Je mappelle Jessica. Jai 21 ans, petit bout d1m68, quelques rondeurs harmonieuses, blonde foncée aux yeux marrons. Je vais vous confier cette petite aventure qui mest arrivée un soir dété il y a deux ans et dont le souvenir me hante toujours aujourdhui.
Jai été invitée à une soirée chez deux amies qui vivent en colocation, Valérie et Stéphanie, étudiantes en droit tout comme moi. En arrivant sur place, jai eu la surprise de faire la connaissance de Didier, un charmant étudiant en lettres de 23 ans, le style intellectuel décontracté, quon aurait imaginé aussi à laise sur une planche de surf que dans une bibliothèque. Le courant est passé immédiatement, dès les premiers apéritifs avalés. Il était accompagné par Miguel, un correspondant espagnol, plus commun physiquement mais au sens de lhumour ravageur, ses blagues se trouvant appuyées par son excellent français teinté de son accent si plein de soleil.
Nous avons passé un début de soirée très agréable, bien quassez classique, parlant de tout et de rien, refaisant le monde au rythme des verres de vodka caramel que nous évitions de trop charger. Mais lalcool aidant, latmosphère devenait plus électrique, surtout entre nos hôtesses qui paraissaient se rapprocher de plus en plus. Valérie caressait machinalement la cuisse de sa colocataire du bout des doigts, reflexe a priori anodin mais révélateur dune complicité assez poussée.
Les garçons nen perdaient pas une miette, des scénarios tous plus improbables que sexy voyageant sans nuls doutes dans leurs têtes. Lidée que mes amies puissent avoir une relation intime meffleurait moi aussi, mais je rejetais cette idée, pensant bien les connaître. Mais la soirée a fini par me donner tort, quand elles ont fini par sembrasser langoureusement, emportée par la chaleur de leurs verres.
Elles nétaient pas ivres au point de faire nimporte quoi au milieu du salon, mais elles létaient suffisamment pour se retirer en riant dans la chambre de Valérie, nous laissant seuls sur le canapé. Miguel paraissait très amusé, au contraire de son correspondant qui lui paraissait gêné. Moi, je ne savais pas trop comment réagir, découvrant la relation nouvelle de mes amies.
Nous avons décidé de continuer nos bavardages, laissant Miguel nous parler de ses anecdotes fumeuses dans sa faculté Madrilène. Mais les bruits et soupirs qui traversaient la porte de la chambre ne laissaient que peu de place au doute, déconcentrant mes compagnons dinfortune. Nos amies sétaient lancées dans une cavalcade lesbienne assez endiablée.
Je me sentais traversée par un sentiment étrange, partagée entre gêne et amusement. Ce sentiment était visiblement partagé par les garçons, bien quun peu de déception était visible dans leur regard. Ils avaient probablement escompté une soirée plus chaude, supposant quils auraient pu finir la nuit avec lune de nous trois.
Je tentais de détourner un peu la conversation, essayant de lorienter sur lEspagne et ses chaleurs, mais visiblement chacune de mes phrases paraissait trouver un double sens pour mes deux compagnons. Ils me taquinaient gentiment, sans jamais dépasser le stade dun humour grivois mais bon enfant. Cependant, les bosses naissants dans leurs shorts devenaient légèrement difficiles à dissimuler.
Jignore ce qui a pu se passer dans ma tête à ce moment-là, la chaleur orageuse, les bruits intimes qui filtraient par la porte, les érections manifestes, le regard charmeur de Didier ou le sourire enjôleur de Miguel, mais je me suis sentie obligée de quitter mon fauteuil pour venir masseoir entre eux sur le canapé. Javais chaud à présent, sentant une légère frustration au creux de mon ventre, laissant naître une chaleur intense entre mes jambes.
Je pense que dans certaines situations, les mots sont inutiles. Cétait le cas. Les garçons, dinstinct, ont commencé à membrasser dans le cou, laissant leurs mains glisser sur mes cuisses que ma jupe ne dissimulait plus du tout. Je nai opposé à cela que quelques gémissements impatients, qui mont surpris moi-même autant quils ont encouragés les deux excités.
Habituellement, je suis une fille sage et assez maîtresse de mes émotions, mais ce soir-là, une digue a cédé, me laissant me lâcher complètement. Sans aucun état dâme, jai laissé mes mains faire glisser les deux shorts, sans hésitation jai saisi les deux sexes dressé pour les masturber avec fougue. Didier a rebondit sur cette impatience, me déshabillant bien vite, laissant apparaître mes seins dont les tétons dardaient déjà, laissant le privilège à Miguel de faire glisser ma culotte de dentelle le long de mes jambes.
Nentendant plus que confusément les gémissements de plaisir de mes amies, jai laissé la langue espagnole mexplorer, glissant sur mon sexe et mon clitoris avec une douceur que je naurai pas pu imaginer chez un amant improvisé. Jai probablement eut droit au meilleur cunnilingus de ma vie, sa langue me taquinant à des rythmes sans cesse changeant, mobligeant même par moment à cesser la fellation que javais décidé doffrir à Didier pour pouvoir crier mon plaisir et reprendre mon souffle.
Jai laissé libre cours à mes envies, à mon corps, suçant avidement et en alternance les sexes de mes deux amants, les laissant se relayer entre mes jambes. Je perdais le fil du temps, sentant baisers, souffle chaud et langue dynamique le long de mes lèvres humides. Je pouvais sentir leurs différences de style, profitant de cette passion nouvelle et tellement inhabituelle. Je mappliquais à lécher chaque sexe du mieux que je pouvais, caressant leurs testicules, rasés pour Didier, mais pas pour notre touriste, mordillant parfois doucement leur gland tendu par lexcitation.
A ce moment-là, nous avions totalement occulté nos hôtesses, mais Valérie ayant entendu nos ébats et se doutant bien que nous ne jouions pas aux cartes est sortie nue de la chambre pour nous déposer sur la table basse une boite de préservatifs. Je laurai bénie, même si je me suis demandé sur le moment ce quune lesbienne pouvait faire avec ça. Il savère que mes braves camarades de classes ont des goûts multiples et en profitent bien, ce qui ce soir-là faisait largement mon affaire.
Jai laissé Didier enfiler son petit imper et me pénétrer doucement sans ôter le sexe de Miguel de ma bouche. Je voulais me sentir comblée, pouvoir leur offrir à eux deux le plaisir que nous attendions tant. Jétais leur chose, choyée et câlinée, à quatre pattes sur le canapé, savourant la sensation de deux sexes tendus dans mon vagin et ma bouche.
Au bout de quelques minutes de plaisir assez intense, ils ont tenu à échanger leurs places, Miguel soccupant à présent de me pénétrer avec une intensité plus marquée, ses mains agrippées à mes hanches. Jaurai pu crier si seulement le pénis de Didier ne men empêchait pas, ses mains plongées dans mes cheveux longs.
Miguel a fini par se retirer, sa langue remplaçant son sexe et explorant mes fesses. Jai tout de suite compris ce quil envisageait, il avait probablement une bien plus grande expérience que moi et paraissait attirée par mon cul à présent. Je navais jamais tenté lexpérience, refusant ce type de jeu à mes amants précédents, mais prise dans leuphorie du moment, jai laissé faire. Il a su trouver la méthode adéquate, jouant de sa langue et de ses doigts pendant un long moment en moi, puis finissant par me sodomiser avec une douceur incroyable.
Le plaisir qui ma envahi ma contraint à cesser ma fellation, je ne pouvais que masturber frénétiquement le sexe de Didier sans arriver à me concentrer. Probablement un peu trop fort, dailleurs, car il ma rapidement bloqué le poignet pour que je ne le conduise pas à une jouissance prématurée.
Et finalement, je me suis retrouvée entre eux deux, sentant le sexe de Didier se glisser dans mon vagin, frottant contre celui de Miguel qui explorait toujours plus mon anus. Jai eu une sensation de saleté au départ, limpression dêtre un simple morceau de viande dans un sandwich, mais jai vite oublié cette idée quand la jouissance sest emparée de moi. Les deux sexes en moi ont déclenché des torrents de plaisir, je crois navoir jamais autant mouillé que cette fois-là. Les longues minutes de ce coït à trois ont été énormes. Jai joui au moins deux fois entre eux, parcourue de tremblements.
Ils ont fini par se retirer, un sourire complice rayonnant sur leurs visages. Ils mont allongé sur le sol, sur le tapis, Miguel ne pouvant retenir son éjaculation au premier contact de ma main. Didier a pris quelques secondes de plus pour se caresser avant de jouir lui aussi. Je nétais pas une grande amatrice de sperme, je le confesse, mais là, allongée, le corps en feu, leur jus étalé sur ma poitrine et mon ventre, jétais aux anges.
Nous avons pu partager une douche revigorante à tour de rôle, ne tenant quà deux dans la cabine, mais cette soirée est restée une des meilleures de ma vie sexuelle. Je nai jamais eu loccasion de revoir Miguel depuis, mais il marrive encore aujourdhui de croiser Didier et de partager un petit moment intime qui me rappelle cette soirée-là.