J’ouvre la porte. Il y a de la lumière sur la terrasse. Intrigué, je mis rend. Pourtant j’étais sûr d’avoir éteint. Je descends dans la pelouse, personne. Je me dirige vers le cabanon, pas âme qui vive. Je retourne sur la terrasse et j’aperçois qu’il y a une feuille et un stylo posés sur la table. Je m’assois et lis ceci :
« Hervé, je t’empreinte ta femme non plus une semaine mais quinze jours. Ne t’inquiètes pas je te la ramènerais en un seul morceau. On part à Paris. Mes parents sont partis, comme tu le sais, à un mariage et ensuite ils s’en vont en Corse pour une dizaine de jours. Tu trouveras une bouteille de lotion dans ta salle de bain et les clés de ma maisonnette dans le tiroir de ta table de nuit. Je t’embrasse, enfin on t’embrasse… Vanessa et Liliane. »
-Et bé, il y en a une qui va ramasser, me dis-je, enfin, si elle consentante…
— Charmante villa…
C’est Éric qui me sort de mes songes. Il est déjà nu. Je le regarde et lui souris. Il regarde la piscine avec envie. Je lui demande de me suivre.
Arrivé à la salle de bain, je lui tends un flacon et lui demande de s’en mettre sur la queue et les couilles et que le rejoints. Je vais vérifier la présence des clés et retourne retrouver Éric.
— Ça ne me fait rien, me dit-il dépité.
— Patience, tu verras dans une demi-heure.
On va s’installer sur la terrasse en passant par la cuisine je demande à Éric si lui et sa sur apprécieraient une coupe de champagne (il y en a toujours une au frais). Il me répond que oui mais que sa sur n’appréciait pas beaucoup les boissons alcoolisées. Je lui fais la remarquer qu’elle ne s’est pas privée durant le repas.
Je sors la boutanche et quatre verres. On attend que les filles arrivent.
— Çà y est, on est propre de partout, dit Isa en déboulant sur la terrasse.
Vivi lui emboîte le pas, rouge pivoine. Je la questionne sur les raisons de sa gêne. Elle me répond qu’elle aussi, elle est propre de partout. On éclate de rire tous les trois.
Je débouche la bouteille et sers. On sirote nos verres avec délectation. Éric regarde son bas ventre. Il me regarde.
— Putain la vache !!!
— Quoi, qu’est-ce qu’il t’arrive ? S’inquiète sa sur.
— Ma bite, OUF, c’est un truc de dingue…
Il se met debout. Isa et moi on explose de rire, Vivi reste bouche bée. Sa queue et fièrement dressée, le gland à moitié décalotté. Je demande à sa sur d’aider son frère. Elle tend la main mais je l’arrête.
— Non, pas comme ça…
Elle comprend vite la petite et c’est avec ses lèvres qu’elle repousse le prépuce. Elle joue avec sa langue sur le gland, elle l’aspire. Éric se tient à la table, sa sur accroupie entre ses jambes. Il n’a jamais ressentie cette sensation de grosseur et de sensibilité. Il ferme les yeux et se délecte de la petite bouche de sa sur. Elle s’active sur son manche. Elle me regarde et me sourit. La queue de son frère a pris une taille impressionnante comparée à la dernière fois. Pas en longueur mais en largeur. La petite main de Vivi en fait à peine le tour. Elle y met tout son cur, elle s’applique à donner du plaisir, et à en prendre, j’en suis sûr.
Isa, s’est rapprochée de moi. Elle pose sa main sur mon pal bandé. Elle me regarde et me demande l’autorisation d’imiter Vivi. Je lui dis que ma journée de repos a été courte. Prenant ce que j’ai dit pour argent comptant, elle se cale à genoux entre mes cuisses et entame une divine fellation, me léchant les couilles, la verge et le gland. Elle y prend du plaisir, ce que je vérifie du bout du pied en le glissant à l’orée de sa chatoune. Elle mouille !
Éric s’est assis à côté de moi. Il ne sait plus où donner de la tête. Il admire nos deux furies sur nos manches. La petite Vivi ne peut pas le prendre entièrement, elle ne peut descendre qu’aux deux tiers. Quand à Isa, elle me gobe jusqu’aux couilles. Elles veulent faire durer le plaisir. Elles sont lentes, ne brusquent pas les mouvements.
— Fais comme moi, lui dit Isa.
Elle ouvre la bouche et descend lentement sur mon phallus. Toujours bouche ouverte, elle joue de la langue sur celui-ci. Elle continue sa lente progression. Son nez vient en butée sur mon pubis. Elle remonte en serrant ses lèvres.
— A toi, essaies…Vivi ouvre grand la bouche, arrive à la moitié de la tige. Comme Isa elle joue de la langue et continue sa progression. Elle manque de s’étouffer. Isa lui recommande de respirer par le nez, de faire abstraction de sa bouche.
Ça y est, le sexe de son frère est englouti. Elle ne bouge plus, trop fière de sa gorge profonde. De la bave coule entre ses lèvres et la bite d’Éric.
— Je t’aime petite sur. Je ne pensais pas que tu pouvais y arriver. Viens que je t’embrasse.
Trop fier de sa performance elle continue à le pomper. Isa, heureuse, me pompe de plus belle. Éric n’en peux plus de ce traitement, il nous dit qu’il va venir. Isa me pompe comme une folle. Je viens.
— OUI, OUI, PRENDS CA….HUMM, HAN, HAN… SALOPE, PETITE PUTE, HAAAA…
Éric jouit aussi dans des mots orduriers que je ne lui connaissais pas. Les filles se délectent de nos jus. Elles nous aspirent, nous pompes. L’extase…
Les deux furies se regardent et se rapproche pour un jeu de langue vorace. Elles mélangent nos semences et déglutissent le tout. Elles se regardent, elles sont fières et il y a de quoi. Isa se lève, et va illuminer ma piscine.
– Bon un p’tit bain ?
On est tous les quatre dans la piscine éclairée. On a éteint les lumières de la terrasse. C’est calme, le silence est total mais je sais que cela ne va pas durer. Effectivement, les jumeaux se rapprochent en nageant. Ils se plantent à quelques dizaines de centimètres et c’est Vivi qui prend la parole.
— Merci à vous deux. Merci de ne pas nous juger. Merci de nous avoir permis de briser la barrière entre nous deux. On s’aime… C’est dingue !!! Mais que va-t-on devenir ?
— C’est gentil, lui répond Isa, mais pour ce que vous allez devenir, je ne sais pas, vivez l’instant présent. Ne penser pas à l’avenir…
— Viens… Lui dit Vivi, j’ai envie de finir ce que l’on a commencé dans la voiture. Elle prend Isa par la main et elles sortent de la piscine.
— C’est surréaliste… Ma Vivi avec une autre femme. C’est dingue… Et c’est elle qui prend l’initiative !!!
— Laisse les faire, laisse les se donner du plaisir. Viens on va les laisser s’aimer.
— Mais je veux voir !!!
— Oui, qui t’a dit que l’on allait s’éclipser. Allez, viens…
On se dirige vers la terrasse et on s’installe autour de la table. Je nous sers un verre de champagne. J’allume une clope et Éric aussi. Les deux filles sont sous la douche et s’embrassent. Une grande blonde dans les bras d’une petite brune. Excitant. Éric se touche la verge.
— C’est puissant ton truc, je ne débande pas… J’ai encore envie de jouir mais pas dans la chatte de ma sur.
— Dans sa bouche ?
— Non, dans son cul, il m’excite trop.-
Tu veux la sodomiser ? Il est encore trop tôt. Attends un peu, elle te le réclamera d’elle-même.
— Tu crois ?
— Chut, regarde…Les deux filles se savonnent, se caressent.
J’ai eu soudain un flash. Je me revoyais il y a quelques jours avec Lili et Isa.
— Viens j’ai une idée…
Je rejoins les filles et m’invite à leur savonnage crapuleux, bientôt suivis par Éric. Je me cale derrière Isa. Nos mains deviennent de plus en plus baladeuses. Je caresse ses fesses, ses seins. Isa se recule et s’abaisse. Elle cherche ma queue et la met entre ses cuisses. Vivi est entraînée par Isa et se met dans la même position. Elles se tiennent mutuellement par le cou et s’embrassent. Éric, impatient, embroche sa sur d’un coup sec. Je lui demande de se clamer, de prendre son temps. Il me regarde alors. Je masse le dos, les fesses et l’anus d’Isa. Il se retire et m’imite. Il me suit dans mes caresses sensuelles. Je passe sur les hanches de ma partenaire, remonte son corps pour atteindre ses seins. Je joue avec ses tétons. Elles gémissent toutes les deux, Éric faisant la même chose. Elles jouent de leur langue sur le visage de l’autre. Je retourne sur l’anus d’Isa et lui enfonce mon pouce. Elle grogne. Intrigué, Éric vient voir ce que je fais. Puis il se replace derrière sa sur. Elle grogne en écarquillant les yeux.
— Non, pas par-là !!! dit-elle.
— Chut, laisse le faire, lui répond Isa, tu vas aimer.
— Rentre-lui ton majeur maintenant, lui ai-je conseillé, et tournes pour détendre son petit muscle.
Elle grimace. Pour ma part, je n’ai pas à travailler la rondelle d’Isa. Je pointe mon sexe à l’entrée des artistes et mon gland est aspiré. Je reste bloqué au fond et dirige Éric.
— Vas doucement, très lentement. Voilà, c’est bien…
— Aïe… OUF, TU ME DÉCHIRES…
— CHUT, lui dit Isa, sens sa bite te pénétrer…
Il continue sa lente progression. Il va doucement jusqu’à être en butée. Je lui demande de ne pas bouger. Je saisis les seins d’Isa et les triture. Elles reprennent leur jeu de langue. Je me retire lentement, Éric me suit. Je reprends Isa, plus vite. Il continu à m’imiter. Je bourrine le cul d’Isa. Éric donne son compte à sa petite sur qui semble apprécier.
— Oui, vas-y, défonce mon cul, HAN, J’AIME…
Le starter et donné, on lâche les chevaux… On ramone leur cul, elles y prennent du plaisir. Isa souffle, Vivi hurle.
— PUTAIN QUE C’EST BON… VAS-Y, DÉFONCE MOI !!!!
Elle n’en peut plus, elle se met à quatre pattes sans se déboîter du viêt de son frère. Il sent la jouissance de sa sur pointer. Il y va comme dans un salop, lui défonçant sa rondelle, lui explosant le cul. Elle hurle. Elle jouit.
— HAN, HAN, QUE C’EST BON !!! PUTAIN JE JOUIS… OUI, OUI ? HAN… HAN….
Elle tombe à plat ventre, inerte, se désemmanchant de son frère. Le sperme gicle de sa verge sur son dos. Je jouis à mon tour et inonde les boyaux d’Isa. Vivi est recroquevillée sur le sol. Isa se précipite à son secours.
— Ça va ma puce ???
— Oui… Oui…Attends… C’est violent… Laissez-moi reprendre mon souffle…
Ouf, quel pied !!! Terrible !!!! Ouahou !!!
En voyant la belle récupérer et de se remettre de sa première sodomie, on éclate tous de rire.