Cela avait assez duré!

Voila bientôt 3 mois que j’étais seule, depuis que mon mari m’avait surprise au lit avec Sandrine ma meilleure amie et que cet idiot n’avait pas eu l’idée de nous y rejoindre; mais c’est une autre histoire que je vous raconterais peut être une autre fois.

Trop absorbée par la création de ma petite entreprise de confection, je n’avais plus depuis une seconde de libre et plus de loisirs, certes je voyais régulièrement Sandrine mais là, j avais besoin d’un homme , un vrai ! J’avais un besoin viscéral de sexe, je ne cherchais pas un flirt, une soirée resto boite, non, je voulais du sexe brut, bestial. J’avais entendu dire que sur les boulevards, près des quais, des couples venaient s exhiber en voiture sous le regard salace des voyeurs avides de sensations. Cette idée du sexe sans retenue, avec un arrière goût de danger ou du moins d inconnu m’excitait et je décidais de passer à l’action le soir même.

Munie d une boite de préservatifs, vêtue d une jupe légère et ample, d un caraco et sans sous vêtements me voila partie vers 1h00 du matin filant dans les rues désertes de Bordeaux.

Ah je ne me suis pas présentée a vous, j ai 42a je suis châtain clair les cheveux aux épaules bouclés, les yeux bleus, un 90b (désoles pour les amateurs de gros seins lol) et des fesses rebondies mais dont je suis très fière.

Arrivée sur place je décide d’être prudente malgré tout (on ne se refait pas) et je commence par faire un tour de ’reconnaissance’ de la place en question. A première vue tout semble bien calme, je ne vois personne, ni voyeurs ni exhibitionnistes. La déception me gagne et je m apprêtes a repartir lorsque je vois arriver une autre voiture qui roule très lentement. Sur son passage plusieurs silhouettes s’extirpent de la pénombre. Tout s’éclaire pour moi, je suis passée bien trop vite, les matteurs doivent être prudents et ne sortir de leurs cachettes sous les porches que lorsqu’une voiture passe vraiment lentement. Garée en retrait, j’observe le manège: les feux stop s’allument, une discussion semble s’engager, la voiture avance de quelques mètres, pas d’accord trouvé … soudain après un arrêt prolongé, la voiture met son clignotant et se dirige vers le parking situé au centre de la place suivie par deux personnes que j’imagine être des hommes à leur allure massive.

Même si je ne vois rien de précis je devine les deux hommes qui se masturbent face a la vitre du passager ou plus probablement de la passagère. Ce spectacle m’excite et je sens mon entrejambe s’humidifier. Je passe ma main sous ma jupe et caresse ma petite chatte; en quelques secondes je suis littéralement trempée, n’y tenant plus je décide de me lancer: je passe la première et le plus lentement possible afin de n’effrayer personne, je viens me garer sur le parking à cote de l’autre voiture ma fenêtre à hauteur des deux hommes. Tout absorbés par le spectacle que leur offre l’autre voiture ils ne m’ont pas vue. Comme je l’imaginais les deux hommes avaient sorti leurs sexes et se masturbaient. Malgré mes efforts je n’arrive pas à voir ce qui se passe dans la voiture. Mon coeur bat à tout rompre, tant pis je n’y tiens plus et prenant mon courage à deux mains j’ouvre la portière et descends de la voiture. Seul un des deux hommes détourne le regard vers moi, abasourdi. Ils ne doivent pas souvent voir de femmes venir mater avec eux…

Il me sourit et s’écarte afin de me laisser une place entre eux deux. Le coeur battant je découvre le spectacle ravissant d’une femme d’une cinquantaine d’années, seins nus, la jupe relevée sur la taille. Ses pieds nus appuyés sur le tableau de bord, elle se masturbe avec un vibro rose fluo. A ses cotes, un homme plus jeune qu elle lui caresse les seins, torturant délicatement ses tétons proéminents. La fenêtre est entrouverte et l’on peut entre les gémissements de la femme.

Mon regard passe maintenant sur mes deux ’compagnons’; tous deux âgés d’environ 40ans, pas vraiment des athlètes si j’en juge par leurs ventres bombés. L’un d’eux, celui qui m’a laissé sa place est très bien doté par la nature, il astique vigoureusement une longue verge. L’autre par contre a un sexe très court, épais mais petit et il semble avoir des problèmes à bander. Il a les yeux fixés sur la femme de la voiture et m’ignore carrément.

L’autre est bien plus entreprenant lorsque je me retourne vers lui, il a déjà son regard rivé sur mes fesses. Comme hypnotisée, je fixe sa queue raide et turgescente. Ma main s’approche et je glisse mes doigts sous ses bourses. Un sourire radieux illumine son visage. Il lâche sa queue et sa main libérée vient relever ma jupe. Je ne sais pas si c’est la vue de mes fesses nues ou le contact de mes doigts lorsque j’enserre son sexe qui lui arrache un gémissement. Je commence à le branler doucement mais mes doigts sont crispés sur sa queue. Il grimace de douleur, mais à ce stade la douleur et le plaisir sont si étroitement liés. Il caresse mes fesses et ses doigts parcourent ma raie. Je sens le sang battre dans ses veines, il fait des efforts pour ne pas jouir sous mes caresses, maintenant plus régulières.

Soudain j’entends la vitre électrique s’actionner. Tout en continuant à caresser mon partenaire je me retourne vers la voiture. La femme me fait signe d’approcher. Elle est blonde aux cheveux longs, ses seins sont lourds avec de larges aréoles brunes, son sexe entièrement épilé ruisselle. Tout en gardant en main le sexe de l’homme à ma droite, je me penche et passe ma tête par la fenêtre. La femme s’est redressée sur le siège et passant ses doigts dans mes cheveux elle glisse sa main sur ma nuque et m’attire vers elle. Nos bouches se mêlent en un baiser langoureux. Pendant ce temps l’homme a retiré son sexe de ma main et il relève ma jupe sur mes reins découvrant entièrement mes fesses qu’il pétrit voracement.

Alors que nous nous embrassons, la femme a entrepris de libérer mes seins, elle pince entre ses doigts mes tétons, les faisant rouler sous ses ongles. L’homme derrière moi après avoir caressé mes fesses avec son sexe fait mine de le glisser entre elles. Je me raidis et lui demande de prendre un préservatif sur le siège de ma voiture. La femme est maintenant couchée sur le siège son mari lui pelote les seins et l’embrasse goulûment, elle caresse sa queue que je devine épaisse. Je tends le bras et plonge mes doigts entre ses cuisses ruisselantes lorsqu’une violente douleur me parcourt les reins, sans crier gare, l’homme muni de son préservatif s’est introduit d’un coup violent en moi, m’arrachant un cri. L’homme à ma gauche, le visage rouge et ruisselant jouit en grognant en de longues saccades qui viennent maculer le montant de la portière et mon bras gauche. Sans un mot il remballe son sexe minuscule et s’éloigne.

L’autre s’active entre mes reins et je le sens jouir après seulement quelques aller retour. Il se retire à son tour et sans que j’ai entendu le son de sa voix il disparaît dans l ombre, me laissant, frustrée, le sexe béant. Le couple semble avoir compris mon désarroi, la femme interroge du regard son compagnon qui lui sourit, résigné. Il se rajuste et se glisse derrière le volant. Myriam (j apprendrai son prénom plus tard) me demande d’une voix douce si je veux les suivre.

Je dois avoir l’air ahurie, mes doigts toujours plongés dans son sexe, les fesses à l air. Sans vraiment réfléchir j’accepte d’un hochement de tête. Je m’extirpe de la voiture, remonte dans la mienne et démarre. A ce moment je m’aperçois que je viens de souiller ma voiture, entre mes doigts ruisselants de la mouille de Myriam et mon sexe trempé qui dégouline sur le siège. Mais à ce moment plus rien ne m’importe que de terminer ce que j’ai commencé, assouvir mon besoin de sexe. D’un revers de la main j’essuie mes doigts entre mes cuisses et démarre à la suite du couple.

@ suivre

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