bonjour,
Je m’appelle Lucas. J’ai 20 ans.
Je dois vous raconter ici une histoire qui m’est arrivée avec mes parents…
Il y a quelques temps de ça, lorsque mon père a constaté que je devenais un homme et que ma virilité ne faisait plus de doute, il a eu une idée folle :
il a voulu m’initier à la sexualité avec ma mère.
C’était son fantasme. Lui même avait toujours rêvé de sexe avec sa propre mère. Dans sa jeunesse, ma grand mère et lui s’étaient laissé aller souvent à des caresses très intimes, mais à l’époque la tolérance sexuelles n’était pas ce qu’elle est aujourd’hui, et ils culpabilisaient tellement qu’ils ont pas osé aller plus loin et faire vraiment l’amour …
Mon père en avait toujours gardé beaucoup de frustration car il mourrait d’envie de pénétrer pour de vrai sa mère…
Il s’était dit qu’un jour il laisserait son propre fils faire cette expérience pour qu’il n’ait à son tour pas ce genre de regrets…
Ma mère n’était pas farouche, et donc il savait qu’il n’était pas totalement impossible qu’elle accepte des relations sexuelles avec moi…
Mais surtout, mon père voyait là le moyen de vivre son fantasme par procuration : l’idée de me voir faire ça avec ma mère l’excitait d’une façon incroyable.
Il faut dire aussi que mon père et ma mère étaient adeptes depuis longtemps des clubs libertins et des gangs bangs notamment.
Mon père adorait voir ma mère se faire prendre par plusieurs hommes et ma mère aimait ça aussi …
Alors le faire avec moi serait sans doute assez facile pour elle, pensait il…
C’était une sorte d’aboutissement.
Bien sûr, Au début ma mère n’a pas été d’accord. Autant elle n’avait rien contre le fait de se faire prendre par des ribambelles d’inconnus la même soirée, mais là, avec son propre fils, il ne fallait pas exagérer !
Mais mon père était têtu…Il expliquait à ma mère que c’était une expérience unique que tout jeune homme devait faire avec sa mère., il était sûr que tous les deux en tireraient beaucoup de plaisir.
A force de persuasion, mon père qui ne lâchait rien, arrivait toujours à ses fins… Finalement, ma mère a cédé…
Alors elle a commencé à s’habiller très sexy à la maison. Il fallait réveiller ma libido…
C’est sûr que lorsque un adolescent surprend sa mère en mini jupe en train de faire le ménage, ça ne le laisse pas indifférent. Dès qu’elle se baissait, j’apercevais sa petite culotte sous sa jupe.
Plusieurs fois je me suis aperçu qu’il n’y avait pas de petite culotte du tout, et ça m’a mis dans un état ! …
Je commençais à fantasmer sévère…
Bien sûr, je ne me doutais pas que mon père et ma mère étaient d’accord pour aller plus loin avec moi…
Ca a continué avec des décolletés carrément provoquants, des chemisiers transparents portés sans soutien gorge etc…
Je trouvais bien ce changement d’attitude un peu bizarre, mais je ne disais rien, puisque j’en profitais…Le soir dans mon lit, j’avais commencé à me masturber en pensant à elle…
Je culpabilisais, bien sûr un peu, de toutes ces mauvaises pensées, car j’étais loin de me douter que mon excitation était exactement l’effet recherché par ma mère et mon père…
Le soir, ma mère a pris l’habitude de la voir venir dans ma chambre pour me dire bonsoir dans des tenues carrément plus déshabillées, en sous vêtement ou autres nuisettes sexy…
Ce soir là, J’étais déjà couché lorsque comme à son habitude elle est rentrée dans la chambre et s’est assise sur le bord de mon lit. Elle portait un peignoir à moitié ouvert sur ses seins. Mes hormones se sont réveillées..
Elle n’a eu qu’à écarter encore un peu le peignoir pour faire sortir entièrement ses seins.
Alors peu importe les remords…. Je n’ai pas pu refuser l’offre, je les ai attrapés à pleines mains…
Quelle sensation étrange de tenir les seins de sa mère dans ses mains !
Ma mère ne s’est pas arrêtée là. Elle a retiré la ceinture du peignoir. Elle était nue dessous…
Quelle beauté ! Son sexe était lisse, parfaitement épilé.
J’étais bouche bée. Je ne savais pas quoi faire, entre admiration et stupéfaction…
Elle avait prévu le coup : c’est elle qui a bougé : elle a passé la main sous le drap et est allée chercher mon sexe.
J’ai senti son émotion.
Voir ma queue durcir et raidir dans ses mains était pour elle aussi une nouvelle expérience.
Elle s’est mis à la caresser doucement, admirative de la taille de mon engin…
Ce que je savais pas, c’est que dans le couloir, par la porte entrebaillée de ma chambre, mon pervers de père ne perdait rien du spectacle. Il voyait tout.
Lui aussi avait sorti sa queue pour se masturber…
Il se régalait du spectacle.. Il était plus que satisfait : son plan marchait à merveille !
En plus, il constatait que je bandais dur ! Il était fier. J’étais bien son fils !
Alors il a vu ma mère mettre mon sexe dans sa bouche. D’abord ses lèvres ont entouré mon gland, puis elle est descendue doucement, lentement…C’était délicieux…
Mon père était admiratif : "quelle salope, quand même ! …"
Il savait que ma mère suçait bien et qu’elle aimait ça. Mais il ne pensait pas qu’elle allait s’acquitter de sa tâche avec autant de bonne volonté.
Le fait est que ma mère ne se faisait pas prier…
En me suçant, ma mère me laissait parcourir son sexe avec mes doigts, la caresser, explorer sa vulve et son vagin déjà humide. Elle aussi se régalait.
Après m’avoir sucé un bon moment, elle m’a sorti un préservatif. "tiens mets ça ! .. "
J’étais vraiment estomaqué !
J’étais en train de me demander si c’était une blague… Alors voyant mon hésitation, ma mère a elle même saisi le préservatif et me l’a placé sur la queue, ce qui a eu pour effet de m’exciter encore plus.
Puis elle s’est mise à genoux sur le lit et m’a demandé de la prendre par derrière.
Comme j’étais déjà bien trop excité pour réfléchir, je me suis exécuté…
J’ai positionné ma queue vers sa vulve.
Puis doucement, je suis rentré… Le gland, puis tout le sexe… Tout au fond d’elle…
Derrière la porte, mon père jubilait. Il jouissait du spectacle.
Son fantasme se réalisait. Le petit salop était en train de baiser sa mère !
Il repensait à sa jeunesse, à la chatte de sa propre mère qu’hélas il n’avait jamais pu pénétrer, et ça le faisait bander encore plus…
"c’est génial !" …Pensait il…
Il n’avait qu’une envie, venir nous rejoindre avec maman, qu’elle le suce pendant que je la baisais, ou alors qu’on la baise à deux …
Mais il ne voulait pas me faire peur en apparaissant comme ça, et risquer de me faire débander.
Me voir pénétrer maman l’excitait comme un fou. Il avait envie de gicler, mais se retenait pour profiter encore du spectacle.
C’est moi qui suis venu le premier.
Je baisais maman comme un fou. En levrette, c’était trop bon, j’adorais ça. Trop excité, je n’ai pu me retenir longtemps… Je le sentais venir mais c’était trop bon…
J’ai crié "maman ! je… , ha !"
et ma mère : "vas y mon chéri ! vas y ! décharge toi dans ma chatte, vas y ! "
J’ai du jouir comme jamais. C’était extraordinaire…
Ce que je ne savais pas, c’est que dans le couloir, mon père aussi avait inondé le carrelage de son sperme…
Ma mère a retiré mon préservatif "hé bien, tu en avais là dedans ! Il y en a un litre au moins…"
Puis elle m’a pris dans les bras
"c’était très bon, mon chéri… Bon tu ne diras rien à papa, hein ? "….
Hé oui, elle était joueuse ma chère maman !… Elle savait très bien que papa n’avait rien perdu du spectacle, mais tant qu’à faire, autant s’amuser un peu…
Derrière la porte, mon père qui continuait de nous écouter en se rhabillant se marrait bien.
Il était décidé : "Bon la prochaine fois, je participe, quand même"
Papa était partageur et il aimait bien mâter, mais bon, ça avait des limites…
J’ai vite compris que papa était consentant.
A partir de cette date, il ne s’est plus privé de remonter la jupe de maman devant moi pour lui caresser les fesses, histoire de bien me montrer "tu vois mon fils, je veux bien partager certaines choses avec toi…"
Un jour où nous étions devant la télé, il s’est mis à pelotter maman, puis à la déshabiller devant moi.
C’est lui qui m’a demandé de venir la lécher.
C’était la première fois où nous l’avons prise à deux.
Depuis, on peut dire que maman a ses deux amants à la maison. Nous la baisons ensemble ou séparément avec mon père, mais on peut dire qu’elle ne manque de rien !
C’est pas le bonheur, ça ?