ai prise en levrette sans ménagement, et lui ai doigté le cul pour le préparer. J’ai finalement fait claquer mon gland sur son petit trou, avant de m’enfoncer doucement en elle, puis de ressortir. Après quelques répétitions, je me suis bien enfoncé en elle, de plus en plus loin et j’ai commencé à lui limer le cul. Elle hurlait, de douleur puis de plaisir. Elle miaulait. Je prenais sa chatte et son cul en alternance, avant de la plaquer de tout son long sur le lit et de la pilonner, moi au-dessus d’elle, tous mes muscles bandés. Ma femelle, la croupe à peine relevée pour son mâle. Elle a eu deux orgasmes consécutifs avant de me supplier de venir en elle.

— Remplis-moi Isaiah, je t’en prie, je veux ton sperme en moi, marque-moi.

J’ai joui dans son cul.

On est restés de longues minutes allongés côte à côte sur le lit de ses parents. On se caressait, on s’embrassait.

— J’en connais une qui ne va pas s’emmerder.

Elle avait dit ça en me souriant.

— Si tant est qu’elle m’accepte.

— Ouais, énorme suspense.

— Tu crois ?

On s’est embrassé.

— Merci Isaiah.

— Merci Élise.

On s’est douchés, elle m’a sucé de nouveau, pour le plaisir. Et surtout m’a branlé entre ses mamelles. Je suis parti en fin d’après-midi. La maison puait le sexe. Ses parents n’allaient pas tarder.

Je me suis assis dans la voiture, j’y avais laissé mon téléphone. J’ai écrit à Juliette :

— Bonne journée ?

— Oui et toi ?

— Pas mal oui. Mon père s’occupe bien de vous ?

— Pffff, il s’occupe bien de ma mère. Moi suis toute seule…

— Oh, pauvre petite chatte…

— On est à la maison, tu viens ?

— J’arrive.

Ensuite j’allais écrire à Manon, mais Élise m’a écrit :

— Merci mon Roi.

— De rien ma petite salope.

Puis à Manon donc :

— Bonsoir ma chérie, vous allez bien ? Plus que 12 heures avant de voir votre sourire et je me languis. Oui ce SMS est nul, mais j’avais envie d’être nul.

— Mmmmm pas si nul que ça. On est en train de rentrer à la maison. Je vais me faire un bain moussant ce soir qui va durer des heures. Et ensuite choisir ma tenue pour demain…

— Choisis bien

— Promis bébé.

Puis je reçois un SMS d’Élodie :

— Soirée à l’appart mardi soir.

— J’apporte quoi ?

— On a tout ce qu’il faut. Enfin presque;-) N’en parle pas à Karine. Ce sera en petit comité.

— OK, je te redis.

— Sérieusement ?

— Sérieusement !

Évidemment que je vais y aller : une soirée avec quatre mannequins… je ne vais pas rater ça.

Plus étonnant alors que j’arrive chez moi, je reçois un message de l’administration du lycée, me signifiant que je suis convoqué le lendemain midi chez la proviseure. Il n’y est pas dit pourquoi, mais comme je n’ai rien à me reprocher, je me dis que c’est un truc administratif. Cela me plaît bien, ça me fera l’occasion d’avancer un peu sur le dossier Anne-Sophie. Me taper la proviseure n’est pas un objectif en soi, mais comme elle est vraiment pas mal, ça me motive. Je me gare et file chez Juliette.

C’est elle qui vient m’ouvrir, en bikini.

— Mmmmm superbe !

On se roule de grosses pelles dans l’entrée. Je la soulève et la porte jusque dans le jardin où mon père discute avec Catherine. Mon père est en slip de bain, et Catherine porte elle un maillot une pièce mais très ouvert sur ses seins et dont juste une bande verticale de tissus lie le haut au bas. Il est de plus très très échancré dans le dos. Magnifique ! Juliette me voit mater sa mère :

— C’est superbe là aussi ?

— Oui, j’avoue.

— Merci pour elle.

On s’est pris un verre tous les quatre au bord de la piscine. Catherine était vraiment très sympa. Cela dit il y avait quelque chose d’étonnant chez elle. Un mélange de douceur et de féminité avec une teinte de supériorité et d’autorité. Elle était en fait parfaite pour mon père, qui semblait aux anges, de répondre à la moindre de ses demandes. Il n’était pas chez lui, mais allait lui chercher à boire. Alors que l’on se baignait avec Juliette, elle lui a demandé de lui faire des retouches de vernis à ongles sur les pieds. Il l’a fait. On a dîné chez eux. Le soir, elle me demande de rester chez elle. Mon père reste aussi, avec Catherine. On baise une bonne partie de la nuit. Elle m’offre son cul. Je le prends. Dans la nuit, elle me dit que son mec rentre le week-end prochain pour trois jours.

— Du coup, il faudra que j’évite de débarquer nu chez toi ?

— Ah ah, oui c’est ça. T’as tout compris.

— Pourquoi tu le largues pas ?

— Je ne suis pas amoureuse de toi Isaiah.

— Oui ça je sais ma belle. T’es amoureuse de lui ?

— Je ne sais pas.

— OK. De toute façon, je ne vais pas te saouler avec ça.

— Merci mon chéri.

— Embrasse-moi ma belle.

On baise de nouveau, cette fois presque tendrement, elle jouit au moment même où je me déverse en elle. Je reste en elle de longues minutes. Elle se rendort dans mes bras. J’ai soif, je descends dans la cuisine, nu, la queue encore gluante de sperme et de mouille, le corps luisant de sueur. Je suis la tête dans le frigo, quand j’entends du bruit. Je referme le frigo, et tombe nez à nez avec Catherine. Micro nuisette soie et dentelle, noire et rose, très décolletée et très très très courte. Je la détaille lentement, de la tête aux pieds. Moi je me tiens nu, le sexe lourd, pendant, sans aucune gêne.

— Vous avez soif Catherine ?

— Pardon ? Euh… oui, oui…

Pour la première fois elle semblait légèrement décontenancée.

— J’ai eu un coup de chaud aussi, je suis descendu me rafraîchir.

— Mmmm, oui, oui tu as bien fait. Tu aurais pu t’habiller…

— Juliette m’a dit de faire comme chez moi.

Elle a du mal à ne pas regarder mon sexe. Je bois une gorgée d’eau.

— Vous savez Catherine, que chez certaines espèces, après la saillie d’une de ses femelles, le sexe gluant du mâle alpha est un mets très appréciée des autres femelles du groupe ?

— (Après un silence où elle semble ne pas savoir que dire ou faire) Ah, et tu as lu ça où ?

— Dans un glamour ou un cosmo je ne sais plus… Bon, vous connaissez la maison, Catherine, faites comme chez vous.

Je dis cela avec un grand sourire et retourne dans la chambre. Je sais bien qu’elle ne va pas me rejoindre dans la chambre de sa fille, mais je sens bien son trouble quand je lui tourne le dos. Je remonte dans la chambre.

Le matin, j’ai fait le même numéro que la veille dans la cuisine. En boxer, gaule matinale. Cette fois Catherine n’a rien dit, elle a juste profité du spectacle, à deux ou trois reprises aussi discrètement que possible. Il y avait un grand miroir dans un des couloirs, je me suis regardé dedans, et me suis trouvé vraiment beau. Tout ce sexe me réussissait vraiment. Il ne fallait pas arrêter.

Je quitte Juliette, qui m’embrasse langoureusement. Puis je repasse à la maison, prends une douche, et me change.

J’avais hâte de retrouver Manon. Sincèrement. Je me demandais juste comment on allait se comporter l’un envers l’autre, et aussi comment cela allait se passer avec Sophie et Élise. Je pensais aussi à ma convocation chez la proviseur. Cela me fit bander.

J’arrive au lycée ; je croise Greg qui fait la gueule, quelques regards de gens de notre classe sur lui ; je pensais qu’ils auraient eu pitié de lui mais ils le trouvaient vraiment con. Quelques regards sur moi, remplis d’admiration. J’adore.

Je vois Élise et Sophie qui sont déjà là. On se fait la bise, elles se collent un peu plus que de raison à moi. J’ai du mal à résister à l’envie de les serrer contre moi et de les embrasser. Mais il y a des limites. L’idée n’est pas de faire n’importe quoi au lycée, devant les gens ; vis-à-vis de moi je m’en fous, mais cela nuirait à Manon en premier lieu et aussi à ses deux copines. Mais c’est vrai que quand Élise a collé ses seins sur moi, ce fut très très difficile.

— Alors ce week-end ?

— Pas mal du tout, j’avoue. Et le tien Sophie ?

— Disons stimulant le samedi, frustrant le dimanche.

— Ah ? Et toi Elise ?

— C’est amusant, c’est à peu près exactement l’inverse.

On se sourit. Et je vois Manon arriver. Bottines à talons aiguilles en cuir noir, manteau court cintré, ouvert sur une minirobe moulante, motifs à carreaux et… boutonnée par de gros boutons sur tout le devant, de haut en bas. Elle est ravissante, superbement coiffée et maquillée. Je vois Greg qui la regarde passer et bave d’envie. Elle n’a pas un regard pour lui ; elle sourit, elle me sourit. Elle arrive devant moi, fait la bise à ses deux copines, presque des câlins, elles se parlent doucement, toutes les trois complices, puis elle se colle à moi.

— Bonjour vous.

— Salut ma belle.

Elle m’embrasse. Je l’embrasse. J’ai envie de lui faire l’amour, là. Maintenant. Notre baiser dure de longues secondes, voire minutes je ne sais pas bien. Le prof arrive. On entre en classe, j’arrive à lui glisser une main aux fesses alors qu’on se dirige vers notre table. Elle tourne la tête vers moi, en faisant une moue faussement accusatrice. Elle m’excite. On s’assied, le cours commence.

— Tu as passé un bon week-end Manon ?

— Excellent oui, c’était sympa, et reposant. J’en avais besoin. Et toi ?

En disant cela, elle m’a glissé un mot sur un papier : « je ne veux aucun détail, d’accord Isaiah ? ». Je lui ai souri :

— Oui très bon. Mais suis content que l’on soit lundi.

Elle a souri à son tour, timidement.

— Merci…

— Et je ne te cache pas que ta tenue ne fait qu’augmenter ce sentiment.

— Je te plais ?

— Beaucoup.

— Je me suis dit que tu apprécierais.

— Donc tu as pensé à moi ce matin.

— Oui !

Le cours se passe normalement. Juste avant la sonnerie, elle me dit : « on se trouve un endroit pour discuter à la pause ? »

J’acquiesce. On se lève et on quitte la salle, on se trouve un endroit dans la cour, on s’assied. On est à l’écart. Assis l’un à côté de l’autre, l’un contre l’autre.

— J’ai passé le week-end à réfléchir, et à essayer de me convaincre que ce n’était pas une bonne idée. Mais j’ai l’impression qu’avec toi je suis heureuse Isaiah. Que j’ai envie et besoin d’être avec toi. Et je crois que j’ai accepté le fait d’être à toi, sans que cela soit forcément réciproque.

— Tu crois ou tu sais ?

— Je sais.

— J’ai aussi très très très envie d’être avec toi Manon. Sincèrement. Tu me crois ?

— Oui.

— Pour ce qui est d’être à toi, je ne suis pas ce mec-là, je ne vais pas te mentir. J’ai des sentiments pour toi, vraiment, je pense à toi, comme je n’ai jamais pensé à aucune fille. Je te désire comme je n’ai jamais désiré une fille avant. Et je ne parle pas que de sexe là. Je désire du temps avec toi, je désire des moments tous les deux. Je ne peux pas te forcer à accepter, je ne suis pas comme ça. Mais j’ai envie d’être ton mec. Vraiment.

— J’ai envie d’être ta copine.

— Et tu es prête à accepter le reste ?

— Je crois oui.

— Il faut en être sûre Manon. Je ne veux absolument pas te faire souffrir. Si tu n’en es pas convaincue, tu vas souffrir avec moi et je ne veux pas de ça. Prends le temps qu’il te faut. Et si tu dis non au final, je le comprendrai évidemment et j’espère qu’on aura du temps ensemble, en tant qu’amis, ou amants, ou les deux. J’ai envie de t’avoir dans ma vie, d’une manière ou d’une autre.

— J’en suis sûre Isaiah.

— Vraiment ?

— Vraiment.

— Embrasse-moi.

Elle souriait, s’est assise sur mes genoux et m’a embrassé. La sonnerie a retenti, nos lèvres se sont séparées. Manon m’a regardé :

— Je t’aime Isaiah.

Je l’ai regardé. On s’est souri.

— Je sais ma belle.

On est retourné en cours, main dans la main. Elle m’a glissé un mot au milieu du cours suivant :

— Je suis à toi Isaiah.

— Entièrement ?

— Entièrement

Le dernier mot était suivi de curs. J’allais pouvoir aller l’esprit libre à mon rendez-vous avec la proviseure.

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