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En pension chez tante Germaine – Chapitre 1




Suivant un arrangement avec mes parents (voir : Histoire avec ma soeur-2) , je dois aller passer quelques temps chez mon oncle et ma tante afin de trouver un emploi me permettant de gagner un peu d’argent avant mon départ au service militaire.

Mon oncle (Marcel cinquante-huit ans) est le frère aîné de mon père. Il est chef d’équipe dans une petite fonderie dont le travail continu est organisé en "trois huit". C’est à dire que les équipes travaillent, par roulement, de quatre à douze heures (midi), de douze à vingt heures, et de vingt heures à quatre heures le lendemain. Le changement se faisant le lundi pour toute la semaine à venir.

Ma tante (Germaine cinquante-six ans) est couturière/retoucheuse à domicile. Sur des vêtements, neufs et vendus dans la journée, que lui apportent certains magasins, elle doit faire les retouches nécessaires pour qu’ils soient à la convenance des acheteurs ou acheteuses. Elle a aussi quelques "clientes" qui lui font faire des travaux de couture. Elle travaille chez elle, une chambre de sa maison étant transformée en atelier…

Mon oncle et ma tante habitent à l’entrée d’une ville, préfecture de région, à plus de cent cinquante kilomètres de chez nous… Ils ont un fils de vingt-trois ans engagé dans la marine et souvent absent…

Je ne les connais à peine car nous ne nous voyions pas souvent…

Le jour prévu, après un long et pénible voyage en autocar, j’arrive chez Tonton et Tantine en fin d’après-midi.

En attendant le repas du soir, ils me font visiter leur maison. Construite sur un terrain pentu. En arrivant, on trouve le garage, le coin atelier de mon oncle, une pièce servant de buanderie et de local pour la chaudière. Un escalier permet d’accéder, depuis le garage, au couloir desservant la partie habitable.

Celle-ci est également accessible, de l’extérieur, en suivant un sentier piétonnier gravillonné.

Depuis l’entrée se trouve une cuisine assez grande pour permettre à quatre convives d’y prendre leurs repas.

Les baies vitrées de la grande salle de séjour (avec cheminée, table, chaises, buffet et bar) permettent d’avoir une vue panoramique sur la campagne environnante. Un salon avec télévision, divans et fauteuils invite aux rencontres conviviales et au repos.

Je dois occuper l’une des quatre grandes chambres. Un lit pour deux personnes avec chevets et lampes de chaque côté, une grande armoire, une table servant de bureau. Ces meubles, sans être luxueux, sont de qualité… (On voit que Tante et Tonton gagnent bien leur vie…) Il y a même un lavabo et un meuble, pour ranger les linges et autres affaires de toilette, dans une sorte de placard…

La salle de bains avec double lavabo, douche, baignoire, bidet, meubles de rangement permet à plusieurs personnes de faire leur toilette simultanément. Bien sûr, il y a les WC et quelques placards qui complètent l’habitation

Était arrivé un samedi, la journée du dimanche me permet de mieux faire connaissance avec Tante et Tonton, de visiter la région.

Mon oncle, de taille et corpulence moyenne, devait être blond avant d’avoir ses cheveux blancs. Légèrement voûté, on voit bien qu’il est fatigué tant par son âge que par la pénibilité de son travail. Sans être taciturne, il aime le calme et la tranquillité. -"Il y a tellement de bruit à l’usine que j’aime le silence…" Me dit il… Cela ne l’empêche pas d’être aimable et avenant. C’est lui qui doit me trouver un emploi en sollicitant ses relations. En attendant, je tiendrai compagnie à ma tante qui reste à la maison pour son travail.

Ma tante, grande, élégante, bien habillée (elle est du métier…), est une très belle femme. D’origine espagnole, elle possède des cheveux soyeux noirs qui lui descendent jusqu’aux épaules. Sa figure est ronde avec de grands yeux verts, rieurs, irisés, mis en éclat par de longs cils. Elle a une grande bouche aux lèvres charnues soulignées d’un rouge discret. Son visage respire la joie de vivre. Et surtout le plus important pour le jeune adulte que j’étais, elle possède une poitrine impressionnante qui déforme le devant de sa robe, attirant irrésistiblement mon regard concupiscent. Lorsqu’elle se retourne, pour vaquer à quelques menus travaux, elle m’offre, sans s’en douter, le spectacle affolant de sa croupe adorablement rebondie. A cette époque là, je la comparais à une actrice italienne, la célèbre « Gina Lollobrigida ».

Le lundi, Tonton travaillant en équipe du matin (de quatre à douze heures) rentrera pour manger puis se reposera … Tante, après avoir fait le ménage, prépare le repas. Ce n’est que l’après midi qu’elle travaille à sa couture… Pendant cette première matinée, pour passer le temps, je m’occupe à arracher quelques mauvaises herbes, ratisser le gravillon de l’allée, consolider les tuteurs des rosiers…

L’après midi, mon oncle faisant sa sieste, ma tante cousant, moi même "bricolant" à l’atelier, une cliente se présente pour l’essayage d’un vêtement en cours de confection.

Cette dame, la cinquantaine, grande, brune, élégante, agréable à regarder, aimable, la voix douce , nous dit "bonjour", embrasse ma tante et me regarde d’un air étonné…

"- Odette, je te présente Joseph mon neveu… Plus exactement le neveu de Marcel puisque c’est le fils de son frère… Joseph, je te présente Odette, une cliente de longue date qui est devenue mon amie

— Enchantée de faire votre connaissance jeune homme. Permettez moi de vous embrasser…" me dit-elle en me regardant dans les yeux avec un petit sourire… Joignant le geste à la parole, elle s’approche pour me faire une bise sur chaque joue, ou plutôt, me faire une première bise sur une joue et une deuxième au coin de mes lèvres, tout en me faisant sentir la pointe de ses seins par un petit frottement rapide et en me serrant plus que nécessaire dans ses bras. Surpris, je rougis jusqu’aux oreilles. Ma tante, qui connaissait bien son amie, dit :

"- Voyons, Odette, tu ne vois pas que tu le gènes, il est timide…

— Un grand garçon comme lui, il ne doit pas avoir peur des dames, surtout une vieille comme moi…

— Vieille peut être, mais qui aime la chair fraîche…"

Tout en blaguant, elles rentrent dans l’atelier de tante laissant la porte ouverte… Moi, je vais aux toilettes satisfaire un besoin naturel, liquide et présent… Voulant descendre au garage en passant par l’escalier intérieur, j’entends les deux femmes qui continuent leur conversation. Saisissant quelques mots, je comprends que c’est de moi qu’elles parlent. Je m’attarde dans un angle du couloir pour ne pas être vu et pour écouter.

"- Il pourrait faire un bon pilier de rugby – dit Odette

— Peut être, mais dans sa campagne, il n’y a pas d’équipe -répond tante

— En tout cas il doit faire le bonheur des filles…

— Je t’ai déjà dit qu’il était timide… Et les filles, il ne doit pas avoir l’occasion d’en rencontrer beaucoup…

— Tu crois qu’il est encore puceau ?

— Tu ne penses qu’à ça… Tu ne vas pas le draguer ou le débaucher…

— Quand je vois un jeune homme comme lui, cela me fait penser à ma jeunesse et fantasmer… Dans le temps, c’était le rôle des tantes de dévergonder leurs neveux" – dit Odette en éclatant de rire…

— Voyons, Odette, tu es une vraie obsédée…

— C’est facile pour toi, tu as ton Marcel… Moi, depuis que je suis veuve, je n’ai que des carottes et des concombres pour me contenter…

— Ho !!!… Il y a longtemps que mon Marcel a du mal à l’avoir raide… Enfin, ça lui arrive deux ou trois fois dans l’année… Quand j’ai trop envie, je me contente de mes doigts….

— Raison de plus pour t’occuper de ton neveu… Costaud comme il est, il doit être monté comme un âne…

— Arrêtons de parler de ça… voyons si ta robe te va bien…"

En ayant assez entendu, je finis de descendre les escaliers…

A dix huit ans passés, avec mon mètre quatre vingt et mes soixante quinze kilos de muscles (les travaux des champs valent tous les sports…), c’était bien la première fois que j’entendais deux femmes. faire l’éloge de ma silhouette en ces termes…

Les jours qui suivirent, je ne sais pas si la suggestion d’Odette faisait son chemin dans la tête de ma tante ; mais il me semblait quelle ne manquait aucune occasion pour me frôler de manière appuyée. Elle prenait parfois certaines positions qui me faisaient voir, de manière indécente, soit ses cuisses soit sa poitrine. Elle me regardait souvent avec les yeux mi-clos, un petit sourire aux lèvres…

Le mercredi à midi, mon oncle me dit qu’un artisan forgeron aurait besoin d’un ouvrier pour fabriquer et poser des grilles de balcons aux maisons d’un lotissement voisin. Après le repas, Tonton m’accompagne pour me présenter à celui qui deviendra mon patron pendant six mois.

Dès le lendemain, je me rendais à l’atelier. Il me fallait cinq minutes à vélo. Je rentrai à midi sauf les jours de déplacement où l’artisan nous offrait le restaurant. La journée se terminant à dixhuit heures, après la douche, c’est vêtu d’un pantalon de survêtement et d’un tee shirt que je passais la soirée, après manger, en compagnie de Tante et Tonton. Nous regardions la télévision (noir et blanc) tout en discutant de nos activités journalières ou du temps.

Chaque matin je m’arrangeais pour me lever de bonne heure afin d’avoir le bonheur de demeurer quelques instants, seul avec ma tante, pour laquelle j’éprouvais au fil des jours, une véritable adoration. Dans ces moments privilégiés, Germaine me parlait librement. Elle se confiait naturellement, comme si je pouvais comprendre ses problèmes personnels. Je l’écoutais avec ravissement, fier d’être pris pour confident. Mais mon attention à ce qu’elle me confiait ne m’empêchait pas de profiter des moindres mouvements qu’elle faisait, pour tenter de distinguer par l’ouverture de son peignoir, un coin de chair nue. Parfois lors d’un geste un peu plus brusque qu’elle faisait, son vêtement s’ouvrait assez suffisamment pour que je puisse entrevoir la naissance d’un sein rond et blanc ; quelques fois, c’était une cuisse que je pouvais entr’apercevoir pour mon plus grand bonheur. Dans ces moments là, je ne pouvais m’empêcher de m’imaginer que cette femme désirable devait être entièrement nue sous son peignoir, ce qui ne faisait qu’accentuer mon trouble.

Ainsi s’est passée la première semaine…

Le lundi suivant, changeant d’horaire, mon oncle, embauchait à vingt heures (jusqu’à quatre heures le lendemain)…

En fin de journée, il ne fallait pas perdre de temps… Sitôt que j’étais arrivé, après la douche, nous passions à table… Le repas terminé, Tonton partait au travail. J’aidais Tante à débarrasser, nettoyer, faire la vaisselle et ranger…

Je sentais une certaine "nervosité" de sa part… Quand elle se baissait pour ranger des affaires sous l’évier, elle s’arrangeait pour bien me faire voir la forme de ses fesses à travers sa robe. Quand elle s’accroupissait, elle se tournait de façon à me faire voir la descente de sa gorge. Souvent elle se baissait en me faisant face, jambes écartées, mon regard accrochant ses cuisses. Elle multipliait les petits mouvements pour me toucher et me faire sentir son parfum capiteux… Je restais impassible…

La vaisselle rangée, la cuisine nettoyée, tante me dit!

"- Allume la télévision, va sur le divan, je fais un brin de toilette et j’arrive…"

Une dizaine de minutes après, vêtue d’une robe de chambre/peignoir, elle vient s’asseoir à côté de moi. A travers le tissu, j’ai pu voir que sa lourde poitrine était légèrement tombante… J’en déduisais qu’elle ne devait pas avoir de soutien gorge…

Dédaignant la télévision, elle se tourne vers moi et me dit:

"- Tu es bien ici… Tes parents et ta soeur ne te manquent pas?

— Si, un peu… Mais toi et tonton, vous êtes tellement gentils que je me sens bien ici… Et puis maintenant je pense plus à mon travail…

— Tu sais, je peux être encore plus gentille avec toi -me dit elle en s’approchant d’avantage- Tu as pas une petite copine?

— A part ma soeur, il n’y a pas beaucoup de filles dans notre campagne… Et puis elle sont loin… – lui répondis-je me sentais rougir jusqu’à la racine des cheveux -…

— Ne sois pas timide… A ton âge, ce serait normal que tu aies une copine… Avec Marcel, on se connaît depuis longtemps, nous étions à la même école,… Il avait à peine dix sept ans et moi quinze quand nous avons décidé de nous marier… Mais il fallait attendre… Nous étions trop jeunes… Cela ne nous a pas empêché de faire l’amour en cachette… Tu n’as donc jamais fait l’amour…" me dit elle en me fixant droit dans les yeux….

J’étais au bord de l’asphyxie… Je pensais à ma soeur et à ce que nous avions fait ensemble… J’étais surpris des questions de cette femme … J’étais paralysé…

Je sentis tout mon visage s’irradier. Je sentais mon sang me monter à la tête et m’incendier les joues, mes battements de coeur se ressentaient dans ma tête comme des coups de marteaux. Jamais encore je n’avais contemplé une femme d’aussi prés. Même si ma tante avait, à quelque chose près, l’âge de ma propre mère, son corps m’excitait au plus haut point.

Elle s’aperçut de mon émoi à mon visage qui devait être violet. Puis un rapide coup d’oeil en direction de mon haut de pantalon la renseigna sur mon état. Me fixant avec un large sourire, elle me lança :

"- J’ai mis de l’eau à chauffer, je vais faire de la tisane, ça va te décontracter…J’ai l’impression que tu en as rudement besoin. Je vois bien que tu a du mal à respirer…"

Disant cela, elle se lève en provoquant une échancrure entre deux boutons de sa robe de chambre… Pendant une fraction de seconde, il m’a semblé voir qu’elle n’avait pas de culotte… Aussitôt ma queue s’est encore raidie…

Pendant que Germaine était à la cuisine, j’eus le temps de cacher le mieux possible cette raideur instantanée…

Elle revient en portant un plateau avec tasses, sucrier, tisanière et petites cuillères. Le posant sur une table basse, près du divan, elle fait tomber une cuillère au sol. Simultanément, nous nous baissons pour la ramasser… Se faisant, mes yeux se trouvent à hauteur de son cou. J’ai une vue plongeante sur ses seins et la confirmation qu’ils sont libres de tout soutien… Je ne peux détacher mon regard de ses deux mamelles que la position rendait bien ronds avec leurs mamelons bien dressés au milieux de leurs auréoles foncées… Une telle vue fait accentuer mon trouble et surtout mon érection. Ma tante "jette" un coup d’oeil sur la bosse de mon pantalon. Même si le regard qu’elle me lançait ensuite était plus amusé, qu’outré, elle ne laisse paraître aucune réaction si ce n’est qu’elle fait aller sa langue sur ses lèvres humides, d’un air gourmand… Nous nous asseyions et attendons que la tisane infuse… Je reste légèrement penché pour cacher l’avant de mon pantalon qui monte de plus en plus…

Ayant servi la tisane, c’est un morceau de sucre que tante échappe. Il vient choir sur le divan, contre ma fesse. En le ramassant, par inadvertance, me semble-il, de son bras, elle frôle la pointe de ma pyramide "pantalonesque".

"- Qu’y a t il là dessous? dit elle – en passant aussitôt sa main sous l’élastique- Oh! Mon Dieu, je sens une grosse chose".

Baissant le pantalon, elle met à nu mon sexe raide comme un bâton et prisonnier de sa main…

"- Oh ! La belle grosse queue !… J’en ai rarement vu d’aussi grosse et aussi longue… que ça doit être bon de s’amuser avec!…"

Tétanisé, je ne bouge pas, respire à peine, rouge de confusion, je ne dis rien…

Commençant des va et vient avec sa main, Germaine approche ses lèvres et dépose un baiser humide sur le bout de ma bitte devenu sensible et violacé tant sa tension est forte. Petit à petit elle se la prend en bouche et je sens sa langue qui la caresse doucement… La chaleur du lieu et de sa salive fait monter la tension faisant grossir encore plus mon pénis… Quand je sens venir l’explosion finale, je prends, à deux mains, la tête de tantine pour l’écarter. D’un geste de négation, elle me fait comprendre son refus… N’y tenant plus, j’éclate en longs jets puissants au fond de sa gorge … Elle avale au fur et à mesure… Enfin elle libère mon chibre de sa prison buccale en me disant :

"- Tu comprends bien que je ne pouvais pas laisser perdre cette liqueur de puceau… C’est la première fois qu’une femme te fait ça???"

Avant que je ne comprenne ce qu’elle me disait, sa bouche brûlante se pose sur la mienne. J’avais le coeur dans la gorge, sa langue douce et humide s’infiltre habilement entre mes lèvres, forçant le passage de mes dents pour s’enfoncer dans ma bouche. Cette langue qui me parait étonnamment grosse et gluante m’envahit le palais, s’activant désespérément, me violant. D’abord surpris par ce baiser, inconnu pour moi, je me laissais faire, passif. Puis, bien que n’ayant jamais pratiqué ce genre d’exercice, je savais que je devais moi aussi participer à ce ballet lingual. Je lançais alors ma langue à la rencontre de celle de tante, la caressant maladroitement.

"- Tu n’as jamais embrassé de filles ? Me demande Germaine dans un souffle.

Ne voulant pas avouer mes relations avec ma soeur ni trahir la promesse d’en garder le secret, je répondis :

"- Non, jamais – Avouais je, penaud.

— C’est vrai ?… Je suis la première ? Continua tante en me fixant d’un air extasié.

— Ou… oui…."

Le mélange de mon jus et de sa salive n’avait pas mauvais goût…

Comme si cet aveu avait déclenché chez elle un désir incontrôlé, elle se jeta sur moi pour de nouveau me fouiller la bouche de sa langue agile. Prenant un peu plus d’assurance, je tente cette fois de m’appliquer en imitant les mouvements de l’organe féminin qui frétille dans ma bouche. Peu à peu, sous ces assauts, ma timidité s’évapore. J’ose alors avancer une main en direction des appas mammaires qui depuis quelques jours me faisaient tant fantasmer. Glissant mes doigts dans l’ouverture du peignoir je m’empare d’un sein énormément gonflé, que j’entreprends de malaxer maladroitement sur toute sa surface. Je découvre un plaisir extrême à pétrir cette chair molle et si douce au toucher, à soulever cette masse élastique pour la presser au creux de ma main. Au fil de mes tâtonnements, je découvre un téton dont la longueur et la dureté me surprennent. Jamais je n’aurais imaginé que ce petit bout de chair pouvait avoir une telle fermeté. Le saisissant entre le pouce et l’index, je m’ingénie à le pincer tout en le roulant sur lui même. Étonné, j’entends ma tante pousser des petits gémissements.

"- Huumm. Doucement mon chéri. Caresse les doucement."

Tout en me fouillant presque rageusement l’intérieur du palais de sa langue diabolique, elle pose sa main sur la bosse que fait mon membre viril tendu. Alors, avec presque autant de rage qu’elle en mettait à m’embrasser, elle entreprend de malaxer ma jeune virilité. D’incontrôlables spasmes agitèrent mon bas-ventre.

Nous restons un long moment ainsi, nous procurant mutuellement du plaisir. Puis abandonnant enfin son baiser, Tante me regarde dans les yeux :

— Et toi, jamais tu ne t’es branlé ?

— C’est quoi se branler… – dis je innocemment.

— On dit aussi "se masturber"… C’est se faire ça tout seul – dit elle en massant ma queue, qu’elle tenait toujours en main, sur toute sa longueur-

— Oui je me suis branlé, comme tu dis, mais au bout d’un moment, c’est tellement sensible que j’ai mal…

— Alors je parie que tu arrêtes… Il te faut continuer jusqu’à ce qu’elle crache, on dit aussi "éjaculer" …

— Des fois, le matin, quand je me réveille, elle est bien raide… Je la prends pour la caresser et, en quelques minutes, elle grossit encore et crache, par secousses, comme du lait…

— Et ça te fait du bien ? Ce qui sort du bout de ta bitte, c’est le sperme… C’est lui qui, si tu baises avec une fille, tu peux faire un bébé…

— C’est quoi baiser avec une fille? Tante…

— Oh là-là, il y a toute une éducation à faire… Je vais te faire voir… Mais avant, buvons notre tisane qui refroidit…"

Les tasses vidées, elle se lève, me prend la main, laissant mon pantalon sur place, nous nous dirigeons vers sa chambre…

Mais là, c’est une autre histoire qui commence…

A suivre…

Petokokin

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