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Le récit de ma vie – Chapitre 2




Chapitre 2 L’étrange demande d’Enzo

Environ à la même période à laquelle j’ai revu Mélissa, Enzo est venu me voir chez moi. Il avait l’air gêné et hésitant, ce qui n’était pas du tout son genre : en effet il était habituellement du genre fonceur, même un peu inconscient des conséquences, avec un tempérament chaud, s’énervant rapidement, passant du rire à la colère et inversement à une vitesse stupéfiante. Pour vous décrire Enzo mesdames, il était un peu plus grand que moi, environ 1m87 je dirais, brun aux cheveux courts, et comme moi plutôt fin, mais il était un bourreau des curs connu. Il avait un goût prononcé pour les soirées, surtout celles où l’alcool coulait à flot. Il savait qu’il finirait dans un état parfois lamentable, qu’il prenait parfois des risques, mais il était comme ça, fonceur, insouciant.

— Mec j’ai besoin d’un service, lâcha-t-il enfin.

— Je déposais les deux bières que j’avais été cherché, et m’assis sur mon lit.

Mon appartement constituait en un couloir qui donnait sur la salle de bain et sur la cuisine, et qui débouchait sur une pièce de vie. Mon clic clac servait de canapé quand j’avais des invités, mais Enzo ne m’avait pas prévenu de sa visite.

— Dis moi, qu’est ce que je peux faire pour toi ?

— Tu vois Noémie ? Me demanda-t-il ?

Bien évidemment, je la voyais toute la semaine. On travaillait ensemble à la bibliothèque, on suivait les cours ensemble. Et avec Enzo également. Je ne répondis pas, me contentant de lever les yeux.

— Je ne sais pas si tu as remarqué, continua-t-il, mais j’ai accroché dessus. Ça fait plusieurs mois que je la drague, je la chauffe, mais elle me sort des excuses bidons, pas le temps, blabla, en fait elle me voit limite comme un collègue de bureau ou un vieux pote. Merde je te jure, j’ai tout essayé mais elle dit qu’elle ne peut pas se lâcher sinon elle va rater son année…

— Attends, t’es venu me demander des conseils ? Toi ? Plaisantais-je

— C’est ça fout toi de moi. C’est la première fille qui me résiste, et ça, je peux pas l’encaisser.

Pour le coup il n’avait pas tord, avec son look bad boy, il en avait fait craquer des filles au lycée. Et avec son caractère, je comprenais qu’il n’aimait pas la situation actuelle. Une intolérance à la frustration

— Et donc, c’est quoi le service que tu veux ? Parce que je ne comprend pas trop comment je pourrais t’aider.

— En fait, elle discutait dans l’amphi avec Maelyne le dernier coup, et elle lui conseillait de trouver un homme pour se détendre. Parce que en fait, elle est vraiment stressée pour les examens… me confia-t-il. Et là elle lui réponds qu’un coup d’un soir serai une bonne idée, qu’elle en aurait besoin, mais qu’elle avait pas le temps d’en chercher un. T’y crois ça? Comme si le premier venu lui aurait refusé ça !

Bien sûr, un étudiant célibataire lambda n’aurait sûrement pas refusé une proposition pareille de sa part. Noémie était une fille blonde, aux yeux bleus, avec une mâchoire légèrement carrée, mais qui en aucun cas ne lui donnait un air sévère. Elle devait faire environ d’1m60, avec un bon 95C en taille de poitrine. C’était une fille qui pouvait faire tomber des hommes, seulement seul son travail était important à ses yeux, et elle s’y consacrait à 100%. Malgré cela ses notes étaient limites, ce qui n’allait pas l’encourager à lever le pied.

— Du coup j’ai foncé, continua Enzo, je lui ai dis que moi j’étais partant, et là tu sais ce qu’elle me répond ? Que je prendrais ça trop sentimentalement, et que mon amour pour elle lui ferai perdre du temps. Je t’avoue que j’ai eu un temps pour m’en remettre, tellement c’était gros comme conner…

— Ok, et donc ?

— Donc j’ai besoin que tu me prêtes ton appartement, pour faire une soirée.

— Heu ? Et en quoi…

— J’ai déjà essayé de la voir chez elle mais maintenant qu’elle connaît mes intentions, elle veut pas me voir. Alors que si on fait la soirée chez toi, je pourrai la serrer quand elle pensera à autre chose qu’au taf.

Vous ne devez sûrement pas comprendre totalement son raisonnement n’est ce pas ? En fait il faut savoir que Enzo n’avait pas d’appartement en ville, il prenait le train matin et soir pour rentrer chez ses parents. Donc faire une soirée chez lui n’était pas possible.

— D’accord

— Sérieusement ? Enzo souriait déjà.

— Oui, oui, je vais la convaincre de lâcher un peu son travail pour jeudi prochain et on se fait ça.

La semaine suivante, je me suis fait aidé de Maelyne et d’autres amies pour convaincre Noémie de venir, que ça lui ferait du bien. Elle a fini par accepté. Enzo jubilait de son côté, me remerciant d’organiser ça, même si personnellement, je pensais qu’il finirait la soirée avec une bonne vieille gifle. Quand à moi, je n’étais pas très heureux d’avoir accepté aussi vite : si les deux tourtereaux s’envoyaient en l’air, ça serait chez moi, et vu la taille de l’appartement, je n’aurai pas d’autre choix que d’aller faire un tour dehors en pleine nuit…

Le jour J arriva, l’ambiance était au rendez-vous. Musique, bières, apéritifs alcoolisés, danse… Tout le monde avait l’air de s’amuser. Formule classique mais efficace quand on se sent à l’aise entre amis. Aucun voisin furieux (ils avaient été prévenus) n’est venu tambouriner à ma porte. Au fil de la nuit, mes amis repartaient, les « Sam » conduisant, les autres se laissant conduire vers leur future gueule de bois. Au final, et comme par hasard, il ne resta plus que Noémie et Enzo, Thomas et moi. Je mis un peu à la porte Thomas, qui heureusement, ne m’en fut pas rancunier ultérieurement.

Je suis revenu dans la cuisine ranger un peu, puis je suis allé voir ce que faisait Noémie et Enzo.

Apparemment, il avait réussit à la convaincre car il avait sa main sous le t-shirt de Noémie, et ils sembrassaient à pleine bouche. Elle était allongée sur mon clic clac, pendant qu’il la caressait. Je voyais sa main passer de la poitrine de la jeune blonde à son ventre, ses cuisses, puis remonter à nouveau. Il l’embrassait maintenant dans le cou, et elle semblait aimer ça, à la façon dont elle commençait à soupirer. Toutes ces pulsions primaires refoulées, ajoutées au stress qu’elle s’imposait pour son travail, elle devait vraiment être en manque. Et l’alcool avait vaincu ses dernières résistances.

D’ailleurs moi aussi je commençais à être excité. Je sentais ma verge durcir doucement tandis que j’observais la scène.

Enzo avait maintenant glissé sa main sous la jupe de Noémie, et la caressait doucement. Elle remonta son t-shirt, et il l’aida à le retirer, tout en retirant le sien. Je contemplais sa voluptueuse poitrine dans un soutien gorge en dentelle rouge, déformé par des tétons qui ne laissait aucun doute sur son état d’excitation, si doute il pouvait encore y avoir. Enzo avait relevé la jupe de celle qu’il convoitait, et il en retira lentement une culotte, rouge également, non sans faire parcourir ses doigts sur la peau de la belle, ce qui la fit frissonner. Il sorti sa verge et la présenta à Noémie.

C’est là que je me suis dis que je ne devrais plus être là, que je devrais aller faire un tour, revenir dans une heure… Mais je ne parvins pas à bouger. Mon corps en manque était comme celui de Noémie. Il devait se soulager de cette tension des derniers mois.

Pendant ce temps, notre jeune étudiante léchait le sexe de son compagnon, tel une glace, partant tantôt du gland, tantôt des bourses, le lapant, le suçotant, pendant que ses mains s’aventuraient sur le corps de son compagnon. Elle le pris en bouche, lui arrachant un gémissement, et commença à le branler d’une main douce. C’est là que j’ai vu qu’Enzo me regardait.

J’ai fais mine de reculer, mais il m’a fait signe de m’approcher au contraire.

Noémie m’a vu et a arrêté son activité. Elle semblait surprise de me voir. Elle m’avait sans doute oublié.

— Noémie c’est grâce à Max que tu vas pouvoir te détendre ce soir, occupe toi un peu de lui pour le remercier alors, dit Enzo.

Noémie s’approcha de moi et retira ma boucle de ceinture. Elle n’était pas farouche décidément. Était ce l’alcool, ou bien était elle toujours comme ça ? Mes pensées furent interrompues par quelque chose de chaud et humide sur mon sexe. A ce moment je pris conscience que depuis l’été dernier, aucune fille ne m’avait sucé. Et je n’en pouvais plus. J’ai retiré mon t-shirt et me suis laissé faire, caressant ses cheveux blonds, savourant l’instant. Enzo s’était entièrement déshabillé, et s’attelait maintenant à libérer les jolies collines de douceur de la belle. Sa poitrine mapparut enfin, sa peau était pâle, rehaussée par des tétons très roses. Enzo lembrassait dans le dos, dans le cou, caressant son ventre, ses seins.

Je décidais de changer de position. J’ai allongé Noémie, mon regard à croisé le sien, ses yeux bleus brillaient. Je l’ai embrassée tendrement, ma langue jouant avec la sienne. Il y a encore quelques heures, je ne la voyais pas du tout comme ça, notre belle effarouchée. J’ai embrassé son cou, ses seins, fermes malgré une belle taille. J’ai titillé ses mamelons de ma langue, me laissant guider par ses gémissements. Quand à elle, elle avait repris la verge d’Enzo dans sa bouche, je la voyais senhardir à chaque minute qui passait. Elle palpait maintenant les bourses de mon ami, tout en essayant de prendre le maximum de longueur dans sa gorge. Je continuai ma descente, lentement, jouant des mains et de la langue. Je caressais son ventre, l’intérieur de ses cuisses, et je fini par frôler son intimité.

Je passais un premier coup de langue, lent mais assez appuyé. La réaction de notre jolie blonde fût celle espérée. Elle poussa un long gémissement. J’entrepris alors de la lécher doucement, sensuellement. Je voulais faire monter doucement la pression, mais son corps en manque commençais déjà à trembler. Son bassin s’agitait. Ses cuisses s’ouvraient d’avantage. Sa respiration s’accélérait. Elle fini par trembler en émettant un petit cris, l’obligeant à lâcher le sexe tendu d’Enzo.

Elle avait eu son premier orgasme, sûrement depuis des mois.

— Encore, nous supplia-t-elle.

Enzo enjamba la belle, plaçant sa longue verge tendue entre les seins de la belle. Il entama des vas et vient lents. Je sentais qu’il savourait également le moment. Son sexe tapait parfois contre la gorge de Noémie, mais elle était entièrement recouverte à la base par des globes de chair tendus, chaud, et vraiment très bien formés. Je repris mon cunnilingus, doucement d’abord, en laccompagnant d’un index qui la pénétra bien évidemment sans difficulté, la belle étant déjà bien mouillée, ce qui me permis d’en introduire un second rapidement. Je la pénétrais de mes doigts, prenant bien garde de trouver précisément son point G pour augmenter son plaisir, tout en léchant, suçotant, mordillant son clitoris, que je voyais totalement exposé, sorti de son capuchon de chair, me suppliant presque de jouer avec. Au bout de longues minutes la belle eu son second orgasme, elle poussa un cri qui fût presque aussitôt étouffé par Enzo, qui plaqua sa bouche sur la sienne. Son bassin se leva du clic clac, son corps se tendit comme un arc, elle trembla quelques secondes puis s’écroula à nouveau.

Enzo décida de changer de place, se positionnant entre les cuisses de notre héroïne du soir. Quand à moi je choisis de masseoir à l’écart pour regarder, sans oser me toucher, ne sachant pas si je pourrais résister au spectacle qui allait se dérouler à quelques mètres de moi.

Il pénétra Noémie en une seule fois, plaçant son gland à l’entrée de son intimité, il poussa doucement en un mouvement continu, jusqu’à butter au fond. Il entama des vas et vient lents, sortant presque son gland pour ensuite le renfoncer plus rapidement. Noémie se laissait aller. A ce moment, elle ne pensait plus qu’à ce moment. Elle commença à se toucher les seins, se les pincer, tout en encourageant son partenaire. Le spectacle était vraiment beau. Sensuel. Après quelques minutes, le couple changea de position, Enzo plaçant son amie en levrette, et il commença à non plus lui faire l’amour, mais vraiment la baiser. Ses coups de rein montaient rapidement en vitesse et en intensité. Il tenait sa conquête tantôt par les hanches, tantôt par les seins. Et celle ci haletait, gémissait de plus en plus fort. Je n’en pouvais plus d’être assis à ne rien faire. Enfin presque ne rien faire, car finalement, instinctivement, j’avais commencé à me masturber lentement.

Je me leva et me plaça devant Noémie, lui présentant mon sexe qui ne demandait qu’à exploser. Elle le pris dans sa bouche, mais les assauts répétés d’Enzo l’empêchaient de me sucer correctement. Je caressais ses cheveux blonds, jusqu’à atteindre son occiput, puis j’ai saisi fermement sa tête, et j’ai commencé des mouvements lents. Elle leva ses yeux vers moi, ils brillaient toujours. Cette image de soumission totale faillit me faire jouir sur le coup. Imaginez la scène. De son côté Enzo devenait carrément bestial avec elle, pendant que je lui baisais la bouche, de plus en plus vite.

J’étais au paradis, jusqu’à ce que ma belle hurle et me fasse lâcher sa tête, elle s’écroula sur ses bras. Enzo venait de commencer à caresser son clitoris d’une main, tout en maintenant son rythme soutenu de bassin. Je la vis trembler, essayer de se relever, et seffondrer de nouveau, transpercée par un nouvel orgasme. Enzo la plaça sur le dos, et se mis aussitôt à la reprendre en missionnaire. Il la baisait littéralement. Ses coups étaient puissants. Il approchait de la jouissance. Noémie criait, c’était elle désormais qui s’occupait de son clitoris d’une main, pendant que l’autre parcourait son cou ou ses seins. Pour moi ce spectacle était insoutenable, le corps de mon amie était sans cesse parcouru de spasmes anarchiques, elle gémissait d’une façon tellement excitante. Je me suis branlé au dessus d’elle, libérant rapidement des jets de spermes brûlants. Le premier vola au dessus d’elle jusqu’à son nombril, les autres recouvrirent ses seins, sa gorge, son visage. J’étais moi-même étonné par cette quantité inhabituelle. Enzo fini également par jouir. Il sorti son sexe juste avant la dernière seconde et explosa sur le ventre de notre belle amie.

Noémie était souriante, vidée, heureuse. Et Enzo également. Il avait atteint son but. Ce soir là je pris ma douche en premier, laissant notre amante se reposer sur le clic clac, puis leur laissait la salle de bain. Juste avant de m’endormir, j’entendis des sons sans équivoques. Ils avaient remis ça sous la douche. Les gémissements de Noémie étaient on ne peut plus clairs. Elle reprenait son pied.

Je fus réveillé de nouveau par le bruit de la porte qui claque. Ils venaient de partir. Enzo a dormi chez Noémie cette nuit là. Il n’y avait plus de trains à cette heure ci. Ils ne sont pas sortis ensemble avant la fin de l’été. Mais ils se voyaient de temps en temps, pour évacuer la pression du boulot.

J’espère que ce premier événement de ma vie vous a plu. La suite est déjà écrite. Elle arrive bientôt.

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Si vous avez des questions sur les personnages, des remarques ou critiques constructives, n’hésitez pas à me contacter. Max

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