Je me réveille doucement, on est dimanche matin, et je n’ai rien de prévu, ma chambre se trouvant au niveau de la cave, je monte par une échelle pour rejoindre le salon. J’attache mes cheveux mal coiffés en une queue-de-cheval, et je me prépare un plateau petit-déjeuner avant de redescendre dans ma chambre pour regarder une série en mangeant. Je traîne toute la matinée puis quand mon copain se réveille, on s’appelle.

Manu a mon âge : 18 ans, il est grand, plutôt mignon quoi qu’un peu fin, enfin disons qu’il n’a pour amie ni la salle de sport ni la bouffe. Il est très gentil, il m’a aidé à remettre de l’ordre dans ma vie, il m’aime, me soutient et me rend heureuse. Moi, je mesure 1m60, j’ai des jambes assez fines, mais peu musclées, je ne suis pas une adepte du sport, je suis fine, je n’ai pas de gros seins, mais ils sont quand même bien présents et fermes, et les mecs les aiment bien. Mon cul n’est pas gros non plus, mais ferme et rebondi, et agréable à toucher et à fesser selon les dires.

Puis, vient l’heure du repas ; ma mère est rentrée du travail plutôt pour accueillir le fils de son nouveau copain, prête à tout, au nom de l’amour, ma mère a accepté que le fils de son nouveau copain avec qui elle est depuis moins d’un an vienne vivre chez nous. Je la salue et l’aide à mettre la table en attendant les mecs. D’ici 40 min, on entend des voix approcher, je vais donc enfiler une tenue plus décente. J’entends le petit nouveau saluer ma mère, et sa voix m’est étrangement familière. J’enfile un short, et après hésitation, je mets un débardeur au-dessus de ma brassière. J’ouvre la trappe donnant sur ma chambre, je sors de ma chambre, et là, je le vois. Anthony. Je reste figée quelques secondes. On se regarde. Il n’a pas changé, enfin si, il est encore plus sexy qu’avant. Ses bras sont mieux dessinés, et ses pectoraux sont vraiment visibles à travers son t-shirt. Il est grand, beau, ses cheveux bruns clairs sont plus courts aussi, mais cela lui va parfaitement.

Voyant que ma mère me regarde bizarrement, je décide de jouer la comédie. Je fais un grand sourire et lui fais la bise.

On se met à table, je suis assise à côté de lui. Le repas se passe bien, on joue notre rôle à la perfection comme deux parfaits inconnus qui vont vivre ensemble. J’oublie presque son torse, ses abdos, sa… Ca y est, j’y repense. Merde. Heureusement, le repas touche à sa fin. Les adultes retournent travailler et je suis chargée de l’aider à s’installer.

On se regarde plusieurs secondes, il n’a pas l’air décidé à parler, je ne sais avec quel courage, je prends la parole :

Bon bas, je vais te montrer ta chambre.

Oui s’il te plaît.

On rentre dans la pièce faiblement éclairée.

Bon bas voilà.

Je pense qu’on devrait parler, tu sais.

Il me prend au dépourvu, je ne sais pas si c’est une bonne idée. J’ai honte de mon comportement avec lui, et je ne veux pas, forcément, reparler de mon passé mouvementé dont Manu m’a sortie.

Avant, j’étais ce qu’on peut clairement qualifier de salope ; j’ai couché avec beaucoup de mecs, des inconnus, de petits amis, je les ai sûrement tous trompés, mais tout cela, c’est fini. J’adore toujours le sexe, mais maintenant, j’ai Manu, et il me suffit. J’ai rencontré Anthony à la plage, on s’est revu deux fois, après cela s’était très bien passé, on s’aimait bien, on se rapprochait de plus en plus. Depuis quelques mois déjà, j’avais envie de me ranger, mais j’avais du mal à changer, c’est dur du jour au lendemain. Je me suis dit que c’était le bon pour me ranger. Puis avec Manu avec qui j’étais pote, on s’est rapproché très rapidement, c’était très inattendu. Il m’a demandé de sortir avec lui. Je savais qu’il était vraiment stable et en plus, je l’aimais bien, alors j’ai décidé de me mettre avec lui pour arrêter mes conneries. Ne sachant pas quoi faire d’autre, j’ai supprimé le numéro d’Anthony sans explications. Mais je n’ai jamais vraiment arrêté d’y penser.

Ensuite, j’ai quitté Manu pendant 1 mois au court duquel j’ai envoyé un message à Anthony ; un peu alcoolisée, que je ne sais plus quoi exactement, puis j’ai repris la bouteille de vodka, et le matin, je me suis réveillée à côté de lui, complètement nue, et visiblement dans son appartement. J’avais mal à la tête, mais cela aurait pu être pire. Je l’ai regardé, un drap recouvrait son corps du nombril jusqu’au milieu des cuisses, mais je pouvais clairement voir se dessiner la forme de son pénis, visiblement gros, même s’il était au repos. Je ne pouvais m’empêcher de le regarder et je me suis rendu compte que j’étais très excitée, doucement, j’ai relevé les draps pour voir l’objet de mes désirs. Attirée comme par un aimant, je le pris dans ma main, et commençai un léger va-et-vient. Il commençait à grossir, je continuai, elle finit par atteindre sa taille maximum, elle devait bien mesurer 23 centimètres. J’en avais rarement vu des pénis comme cela.

Je pris sa verge dans la main et je me mis à lécher son gland avant de le mettre dans ma bouche. Anthony se réveillait doucement, je sentis ses mains se poser sur ma tête pour accompagner les va-et-vient de ma bouche sur sa queue qui devait encore avoir pris un bon centimètre. Il appuyait des plus en plus sur ma tête, me faisant aller plus vite, plus profond. Je m’étouffais, mais cela m’excitait encore plus. Ensuite, il m’a attrapé les cheveux et m’a fait remonter vers lui. Me regardant dans les yeux, son regard aurait pu me faire jouir sur place, je me sentais sienne, pute, soumise, et en même temps désirée. Puis, il me dit de m’asseoir sur sa queue en vitesse. Ce que je fis sans le lâcher du regard. Son gros engin pénétrait en moi doucement et je commençais à gémir de plus en plus fort au fur et à mesure de sa progression.

Une fois, entièrement à l’intérieur, je me mis à bouger dessus, mais Anthony me stoppa dans mon mouvement, prit mes cheveux pour me coller contre son torse et reprit lui-même le mouvement. Il se mit à accélérer, je criais plus fort que les actrices dans les films pornos. Sa grosse queue entrait et sortait de ma petite chatte tellement vite…

Je jouis une première fois, ou plutôt, pour la première fois, aucun homme n’avait jamais réussi à me faire jouir, je provoquais mes orgasmes seule depuis toujours. Je m’affalais sur lui, épuisée, mais il n’en avait pas fini avec moi. Il me retourna, je me trouvais maintenant sous lui, il me regardait toujours avec ce regard. A cet instant précis, il aurait pu me demander n’importe quoi, j’aurais obéi. Je lui étais totalement soumise. Il posa sa main sur la gorge, serrant à peine, mais suffisamment pour que je sente qu’il avait le contrôle, qu’il était le prédateur et moi, la proie. Mon maître releva mes jambes, j’étais pliée en deux, avant de rentrer sa verge en moi de plus belle. Dans cette position, je la sentais encore plus, elle allait encore plus profond. Je jouis une deuxième fois, j’étais épuisée, mais il continua de me pilonner.

Je ne savais même plus où j’étais, je me trouvais dans un état second, ne faisant que crier et gémir comme la pute que j’étais et lui abandonnant mon corps. Il se retira d’un coup, et approcha son pénis de mon visage, je sentis de gros jets de sperme atterrir sur mon visage, un peu dans ma bouche. J’avalai, puis on s’endormit l’un sur l’autre, épuisés. Je me suis réveillée, je ne sais combien de temps après. J’avais toujours du sperme sur le visage. Je me levai et partis me nettoyer, puis je m’habillai et partis sans un mot. J’avais eu peur de l’état dans lequel il m’avait mise et j’ai préféré m’enfuir lâchement. Ensuite, je l’ai bloqué et supprimé sur tous les réseaux sociaux. Puis à la rentrée, je me suis remise avec Manu et j’ai réussi à l’oublier.

Mais là, il est en face de moi, magnifiquement sexy, et il veut qu’on parle de ce qui s’est passé. La conversation me semblait tout de même nécessaire, j’accepte à contrecur :

Je le crois aussi.

Pourquoi tu m’as fait ça ?!

Son ton est maintenant très autoritaire. Je ne sais pas pourquoi, mais je commence à avoir chaud, et mes tétons deviennent durs.

Je, je ne sais pas trop quoi te dire…

Commence par me dire pourquoi tu m’avais supprimé de ta vie du jour au lendemain alors que tout allait très bien.

Je me suis mise en couple… C’était pas prévu, je te jure.

Je le vois serrer son oreiller tellement fort que je me demande comment il peut ne pas encore avoir explosé. Je lui explique pourquoi je me suis mise en couple, je lui parle de mon passé et du besoin de stabilité que je ressentais. Je le vois se détendre et il me caresse la joue affectueusement :

Ça, j’ai bien vu que tu étais une petite salope, il se rapproche de moi et chuchote dans mon oreille, tu aurais dû m’en parler, je t’aurais dressée, moi.

J’ai chaud, très chaud, je sens que je suis en train de tremper mon string. Il vient bien de dire ce que j’ai entendu ? J’ai du mal à réfléchir, je déteste l’état dans lequel il me met, je tente quand même une réponse :

Je, je suis désolée.

Tu peux l’être oui, parce qu’en plus de m’avoir rejeté ensuite, tu m’as rappelé, bourrée et en pleurs en me disant que tu voulais me voir ; je t’ai ramenée chez moi et tu m’as sauté dessus dans l’ascenseur. Une vraie chienne en manque, tu m’as supplié de te prendre. Ce que j’ai fini par faire, après tout, je suis un homme, et le lendemain, tu as recommencé, et puis tu t’es cassée en douce.

Je suis vraiment désolée de t’avoir dérangé.

T’inquiète pas, tu t’es déjà fait pardonner pour le dérangement.

Je, euh…

Je n’arrive plus à parler, je repense à sa queue, aux orgasmes, qu’il seul a su me donner ; car oui, cela n’est plus jamais arrivé. J’ai envie de lui, j’ai envie de lui faire plaisir, j’ai envie qu’il me prenne à nouveau. Non, stop ! Manu, je l’aime, je ne peux pas faire cela. Je me lève et je cours dans ma chambre. Oh, merde ! Comment vais-je faire ? Je vis sous le même toit que le mec qui me fait perdre absolument tout contrôle. Je ne peux pas rester là, j’appelle ma mère et la préviens que je vais dormir chez une amie, puis je pars de chez moi.

Voilà, le premier chapitre de ma première histoire, j’espère qu’il vous plaira.

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