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Visite surprise au bureau – Chapitre 5




5) Une chef proche de ses employés

Je refermais la porte derrière moi, Maîtresse Jessica quelques pas plus loin, mattendait assise avec un sourire goguenard :

Ça sest bien passé ? Tu tes fait niquer comme il faut ?

Comme je gardais le silence, elle fit un signe de la main pour me menacer de me fesser.

Oui Maîtresse, Monsieur Perteau ma copieusement fourré, il ma ramoné de fond en comble et maintenant, jai du foutre plein la chatte.

Jétais tellement retournée de ma baise avec le patron, que pendant un instant, javais oublié que tous les employés de la boîte étaient toujours présents. Aussi me sentis-je affreusement honteuse après les quelques mots que je venais de prononcer. Je sentais leur regard méprisant, jimaginais ce quils pouvaient penser de moi et cétait plus que je ne pouvais le supporter pour la journée.

Est-ce que je peux partir maintenant ? Je voudrais rentrer chez moi… je suis épuisé, demandais-je à Jessica.

Tu rigoles ! Tu ne viens que de commencer à te comporter correctement en salope. Maintenant, ce que tu vas faire, cest allé texcuser auprès de tous tes camarades pour avoir joué à la chef alors que tu nes quune petite pute, compris ?

Mais

Ou sinon panpan culcul.

Elle minfantilisait encore Elle savait que me traiter ainsi devant tous mes collaborateurs était une destruction professionnelle plus sûre que toutes les humiliations perverses quelle pouvait imaginer. Mais je navais pas vraiment le choix. Javais perdu pied si je voulais que toute cette histoire ne dépasse pas le cadre de lentreprise, je devais boire le calice de la honte jusquà la lie.

Oui très bien. Cédais-je vaincu.

Jessica se leva alors de son siège, et déclama devant tous les employés du bureau :

Votre attention, sil vous plaît ! Ma salope desclave que vous connaissez sous le nom dIsabelle vous a menti toutes ces années. Elle se faisait passer pour votre chef, alors quelle nétait quune lécheuse de chatte. Oui, elle lèche les chattes, elle aime les godes ; cest une salope comme vous navez pas idée. Si vous fréquentez des putes, elles sont du haut du panier comparées à cette chienne. Et une pute vous donne-t-elle des ordres ? Non ! Une pute vous lenfilez, vous lui déchargez la purée dedans ! Alors que faut-il faire de cette garce devant moi qui vous a dicté votre conduite ? Qui pense mériter des excuses de sa part ? Nayez pas peur, levez la main

Quelques secondes plus tard, je vis Jean tendre le bras. Ce nétait pas étonnant vu la façon dont je lavais insulté ce matin. Merde, dire quil y a encore que quelques heures je les dominais, je parlais à tous ces tocards comme je voulais et ils avaient peur de moi et maintenant maintenant

Et bien, quest-ce que tu attends ? me demanda Jessica.

Il fallait que jaille au bureau de Jean, comme je me traînais, ayant peu denthousiasme à accomplir cette corvée, je reçus un coup de pied au cul de la part de ma maîtresse pour me presser un peu. Jarrivais devant Jean, les jambes flageolantes.

Je baisais la tête et murmurai :

Tu

Un violent coup de règle me fit gémir.

À genoux les excuses ! Et parle plus fort, chienne ! Et vouvoie-le ! Traite-le comme si cétait ton putain de dieu.

Je magenouillais, la tête basse. Javais lair vraiment sotte. Mais je savais que Jean nétait au fond pas méchant, il accepterait vite mes excuses et je pourrais passer au suivant.

Je mexcuse, maître.

Et tu texcuses de quoi salope, répondit-il.

Il avait un ton que je ne lui connaissais pas. Je me doutais quil était en colère contre moi, mais il y avait quelque chose dautre, une rage rentrée.

Je mexcuse de tavoir donné des ordres alors que je suis une chienne. De tavoir donné trop de travail davoir agi comme une sale conne.

Et encore ?

Je mexcuse de tavoir manqué de respect alors que je suis une pétasse sans honneur, une truie à baffer.

Et quest-ce que tu vas faire pour quil te pardonne ? demanda Jessica.

Je peux lui laisser plus de temps pour finir le dossier que je lui ai confié.

Pour finir le dossier ? Ah ah… Pour Ah aha ha AHAHAHAHA ! Pour finir le dossier ! Ah ha ha, jy crois pas ! AHAHAHA ! Jy crois pas ! Elle AHAHAHA !

Jessica se pliait en deux en proie à un fou rire. Il lui fallut cinq minutes pour quelle reprenne son calme.

Vous avez entendu ça vous autres ? Elle veut lui laisser plus de temps pour finir le dossier ! Pour se faire pardonner !

Les employés imitant poliment Jessica se marraient, sans être bien sûr de ce quil y avait de drôle.

Mais tu nas rien compris ma grosse vache ? Tu nes plus la chef ici. Tu nas pas répondu à mes appels, tu te souviens ? Et tu crois que tu allais continuer à vivre ta vie comme ça ? Mais tes complètement à côté de tes pompes pupute Non, ce que tu vas faire maintenant, cest que tu vas sucer. Oui tu vas sucer jusquà ce que ta mâchoire soit si ouverte et si détendue quon pourrait y faire entrer une bouteille de Coca. Oui, tu vas vider des couilles, dabord celle de Jean. Et après tu texcuseras auprès de chacun de ces braves hommes, et tu avaleras leur sperme sans rechigner. Miam-Miam, tu vas te régaler, de bonnes grosses doses de foutres dans ton estomac ! Tu nes pas contente ?

Attendez ! Je suis désolé si jai

Il est trop tard pour être désolé. Maintenant cest lheure de te comporter comme une chienne, et tu vas sucer des os. Alors, ne te fais pas prier ! Et puis, je suis sûr que cétait un de tes fantasmes de salope Ce matin encore, tu as dû te réveiller en te disant : « Et si je servais de paillasse à foutre à mes collègues ! Ce que jaimerais quils arrêtent de me respecter et quils me traitent comme la dernière des pouffiasses… » Et voilà que jarrive pour que tu réalises ton souhait, tu nes pas heureuse ?

Je me rendis compte que je navais plus la force de me rebeller, javais peu à peu perdu toute volonté de me battre. Tout ce que je voulais cétait den finir le plus vite possible. Jessica insistait cependant pour que je mabaisse encore plus

Alors tu le dis que tu veux de la bonne sucette ? Et sois un peu enthousiasmé. Tu ne souris même pas ! Tu ne voudrais quand même pas recevoir une nouvelle leçon de savoir-vivre ?

Non, cest bon je vais me régaler de sperme ! Miam ! Jen salive déjà, du bon sperme tout chaud pour moi !

Comme Jean ne bougeait pas et quil ne savait pas trop comment sadresser à moi. Je dus prendre linitiative. Je mapprochais de lui et commençais à lui retirer son pantalon. Je sentais Jessica simpatienter derrière moi, prête à me fesser ou pire, aussi essayais-je de faire preuve dentrain :

Ce que jai envie de te sucer, bordel ! je suis tellement chaude. Tu veux bien me faire ce plaisir, hein ?

Euh oui.

Alors, laisse-moi prendre ta grosse bite dans ma bouche

Je commençais à le sucer. Javais dû magenouiller sous son bureau, au moins les autres ne pouvaient pas me voir. Cétait bien mon seul réconfort dans cette situation, car la queue de Jean memplissait tout le gosier, javais limpression quil allait élargir ma trachée. Jallais prendre du recul, mais je ne sais pas si cétait luvre Jessica ou Jean, mais ma tête était maintenue fermement. Javais la gueule empalée sur sa bite. Je sentais les pulsations de sa queue saccélérer. Finalement son sperme jaillit, me coulant dans lsophage. Cétait assez dégoûtant, mais coincé comme je létais, je ne pouvais rien recracher. Il desserra lemprise sur ma tête et je pus à nouveau respirer de lair loin de ses couilles.

Jessica mapostropha immédiatement :

Tu as bien avalé, alors remercie-le maintenant »

Merci de mavoir donné votre sperme à manger, Jean, je me sens beaucoup mieux maintenant ! Si je pouvais avoir ça tout le temps je ne mangerais jamais de sucreries.

Cest bien, je suis sûr que tout le monde est ravi de savoir que tu adores le foutre, mais je crois quils le savaient déjà avec ta tête de pétasse. Ce nest pas comme ça quil faut les remercier.

Cest-à-dire… quest-ce que je dois

Jessica sortit de son sac un chéquier. En fait à y regarder de plus près il sagissait du mien.

Maintenant, salope pour te faire pardonner de ta connerie et de ta saloperie. Tu vas faire un chèque après chaque pipe.

Quoi ? Mais

Tu veux que tout le monde soit au courant que tu es une traînée ?

Elle voulait que je paie pour avaler leur sperme ! Putain, quelle salope. Elle me traitait pire quune pute, mais si cétait la seule solution je pouvais faire un dernier effort.

Payer mais… disons mille euros ?

Mille euros ! Mais tu as gagné combien ici à faire semblant de travailler, alors que tu ne faisais que tortiller ton cul ? Oh non ! Pas mille euros, tu nimagines pas à quel point tu es loin du compte tu as vingt pipes à faire et je sais que tu as un peu plus de 400.000 euros sur ton compte alors disons 20.000 euros par pipe ? Et tu ten tires bien comme ça, tu auras un joli compte en banque tout propret, sans trace dargent que tu naurais pas mérité. Mais tu ferais bien de te dépêcher, la journée finit à dix-sept heures. Si tu les obliges à faire des heures supplémentaires, ce sera 1000 euros de plus la minute.

Je regardais ma montre, il était quinze heures trente. Ça me laissait une heure de demi pour faire les dix-neuf pipes restante ! Si je comptais une minute pour signer un chèque ça me faisait moins de cinq minutes pour pratiquer une fellation ! Et tout ça pour être ruiné au bout du compte, je ne pus mempêcher de protester :

Mais ça va vider mon compte !

Et tu crois quune salope comme toit a le droit davoir de largent en réserve ? Une bonne salope, si elle a des sous, elle le dépense pour sucer des queues !

Jallais perdre quatre cent mille balles. Je me sentis blêmir, incapable de bouger, frappé de stupeur.

Tu nas pas lair bien, tes toute pâle… Heureusement que de bonnes rasades de foutre font te remettre sur pieds ! Mais, je ne suis pas étonnée que tu le prennes mal, tu sais Parce que, au fond, tes une vraie pute. Tu as la chance de te faire pardonner de têtre comporté comme une salope, et ce qui te préoccupe cest que tu vas perdre un peu de fric ! Tas une mentalité de traînée. Maintenant, signe le chèque, dit-elle en me donnant une tape sur les fesses.

Elle avait déjà inscrit la somme, vingt mille euros, ainsi que le destinataire. Je tremblais affreusement, mais parviens tout de même à signer le chèque.

Bravo pétasse ! Et comme je ne suis pas vache, je tai préparé un cadeau.

Javais toujours le regard perdu dans le vide, pensant à mon compte en banque qui allait se réduire comme peau de chagrin. Toutes ces années de travail que javais accompli, toutes ces années passées à économiser allaient être réduite à néant en même pas deux heures ! Je navais quà peine conscience de qui se passait autour de moi. Si bien, que ce nest que lorsque jentendis le « clac » dun cadenas que je me rendis compte que Jessica sactivait autour de mon cou. Elle venait de maccrocher un collier autour du cou. Un gros collier rouge, clouté et fermé par un cadenas. Il y avait une boucle devant, où était attaché mon badge dentreprise, et derrière je sentais une laisse fixée au collier.

Je remarquais que mon badge avait été modifié. On avait changé mon nom pour « Pupute » et comme attribution « Salope du bureau »

Alors, Pupute, contente de ton cadeau ?

Avant que jaie pu répondre, Jacques tenait la laisse et tira dessus. Je métranglais, sentis le sperme de Jean remonter. Je mapprochais de la main qui tenait la laisse pour ne pas étouffer. Il sagissait dune laisse rétractable, comme Jean la tenait à trente centimètres du sol, je dus baisser la tête au niveau de sa main pour ne pas me faire stranguler. Quand il commença à marcher, incapable de tenir cette position de contorsionniste, je dus me mettre à quatre pattes pour le suivre.

Cest bien, approuve Jessica, mets-toi à genoux, petite chienne ! Quand quelquun tient ta laisse, tu ne dois te déplacer quà quatre pattes.

Javais vraiment lair ridicule à me presser ainsi à genoux, à me traîner derrière les chaussures de Jacques. Je savais aussi que dans cette position tout le monde pouvait voir ma chatte sous mon tailleur. Le plus gênant étant quelle était gorgée du sperme du patron. La seule bonne chose à tirer de cette situation était que mes collaborateurs allaient jouir plus vite en me voyant ainsi dégradée. Je naurais peut-être pas à devoir les sucer en heure supplémentaire.

Jarrivais enfin au bureau de Jacques. Pendant quil sy installait, je présentais à nouveau mes excuses. Je sentais que cela devenait plus facile, javais tellement été humilié quil ny avait plus grand-chose qui puisse me faire honte.

Je suis désolé davoir agi comme une pute avec vous. Jadorerais sucer votre queue pour me faire pardonner. Sentir votre foutre dans ma gorge, ce serait vraiment un délice, et passer ma langue

Ta gueule salope !

Il avait déjà retiré son pantalon et son slip et présentait une érection bien dure. Jouvris la bouche en grand, et il menfonça sa queue dans ma bouche.

Suce-moi la queue pétasse.

Je suçais comme on me le commandait. Je navais pas vraiment le choix, si javais perdu espoir que je puisse me présenter à nouveau au bureau le lendemain, je pouvais encore escompter que toutes les humiliations que je subissais resteraient un secret. Peut-être que si je ne faisais pas dhistoire je pourrais partir et recommencer ma vie autre part.

Dans cette pensée, je ne savais pas trop ce qui faisait partie dun espoir sincère de men sortir, et ce qui faisait partie de mon habitude de me soumettre auquel mavait conditionné Jessica. En tout cas je me retrouvais à sucer la queue de mon collègue, et je me sentais la pire des putes. Heureusement, il était déjà à deux doigts déclater et son sexe ne resta pas plus de trois minutes dans ma bouche quun jet de sperme chaud men aspergea lintérieur.

Il reboutonna son pantalon, mordonna : « Avale, salope ! » Jobéis, le liquide me descendit dans lestomac. On me tendit un stylo, je me levais et signais un chèque de 20.000 euros.

Contente salope ? demanda Jacques.

Alors que jallais lui répondre vertement, mes paroles restèrent inaudibles car lon tira sur mon cou, me coupant la respiration. Un autre propriétaire avait pris possession de ma laisse. À nouveau jétais obligée de me déplacer à quatre pattes comme une chienne. À peine arrivé au bureau de mon nouveau maître, ce dernier me demanda :

Alors suceuse prête pour une grosse queue ?

Oui monsieur.

Et pourquoi ?

Parce que je suis la plus grosse salope du bureau et que cest tout ce que je mérite

Bien, vas-y déguste

Je ne devais pas perdre de temps, je ne devais pas prendre plus de cinq minutes pour avaler la purée. Aussi suçais-je son chibre avec avidité, lui léchant même les couilles pour assurer quil éjacule vite. À partir de ce moment, je perdais un peu la notion du temps. Je passais l’après-midi à sucer, lécher et avaler du sperme. Je me débéquetais à lécher le gland de tous ces mecs, mais il ny avait pas de temps à perdre. Je crois quau bout de la cinquième rasade de foutre, je perdis aussi le compte des employés qui sétaient déjà servis de moi. Jétais traînée dun bureau à lautre, dune queue à lautre, avant de recevoir du jus en pleine face. Les hommes étaient pressés de se vider en moi, et je commençais à me sentir nauséeuse. Lodeur du sperme semblait mimprégner, il faut dire que certains avaient déchargé en dehors de ma bouche me couvrant la figure de liquide séminal. Jen avais même plein les cheveux, lodeur commençait à me faire tourner la tête.

Certains voulaient encore que je mexcuse, javais perdu toute volonté de me défendre. Je disais ce quils voulaient :

« Votre Pupute est désolé de ce quelle vous a fait faire. Est-ce que je peux sucer votre bite sil vous plaît ? Je vais vous sucer comme une vraie salope ! Vous ne le regretterez pas ! » ou « je veux me faire pardonner de vous avoir excitée comme une traînée, sans jamais vous avoir sucée la queue comme il fallait. Je vous en prie, laissez-moi la mettre dans ma bouche ! »

Certains aimaient particulièrement mhumilier, me taraudant de questions telles que : « Alors tu aimes ça paillasse, quon te fasse avaler notre jus ?

Oui monsieur ! Je me régale comme jamais ! » Jessayais dêtre enthousiasme pour quils se pressent de me laisser leur sucer la queue.

On me répondait : « Allez, viens goûter ma saucisse » ou « viens prendre ta dragée, salope » javais vaguement conscience que quelques heures plus tôt ils me réservaient du "Madame", et avaient la trouille quand jallais leur parlé. Maintenant je nétais quune pute suçant des queues. Merde !

Quand je nobéissais pas immédiatement, ou que je voulais reprendre mon souffle, ils tiraient sur ma laisse pour me forcer à me rapprocher de leur bite. Je ne voyais plus que ça, des bites, elles passaient par ma bouche et me crachaient leur jus à la gueule.

Certains qui ne mavaient pas encore fourré leur queue dans ma bouche demandaient : « Elle suce bien ? » à quoi on répondait « une salope de première ! Tu vas te régaler. » Ou bien ils donnaient des conseils « Ça va, il faut la lui mettre bien en profondeur en fait. Nhésite pas à la lui enfoncer dans la gorge ! Elle adore ça. » Ils discutaient comme si je nétais pas là. Ou en tout cas pas assez important pour que lon sen soucie, une chienne juste bonne à avaler des queues. Et à ce moment, cétait ce que jétais.

À mesure quon menfonçait des bites dans la bouche, je bavais. Ma salive et le jus de pine me coulaient le long du visage. Quand je me mis à fatiguer, on commença à me tirer sur les cheveux pour que je mactive un peu plus. Je me mettais alors à sucer les bites plus diligemment, agissant comme un automate pour pervers.

Et le pire était quaprès chaque pipe, je signais des chèques de dizaines de milliers deuros. Certains me remerciaient en donnant une fessée : « Alors pupute, tas été si contente que ça de me faire une pipe ? » ou bien « Tu tes régalée pétasse ? Tu mas bien vidé les bourses, heureusement que tu vas me les remplir avec tes sous ! » Lun des mecs vidangea sa semence dans mon ventre en telle quantité que je fus pris dun haut-le-cur. Je recrachais une bonne partie du foutre sur moi, ma chemise fut trempée de sperme, mon tailleur noir avait pris une teinte blanche, jétais dans un état pitoyable. Je recrachais du sperme par moment, comme si je navais plus que ça dans lorganisme

Je regardais lheure : il était dix-sept heures ! Aussitôt Jessica déclara :

Qui ne sest pas encore fait sucer ?

Deux collègues levèrent la main. Aussitôt je me précipitais sur le plus proche pour lui sucer la bite. Il fit des simagrées, jinsistais : « Donnez-moi votre bonne purée, jaime tellement le goût, soyez gentil ». Chaque minute qui passait, je devais lui donner mille euros de plus. Il finit par donner son accord dun : « Allez prend moi ce rabe de bite pour ta sale gueule »

Jai des frissons, je commence à avoir la nausée rien que lorsque la bite du mec sapproche. Je sens à peine ma langue, mais je suce quand même. Je salive sur sa queue, je fais des bruits de succion sonores « Slurp, mmmmm, shlup »

Pas mal patronne, pardon, salope. Jai du mal à croire que celle qui est sous le bureau cest toi. Jai toujours su que tu étais une salope de première, mais à ce point

Je continuais à mappliquer à sucer.

Dire que tu étais la pute de cette mademoiselle Une grande chef comme toi. Et maintenant tu nes plus quune chienne genoux attendant quon la nourrisse de foutre, ça fait réfléchir non ?

Il tira sur la laisse délogeant son sexe de ma bouche.

Oui Monsieur, je suis une vraie chienne. Une cochonne qui mange ce quon lui donne.

Et il ne fallut pas bien longtemps pour quil me donne à manger ce qui sortait de sa bite.

Il est dix-sept heures dix, tu dois 30.000 euros.

Je commençais à paniquer, encore plus quavant, et je ne pensais pas ça possible. Non seulement jétais traité comme une pute, mais je mendettais très vite. Aussitôt après avoir signé, je me précipitais sur le dernier homme que javais à pomper, le suppliant de me laisser prendre sa bite en bouche.

Il ne fit pas de contrariété, mais je compris vite pourquoi il était le dernier à vouloir se faire sucer. Il bandait mou. Était-ce quil était gêné de ma situation, ou quil était gay ? Je fis de mon mieux, lui léchant le gland et les couilles, ce qui lui redressa le sexe, mais rien que pour ça je dus y passer cinq minutes. Je mettais toute mon énergie dans cette dernière pipe, salivant, faisant pénétrer sa bite entière dans ma gorge, faisant des va-et-vient éprouvants Mais il me fallut un temps fou pour quil parvienne à jouir. Mais finalement la délivrance arriva, la semence jaillit dans ma gorge, javalais le flot de sperme qui déferlait.

Il était dix-sept heures quarante, ça voulait dire 50.000 euros ! Jallais être dans le rouge de soixante mille euros au moins. Et vu que javais perdu mon job, je ne voyais pas comment rembourser. Jétais dans la merde noire. Je me demandais un instant si javais raison de minquiéter de ça. Est-ce que je ne devrais pas plutôt penser au fait que je me retrouvais à avoir englouti une vingtaine de jus de couille en quelques heures Et pas à des amants, ou même des inconnus, mais à des employés à qui ce matin je donnais des ordres, et qui maintenant ne me considérait plus que comme un trou où se vider les burnes.

Tout ça juste parce que javais loupé trois des appels de Jessica. Je me souvenais quelle mavait écrit : « Ta vie est finie. » Je comprenais mieux ce quelle voulait dire maintenant.

Dailleurs Jessica me prit par ma laisse à ce moment-là

Putain, tu pues de la gueule ! Le sperme tu dois lavaler, pas te faire des bains de bouche avec… Bon, tu as fini tes excuses ?

Oui Maîtresse. Jai sucé les bites de tous mes collaborateurs, et je les ai payés pour quils me pardonnent de les avoir maltraités.

Eh bien, cest une bonne journée que tu as eue là. Tu finis ruinée, salope du bureau, et couverte de sperme. Dire quil aurait suffi que tu répondes à mes appels pour que ça narrive pas. Quoi quil en soit ça va être lheure de rentrer chez nous.

Je ressentis un énorme soulagement, cette journée de cauchemar prenait fin. Je minquiétais de ma tenue, on mavait aspergé de foutre, mon tailleur était déchiré et ne tenait plus que par miracle, ma blouse nétait plus quun essuie-tout à sperme.

Quest-ce que je vais mettre pour partir ? Je ne peux pas sortir comme ça.

Jessica me regarda étonnée :

Sortir ? Mais Tu nas rien foutu de la journée ! Tu as passé ton temps à sucer des queues ! Tu crois que cest pour ça quon te paye ? Mais reviens sur terre ! Il va falloir que tu rattrapes ton retard ! Assois-toi à ton bureau déjà.

Comme jhésitais, elle fit cingler une longue règle sur mon cul déchirant encore plus mon tailleur.

Tu as encore besoin dencouragement ? Ça fait trois heures que tu nas pas reçu de fessées, ça te manque ?

Je masseyais à mon bureau. On avait remplacé mon fauteuil par une chaise en bois austère. Quand mon postérieur douloureux sappuya sur le siège dur, je laissais échapper un gémissement.

« Tu vas travailler cette nuit. Le dossier Kiman, je crois. » Je vis Jean hocher la tête. « Et tu as intérêt à rendre du bon travail. »

Je sentis quelquun me tenir dans mon dos. Je me demandais pourquoi, mais je me rendis vite compte que Jessica commençait à me ligoter. Mes jambes furent attachées contre les pieds de la chaise, une corde contre mon torse me rendait immobile. Et finalement mes coudes furent fixés à la table. Il ny avait que mes avant-bras que je pouvais bouger. De cette manière jétais incapable de me libérer. Tout ce que je pouvais faire était de pianoter sur le clavier de l’ordinateur. Finalement Jessica posa une webcam en face de moi.

Comme ça les employés pourront vérifier que tu travailles bien. Et de toute façon il y aura un enregistrement, si tu tarrêtes de bosser ou que pire, tu tendors, je te laisse imaginer la punition que tu recevras demain matin.

Je voyais les employés partir, pendant que je restais là, abasourdie. Finalement le patron quitta son bureau en dernier. Il me tapota la tête avant de partir :

« Travail bien Pupute. »

Épilogue

Le lendemain matin.

Trois des employés arrivèrent, et demandèrent pour la forme :

Prête pour un petit gang-bang pétasse ?

Pitié ! Je nai pas dormi !

En fait pendant la nuit, une équipe de technicien de surface était entrée, ils mavaient vu attaché à ma chaise, couverte de sperme. Et comme si ce nétait pas suffisant Jessica avait scotché un gros mémo sur ma poitrine avant de partir.

Dessus y était inscrit :

« Salope du bureau !

    Pipe gratuite !

    Profitez ! »

Les balayeurs tournèrent ma chaise vers eux et sortirent leur bite. Lun commença à la faire pénétrer dans ma gorge. Je navais pas vraiment le choix, je suçais sa bite jusquà ce quil livre la purée. Dès quil eut fini, un autre prit sa place. Javais lestomac ballonné, et peu après quils furent repartis, je recrachais une bonne dose de semence, passant le reste de la nuit avec du foutre qui me coulait le long du cou.

Jespérais quon me libère au matin, quon me laisse partir. Mais je ne pouvais pas compter sur la pitié de mes collaborateurs, la seule chose qui les soudait était leur haine envers moi. Et je lavais fait exprès, pour quils travaillent avec zèle de peur que je les enguirlande. Évidemment maintenant je nétais vraiment plus en position de les engueuler, juste en position de me faire baiser sans demander mon reste. Lun des employés, Luc, coupa les cordages qui me retenaient immobile. Non pas que je fus bien plus libre des mouvements après… je fus dabord plaquée contre un bureau. Jentendis un pantalon tomber sur le sol, et tout de suite après quelquun me baisait.

Finalement alors quun des travailleurs venait de finir de ma péter la chatte, je vis le patron entrer. Sans un mot il prit ma laisse et me mena à son bureau.

Bien salope, je crois que tu as quelques dettes maintenant. Jai accepté de me porter garant. Mais il va falloir que tu travailles dur.

Oui, bien sûr ! Merci monsieur ! Je suis sûr de retrouver un emploi dès que

Retrouvé ? Non non, pas question Pupute ! Tu restes ici, tu as bien vu ton badge ? Tu es la salope du bureau… Évidemment ce sera un travail payé au SMIC, et cest déjà bien payé pour passer ton temps juste à te faire baiser.

Mais

De toute façon, personne ne voudrait dune salope comme toi. Jessica ma assuré quelle adorerait raconter tes exploits de pute si tu tamusais à vouloir trouver un travail ailleurs. Mais comme avec un SMIC tu ne pourras jamais me rembourser, en comptant les intérêts. Je tai trouvé un job dappoint. Tu te souviens de la société « Jouissance » ? Tu avais passé des mois à essayer de les convaincre de nous laisser gérer leur campagne de pub. Et bien, figure toi quils ont accepté. Jessica ma dit quelle connaissait un des cadres, elle ma mis en contact avec lui et bon je te la fais courte, ils ont accepté !

En fait en parlant avec leur patron, il ma expliqué quils avaient du mal à trouver des filles pour certains de leurs pornos un peu comment dire… un peu extrême quoi. Dès quune fille est au courant de ce qui lui est demandé, elle se décommande. Si tu veux mon avis, ces actrices pornos ne sont vraiment pas professionnelles. Alors justement jai dit à leur patron que javais une salope de première chez moi, très pro, et pas question quelle se décommande, elle. Donc, voilà, tu as un rendez-vous dans deux heures là-bas. Jai juste le temps de te baiser vite fait et puisque que tu ne pourras pas y aller couverte de sperme, tu mettras ces vêtements que je tai achetés pour y aller. » dit-il en me montrant des vêtements qui aurait fait passer la femme la plus guindée du monde pour une pute en chaleur.

Mais quels trucs extrêmes ? demandais-je, inquiète.

Daprès ce que jai compris, cest pour te faire enculer par un âne ou un poney, je ne suis pas sûr. Il y aura aussi une meute de chiens à assouvir, tu dois jouer le rôle dune sauvageonne. Le bon côté, cest que tu auras le cul bien ouvert pour nous, cest toujours ça de pris. Et en plus largent du contrat viendra couvrir tes dettes, pratique non ?

Jétais blême. Je voyais le reste de ma vie se résumer à me faire sauter par tous les employés de la boîte à leur convenance, et partir à l’occasion me faire trouer par des chiens, des ânes ou pire. Tout ça parce que javais loupé trois appels de Jessica jétais à deux doigts de mévanouir… Le patron parut sinquiéter dun coup.

Allons, ne te fais pas de mouron…

Mais, cest un cauchemar ! mécriais-je désemparée.

Il faut voir le bon côté des choses, tiens, tu pourras mettre le coût du transport pour aller te faire sauter par le bourriquet en note de frais. On nest pas des monstres, Pupute…

FIN

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