CHAPITRE 3: LA CÉRÉMONIE D’OUVERTURE
_ Bien. Viens par là et voyons ce que tu sais faire, déjà.
Nina s’est levée de sa chaise, a contourné la table de la salle à manger, lentement, comme si elle avait encore le choix et la possibilité de faire marche arrière. Mais une fois à mes côtés, et sans que je le lui demande, elle s’est agenouillée. Les mains posées sur les genoux, elle me regardait attentivement, visiblement impatiente de connaitre la suite. Alors ma main gauche s’est posée sur sa joue, et doucement je l’ai caressée, savourant cet instant, ce premier contact avec sa peau. Sa peau douce, mais que j’avais désormais envie de salir. De ma main droite, j’ai défait ma ceinture, puis les boutons de mon jean. Nina regardait avec gourmandise ce que j’étais en train de faire. Elle m’a regardé baisser l’élastique de mon boxer déformé sous mon sexe. De ma main gauche, j’ai attrapé sa nuque, et l’ai attirée vers moi.
_ Tu sais quoi faire lui ai-je dis tout bas.
Elle m’a regardé, acquiescé d’un mouvement de la tête, et a pris mon gland entre ses lèvres. Elle l’a aspiré, et centimètre par centimètre, elle a avalé mon sexe. A mi-chemin, elle s’est arrêtée, sentant sûrement le membre pénétrer trop profondément sa bouche, et a posé sa main à sa base. Une petite tape à l’arrière de la tête est venue la rappeler à l’ordre.
_ Quand tu me suces, c’est sans les mains, et c’est jusqu’au fond.
Joignant le geste à la parole, j’ai poussé sur l’arrière de son crâne, lentement. J’ai senti mon sexe pénétrer sa gorge. Nina a d’abord eu un haut-de-cur, qu’elle a réussi à réfréner, puis elle a toussé et s’est étouffée, alors je me suis retiré. Un long filet de bave reliait sa bouche à mon sexe.
_ Continue, lui ai-je dis sèchement.
Elle a acquiescé, avalé sa salive, et est revenue m’avaler. Un peu plus profondément que la fois précédente. Mais pas encore assez. Alors je l’ai attrapée par les cheveux, et je me suis enfoncé encore un peu. Nina a toussé encore une fois, et craché de la bave gluante le long de mon sexe. Je suis resté planté dans sa gorge, lui demandant de me regarder dans les yeux. Des larmes coulaient sur ses joues rouges, tandis qu’elle continuait de tousser. Je me suis retiré pour lui permettre de reprendre son souffle.
_ Tu vas apprendre à faire mieux, ne t’en fais pas.
_ D’accord, désolé.
_ En attendant, debout, et fous toi à poils.
Mes ordres étaient secs. Après tout, c’est ce qu’elle voulait. Être dominée. Contrôlée. Si je continuais à me laisser aller, elle allait être servie. Nina s’est levée et a commencé par enlever son débardeur, tâché par des traînées de bave. Ses seins me sont apparus pour la première fois, la seule partie de son corps que je n’avais pas encore vue. Deux jolis tétons bruns sur deux jolis seins bien ronds. J’ai eu envie de les attraper mais je me suis retenu. Si je voulais être crédible, il fallait que je freine un peu mes envies. Alors sans sourciller, j’ai regardé Nina qui continuait son effeuillage. D’un geste, elle a baissé le mini-short ainsi que le string qu’il cachait. J’avais déjà vu son sexe, la veille. Ça, je m’en rappellerais un long moment. Mais cette fois-ci, je pouvais profiter de la vue. Je pouvais la détailler. Les poils de son pubis entretenus, juste comme il fallait. Et ses lèvres épilées, gonflées de désir et entrouvertes. Je l’ai laissée attendre une minute, nue et démunie face à moi, puis j’ai levé la main vers elle, et j’ai seulement glissé un doigt entre ses lèvres. Humides à souhait.
Je me suis levé pour lui faire face, et j’ai posé mon doigt mouillé sur ses lèvres. Elle l’a sucé, savourant son propre jus. Je me suis dis que ce n’était surement pas la première fois qu’elle y goûtait. J’ai poussé mon doigt sur sa langue, jusqu’à sa luette, je l’ai fait tousser encore un peu. Il fallait qu’elle s’habitue.
_ Cette aventure me plait déjà beaucoup, lui ai-je dis en retirant mon doigt.
Je l’ai alors embrassée. Notre premier baiser. Il était arrivé bien tard. Nos langues ont dansé l’une avec l’autre, tandis que je tenais son corps nu contre moi. Mes mains ont glissé de ses cuisses à ses hanches, puis ses seins, que j’ai attrapé, avec plus ou moins de délicatesse. Je l’ai ensuite retournée, brutalement, et penchée sur la table.
_ Voilà une position qui te va à ravir Ecartes tes jambes.
Nina s’est exécuté, et l’instant d’après, je glissais mon membre entre ses cuisses. Le contact entre mon gland et ses lèvres a été électrique. Je l’ai entendue pousser un petit gémissement, tout en écartant un peu plus les jambes pour me faciliter l’accès. Je n’ai eu qu’à m’enfoncer légèrement et à pousser d’un coup. Jusqu’au bout. Nina a poussé un cri, cette fois, tandis que mes couilles claquaient le haut de ses cuisses. Je suis resté enfoncé profondément en elle, sans bouger, ma main sur son dos, puis je l’ai attrapée par les cheveux pour la faire se cambrer.
_ C’est ce que tu voulais ?
_ Oui a-t-elle dit en haletant.
_ Dis le moi.
_ C’est C’est ce que je voulais !
Une claque s’est alors abattue sur sa fesse, puis sur l’autre.
_ Dis moi ce que tu voulais.
_ Je voulais Je voulais que tu me baises!
Je n’ai rien ajouté, j’ai simplement commencé à la baiser. Sur toute la longue, et de plus en plus fort. Je la tenais toujours par les cheveux d’une main, tandis que l’autre s’abattait sur ses fesses, faisant rougir leur peau. Nina criait maintenant sans retenue.
_ Oui ! Oui ! Oh baise moi, je t’en prie, baise moi !
Je ne me faisais pas prier. J’y allais si fort que j’avais peur pour la table, peur qu’elle s’effondre sous nous. Lorsque je me suis arrêté, une minuscule petite seconde, ce n’était que pour relever sa jambe et la mettre sur la table, pour gagner encore en profondeur. Les fessées n’ont alors plus cessé de tomber. Son cul devenait rouge, et plus il prenait de la couleur, plus cela m’excitait. J’ai ensuite glissé un doigt entre ses fesses, et sans hésiter, j’ai enfoncé une phalange. Je savais que ça, elle connaissait déjà. Pour ce qui est de plus gros, par contre
_ Tu te fais prendre par le cul aussi ?
J’étais volontairement plus vulgaire. Si elle voulait devenir ma chienne, je devais avoir un vocabulaire adéquat.
_ Non, je J’ai jamais fait a-t-elle réussi à me dire entre deux coups de reins. Sauf avec avec mes doigts.
_ Je t’apprendrai. Plus tard.
Je sentais en moi l’orgasme monter. Trop d’excitation. Beaucoup trop. Alors j’ai retiré mon doigt de son anus et j’ai lâché ses cheveux. Au dernier moment, je me suis retiré de son sexe, et je l’ai attrapée par le bras. D’un geste brusque, je l’ai faite descendre de la table, et Nina s’est retrouvée assise face à moi. Sans plus attendre, je me suis répandu sur elle. Deux aller-retours de mon poignet sur mon sexe auront suffi. Elle a tout pris sur son visage. Une grande traînée de sperme partait de son menton, et jusqu’à ses cheveux. C’était magnifique de la voir dans un tel état de perversion. J’avais l’impression de bander encore plus à chaque fois que mon sperme atteignait sa joue, ou ses lèvres. Une fois mes bourses vidées, j’ai posé mon gland sur sa bouche.
_ J’espère que tu aimes le goût. Sinon il faudra t’y habituer.
Nina a juste fait oui de la tête en tétant mon gland.
_ Bien. Maintenant tu vas aller te laver, t’es dégueu. Pendant ce temps, je vais aller préparer à manger.
Et je l’ai laissée là, nue et recouverte de mon sperme, assise par terre. Je me suis seulement rhabillé, et suis parti dans la cuisine. Je ne savais même pas si elle avait joui. Bien sûr, j’aurais aimé la voir prendre son pied, comme la veille, mais elle devait apprendre que ce ne serait pas forcément le cas à chaque fois. Il fallait qu’elle comprenne sa nouvelle condition. Elle allait être ma chose. J’allais en prendre grand soin, mais elle serait mienne, et j’en ferais ce que je veux.
Comme si elle lisait dans mes pensées, je l’ai sentie venir se coller contre mon dos, nue et poisseuse. L’étreinte n’a duré que quelques secondes, et elle m’a dit « merci » tout doucement. Mais cela m’a suffi pour garder un grand sourire pour le reste de la soirée.