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La vérité est ailleurs… – Chapitre 5




En proie à mes réflexions, je conduisais ma voiture au retour d’une course en ville. Avais-je rêvé de nouveau tout ce scénario érotique entre ma femme et ses parents, ou bien était-ce la réalité ? Je me trouvais constamment entre rêve et réalité Sur le coup, cette trainée de sperme sur la cuisse de ma femme m’avait paru un élément irréfragable. Mais peut être lui avais-je fait l’amour durant la nuit, dans un demi sommeil après ce rêve très érotique ? Comment savoir ?

J’allais avoir d’autres motifs d’interrogation

Je rentrais dans la maison de mes beaux parents, il n’y avait personne. Mais j’entendis du bruit venant du jardin et de la piscine. J’allai discrètement jeter un coup d’il et le spectacle valait le déplacement…Des rires et des cris Cécile complétement nue, courrait sur la pelouse poursuivie par son père et sa mère, nus eux aussi, avec force éclats de rires et gloussements.

Puis son père la plaqua sur le sol comme au rugby, Cécile sur le dos se retourna et criant et riant à la fois, fut maintenue au sol par son père, qui commença à lui placer sa main sur le pubis. Écartant les cuisses, Cécile facilita la passage des doigts de son père vers sa fente que j’imaginais grande ouverte Sa mère les rejoignit et chevauchant sa fille, plaça son sexe sur la bouche de Cécile, qui commença à le lécher généreusement. Ma belle-mère commença à gémir de plaisir, tandis que son mari masturbait Cécile de façon très agressive. Parfois Cécile quittait la chatte maternelle pour exprimait elle aussi son plaisir.

Cette scène surréaliste me provoqua une érection monumentale, en même temps qu’un certain dégoût. Mais que se passait-il donc ici? Je ne pus essayer d’apporter une réponse à cette question car je me réveillai sur notre lit, tandis que ma femme me secouait pour me dire que le repas était prêt. Elle me dit que j’avais dû m’assoupir au retour de mon déplacement en ville.

A table tout apparut normal,  à part peut être cette ambiance de décontraction et de joie de vivre, qui ne correspondait pas au caractère ascétique de  mes beaux parents. Mon beau-père insista pour me faire goûter une liqueur qu’il avait rapporté d’Amazonie, elle avait des vertus soi-disant aphrodisiaques et parfois hallucinogènes, chez certaines personnes. Alors que les autres fois je l’avais bue sans me poser de questions, mon sang ne fit qu’un tour ! La réponse était peut être là ! J’allais en boire et vérifier mes sensations toute l’après midi

Alors que mon beau-père resta à la maison, ma femme et sa mère décidèrent d’aller à la plage, je les accompagnai sans grande motivation. Pourtant quand ma femme prit une autre direction que notre coin habituel, je lui fit part de mon étonnement :

Tu verras , me répondit-elle, aujourd’hui ce sera un peu spécial.

Et ce fut le cas! Nous étions simplement sur une plage de nudistes. Nous frayant un passage au milieu des corps nus, et il y en avait du monde sur cette plage à 15h00, nous posâmes nos affaires dans un endroit resté libre . Alors que j’hésitais à garder mon maillot, difficile au milieu de tous ces gens nus, ma belle-mère qui retira son teeshirt et son short, sous lesquels elle ne portait rien, me dit en riant :

Alors Paul on fait son timide ? Tu ne veux pas montrer "ton artillerie" à ta belle-mère ,

Honteux, mais avec une once d’amour propre devant ma belle-mère, qui n’avait pas hésité à se mettre nue devant moi, je baissai mon maillot, découvrant une très belle érection . Il faut dire que la revoir à poil m’avait causé une grande excitation…Elle était vraiment trop bien foutue pour son age ! Je ne pouvais dériver mon regard de la vision de sa chatte et de ses seins !

Et bien quel bel engin mon gendre, tu dois en donner du plaisir à ma fille avec un tel monstre ! Dis Cécile, tu me le prêteras un de ces jours ton mari ? J’ai bien envie de l’essayer !

 

Ma femme qui venait aussi de se mettre nue, me regarda en souriant et hocha la tête. J’étais une fois de plus sidéré…Ma belle-mère voulait coucher avec moi, elle en parlait à sa fille qui approuvait avec plaisir !? Mais que se passait-il donc ?

Moi, avec cette érection inadéquate au milieu de ces nudistes, je ne pus que me coucher sur la serviette, ventre contre le sol pour masquer mon excès de désir les deux femmes partirent vers les vagues en se moquant de moi ! Et je m’endormis comme une masse.

Je fus réveillé par un rêve, un de plus, où je sentais ma femme avoir un plaisir trouble et malsain, mais qui s’en délectait, me disant de venir la rejoindre

Décontenancé et essayant de rassembler mes idées, je vis qu’il s’était passé une heure et que j’étais seul, enfin au milieu des nudistes. Je me levai et fut irrésistiblement attiré vers la falaise, à peu de distance de la plage. Je vis qu’il y avait de nombreuses grottes, qui devaient être recouvertes à marée haute. Mais ici la marée basse permettait le passage. Nu, sans sandales, je m’efforçais de ne pas m’égratigner les pieds sur les roches coupantes et parfois visqueuses, à cause des algues résiduelles. Au détour d’un gros rocher, qui semblait m’attirer irrésistiblement, je vis à nouveau une scène pornographique, qui me rappela instantanément l’un de mes cauchemars passés.

J’avais trouvé ma femme et ma belle-mère. Mais alors quel spectacle ! Les deux femmes étaient couchées nues sur le sol, les cuisses grandes ouvertes. Elles étaient "couvertes" par  deux poulpes qui les caressaient de leurs tentacules. Le céphalopode qui "s’occupait de ma belle-mère" était ventousé sur son sexe, et ses tentacules lui enserraient les cuisses et venaient effleurer ses seins. Loin d’être dégoutée ou horrifiée, ma belle-mère poussait des râles de jouissance . Elle semblait prendre un pied gigantesque.

Quant à Cécile, elle était à genoux, les cuisses bien écartées et le poulpe sur sa cuisse, venait lui passer un tentacule entre les jambes . Il semblait la "limer" et parfois venait insinuer la pointe dans sa fente ou son anus dilatés. Un autre tentacule enserrait Cécile sur le dos, et venait lui tripoter la pointe de ses seins. Ici encore ma femme jouissait à perdre haleine.

J’étais pétrifié et horrifié par le spectacle. Je ne pouvais pas en détourner le regard. Pourtant bien au delà du dégoût, je sentis une érection venir garnir mon bas ventre. J’étais excité, je ne pouvais me le cacher. Les deux femmes se laissaient ainsi caresser et masturber par ces animaux un peu particuliers. Pourtant ce qui me paraissait bizarre, c’était l’attrait des poulpes pour les seins et les parties génitales et anus des deux femmes. A chaque fois qu’elle changeaient de position, il semblait que les animaux se pliaient à leur volonté, pour leur donner un plaisir supplémentaire. De là où j’étais, je ressentais presque l’intensité orgasmique des ébats des deux femmes. Je ne pouvais bouger, j’avais l’impression d’être immobilisé, pris dans un autre cauchemar. Le temps passa très vite, car la grotte se trouva bientôt dans la pénombre. Le soleil ne produisait plus assez de lumière pour bien l’éclairer. Alors il y eut une lueur très vive derrière moi, et je vis se dessiner de toutes petites ombres sur la paroi rocheuse derrière les deux femmes, telles des nains, qui semblaient venir dans notre direction en grandissant. Je perdis conscience.

Je me réveillai sur ma serviette, toujours sur le ventre. Ma femme et ma belle-mère somnolaient à côté de moi. Tout semblait normal. Je me dis qu’il faudrait que j’arrête de boire cette liqueur, elle semblait avoir des répercussions sur ma conscience. Pourtant à table, l’attrait fut plus fort et je ne pus résister à l’envie d’en boire à nouveau !

La nuit, encore ce type de rêve où je sens que ma femme connait un plaisir fantastique, et qu’elle désire me le faire partager, toujours cette petite voix qui me dit de venir. Je sors du lit, ma femme n’y est pas…cela devrait m’étonner ? Et bien non, et  je sais ce qu’il va se passer

Quittant mon caleçon, c est nu que je pousse la porte de la chambre de mes beaux parents, pour y voir ma femme, à poil, faire l’amour avec ses parents comme déjà…

Comme hypnotisé, ma volonté m’ayant déserté, je m’approche du lit et me couche à côte de ma belle-mère, qui est en petite nuisette relevée au dessus du bassin, et les seins sortis. Elle vient de quitter la bouche de ma femme, que mon beau père est en train de baiser en levrette. Elle prend mon sexe en érection et commence à me masturber, tandis que j’admire ma femme se faire baiser comme une pute par mon beau père, gémissant et ahanant à n’en plus pouvoir! Je n’éprouve aucune jalousie, aucun dégoût…j’ai l’impression de ressentir leur plaisir à eux deux. Quand ma belle-mère embouche mon gland je me penche sur elle et me place en 69. Nous nous donnons tous les deux du plaisir de cette façon. La connexion avec elle est formidable. Je ressens ce qu’elle ressent, et elle aussi. Nous sommes en fusion érotique. Tandis que mon beau-père vient lui aussi s’occuper de sa femme, la mienne repousse sa mère et me dispose sur le dos ; elle vient s’empaler sur mon sexe tendu à se rompre, tandis que ma belle-mère, elle, vient à califourchon sur mon visage, et je continue ainsi mon cunnilingus. Mon beau-père, lui, se place de façon à ce que sa femme puisse le sucer à son tour. Reliés par la chair, nous le sommes aussi par l’esprit. Une communion d’âmes s’est effectuée et nous jouissons en même temps, tous dans un orgasme décuplé et partagé.

Par la suite ma belle-mère sera disposée sur moi en missionnaire inversé, pour que je la sodomise, tandis que mon beau-père la prendra par la chatte, avec Cécile qui viendra se faire gamahucher par sa mère Puis les rôles des deux femme seront inversés, et c’est Cécile qui sera prise en sandwich !

Le lendemain, réveillé de bonne heure et de très bonne humeur, je savais que tout cela n’était pas un fantasme, ou un rêve bizarre, nous avions bien fait une orgie à 4 durant la nuit, et avions joui de toutes les façons possibles, je me dirigeais dans la plus simple appareil vers la cuisine. Quand je vis ma belle-mère en train de faire le café en petit déshabillé de satin blanc, je m’approchai d’elle, lui plaçai mon érection contre les fesses, (ah, ce que j’en avais bien profité de ce petit cul cette nuit !) et l’enlaçant, je l’embrassai à pleine bouche sur le côté, et de ma main droite je passai sous le déshabillé, et lui mit deux doigts dans sa chatte, qu’elle avait encore bien ouverte et gluante de cyprine ou d’autre chose.

Elle se retourna vivement, se sépara de moi et me mit une claque sur la figure, dont je me souviendrais longtemps !

Encore sous le coup de la surprise, j’entendis  un grand cri derrière moi, ainsi qu’un juron bien masculin… ma femme était rentrée en compagnie de son père dans la pièce.

Paul, mais vous êtes complétement fou, vous vous prenez pour qui, m’embrasser et me caresser le …la

— Paul, votre conduite est inqualifiable, veuillez vous rhabiller et quitter la maison sur le champs !

— Mais Paul que t’arrive t’ il, un mauvais sommeil, de mauvais rêves  ?

— Mais… mais…cette nuit, l’orgie, nous quatre sur votre lit en train de

— Mon Dieu je ne veux plus en entendre d’avantage, Paul partez immédiatement où j’appelle la police !

Dans la voiture, la joue toute rouge, je ne savais plus où me mettre.

Des interrogations glaçantes ne cessaient de me venir à l’esprit…étais-je en train de perdre la tête ? Je ne pouvais poser aucune question à ma femme, quant aux épisodes de sexe à plusieurs, ni sur l’épisode des poulpes… les avais-je imaginés ?

Cécile conduisait, et après deux heures de route, goguenarde me demanda:

Alors ne t’inquiète pas, ils oublieront. Mon père m’a expliqué que la liqueur amazonienne pouvait conduire à ce genre de changement de conscience. "N’en bois plus", a était son conseil !

Alors qu’elle riait, elle ne vit pas le feu rouge et freina en urgence. Le véhicule derrière, nous percuta, nous envoyant toucher le pare-brise de la tête.

Une heure plus tard, aux urgences, le docteur me rassura sur l’état de santé de ma femme. Elle n’avait fait qu’un petit malaise, avec une grosse bosse comme moi, mais elle ne présentait pas de traumatisme crânien…par contre la radio qu’il me montra, le laissait extrêmement dubitatif, perplexe  et ennuyé …

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