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La punition de la directrice – Chapitre 4




Je ne comprends pas de suite ce qui va se passer. Lorsque mon petit trou commence à être enduit de margarine, je saisis ce qui va suivre.

Je commence à me débattre disant qu’il est trop gros, que cela est trop dégueulasse. Se saisissant de ceintures et de sangles, il m’attache a la table. Chacune de mes jambes est liée par-dessus la botte contre le pied de table. Mes mains sont attachées, bien écartées. Mes gros seins écrasés contre la table.

J’ai fière allure

Une dernière remontrance et il me doigte mon petit trou pour me préparer. « Cela pourrait être bien pire Jenna, Je pourrais vous prendre à sec ou même appeler mes amis. »

Je tremble en entendant cela et cesse de me plaindre.

En place derrière moi, il astique sa grosse queue, un sourire vicieux aux lèvres. Ajustant la caméra, il pousse son gland contre mon illet.

« Noooonnn ! Ça ne rentrera pas !!! » protesté-je.

Le gland pousse sur l’anneau et le traverse pour rentrer dans mon cul. Mon souffle est coupé : « Aaahhhh   ahhhh salaud ahhhhh »

Cette injure semble l’excéder et il va me remettre à ma place »

° ° °

Quand je lui beurre la raie elle commence à comprendre la grosse poule : elle proteste, dit qu’elle n’a jamais fait ça, que ça ne rentrera pas Je lui rétorque qu’il n’est pas jamais trop tard pour commencer, et que la perspective de déflorer une quadra comme elle, bandante avec ses bottes haut de gamme, m’excite comme pas deux ! Mais je ne suis pas dupe, avec un cul pareil ça m’étonnerait fort qu’elle ne se soit jamais fait sodomiser. Quel homme n’aurait jamais eu envie de lui mettre sa pine dans le cul à une femme avec un pareil fessier, un popotin aussi bien épanoui qui invite à la profanation ?! Même si elle n’avait pas eu beaucoup d’amants dans sa vie, je doute qu’il n’y en ait pas eu au moins un, en rut, qui ne l’ait pas forcée à lui prendre le petit et qu’elle n’ait pas cédé, avec sa nature de vraie soumise, qui mouille quand on la bouscule un peu, quand on la culbute avec une fermeté virile !

D’ailleurs, comme elle commence à se débattre, ayant l’air presque paniqué à l’idée de se faire empapaouter et de s’en prendre plein le cul, et qu’elle se montre peu coopérative, je la saisis sans douceur par le mousqueton du collier et l’entraîne en la poussant vers la table de la cuisine. Je la renverse et la culbute de telle sorte qu’elle se retrouve à plat ventre, écrasée sur la table.

Je lui ordonne en haussant vivement le ton, d’une voix qui ne rigole pas et lui passe l’envie de résister, d’écarter les jambes et les bras.

J’ai toujours des vraies sangles de cuir et de bons liens à portée de main et je lui attache chacune de ses chevilles à un pied de table. Puis lui entoure les poignets par des cordelettes que je fais passer en dessous en les tendant au maximum ; je les lie également aux pieds de table, elle ne peut plus bouger.

Désormais la cible est bien en vue, exposée, vulnérable, prête à servir : sa belle mappemonde bien saillante, le sillon ouvert, n’attend plus que moi.

Je vais vérifier ou du moins, me faire une petite idée sur la question si vraiment elle n’a jamais été pratiquée (ou presque pas) de ce côté-là : mon index caresse la petite cupule déprimée puis lentement s’y glisse. Ça rentre d’abord doucement et facilement mais la résistance du muscle de l’anneau culier se fait sentir. J’attends qu’il se relâche puis j’enfonce sans discuter et sans tergiverser mon doigt jusqu’à la garde. Elle pousse un cri comme si elle venait de se faire démonter par un âne !

Elle m’énerve cette hystérique, tellement excessive dans la moindre de ses réactions, elle me donne envie de la punir pour de bon, envie de la faire gueuler pour quelque chose, qu’elle sente la différence, cette salope chic ! Elle me donne envie de lui faire du mal, de la défoncer comme une chienne, envie de voir ses larmes.

Je fais faire quelques va-et-vient à mon index, arrivant tout juste à assouplir le conduit. De là à l’élargir vraiment, je crois qu’on en est loin ça va être laborieux et pénible pour elle. Je m’en réjouis d’avance !

Il est temps de passer aux choses sérieuses. Je prends mon vit raide et bien large à la main. A peine je pose mon gland tout gonflé par l’excitation sur sa rosette luisante qu’elle commence à beugler Je n’ai même pas encore poussé ma queue pour forcer l’anneau !

Je sens qu’elle va la sentir passer.

Je le lui annonce, lui promets qu’elle va être enculée tellement fort que les yeux vont lui sortir de la tête !

° ° °

« Oh non pas ça, vous êtes trop gros. Hhhaaarrrrrrrr »

Ce gros gland commence à forcer mon petit trou. 

La sensation est douloureuse. L’impression d’être marquée au fer rouge me vient en tête : marquée par mon maître, mon dompteur.

Une femme classe et sophistiquée comme moi ne se laisse pas sodomiser ainsi. 

Mes bottes couinent contre les pieds de la table et les sangles. J’essaie d’échapper aux liens mais cela ne fait que les renforcer. 

Criant comme une folle, je pleurniche, je le supplie d’arrêter. 

Cela n’a aucun effet. Il entre encore plus de sa queue dans mon petit cul vierge. Être dépucelée du cul est déjà douloureux mais la taille de son membre rend l’expérience pire. 

Mais être ainsi ficelée et avoir été bien baisée avant fait monter en moi une sensation inattendue. J’aime être ainsi soumise. Sans comprendre pourquoi, perdre contrôle de la situation est excitant. 

Je me débats sur la table tout en l’implorant de ne pas me détruire ainsi. 

Il commence à me bourrer à grands coups de reins. À force de pousser violemment, il rentre son pieu entier en moi, Cela me fait beugler encore plus. 

Petit à petit mon cul détruit s’accommode de son membre. Je feule de moins en moins alors qu’il me pénètre avec ardeur…

Je pousse des râles rauques à chaque fois qu’il renfonce sa queue : « Ohhhhhmmnn.  Rrroooolmmmm.  Rrrraaaaaggg… » 

° ° °

Le passage de son petit trou est plus difficile que je l’imaginais. Son muscle se serre, se spasme, elle se crispe.

Je lui assène une violente claque sur sa fesse opulente. La surprise est grande et sous ce coup auquel elle ne s’attendait pas son sphincter se relâche un instant : c’est le moment dont je profite pour pousser mon « avantage » ! En fait « d’avantage » c’est le gland tout entier qui s’immisce dans la rosette Sous l’effet de cette intrusion elle se resserre… je la houspille, lui ordonne de détendre son cul C’est que je sais comment les dresser, moi, les pouliches de race comme elle !

Mon gland comprimé arrive péniblement à forcer l’étroit passage elle beugle, proteste Je remets du gel en haut de la hampe, je vois la colonne s’enfoncer dans son petit trou encore tout ridé Il ne va pas le rester longtemps avec moi, je le promets !

Elle gueule, pleurniche, dit qu’elle était vierge de là Je n’arrive pas à le croire, quelle mijaurée, quelle pétasse ! Elle est si prude et si coincée qu’elle n’a jamais donné son cul à un homme. Et pourtant avec ce cul si arrogant, si provocant, ses bottes de salope, d’allumeuse, cette quadra chic aurait déjà dû se faire défoncer le fion depuis longtemps.

Et pourtant, vue la difficulté de l’ouvrage, vu l’ampleur de l’effort à fournir pour m’enfoncer dans son rectum (même si, il est vrai, je suis monté comme un âne), je commence à croire qu’elle dit vrai.

Mes deux mains lui maintiennent bien les hanches, je m’empare de son cul, et je lui balance d’un air rageur, comme le libertin jouisseur que je suis :

« – Eh bien, je vais vous en faire découvrir de nouvelles sensations aujourd’hui, Jenna ! Vous pourrez me remercier, je vous ai offert l’opportunité de vous « ouvrir » à de nouveaux plaisirs ouvrir, c’est le moment de le dire AHAHAH !

Je n’aurais jamais cru qu’une femme mûre comme vous, au corps si bien fait, au cul aussi appétissant, n’ait jamais été initiée aux plaisirs de Sodome Surtout à vous voir balancer votre cul bien épanoui comme vous le faites quand vous marchez ! Vous savez que tout homme qui vous suit dans un escalier baisse automatiquement les yeux sur ce bel objet et ne pense immédiatement qu’à ça !

C’eut vraiment été dommage de ne jamais lui faire subir ce traitement HAAAAN ! Il est fait pour ça Hummm et brûlant comme l’enfer Il me serre la queue comme jamais J’ai l’impression d’enculer la pucelle d’Orléans »

Je ricane. Elle se plaint, geint Elle peut cependant faire tout ce qu’elle veut, elle est solidement attachée et mon emprise est tellement sûre et ferme qu’elle commence à s’en prendre plein son fondement !

Elle est bien embrochée, la poule, et lentement je progresse en elle, jusqu’à ce que j’arrive en butée. Mon nud arrive bien au fond de son cul

« – Alors, Jenna, ça vous fait quoi de l’avoir dans le cul jusqu’à la garde ? Je suis sûr que vous appréciez Vous allez m’être reconnaissante de cette expérience nouvelle pour vous. C’eut été dommage de ne pas sodomiser une si belle femme que vous Vous n’alliez pas attendre d’avoir 70 ans, tout de même ? Quoique » ricané-je, « ça reste toujours possible d’ailleurs je l’ai déjà fait Et je peux vous dire que la femme m’a grandement remercié Elle en pleurait presque de joie et de plaisir et pour me remercier, moi, son bienfaiteur, elle m’a pompé jusqu’au bout, m’a fait éjaculer dans sa bouche et a tout avalé à longs traits Mais bon ça, ça sera pour la fin, chaque chose en son temps

Pour le moment, je suis en forme comme jamais, je n’ai jamais eu mon vit aussi raide – et ça, c’est à cause l’effet que vous me faites – vous allez vous en prendre plein votre cul ! »

Ah, elle ne fait plus sa fière, maintenant Si ses employés la voyaient à l’instant, attachée et ficelée comme une truie sur l’étal, se faire défoncer la rondelle ils n’auraient plus la même vision : ils ne verraient plus la directrice autoritaire et hautaine, dictatoriale, les toisant du haut de son mépris et de son mètre 77. Non ils verraient une gourdasse vêtue que de ses bottes, à plat ventre, le fessier bien déployé, en train de se faire saillir à grands coups de reins, de se faire démonter et élargir le petit à grands coups de mandrin !

Mais ça n’a pas l’air de trop lui déplaire : sa cyprine coule abondamment, rendant sa vulve rose toute luisante, et elle commence à râler d’une drôle de façon. Est-ce d’être ainsi dominée, entravée, bondée, réduite à l’impuissance, à la merci du mâle en rut qui prend son plaisir avec ce corps pulpeux de femme mûre ou est-ce cette façon nouvelle pour elle de se faire pilonner, cette pratique encore inconnue d’elle il y a encore quelques instants, cette nouvelle façon de donner du plaisir à un homme (et d’en prendre), pourtant vieux comme le monde ?

° ° °

J’ai menti en disant que j’étais vierge. J’ai déjà été sodomisée mais je n’ai pas aimé et puis c’était loin d’être fait avec un membre aussi gros. 

Mais là je paie pour mon mensonge comme pour le reste de mes transgressions. Il me rentre sa grosse queue d’étalon avec passion. Il semble aimer souiller ainsi une femme d’affaires, d’apparence classe comme moi. 

Il grogne à chaque coup de reins brutal et vengeur dans mon cul, et cela s’harmonise avec mes petits cris et le crissement de mes bottes contre les pieds de la table.

Lorsqu’il me regarde dans le miroir il voit que, bien que crispé, mon visage ne semble plus montrer que de la souffrance mais un mélange de douleur et plaisir, plaisir de la soumission à cet homme qui me brutalise.

Je me dis que je ne souhaiterais pas éprouver du plaisir mais que je n’en ai pas le choix. 

Un moyen de défense intellectuel. Je sens au fond de moi la sensation d’un orgasme se bâtissant, grossissant. 

Dans le miroir il voit mes yeux rouler en arrière, ma bouche ouverte pour prendre des inspirations hachées. Je ne me plains plus, je gémis, je râle. 

Mon petit trou baille grand ouvert lorsque il retire sa queue. 

Il va de plus en plus vite et me sent trembler. Je suis prise de soubresauts, je me contorsionne, je crie longuement. Un orgasme fulgurant.

Sentant sa puissance sur moi, sa victoire, il enfonce son gourdin bien au fond de moi et éjacule longuement en criant sa victoire.

Il sort rapidement de mon cul béant et vient immédiatement près de mon visage. Me soulevant la tête en la tirant par les cheveux, il voit que je suis à peine consciente. S’assurant d’être bien dans le cadre de la caméra., il branle encore son gros sexe et gicle quelques gouttes de sperme sur mon visage pour montrer sa domination.

Détachée, épuisée, je gis sur le tapis. Son sperme s’écoule de mon fondement ravagé qui semble être pris de spasmes. Vêtue de mes bottes et bas, j’ai fière allure. 

« À bientôt ! » me lance-t-il lorsque il me dépose titubante sur mes hauts talons de bottes, les orifices en feu mais étrangement comblée.

(A suivre…)

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