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Les nièces jumelles : saison 3 – Chapitre 6




Chapitre 19 : BONUS : Pendant ce temps…

Plus tôt, cette soirée-là*

Ça va être la fête ! Les jumelles ont organisé une super fiesta chez elles pour la fin de l’année. Il est sympa quand même leur tonton de les avoir laissées faire ça, mes parents n’auraient jamais accepté. Je me suis faite belle pour l’occasion, je tiens à plaire à mon Guillaume. Ce que j’ai hâte ! On sonne à la porte, c’est lui, il est venu me chercher. Nous nous rendons ensemble à la maison des Trojans, nous sommes parmi les premiers :

Clarisse ! Je suis heureuse de te voir ! m’accueille une jumelle.

J’ai honte, mais je ne sais toujours pas les différencier du premier coup d’il, il me faut un moment avant de réaliser que c’est Lucy.

Le temps passe, les invités arrivent, la soirée bat son plein. J’ai déjà la tête qui tourne à cause de l’alcool. Je nai décidément aucune endurance. Mon chéri se moque de moi en me voyant un peu pompette. Je m’amuse beaucoup, mais je ne peux pas m’empêcher de me sentir un peu triste. Je réalise que c’est la dernière fois que nous sommes tous ensemble. Après cela, chacun tracera sa route. Je partage mes pensées avec Megan. Je lui dis que nos orgies vont particulièrement me manquer. Elle essaie de me rassurer et me prend dans ces bras, mais ça ne m’aide pas beaucoup. Je déprime lorsqu’elle m’abandonne.

J’espère que quoiqu’il arrive, je ne perdrais jamais contact avec les jumelles. Elles sont très importantes pour moi, et je leur dois également beaucoup. Elles m’ont appris à me lâcher, à ne pas avoir honte du sexe, à savoir prendre mon pied. Grâce à elles, j’ai pu oser faire des choses que je n’aurais jamais imaginé auparavant, et j’ai pu les faire sans peur, sans gêne, sans jugement. Il n’y a pas tout de même pas beaucoup d’amies devant lesquelles on peut se faire baiser par tous les trous sans se faire traiter de salope. Je me sens mieux dans ma peau aujourd’hui, et nos aventures érotiques ont considérablement renforcé ma relation avec mon chéri.

Je m’en vais retrouver ce dernier au bord de la piscine. Il y a un monde fou. Je me colle à lui, lui fais des bisous. Il fait bon, le temps est doux, je bois encore quelques bières avant de me décider d’aller piquer une tête. J’avais prévu le coup, je porte mon bikini en dessous de mes vêtements. Je me déshabille devant tout le monde. Certains garçons m’observent médusés, d’autres me sifflent.

C’est ma meuf, les gars ! déclare fièrement Guillaume aucunement choqué.

Cela ne me dérange pas non plus. Je trouve ça plutôt flatteur en fait. J’espérais bien ce genre de réaction quand j’ai choisi ce modèle qui met mes formes en valeur. Il y en a plus d’un qui doit fantasmer sur mes seins.

Je me jette dans l’eau sans mes lunettes. La température est parfaite, c’est un régal. J’ai donné des idées à d’autres personnes qui viennent me rejoindre, certains moins prévoyants y vont carrément avec leurs fringues. Guillaume se met en maillot et fait un plongeon. J’invite Christine et David qui se trouvent non loin à venir faire une baignade avec nous, ils refusent préférant rester dans leur transat. Ils sont mignons tous les deux ainsi collés l’un à l’autre. Je les emmerde un peu en leur balançant de la flotte, ils m’insultent amicalement.

Nous sommes tous un peu bourrés. Guillaume vient m’embrasser chaudement, je me lui rends son baiser avant de me coller contre lui. Ce qu’il est beau mon homme, j’en suis follement amoureuse. La musique retentit fort même à l’extérieur, nous nous mettons à danser. Il me caresse sensuellement en me dévorant des yeux, l’ambiance commence à être chaude. D’autres couples flirtent ensemble, mais c’est nous qu’on vient huer lorsque Guillaume commence à me peloter.

C’est que ça devient hot par ici ! fait l’un des invités.

Hey ! Payez-vous une chambre ! nous taquine un autre.

Pour quoi faire ? J’ai envie de me donner en spectacle, je me dénude un sein à la vue de tous, les garçons et les filles s’excitent en me voyant faire. Mon homme me le cache en me suçant le téton. Quelqu’un s’amuse à nous traiter de fous.

Décoincez-vous les gars ! C’est la fête ! fais-je.

Je ne compte pas en rester là, ce ne serait pas une vraie fête sans une bonne baise. Je susurre à Guillaume que j’ai la chatte en feu. Il durcit à vue d’il. Je m’assieds au bord de la piscine en écartant les cuisses. Je tire sur la culotte de mon maillot au niveau de mon entrejambe pour lui faire comprendre que ça me démange. J’expose ma minette en écartant légèrement le tissu qui la recouvre et la caresse devant tout le monde.

Putain, elle a le feu au cul, celle-là ! commente quelqu’un.

Vous n’avez pas idée, fais-je.

J’ai la tête qui tourne, ivre d’alcool et de luxure. Mon homme nage en ma direction et se penche entre mes jambes. Il me lèche la fente devant tout le monde, je gémis de plaisir sous les acclamations du public. Tout le monde nous fixe du regard, les gens n’en croient pas leurs yeux. C’est là qu’on voit qu’ils ne font pas partie de notre club, sinon, ils seraient habitués. David et Christine nous observent avec envie, mais sont encore trop timides pour nous imiter. Cette dernière a posé la main sur le sexe de son chéri déjà en érection.

Comme toujours, Guillaume me donne beaucoup de plaisir. Sa langue experte joue avec mes lèvres et me titille le clitoris. Je gémis lorsqu’il m’enfonce deux doigts. Je suis follement excitée. Je presse son visage contre mon minou pour le forcer à continuer. Il pourrait me faire jouir comme ça, mais nous ne faisons que commencer, je l’arrête avant qu’il ne soit trop tard et lui propose d’échanger nos rôles :

Chéri, j’ai terriblement envie de te sucer, lui dis-je.

C’est à son tour de s’asseoir sur le rebord, tandis que je prends soin de sa queue. C’est sans surprise qu’il bande déjà comme un âne. Je le pompe avec amour. Sa forme, son odeur, son goût, dieu que j’en raffole ! Christine a succombé et fait désormais une pipe à son homme toujours allongé sur son transat. Il était temps, ça me rassure de me sentir moins seule. D’autres couples doivent sûrement avoir envie de nous rejoindre à l’heure qu’il est, pourquoi se contentent-ils de nous mater ? Des bosses se forment dans des pantalons. Je m’attendais à ce que certaines personnes soient indignées et se barrent, mais les gens ont généralement plutôt l’air amusés. Ils nous acclament et nous encouragent à aller plus loin.

Je lèche le dard de Guillaume en le branlant d’une main. La façon qu’il a de me fixer pendant que je lui fais du bien me fait chavirer. J’adore sentir sa bite dans ma bouche et le voir dans cet état d’agonie me rend amoureuse, et lui aussi.

Maintenant que je l’ai bien chauffé, il est temps de passer aux choses sérieuses. J’arrête ce que je fais et m’éloigne de lui pour le perturber. Je nage vers un autre rebord non loin et me penche dessus.

Chéri, j’ai follement envie que tu me prennes, fais-je avec une voix de petit chaton.

Clarisse… soupire-t-il.

Il se jette dans l’eau et vient me rejoindre. Nos regards passionnés se croisent. Il tend ses lèvres vers les miennes pour m’embrasser.

J’ai envie de te sentir en moi, dis-je alors qu’il est toujours collé à moi.

J’ai envie de toi moi aussi, mon amour.

Alors, vas-y, prends-moi.

Par quel trou ?

Celui que tu veux.

Je me retourne pour regarder devant moi, impatiente. Je m’offre totalement à lui. Il retire ma culotte de maillot. Je frissonne lorsque je sens qu’il positionne son gland vers ma porte de derrière toujours immergée dans l’eau. Il me pénètre doucement, puis fait entrer le reste de sa verge. Nous gémissions bruyamment une fois qu’il s’est entièrement fiché dans mon anus. Il attend quelques instants que nous nous habituons tous les deux à la sensation, puis il démarre un lent va-et-vient.

Il m’encule dans la piscine devant tout le monde. Les gens doivent me prendre pour une salope, mais en attendant, je prends un pied d’enfer. Depuis que j’ai découvert l’anal, je ne peux plus m’en passer.

Je peux voir nos amis de là où je suis. Christine est toujours occupée à sucer David. Elle est si mignonne, si tendre, si amoureuse. Son homme l’a partiellement déshabillée, il joue avec ses adorables nichons exposés à la vue de tous. J’imagine combien sa chatte doit être trempée, suppliante d’être baisée. J’ai hâte d’assister à ça.

Autour de nous, les gens se lâchent enfin un peu. Certaines filles sucent leurs mecs tandis que d’autres sont déjà en train de s’envoyer en l’air. Ils ont bien raison ! Faut se décoincer, merde ! C’est la fin de l’école, après toute cette pression, c’est normal d’avoir envie de délirer et de se laisser aller. Nous sommes majeurs, tout est permis. Nous pouvons boire, danser, baiser tous ensemble. Je suis si heureuse d’avoir initié cette orgie, je n’imagine pas d’autres façons de faire la fête.

Christine s’est décidée à chevaucher son homme. Il a ses mains sur ses belles fesses bien rebondies tandis que son sexe disparaît et réapparaît dans son vagin. Une nana s’installe à quatre pattes sur le transat d’à côté, rapidement rejointe par son homme pour la sauter comme une chienne. Dans la piscine, d’autres couples s’y sont mis eux aussi. Un gars porte sa copine à bout de bras et la fait monter et descendre sur son pénis. C’est tout simplement merveilleux.

Tout le monde ne participe pas. J’ai un peu pitié de ceux qui sont vraiment trop timides pour se joindre à nous. Ils ont quand même l’air d’apprécier le spectacle. Ils nous regardent, font des commentaires, mais ils ont trop de pudeurs pour passer à l’acte. Les célibataires nous regardent envieux, comme je serais écuré à leur place. Des garçons ont sorti leur chibre pour se branler. Ce n’est pas parce qu’ils n’ont pas de partenaire qu’ils n’ont pas l’intention de gicler. Il y a des filles qui sont aussi en train de se masturber ; je trouve ça d’un triste, s’ils ont envie de baiser, qu’ils baisent entre eux. C’est ridicule de faire ça chacun de leur côté. Ils n’ont pas besoin de s’aimer ni de se promettre fidélité, juste à prendre leur pied.

Dans un coin à l’écart, je remarque un mec tout chétif en train de s’astiquer. Il est mince, maigre, mais assez mignon quand on y regarde bien. Il rougit, il est gêné. Il a clairement honte de ce qu’il fait, mais il ne peut pas malgré tout s’en empêcher. Le pauvre, je parie qu’il est encore puceau. J’imagine la torture que ça doit être de voir tous ces gens en train de s’envoyer en l’air tandis que lui n’a jamais eu l’occasion de tremper son pinceau dans une femme. J’ai pitié de lui, je ne peux pas le laisser comme ça. Puis j’avoue avoir un faible pour les vierges :

Hey, petit, viens par ici, lui fais-je.

Surpris, il regarde autour de lui pour s’assurer que c’est bien à lui que je parle. Ayant toujours un doute, il pointe un doigt sur lui-même comme pour me demander confirmation :

Oui, oui, toi, viens, approche, n’ai pas peur.

Il sort de sa cachette tout timide pour venir vers moi, son appétissante verge toujours dressée hors de sa braguette :

Hmm, j’adore sentir la bite de mon mec me ravager le cul. Ça te plaît ce que tu vois ?

Je… oui…

Tu es puceau ?

Je… oui…

Ce n’est pas grâce. Tu voudrais que je te suce ?

Q… quoi ? Pour de vrai ?! s’émerveille-t-il.

Pour de vrai.

Mais… et ton mec ? Ça ne le dérange pas ?

Pas le moins du monde, répond Guillaume. Une fille comme elle, ce serait égoïste de ne pas la partager avec les autres, tu ne crois pas ?

La vache !

Alors, tu veux ou pas ? fais-je à nouveau.

Un peu ouais !

Il s’assied devant moi sur le rebord comme l’a fait mon homme tout à l’heure, les pieds dans l’eau. J’enserre sa taille avec mes bras et prends son dard dans la bouche. Ça m’excite de savoir que je suis la première femme à le goûter.

Je suis désormais prise des deux côtés, mon chéri me défonce l’anus dans la piscine tandis que je pompe une belle bite. C’est le paradis.

La vache ! Ce que c’est bon, Mademoiselle !

Mademoiselle.

Il est mignon. Il m’a prise pour qui ? Nous avons le même âge.

Appelle-moi Clarisse. Et toi ? Tu t’appelles comment ?

Marc.

Enchantée Marc. Tu as un sexe délicieux.

Des gens sortent de la maison pour voir ce qui se passe dehors. Nous avons de plus en plus de spectateurs, mais aussi de participants. Les sons des soupirs et des cris de plaisirs couvrent le bruit de la musique. Des célibataires se sont enfin décidés à se mettre ensemble juste pour tirer un coup. Nous sommes un troupeau d’animaux qui s’abandonnent à leurs instincts primaires.

Il y a beaucoup de gens qui ne sont pas de l’école et que je ne connais absolument pas, comme cette fille qui me regarde tandis qu’elle se fait prendre en missionnaire sur le sol. Son homme lui bouffe les nichons en lui donnant de puissants coups de reins. Elle me sourit, moi aussi ; nous ne ressentons vraiment aucune honte.

S’ils sont trop timides pour se joindre à nous, les « voyeurs » n’hésitent pourtant pas à filmer la scène avec leurs téléphones. Cela ne m’étonne pas, on ne voit pas ça tous les jours et ils ne le reverront sans doute jamais. Je les imagine se masturber plus tard en regardant les images. Je ne les comprends pas, pourquoi se contenter d’une vidéo alors qu’ils pourraient en devenir les acteurs ? Il faudra que je leur demande une copie tout à l’heure, cela me fera un joli souvenir.

Je pensais que depuis le temps, les jumelles se seraient pointées. Je n’arrive pas à croire qu’elles ratent ça ! Connaissant Lucy, elle serait déjà en train de se faire sauter par trois mecs. Je prends beaucoup de plaisir à regarder les autres. Certains couples le font de façon passionnée, d’autres juste comme des animaux en manque qui ont besoin de se soulager. La fille qui se fait prendre en levrette à côté de Christine a clairement juste besoin de se faire saillir. Son amant a l’air d’être impatient d’éclater dans sa chatte.

Mon puceau se montre étonnamment résistant, je m’étais attendue à ce qu’il m’ait déjà éjaculé dans la bouche ; cela mérite une petite récompense.

Chéri, fais-je à Guillaume. J’ai follement envie de sentir sa queue dans mon vagin, cela te dérange si je baise avec lui ?

Hmm, ma petite gourmande, répondit-il. Mais qu’est-ce que j’ai en compensation ?

Je réfléchis en regardant autour de moi :

Tu peux t’amuser avec Christine. Regarde-la, elle a l’air de ne pas en avoir assez avec une seule bite. Aide-la à jouir.

Avec plaisir…

Guillaume sort de l’eau et présente son sexe à Christine qui l’avale goulûment. La voir faire des choses obscènes avec quelqu’un d’autre que David est une chose tellement rare que je ne m’en lasse pas. Cela ne lui arrive que lorsqu’elle est vraiment excitée et uniquement qu’avec ses amis proches.

Je m’installe sur le transat d’à côté avec Marc. Je lui demande de s’allonger pour que je puisse le chevaucher. Il est craquant, il me regarde comme si j’étais tout droit sortie d’un rêve. Je vais lui voler sa virginité, et il est plus que consentant à l’idée de la perdre. Sa queue pointe vers le ciel, attendant impatiemment de connaître la chaleur du vagin d’une femme.

Détends-toi, tout va bien se passer, laisse-moi faire, fais-je en constatant sa nervosité.

Je me place au-dessus de lui. Je le branle quelques instants en le fixant d’un air de vicieuse. Il ne comprend pas ce qui lui arrive. Il pensait juste essayer de s’amuser un peu à une soirée en buvant quelques coups, et le voilà nu au beau milieu d’une partouze avec une fille dans laquelle il va se vider les couilles pour sa première fois. Je le taquine encore un peu, puis je me soulève pour diriger son gland vers mon entrée. Je le sens prendre une grande respiration juste avant que je me laisse doucement retomber pour l’insérer en moi.

Aaah ! geint-il.

Le pauvre chéri, je suis sûre qu’il aurait pu en éjaculer sur le coup.

Ça va ?

Oui.

Alors, c’est bon l’intérieur d’une chatte ?

La vache, oui !

Laisse-moi faire, le meilleur est à venir.

Je mets mes mains sur son torse et commence à aller et venir dessus. Il me regarde comme si j’étais la plus belle femme qu’il ait jamais vue, j’ai peur qu’il soit en train de tomber amoureux.

Voilà, tu baises avec une femme. C’est bon ?

Oui !

Tu veux que je continue ?

Oh oui !

J’accélère le rythme. Il est en extase, je prends beaucoup de plaisir moi aussi. Il est tellement timide qu’il n’ose pas bouger, comme s’il avait peur de se réveiller. Je prends ses mains pour les guider vers mes seins :

Vas-y, joue avec. J’aime bien qu’on me les caresse pendant l’amour.

Il n’en revient pas, il me pelote. Je gémis pour l’encourager à continuer. Il va se souvenir de ce moment toute sa vie.

Soudain, je suis perturbée par ce que j’entends Christine dire à côté de moi :

Les garçons, j’ai envie de vous tous les deux, j’ai envie que vous me preniez en double.

Ça doit être l’alcool qui parle. Je ne l’ai vue faire cela qu’une seule fois, et mon Guillaume n’était pas l’heureux élu ; j’imagine combien il doit en être content. Elle arrête sa fellation tandis que mon chéri se place derrière elle. Il pointe sa pine vers son petit trou puis s’y enfonce lentement. Christine crie de bonheur. Les hommes commencent à la limer, cette vision me fait mouiller. Elle qui est si d’habitude si douce, si amoureuse, si passionnée, ça me fait tellement drôle de la voir se transformer en salope qui réclame une queue dans chaque trou. Les garçons deviennent fous et la ravagent sauvagement. Elle prend son tellement pied qu’on dirait qu’elle va s’évanouir.

Aaaah ! crie-t-elle.

Tu aimes, ma chérie ? lui fait David.

J’adore…

Mon amour…

J’ai envie qu’on me prenne moi aussi. J’éjecte la queue de Marc de ma chatte et me remets debout. Il me regarde d’un air dépité. Il doit craindre que sa chance ait tourné :

Viens, c’est toi qui vas me baiser maintenant. Ce n’est pas à la femme de faire tout le boulot, il faut que tu apprennes à lui donner du plaisir.

Je vole sa place sur le transat et l’invite à me prendre en missionnaire. Ce qu’il peut être nerveux… C’est sûr que c’est plus facile de se laisser faire. J’écarte les cuisses pour lui montrer ma chatte luisante de mouille qui l’appelle. Je le vois lutter intérieurement entre son envie de fuir et celle de tirer son coup. C’est finalement la seconde qui l’emporte, il vient se placer près de moi.

Vas-y, baise-moi, Marc. Je ne demande que ça.

Il prend son courage à deux mains puis m’enfonce son engin. Nous soupirons ensemble. Il me donne ses premiers coups de reins. Je peux sentir tout son désir à travers ses mouvements de bassin.

Clarisse… ce que vous êtes belle…

Merci, fais-je en gloussant devant le compliment.

Il est très maladroit, mais parvient néanmoins à me faire du bien. Il se laisse tomber en avant en se retenant par les bras, nos regards se croisent. Il devient de plus en plus fougueux, mes seins se balancent. Ivre de désir, il se penche pour venir essayer m’embrasser. Il a la surprise de me voir accepter son baiser. Je passe mes mains en dessous de ses épaules pour le maintenir près de moi.

Oui, oui, baise-moi, l’encouragé-je.

Aaah, Clarisse…

On dirait un chien fou. Il me caresse les seins, je crois qu’il les adore. Il se décide enfin à me lécher les tétons, je n’attendais que ça. Il est adorable, il me les suce comme un bébé. Nous gémissons de concert de plus en plus fort, je sens qu’il ne va plus tarder à lâcher sa sauce. Ce ne serait pas une mauvaise performance pour une première fois, mais étant proche de l’orgasme, je ne tiens pas à ce qu’il jouisse tout de suite :

Retiens-toi encore un peu, je ne vais pas tarder à venir.

C’est trop dur…

Allez, encore un petit effort.

Putain, Clarisse, j’ai envie d’éjaculer en vous.

Tu te débrouilles bien, moi aussi j’ai envie de te sentir éclater dans ma chatte, finis-moi d’abord. Je suis si proche… c’est trop bon.

Vous aimez ? Vous aimez que je vous baise ?

Oui, j’adore. Fais-moi jouir Marc.

Je… Je suis désolé.

Il étouffe un grognement contre mon épaule tandis que je le sens subitement se répandre en moi. Par chance, la sensation du sperme me remplissant le vagin déclenche mon orgasme. Je jouis.

Clarisse ! Clarisse ! gémit-il tandis qu’il se vide les couilles.

Je suis une perverse, j’aime prendre la virginité d’un puceau, ils sont si mignons lorsqu’ils éjaculent. Il doit être fier de m’avoir fait jouir. Je suis heureuse d’avoir été la première femme à accueillir sa semence.

Il s’écroule sur moi, je le prends tendrement dans mes bras. Son foutre s’échappe déjà de mon minou. Hé bé, il n’a pas dû se branler depuis un bout de temps vu la quantité qu’il m’a envoyé. Le pauvre garçon.

Tout autour de nous, c’est toujours la folie. D’autres couples ont terminé avant nous. La fille sur le transat de l’autre côté de Christine vient de faire jouir son mec en prenant sa bite entre ses gros nichons. Elle a du sperme partout. Je cherche la blonde qui se faisait prendre en missionnaire sur le sol. J’arrive juste à temps pour voir son homme se décharger en elle. J’imagine les grosses giclées en train de la remplir. Je remarque derrière eux une adolescente grassouillette se faire ramoner par deux étalons. Une brune à lunettes, avec des tresses et des gros seins. Je la connais, elle est de l’école ; elle ne fait pas partie du club cependant. Je suis étonnée, elle n’a généralement pas de succès avec les garçons, elle est d’ailleurs toujours célibataire. Quand je la vois comme ça, elle me fait penser à Karine : elle est sage d’apparence, mais elle rêve manifestement secrètement de se faire fourrer comme la dernière des putes par n’importe qui.

Elle est assez jolie si on aime les grosses, je peux comprendre que certains n’ont pas pu lui résister quand elle s’est offerte aux premiers venus.

Tout cela me donne envie de regarder Christine. Mon homme est toujours en train de l’enculer. La pauvresse est prise en sandwich, prisonnière de leur étreinte. Je me demande combien de fois elle a déjà joui.

Je me doigte en observant la scène. J’ai déjà de nouveau envie, j’aimerais qu’on me fasse ça moi aussi. En voyant Christine dans cet état de zombie, j’abandonne mon puceau, une idée perverse digne de Lucy m’est venue.

Christine, tu as volé mon homme ! Si tu veux te faire pardonner, tu vas devoir me lécher la chatte.

Les garçons, surpris, mais aussi tordus de moi, s’arrangent pour changer de position afin de rendre la chose possible. Je m’allonge sur leur transat tandis que Christine se place devant moi à quatre pattes. Ne pouvant plus la prendre en double, David en profite pour enfin jouir de son cul.

Nous avons déjà fait des choses lesbiennes elle et moi, mais jamais avec des garçons en même temps. C’était très tendre et doux, j’ai pris beaucoup de plaisir, sauf que cette fois, mon but est d’abuser un peu d’elle. Je la force à me brouter le minou alors qu’il est toujours débordant de foutre :

Avale-tout salope, qu’il n’en reste rien.

Elle m’écoute et se prend au jeu. Elle récolte le sperme avec sa langue avant de le goûter. Elle me fait littéralement ma toilette.

C’est bien, brave petite.

Elle me torture autant que je la torture. Je voudrais qu’elle m’enfonce des doigts, mais elle se contente délibérément de me titiller le clitoris pour me rendre folle. Elle me le paiera.

J’ai une vue sublime sur elle et sur son mec qui la sodomise comme une brute. Guillaume vient réclamer un peu d’attention pour que je le suce. Je le pompe avec plaisir, mais très vite, j’ai envie que lui et David me fassent ce qu’ils lui ont fait. Vu que j’ai laissé Guillaume défoncer le cul de Christine, ce n’est que justice que ce soit le tour de David de me ramoner l’anus. Il sait très bien que c’est un grand privilège que je lui fais, je ne laisse pas beaucoup de personnes autres que mon homme me baiser par là.

Il prend ma place sur le transat pour que je m’empale le cul sur lui en lui tournant le dos. J’offre ma chatte désormais toute propre à Guillaume qui vient me la remplir sans tarder. Ils sont gros, ils sont durs, et surtout, après ce qu’ils ont fait à Christine, ils sont enragés. Ils me démontent comme un vulgaire sac de viande, je crie mon plaisir à tue-tête. Je rêvais de sentir deux bites m’envahir en même temps avant même le début de la soirée, me voilà servie. C’est pour ça que je suis venue. Me déhancher sur de la musique, boire de l’alcool, ce n’est plus pour moi, j’ai une autre façon plus adulte de m’amuser aujourd’hui.

La pauvre Christine nous regarde en se doigtant comme une folle. Je pensais qu’elle en avait eu assez et qu’elle profiterait d’un peu de répit, au lieu de ça, on dirait qu’elle est jalouse que je lui aie piqué sa place.

Les garçons me donnent un premier orgasme. Tout le monde se retourne lorsque je beugle comme une damnée. La rondelette à lunette de l’autre côté me fait de la concurrence en criant aussi fort que moi. Je comprends rapidement en la regardant qu’elle n’est pas simplement en train de jouir, mais que ses amants viennent d’éjaculer en elle. Ils continuent de la sauter tout en la remplissant de sperme. Ils ne s’arrêtent toujours pas même une fois complètement vidés. Ils ne sortent d’elle que lorsque leurs membres épuisés redeviennent flasques. La fille s’écroule dans les vapes, sa chatte et son cul débordant de foutre. Elle a l’air plus qu’heureuse du traitement qu’ils lui ont fait subir.

Guillaume me réveille de ma torpeur en m’embrassant à pleine bouche, il me dévore la langue. Son rythme est synchronisé avec celui de David. Lorsqu’ils me pénètrent, je suis complètement pleine de bites. J’ai l’impression que je vais mourir d’extase. Ils ne sont pas tendres avec moi, de toute façon, je n’en ai pas besoin. Si j’aime le sexe doux et passionné, j’aime aussi me faire prendre comme une salope.

Clarisse, je t’aime, me dit mon homme.

Moi aussi.

J’ai tellement envie de te baiser.

Baise-moi.

Je viens de jouir il n’y a pas longtemps, mais je sens déjà les prémices d’un nouvel orgasme arriver. Je perds la tête, je ne sais plus où je suis. Je lutte pour rester consciente, puis je renonce et m’abandonne totalement au plaisir. Mes muscles se relaxent, je me laisse retomber sur David qui me maintient avec ses bras. Mon chéri me tient en dessous des genoux pour me garder les jambes en l’air. Je suis une frêle poupée de chair entre leurs mains. Ils cherchent à se faire du bien avec mes orifices sans se rendre compte combien ils me rendent folle. Leur vigueur finit par déclencher ma jouissance, plus forte que la précédente. Je tremble entre leurs deux corps chauds tandis qu’ils ralentissent pour me donner du répit. Je me sens affreusement vide lorsqu’ils sortent de moi. Guillaume m’écarte les jambes au maximum pour admirer les soubresauts de mon vagin qui déverse des flots de mouilles.

Putain, tu as vu ça ? dit-il à son compagnon de baise.

Purée, même Christine ne jouit pas comme ça.

Je suis la femme la plus heureuse du monde. La première chose que je vois en rouvrant les yeux, c’est le doux visage de mon amoureux, quel bonheur, ce qu’il est beau, je l’aime. La vie devrait tout le temps être comme ça.

Clarisse, je suis désolé, je n’en peux plus, j’ai besoin de jouir.

Moi aussi, enchérit David.

Il n’y aura donc pas de nouveau round ? Comme je les comprends. Ils se retiennent depuis le début, les pauvres, ils ont bien mérité d’éjaculer. De toute façon, c’est mieux ainsi, je suis complètement KO. Christine et moi nous mettons à genoux devant nos chéris pour les sucer. Nous allons les faire éclater avec nos bouches. Ils gémissent bruyamment pour exprimer leur satisfaction.

Christine… soupire David. Mon amour… Si tu savais combien j’ai besoin de jouir pour toi.

Vas-y, quand tu veux, répond-elle. Je veux que tu éjacules, pour moi.

Moi aussi, fais-je à mon chéri. Ne te retiens pas, jouis ! Vide-toi les couilles, c’est ta récompense pour m’avoir rendue si heureuse.

Nous les pompons en faisant des bruits de succion. Beaucoup de gens nous regardent sentant qu’ils vont bientôt se décharger. Ils doivent se demander si nous allons avaler où s’ils vont nous souiller la figure. Pour ma part, c’est moi qui choisis, et c’est déjà décidé. Parmi les curieux, il y a Marc qui reste silencieux. Il doit avoir envie d’un second tour. Dommage pour lui, il va devoir se contenter de ce qu’il a eu.

Aaah Clarisse… Clarisse !

Cela ne va plus tarder maintenant. Je le branle fermement devant mon visage en lui souriant.

Ça vient ! Oui ! Oui !

Son méat expulse un puissant premier jet de sperme. Heureusement que j’ai remis mes lunettes entre temps pour me protéger les yeux. D’autres salves copieuses s’en suivent, me couvrant la bouche et le nez, des traînées gluantes me coulent rapidement sur les seins, d’autres, plus épaisses, restent en suspension à mon menton. Notre public se déchaîne en admirant le spectacle, ils ne sont manifestement pas habitués à voir un couple faire ça. Je continue d’astiquer mon homme jusqu’à ce qu’il soit complètement vidé. J’adore l’expression de son visage lorsqu’il jouit, il est si beau. Ça m’existe de savoir que c’est moi qui le mets dans un tel état.

Juste à côté, c’est au tour de David de se décharger. Christine m’imite et le fait éjaculer sur sa figure. Elle reçoit ses jets avec autant de plaisir et d’amour que moi. Elle sait combien ça excite les garçons de nous voir salies de leur sperme, cela nous excite tout autant de jouer les vilaines vicieuses. Je ne sais pas à quelle fréquence ils font l’amour, mais David lui envoie de sacrées réserves. Il crie de bonheur en l’arrosant de foutre. Il lui en met même dans les cheveux. Elle le prend en bouche pour avaler les dernières giclées de son plaisir mourant. Elle semble se régaler, comme je la comprends.

Notre audience n’a pas arrêté de faire des commentaires et de pousser des exclamations. Il y en a qui n’ont pas raté de filmer la scène de bout en bout :

Putain ! Les salopes ! s’exclame un mec.

Vous êtes géniales ! surenchérit une fille que je ne connais pas du tout.

Christine est moi nous regardons face à face, le visage et les seins souillés, heureuses et comblées. Nous gloussons, gênées, lorsque nous nous faisons applaudir. Pour enflammer davantage nos spectateurs, nous nous rapprochons pour nous embrasser :

Elles sont complètement folles ! Je n’y crois pas ! fait une autre fille, amusée.

Nous échangeons la semence de nos chéris et nous faisons s’entremêler nos langues en les sortant pour que tout le monde puisse bien les voir. Dans notre étreinte, nous nous pressons un moment l’une contre l’autre, des filets de sperme restent en suspens entre nos deux corps lorsque nous nous écartons. Notre petit jeu a l’effet escompté et les gens s’extasient en nous voyant faire. Cela nous fait rire. Je suis contente de pouvoir partager ce moment complice avec Christine.

Nous, nous avons terminé, mais de nombreux couples continuent de copuler. Nous nous installons avec nos hommes chacune sur un transat pour les regarder. La soirée est loin d’être terminée.

A suivre…

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