ÉDUCATRICES
Coulybaca (Texte personnel)
Ce jeudi vers 18 heures, Françoise, suivie de son groupe de jeunes filles pénétrait dans le hall de la piscine de la ville voisine, la chaleur torride qui avait régné toute la journée l’avait amenée à bousculer l’emploi du temps prévu .
Depuis midi, les filles l’avaient pressée de s’y rendre afin de profiter pleinement d’une si belle journée.
Affalés sur le ventre, autour du bassin découvert, les aînés, les garçons du groupe 6 semblaient les y attendre, tout bien réfléchi, peut-être les attendaient-ils vraiment, instruits de leur sortie par les grandes.
En débouchant dans la piscine, son maillot une pièce noir la moulant, révélant sa lourde poitrine et ses fesses opulentes, à leurs yeux intéressés, Françoise s’était sentie dévorée des yeux .
Sous les regards de tous ces adolescent braqués sur elle, insistant avec impudence sur ses seins, ses fesses, son sexe, une douce chaleur l’avait alors envahie .
Pour cacher son trouble, elle s’était d’abord allongée sur une natte au bord de l’eau, quelques filles à ses cotés, ça et là, allongées sur le dos .
Faisant fi des spectateurs attentifs, elle avait entrepris de reprendre son calme, intriguée de cette réaction inhabituelle ….. la chaleur …… l’énervement peut-être .
Les filles n’avaient pas tardées à l’abandonner, se précipitant à l’eau pour y chahuter avec leurs habituels soupirants .
Rapidement Françoise, qui surveillait distraitement leurs évolutions, s’alarma de la tournure des événements : aux jeux innocents avaient succédé des attitudes plus suspectes, les jeunes gars, profitant des circonstances, caressaient les seins juvéniles, les fesses plus ou moins dodues de ses jeunes demoiselles qui ne s’en plaignaient pas, bien au contraire, ne protestant pour la forme que par des petits cris effarouchés, mais revenant se mêler de suite au chahut, aguichant par le geste les adolescents lorsque ceux ci leur prêtaient moins d’attention.
Cet atmosphère trouble, pesant, lourd de désirs exacerbés, n’était pas sans résonner sur Françoise elle même, elle sentait son coquillage se dilater doucement, une chaleur étrange lui embrasait le bas-ventre, ses sens chaviraient peu à peu, elle se secoua, et, pour échapper à ce trouble naissant piqua une tête dans l’eau fraîche et se mit à nager à longues brassées, accumulant les longueurs de bassin.
Bientôt Miloud et Stephan, deux adolescents parmi les plus âgés, la rejoignirent et nagèrent à sa hauteur.
Ils entreprirent de la chahuter, sous l’eau ils passaient sous elle, lui agrippant les jambes pour lui faire boire une tasse, elle se défendait de son mieux et, prise par le jeu leur rendait la pareille.
Brusquement, elle se sentit saisie par la jambe.
Un des jeunes avait agrippé sa cheville puis suivant le galbe de son mollet, l’arrondi de sa cuisse posait la main sur sa taille .
La peau de ses hanches se granulait sous la caresse insistante, à la limite du maillot.
Une poussée violente la plongea sous l’eau, elle ferma vivement yeux et bouche tandis que le jeune profiteur engouffrait brutalement son autre main dans le soutien-gorge lâche, ses seins furent rapidement malaxés.
Les tétons raidis pincés, ruant, se débattant, elle parvint à remonter à la surface mais, encore toussant et crachotant elle ne put identifier son agresseur.
Tandis qu’elle revenait péniblement au bord de la piscine elle s’étonnait de ne pas ressentir que de la colère .
Ces caresses brutales l’avaient émue plus que de raison, troublée, elle regagna les vestiaires pour se rhabiller .
Seule dans la petite cabine, elle se surprit en enlevant son maillot à caresser longuement sa poitrine, en faisant rouler lentement les pointes exaspérées, dardées, et elle, si peu portée sur l’onanisme elle passa lentement ses doigts dans sa fente qui ruisselait d’eau et de désirs frustrés,
constatant dans sa chair qu’elle regrettait la brièveté de l’étreinte qui l’avait tant émue.
Etonnée de se voir si réceptive aux attentions de ces jeunots, qui jusqu’ici ne l’émouvaient nullement, pour se calmer, elle eut recours à des caresses qu’elle croyait oubliées depuis longtemps .
La main nichée au creux de sa blessure elle débusqua son clitoris qui se dressait, impatient, hors de son capuchon protecteur .
D’un doigt, elle agaça ses petites lèvres, en apprécia le contours, puis enfilant son majeur dans sa vulve, la tête vide, elle accorda à ses sens la satisfaction de leurs désirs .
Après quelques longues caresses la brusque introduction de son majeur dans son anus l’amena enfin à cet orgasme auquel elle aspirait maintenant de toutes les fibres de son corps.
Rêveuse, légèrement nauséeuse, elle quitta l’édicule et gagna le parking ou l’attendaient la majorité de ses filles .
Aux regards ironiques des garçons qui leur tenaient compagnie, elle comprit que l’auteur du geste, peut-être même les deux garçons s’étaient déjà vantés de leur bonne fortune, elle se sentit rougir et se précipita à sa place sous l’oil insolent de ses suborneurs .
Depuis ce jour, elle avait accordé un regard plus attentif aux activités de ces jeunes gens et avait remarqué que depuis quelque temps, on les voyait souvent, l’appareil photo au poing, roder dans tout l’établissement
Et même, un jour qu’elle descendait de voiture, assis sur le terre plein ils l’avaient lorgnée de façon très indiscrète .
Sa jupe étroite, fendue sur le coté la gênait énormément pour sortir de voiture .
Elle se doutait du spectacle qu’elle leur avait offert en se tortillant pour s’en extraire, Miloud n’avait pas raté l’occasion de photographier cet instant révélateur.
Ils devaient bien s’amuser, le soir en contemplant les photos qu’ils avaient prises ; elle s’imaginait le spectacle, à demi sortie du véhicule, sa jupe troussée sur ses cuisses dodues et dorées à souhait, le fond de sa petite culotte pointant son triangle blanc à la jointure de ses fesses, peut-être même pouvaient ils apercevoir quelques poils follets dépassant de la lisiÈre de son slip .
De les imaginer étendus sur leurs lits, commentant le spectacle en se secouant la queue à pleine mains, son ventre s’échauffait encore ; malgré elle, elle dessinait dans sa tête le contour de leurs queues, quelques regards furtifs l’avait convaincue de l’importance du paquet de Miloud, qu’il exhibait d’ailleurs volontiers dans ses jeans moulés, elle se représentait une longue queue brune, épaisse, émergeant d’un buisson frisé et noir.
Comme tous les algériens, du moins d’après la rumeur, il semblait membré au delà de la norme, certainement beaucoup plus que son mari !
Sa tête s’il savait le pauvre à quelles comparaisons elle se livrait !
Les pantalons de son copain étaient beaucoup moins révélateurs et elle se perdait en suppositions quand à l’aspect du membre de Stephan.
L’orage couvait depuis la fin de l’après-midi, Françoise se sentait excitée au plus haut point, les pointes de ses seins s’irritaient sur la dentelle du demi-balconnet qu’elle avait enfilé le matin .
Elle était responsable du groupe des grandes, jeunes de 14 à 20 ans, toutes admises soit en raison de leur débilité, soit en raison de problèmes familiaux graves, parfois même pour les deux raisons .
Les jeunes filles, échauffées par l’orage et par la proximité du groupe des aînés lui avaient mené la vie dure toute la journée, les querelles, les discordes, souvent motivées par des jalousies éclataient à tout propos : l’une trouvait que son petit ami lorgnait trop les autres filles, celle-là pensait que sa voisine aguichait son jules …
Enfin tout l’après-midi avait été de cette veine, elle se sentait épuisée à force d’intervenir pour séparer les jeunes femelles en rut .
Maintenant, elle pouvait se détendre un peu,le repas s’était déroulé tant bien que mal, et à ce moment toutes les filles profitaient de leurs derniers temps libres avant le coucher, certaines devisaient dans la salle de vie, d’autres s’étaient retirées dans leur chambre pour y écouter des disques ou discuter de garçons entre copines, deux ou trois étaient parties retrouver leurs amoureux et devaient flirter, sinon plus dans quelque recoin de la propriété .
Avec violence, la pluie se mit à tomber, bientôt de longs éclairs embrasèrent le ciel, les lumières vacillèrent à plusieurs reprises puis s’éteignirent totalement.
La chaleur étouffante, les cris de panique des gamines apeurées, tout continuait à renforcer sa fébrilité.
Brusquement elle s’aperçut que deux de ses donzelles n’étaient pas rentrées elles pouvaient se trouver n’importe où, certainement en train de flirter ou même plus.
Françoise les imaginait la culotte descendue sur les genoux, leurs petits sexes exhibés devant les yeux de quelques garçons aux regards salaces.
Cela lui rappelait ses premiers émois sexuels .
Agée de 18 ans au cours d’une randonnée en montagne, un violent orage avait éclaté, contraignant chacun à se réfugier à toute allure dans un abri provisoire.
Elle s’était retrouvée avec son petit ami d’alors, Marc sous une roche en surplomb qui les protégeait de l’averse.
Marc profitant de leur isolement s’était enhardi, comme, apeurée, elle se blottissait contre lui, sa main avait lentement dérivé sur son épaule pour venir épouser la forme d’un sein, puis sa bouche s’était posée sur la sienne.
Lèvres soudées, ils s’étaient longuement embrassés de façon qui lui paraissait maintenant, l’expérience aidant, bien chaste.
Lentement, avec douceur, il avait caressé ses cuisses, les escaladant à pas menus, s’imprégnant de leur tendre chaleur, comme dotée de leur propre volonté, ses jambes s’étaient ouvertes, livrant le chemin de sa culotte de coton blanc au gentil envahisseur .
Puis fébrilement, s’énervant soudain, Marc avait empoigné sa motte, d’abord au travers de sa culotte.
Mais bien vite, il s’était infiltré sous l’élastique empaumant son pubis soyeux qui s’en trouva tout réjoui.
Les doigts fiévreux continuèrent leurs investigations, séparant les lÈvres virginales, dégageant le bourgeon déjà dressé qui aspirait à la caresse.
Puis il avait habilement parcouru le long corridor clos par les petites lèvres avant de s’aventurer dans la vulve serrée pointant un doigt indiscret, il s’était introduit, éprouvant l’élasticité du jeune vagin, une petite douleur cuisante avait marqué la perforation digitale de l’hymen avant qu’il ne lui impose un compagnon et se mit à tester la douce moelleur du con juvénile.
Les caresses duraient depuis quelque temps, ses cuisses s’ouvraient maintenant largement, elle appelait de tout son corps celui de Marc, elle allait vraiment succomber, lorsque l’averse ayant cessé des appels pressants les avaient obligés à reprendre une tenue plus décente pour rejoindre leurs compagnons .
En souvenir de ces instants délicieux, elle avait d’ailleurs prénommé son fils Marc .
L’idée la traversa subitement que ses adolescentes se trouvaient peut -être actuellement dans la même situation …
Elle devait intervenir rapidement …. Avant qu’il ne soit trop tard !
Il ne manquait pas dans l’IME de garçons susceptibles de profiter d’un court instant d’abandon !
Avec quels garçons pouvaient elles donc bien se trouver?
Avec Miloud, ce jeune présomptueux, au regard audacieux qui toisait toutes les femmes de l’établissement ?
Avec son compère Stephan qui lui aussi passait le plus clair de son temps à déshabiller les filles du regard ?
Avec Daniel le petit boutonneux qui respirait le vice par tous les pores de sa peau ?
Ou encore avec Charles le grand dégingande à l’air blasé ?
Avec Frédéric qui passait le plus clair de son temps à exposer ses organes génitaux aux yeux des plus jeunes ?…..
Plus elle y réfléchissait, plus elle penchait plutôt pour Miloud et Stephan, si vicieux que même les éducatrices se méfiaient d’eux là et veillaient à ne pas se trouver seules en leur compagnie .
Un nouvel éclair déchira le ciel, se secouant de la douce torpeur, dans laquelle ces évocations l’avaient plongée, Françoise décida de partir à la recherche de ses brebis égarées.
La démarche lourde de désirs inassouvis elle entreprit de visiter les locaux.
Elles ne se trouvaient pas dans les 3 pavillons éducatifs, ni dans la salle de gym, elles ne pouvaient donc se trouver qu’aux clubs ou dans les salles sous les ateliers ; elle les contourna et arriva dans les pièces obscures accueillant les activités de club.
Une lumière blafarde émanait d’une des salles, elle dirigea donc ses pas vers cette dernière, entrouvrant la porte, elle ne vit d’abord personne mais perçut des bruits de conversation provenant d’un divan qui lui tournait le dos.
Certaine de trouver ses filles vautrées sur le divan, peut-être même vautrées sur des garçons, la colère lui monta à la tête et brutalement elle surgit devant les yeux étonnés de trois jeunes, effarés de cette brusque apparition.
Décontenancée de ne pas trouver ses filles, Françoise ne sut que balbutier :
— N’auriez vous pas vu Isabelle et Marie-Claude?…
Devant la réponse négative des garçons, ne mesurant pas le péril, elle s’emporta alors :
— Mais que faites-vous donc là? ..
Le premier instant de saisissement passé, Miloud vit là l’opportunité qu’il guettait depuis de longs jours.
Discrètement il adressa un signe à Charles qui s’éclipsa rapidement, puis répondit :
— Nous parlions de toi ?
Au lieu de briser là la controverse, et de partir, Françoise commit alors l’ultime imprudence en poursuivant le dialogue, ironique.
— Et sans indiscrétion… Que racontiez-vous, pour être obligé de vous cacher pour discuter ?
Miloud répondit alors avec brutalité :
— On parlait de toi… De ton cul… De ta chatte… Depuis que nous t’avons bien pelotée à la piscine, on s’imagine tes formes… Les photos nous ont bien renseigné, on sait que t’es une fausse blonde… Les poils bruns dépassant de ta culotte t’ont trahi… Mais on aimerait en savoir plus… Pour l’instant on imagine…
— Je ne supporterai pas ce ton plus longtemps ! Le coupa alors Françoise,
— Ou tu t’excuses immédiatement devant tes copains ou je fais un rapport et c’est avec le directeur que tu t’expliqueras ! Le menaça-t-elle.
— Tant qu’a être puni… Autant l’être pour quelque chose ! S’enflamma Miloud l’agrippant par le bas de sa robe.
Françoise se sentit chuter elle tendit les mains en avant, par réflexe et se retrouva étendue de tout son long en travers des cuisses des deux complices .
Avant qu’elle n’ait pu se redresser Stephan lui attrapa les seins à pleine mains la forçant à se blottir sur leurs genoux.
Tout en criant elle serra les genoux à les rompre, déjà elle sentait les mains de Miloud s’insinuer sous sa jupe tandis qu’il commentait :
— Alors garce… T’as gagné c’est la pine qu’il te faut… Vas-y, hurle à plein poumon… Ca m’étonnerait que quelqu’un se balade dans le coin, et… Même si on t’entendait t’aurais bonne mine si on te trouvait troussée comme un poulet sur nos genoux !
Effectivement, Françoise se rendit compte du spectacle qu’elle devait donner, dès ce moment elle se tut, peu encline à ameuter des adultes, ou des enfants qui commenteraient à leur façon le troublant spectacle.
Cependant elle se débattait, cherchant à se délivrer, mais chacun de ses soubresauts livrait encore plus son intimité aux doigts inquisiteurs.
Miloud promenait maintenant sa main dans sa culotte, il lui caressait les fesses, suivant d’un doigt curieux la fente ombrée, débusquait l’anus frémissant blotti au plus profond de la raie .
Pour l’instant il inventoriait sa croupe, tandis que Stephan, qui avait retroussé son chemisier sortait à demi ses seins de leur écrin.
Ils débordaient maintenant du soutien-gorge roulé sous sa poitrine, il pinçait les aréoles, les tirait, pétrissait toute la mamelle… Sûr la trace de ses doigts resterait un moment marquée sur sa poitrine !
Françoise sentait grossir leur envie sous elle, leurs queues l’une à hauteur de ses cuisses, l’autre sous son torse prenaient une consistance de bon aloi.
Elles raidissaient, s’irritaient contre les jeans et Françoise était à même de constater qu’elle ne s’était pas trompée quant à la taille de la bite de Miloud, celle de Stephan qu’elle n’avait pu évaluer, lui semblait toute aussi grosse, elle sentait son con s’humidifier et ruait de plus belle pour se dégager.
Retombant d’une de ses ruades, elle fit crier de douleur Miloud, involontairement elle lui avait écrasé un testicule sur la cuisse.
Le visage de Miloud s’empourpra de colÈre, il s’écria furieux :
— Ça tu vas le payer ma garce !
A ce moment Charles, qui s’était éclipsé au tout début des débats, réintégra la salle, son éternel appareil photo sous le bras, il informa ses potes :
— Pour éviter toute surprise, j’ai mis quelques poubelles en travers du chemin, dans l’ombre du virage, si quelqu’un se pointe on entendra parfaitement le bruit !
— Alors on y va dit alors Stephan, impatient à ses acolytes…
— Qu’est ce que vous voulez me faire .. pleurnicha Françoise apeurée .
— Qu’est ce que tu fais à tes enfants, quand ils désobéissent ou te font mal ? L’interrogea Miloud.
Et Françoise s’entendit répondre, la voix mal assurée, tremblante :
— Je leur donne la fessée ! Et vivement elle ajouta Mais c’est pas pareil… Ce sont des enfants, vous n’oseriez tout de même pas…
La suite lui prouva que si.
— Stephan bloque lui les bras, Charles tu prendras des photos !
Ceci dit Miloud la coinça de nouveau sur ses genoux, elle n’eut pas le temps de rouspéter, que déjà Stephan lui retournait les bras dans le dos et les lui bloquait d’une main, réservant son autre main pour un autre usage.
Malgré ses gigotements Miloud releva sa jupe bien au delà de la croupe .
Elle avait conscience, ainsi troussée de leur exposer ses deux globes ronds encore prisonniers de leur écrin de nylon.
Son mini slip vert devait encore renforcer l’attrait du spectacle, ils restÈrent quelques instants silencieux, immobiles, à contempler le joufflu livré à leur convoitise .
Puis d’une main, Miloud attrapa l’élastique du slip, et ainsi qu’on dépouille un lapin, il lui arracha son dernier voile.
L’élastique céda d’un claquement sec immédiatement suivi du grincement du nylon qu’on déchire.
Un premier éclair ponctua la première photo.
Miloud fourra les lambeaux de la culotte dans sa poche et attira l’attention de ses copains sur le postérieur ainsi dénudé .
Les trois se livrÈrent à nouveau à une longue contemplation, Françoise cherchait à serrer les fesses, afin de révéler le moins possible des secrets de son académie, mais Miloud lui avait écarté brutalement les jambes et sur, son injonction, Charles glissa une chaise entre ses chevilles.
Françoise avait pleine conscience d’être exhibée comme du bétail à l’étal, elle sentait les yeux de ses agresseurs courir le long de la vallée ombrée de sa raie, lisant comme dans un livre ouvert à la bonne page, découvrant d’abord l’anneau ridelé à la texture plus sombre de son anus puis tout de suite après le périnée, l’ouverture de son sexe, qui vu sa position devait bailler insolemment.
Elle en soupirait de honte, elle savait maintenant que rien ne les arrêterait plus, il était inutile de les supplier…
Malgré elle une louche langueur gagnait ses reins… Et l’autre qui continuait à prendre des photos !
La main s’abattit une premiÈre fois sur le majestueux pétard une vive douleur irradia alors sa croupe, la deuxième claque se faisait attendre, et c’est alors qu’elle décrispait ses fesses qu’elle arriva provoquant immédiatement un surcroît de douleur .
La technique de fesseur de Miloud était bien au point, les coups étaient violents, variés, donnés sur un rythme lent, il attendait toujours l’instant ou les fesses se détendaient pour frapper.
Les soubresauts de la victime obligeaient l’anus à s’entrouvrir révélant la chair sombre du tunnel, la langueur de Françoise avait évoluée, aux brûlures des premières claques avaient succédé des lames de feu qui lui traversaient les reins, irradiant dans son sexe qui était maintenant trempé, elle prenait son pied, peu à peu ses sanglots se transformèrent en soupirs et bientôt un long spasme la secoua sur les genoux de son agresseur.
Tout le temps de la punition, Stephan avait continué de lui peloter les mamelles, les pinçant, les malaxant tandis que le dernier compère continuait à prendre des photos.
Miloud se fit caressant, il voulait vérifier une impression subite, s’infiltrant entre les jambes disjointes il força du doigt le con de la belle et le trouva débordant de cyprine, grandes, petites lÈvres, clitoris tout baignait maintenant dans un jus onctueux.
A ce moment, retentit un juron sec accompagné d’un bruit de poubelles renversées.
Immédiatement Miloud libéra Françoise, cette dernière en toute hâte entreprit de remettre un peu d’ordre dans sa tenue, Charles, lui, dissimula son appareil photo .
Les jambes cotonneuses, la vulve trempée Françoise vit Christophe, l’éducateur chef rentrer dans la salle, tout de suite il interrogea :
— Françoise, que faites vous ici, en compagnie de ces deux jeunes ? Et au vu de son visage empourpré il ajouta :
— Vous auraient-il importunée ?
Miloud retint sa respiration, l’instant était crucial, ou elle se taisait et c’était tout bon pour eux, ou elle parlait et c’était le renvoi après passage devant le directeur.
Françoise, l’esprit embrumé n’en était pas là, elle pensait seulement à la honte d’avouer qu’elle s’était fait tripoter par ces jeunes, tout son esprit se révulsait à l’idée d’étaler son aventure, de savoir qu’elle serait abondamment commentée… Déjà qu’on lui reprochait sa trop forte féminité… On l’accuserait de les avoir provoqués… Qu’en dirait son mari si jaloux… Et ses enfants ne la considéreraient-ils pas comme une putain… On est si cruel à 12 et 14 ans !
Un ange traîna dans la pièce, et la voix voilée, essoufflée Françoise répondit :
— Je viens d’arriver au pas de course… Sous la pluie et je questionnais Miloud et Stephan… Je cherche Isabelle et Marie-Claude qui se sont absentées du groupe !
Cette explication suffit à Christophe qui se tournant vers Miloud, Stephan et Charles les engueula un peu, ils n’avaient rien à faire à cette heure à cet endroit, même s’ils s’y étaient réfugiés pour s’abriter .
Tous ensembles ils retournèrent vers les groupes.
Sous le regard goguenard des trois jeunes, Françoise salua son chef et rentra au groupe ou elle retrouva ses deux fugueuses.
Coulybaca
Janvier 2008