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ARIANE – Chapitre 2




EPISODE II

Vous voulez comprendre cette histoire? Une seule solution, lisez l’épisode 1.

    . . . . . . . . . . . .

Après mon viol dans le parking. J’ai du raconter ce qui c’était passé à mon copain avec qui je vis depuis plusieurs années. Je ne lui ai rien caché, ni mes peurs, ni mes jouissances.

    Eric m’a écoutée avec stupeur. D’abord incrédule, il a fini par me prendre dans ses bras et me cajoler. Il m’a écoutée sans rien dire puis m’a regardée:

— Ma pauvre chérie, ça a du être une expérience terrible pour toi!

— Oh, chéri ouais j’ai bien cru ma dernière heure arrivée. Et puis je crois que j’ai réussi à le calmer

Troublée, je m’étais mise à raconter ce qui s’était passé. Étrangement, Eric me cajolait en me caressant. Une main dans mon dos, l’autre sur mes fesses, je ne remarquai pas tout de suite qu’il me caressait les fesses de façon très érotique, lui non plus, peut-être, mais ses caresses m’apaisaient et me faisaient du bien. J’en avais un réel besoin et je me blottissais de plus en plus dans ses bras. Sans m’en rendre compte, je me mis à raconter avec de plus en plus de détails ce qui s’était passé, ce qui m’était arrivé et Eric me caressait de façon de plus en plus intime.

A la fin de mon récit, je transpirais, tremblant sur mes jambes et je me sentais étrangement troublée. Eric semblait dans le même état et avait laissé sa main sur mes fesses, continuant de me caresser, tandis que son autre main s’était posée sur ma poitrine.

— Ma pauvre chérie. Je comprends. Je comprends ce qu t’es arrivé! Je crois que beaucoup de femmes auraient réagi comme toi, il ne faut pas t’en faire. Je comprends très bien que tu n’aies pu te soustraire au désir de cet homme, et je comprends aussi que tu n’aies pas envie de porter plainte. C’est courageux de ta part.

— Tu crois? Tu crois que c’est du courage?

— Ouais, j’en suis sur. Et je crois que je sais comment tu en es arrivée là. Comment tu as su résister à la panique et affronter cet homme et pourquoi tu ne désires pas porter plainte.

— Ah bon? Comment, alors?

— Oh! C’est simple. C’est tout simplement grâce à notre façon de vivre, à nos habitudes érotiques. C’est comme si. tu avais reçu un entraînement. Et grâce à cela, tu as su garder la tête froide et les pieds sur terre.

Malgré la situation, j’ai failli pouffer de rire suite à ces affirmations. Eric ne mesurait certainement pas ses paroles. Je ne pus m’empêcher de répliquer.

— La tête froide et les pieds sur terre? J’avais plutôt chaud la tête et les pieds dans le vide!

Ma réplique eut pour effet de nous faire rire. Eric me caressait toujours.

— Tu crois que c’est pour çà que je me suis laissée faire, comme çà?

— Ouais, j’en suis sur. Tu as comme l’habitude, d’être prise par un autre non? C’est pas la première fois qu’un homme te touche et te possède. Et même si c’était différent, même si son intention était de te violer, tu ne l’as pas ressenti comme tel, peut-être au début, mais ensuite, cette habitude de sentir un homme te prendre a pris le dessus. C’est pour çà que tu as réagi comme çà et je crois que c’est naturel.

— Mouais peut être que tu as raison. Bon c’est passé. N’en parlons plus.

— Comme tu veux. On en reparlera si tu le désires.

    C’est ainsi qu’étrangement, nous avons évacué ce viol. Pour moi, ce n’en était plus un dans mon esprit. Je crois qu’Eric était dans le même état d’esprit que moi. Je ne me refusai pas à lui et il me fit l’amour avec fougue.

    Le lendemain même, Eric m’informait qu’il avait invité un ami à dîner. Je fis la moue.

— Tu crois que c’est pas un peu tôt après ce qui m’est arrivé?

— Pourquoi? Au contraire, çà nous changera les idées!

— Tu l’as invité pour moi, c’est çà?

— Oui ma chérie, pour toi, justement. Pour te changer les idées, pour te faire penser à autre chose. Cela te fera du bien, tu verras.

— Tu crois? Tu vas me donner à lui?

— Oui ma chérie. Je crois que c’est ce qu’il te faut, je suis sur que cela te fera beaucoup de bien. J’ai envie qu’il te possède, qu’il te prenne furieusement et que tu t’offres, sans restriction. Je veux te voir jouir, offerte et possédée.

— Oufff! Hem et c’est qui?

— Roland.

— Ah!? Roland? Bon si tu en as envie

— Roland te connaît bien, il est doux avec toi, et il te fait jouir à chaque fois et c’est ce qu’il te faut.

— A chaque fois! Il ne m’a prise que deux fois! Tu dis çà comme si je faisais l’amour avec lui tous les jours!

— C’est exact, deux fois! Et les deux fois, il t’a fait jouir, non?

— Mouais, c’est vrai. Mais, tu sais Roland il veut enfin, la dernière fois, il voulait aller au bout dans moi J’ai pas voulu mais, il y tenait vraiment! Et là il va recommencer!

— Tu sais, il est sain. Après tout

— Après tout quoi? Tu voudrais quand même pas non

— Pourquoi pas? Ce n’est pas le premier, non? Pourquoi pas Roland? Je vais t’offrir à lui et je veux te regarder te laisser remplir, te laisser prendre par lui, jusqu’au bout. On verra, de toute façon

— Tu tu voudrais que Roland

Eric ne répondit pas. Je restai songeuse et j’ai gambergé sur le sujet toute la journée. J’étais sure que ce qui s’était passé dans le parking, ce que je lui en avais raconté, l’influençait. C’est pour cela qu’il montrait une telle hâte à me voir prise par un autre, c’est pour cela qu’il avait invité Roland si rapidement. Et mon récit l’influençait certainement sur son envie de me voir possédée jusqu’au bout.

    Roland me semblait étrange. Il me regardait d’une façon bizarre et son comportement semblait insolite. Alors que nos invités habituels ne se permettaient de me toucher qu’à partir du moment ou le rapprochement semblait convenu: après un repas, soit lors d’une danse ou en se retrouvant sur le canapé, Roland n’avait pas hésité à me toucher les fesses en passant à côté de moi, dès son arrivée. A l’apéritif, alors qu’il se trouvait à proximité, il avait posé son verre et déclaré simplement:

— J’aime ton décolleté Ariane. Il est splendide et permet certaines libertés comme çà!

Stupéfaite, je l’ai regardé passer sa main dans l’échancrure de ma robe sans réagir.

Sans soutien gorge, j’avais revêtu une robe légère, imprimée, dont les larges bandes de tissu faisant office de bretelles, passaient derrière mon cou et revenaient se croiser sur mon torse, dégageant presque entièrement ma poitrine.

Sa main entière s’est refermée sur mon sein et j’ai senti ses doigts malaxer ma poitrine puis jouer avec mon téton, qui s’est mis à durcir instantanément. J’ai soufflé d’émotion sous la caresse, incapable de réagir.

— Ouufff! T’es direct toi t’es gonflé!!!

— Non ce sont tes seins qui sont gonflés Aline sens les sens les bander sous mes doigts.

— Roland, c’est tu vas trop vite

Eric, qui n’avait encore rien dit, renchérit, venant en aide à son ami:

— Laisse toi faire ma chérie. C’est mieux qu’il aille vite, penses à ce qu’il te fait. Tu sais il est au courant de ce qui t’est arrivé. Il va te cajoler, comme tu le mérites.

— Quoi? T’es au courant?

— C’est rien Ariane. C’était normal qu’il m’en parle. Je vais te faire du bien, tu vas voir. Maintenant, tu vas faire tout ce que je te dirai.

— Hein? mais

— Chut!! Laisse toi faire. Laisse toi aller. Allez viens!

Sans me laisser le temps de répondre, Roland me prenait dans ses bras et me déposait sur le canapé. J’ai regardé Eric tandis qu’il m’allongeait sur le dos. Eric s’était rapproché et semblai ravi, excité aussi. J’ai réalisé que les deux hommes voulaient me voir prise rapidement et je me suis laissée aller.

Roland m’a retiré mes chaussures, puis a dégrafé ma robe et l’a fait glisser sur mon corps, me dénudant presque entièrement. Eric lui a chuchoté quelque chose à l’oreille et Roland a eu un petit sourire. Il a mis sa main dans l’élastique de ma culotte et a tiré violemment, arrachant mon sous vêtement d’un coup sec, ce qui m’a fait crier de surprise.

— Oh! No ! Pourquoi? Qu’est-ce que tu fais?

— Tais toi laisse toi faire!!

— Roland non

Roland n’a pas répondu. Il m’a attrapée à bras le corps et m’a retournée, me forçant à me mettre à quatre pattes sur le canapé. J’ai obéi, écartant légèrement les jambes. Roland s’est déshabillé en quelques secondes tandis qu’Eric m’enfilait deux doigts dans le vagin, me faisant mouiller. Il plongeait en moi et j’adorais le sentir. Roland avait attrapé mes seins et me les pelotait rudement. Puis Eric a retiré ses doigts et Roland est venu derrière moi. Je pâmais déjà du désir de le sentir en moi.

— J’ai envie de te baiser Ariane. Écarte toi, donne moi ta chatte. Viens que je t’enfile!

— Oh! Oui! Roland baise moi!!!

Je sentis la queue dure et chaude pointer entre les lèvres de mon sexe. Il se positionna confortablement, agrippé à mes hanches tandis qu’Eric, agenouillé à côté, comme à son habitude, me regardait intensément, me scrutant du regard, excité de saisir l’expression de mon visage et de mes yeux au moment où son ami enfoncerait sa bite dans mon ventre.

Je le fixai à mon tour, le regard trouble, fortement excitée qu’il me fasse baiser de cette façon, et encore plus excitée qu’il assiste à ma pénétration, comme chaque fois.

Je poussai alors un feulement grave, profond et puissant tandis que Roland s’enfonçait dans ma chatte.

— Aouuuaaaahhhh! Putain!!! Eric Il m’enfile la chatte c’est bon oh ouais!!!

— Ouais, ma chérie, c’est beau. Il te baise, profond

— Ouais, oh ouais, c’est bon! Il me baise il est bon Oh! Putain! Il est gros dedans. Défonce moi, vas-y, défonce moi! Prends moi, fort!!

— Ouais! Je vais te baiser. Tu vas te faire défoncer. Tu vas en prendre plein la chatte et je vais te la remplir, tu vas crier de plaisir! Tiens, et tiens! Han!

— Oooooh! Oooooh! Ouiii! Mets là profond c’est bon. Prends moi

— Je vais te la remplir Ariane ! Tu vas la sentir dans ton ventre!

— Oui! Oh oui, mets là à fond dedans mets moi, fais le

— Tu es à moi Aline!

— Oui à toi. Baise moi. Prends moi. Défonce moi.

— Ouais tiens oh tiens tu sens, je viens, je viens, ouais, vide moi les couilles. Sens moi!

— Oh Roland, oui, donne moi tout, mets moi à fond viens dedans Baise moi, baise moi Roland.

Et Roland ne put se retenir une seconde de plus, m’aspergeant le fond de la chatte d’une première giclée qui me fit hurler et pâmer de plaisir, sous le regard brillant d’Eric.

— Oh, putain il décharge! Chéri dedans, il est dedans, il me remplit. Oh, oui! Encore, encore, défonce moi! Vas-y, mets tout!

— Ouais! Tiens, salope! Prends moi. Suce moi, prends tout! Ouaahhh!

Un dernier râle, puis je sentis Roland s’affaisser sur mon dos. Moi-même, je m’écroulai sur le ventre. Roland resta fiché en moi plusieurs minutes et aucun de nous n’osa bouger. Roland resta en moi et recommença à bouger lentement. A ma grande surprise, je le sentis bander à nouveau. Je le connaissais bien mais ne l’avais jamais vu aussi en forme. Il se remit à bander, m’attrapa les hanches et m’obligea à me remettre à genoux. Encore haletante, je me laissai guider sur le canapé.

Roland me pistonna quelques minutes puis se retira de ma chatte. Avant que je n’aie eu le temps de faire le moindre mouvement, je sentis sa queue pointer sur mon oeillet. Habituée depuis longtemps à la sodomie, soit par Eric ou par d’autres partenaires, je laissai Roland me prendre par derrière. J’adorais cela en fait, mes jouissances étaient extraordinaires. Roland fit aller le gland sur mon petit trou puis plongea à nouveau dans ma chatte. Il recommença l’opération plusieurs fois, jusqu’à ce que le gland entre de lui-même dans mon cul.

Eric qui suivait la progression de sa queue en moi et attendait avec excitation de me voir pénétrée, l’encouragea.

— Vas-y, Roland. Encule là!

Fouetté par ces paroles, il s’agrippa à mes hanches et poussa jusqu’au fond. J’avais beau être habituée, Je criai sous la poussée car il était entré d’un seul coup, jusqu’au fond.

Roland commença à me pistonner, d’abord lentement, puis plus rapidement au fur et à mesure que montait mon excitation. Mon copain, toujours à mes côtés, me caressait les seins et envoyait quelques fois ses doigts sous moi, entre mes cuisses, forant ma chatte ou titillant mon clitoris. Je devenais folle d’excitation. Les deux hommes faisaient le maximum pour me faire partir. Je ne pus tenir longtemps sous un tel traitement. Roland entrait de plus en plus profond dans mon cul, et Eric m’enfilait carrément deux doigts dans la chatte.

Une vague m’emporta soudain. Je sentis mon ventre se nouer, mes jambes se raidir. Les muscles de mes bras devinrent durs et je fus emportée par une lame de fond. Ma jouissance fut extraordinaire. Je râlais, criant des mots sans suite tandis que mon copain me taraudait la chatte. Mon corps se tendit d’un coup au moment où je sentis Roland me remplir à nouveau. J’étais, cette fois, complètement remplie de sa semence, entièrement à lui. Il faisait de moi sa femelle, c’est exactement ce à quoi je pensai en finissant de jouir. Roland s’enfonça une dernière fois en moi, puis, lentement, je sentis son sexe quitter mon corps. Doucement, il se retira de mon ventre et me laissa, haletante, étendue, nue sur le canapé. Eric me cajolait, me caressait, me disant des mots fous. J’étais bien.

Quelques minutes plus tard, Roland disparut dans la salle de bains.

Nous ne sommes passés à table que bien plus tard, tellement j’étais épuisée par ces jouissances. Je restai sur le canapé, entre mes deux hommes, chacun me caressant partout.

Cette fois-ci, Roland est resté chez nous. Il a passé la nuit avec nous, et j’ai été prise à nouveau, toute la nuit, dans toutes les positions, parfois par les deux à la fois. J’ai connu ma première double pénétration et je n’ai cessé de jouir. Roland est parti au petit jour, j’étais éreintée. Jamais je n’avais joui si fort et autant de fois.

    Quant à mon agression dans le parking, je l’ai complètement évacuée. La jouissance l’emporte sur la peur. Je continue d’aller chercher ma voiture à cette place. je n’ai aucune appréhension. Peut-être qu’un jour …

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