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enfin la voisine – Chapitre 1




J’ai toujours fantasmé sur la voisine.

C’est une belle femme de 40 ans, blonde avec tout ce qu’il faut là où il faut.

Un beau petit cul, une poitrine honnête, habillée sexy, des yeux ouahhh …

Je reviens de la piscine ce dimanche, avec les petits pains et je prépare le jus d’orange dominical quand: dring dring dring …

C’est notre superbe voisine qui fait irruption, son mari est salement tombé dans la salle de bains et elle vient chercher de l’aide.

Je l’accompagne, médecin, je constate qu’il est en mauvais état. Il doit avoir une fracture du col du fémur. Il souffre le martyre. Tant bien que mal, avec l’aide de la voisine, nous essayons de le déplacer. Elle en pyjama, courbée plus qu’il ne faut, me laisse admirer dans la manoeuvre toute sa belle poitrine libre. Quels beaux seins, pointu, aux aréoles claires, bien accrochés, j’en ai une trique d’enfer. Nous appelons les secours et me voilà dans l’ambulance avec le mari, direction Saint Luc.

Le verdict tombe, 60 ans, fracture du col du fémur et en urgence, il est opéré, une broche s’impose.

De retour, je passe expliquer à notre voisine la situation et lui dit qu’elle a tout le temps de se préparer pour aller le rejoindre, la préparation de l’opération,l’opération et le temps en salle de réveil nous amenant vers 17 heures au moins.

Elle est là toujours dans la même tenue, elle a tout nettoyé et essuyé, elle est en un mot bandante.

Vous imaginez un pantalon en tissu fluide moulant son derrière, et en guise de haut, un top blousant laissant à ses petits seins adorables toute latitude de mouvement.

Je rêve, j’ai la trique.

Elle se rend compte que je la dévore des yeux et elle s’excuse de me recevoir dans cette tenue, le nettoyage lui ayant pris tout son temps.

Elle me demande comment me remercier ? Elle me propose un café que j’accepte et elle revient au salon avec un plateau. De nouveau même manège, en se penchant, elle me donne encore à dévorer toute sa poitrine. Je lui dit de se reposer un peu et de venir s’asseoir deux minutes. Elle ne doit pas s’en faire. Ce n’est pas grave. Elle décompresse et se met à pleurer. Je la prends dans mes bras et lui donne de petits bisous pour qu’elle se calme. Elle est tout contre moi, sa poitrine écrasée sur ma chemise, je sens ses seins fermes appuyés sur moi. Je bande.

Elle me dit, Philippe tu es gentil, je suis bien dans tes bras, tu me rassures.

Je lui masse les flancs des deux mains, je remonte, j’ai ses seins en mains, elle ne réagit pas. Je lui tourne la tête et je l’embrasse tendrement sur les lèvres, elle me dit que ça lui fait du bien. On s’embrasse un temps fou, elle est contre moi, la tête sur mes genoux. Je la caresse partout, ses seins sont vraiment adorables, je sens ses tétons tout tendus, elle aime. Couchée maintenant sur moi, elle ne peut ignorer que je suis en érection totale. elle joue de la tête sur ma protubérance, j’aime, ça m’excite.

J’aventure une main dans son pantalon et je découvre qu’elle est totalement épilée. Je descends et mes doigts sont dans le vif du sujet. Je joue avec ses grandes lèvres bien développées et je suis le trajet jusqu’à leur sommet où je débusque son clitoris complètement sorti de sa gaine.

Elle est sensible, elle sursaute. Elle me dit être clitoridienne car son mari d’un certain âge a des problèmes d’érection et elle doit souvent pour satisfaire ses besoins se doigter seule.

Je la sans en manque, j’ai envie d’elle, je lui baisse son pantalon et je prends possession des lieux avec mon nez, ma langue.

Elle me dit ne pas avoir pris sa douche. Je m’en fous, j’aime ses odeurs. Urines, mouille de femme excitée, je jubile.

Ca sent bon, j’aventure ma langue et goûte à son jus, je lèche partout, j’insiste sur son bouton d’amour, elle est aux anges, longtemps qu’elle attend cela. Elle remue du bassin pour accentuer les contacts, elle monte, elle jouit en hurlant comme une folle.

Un peu de repos, merci dit-elle. Elle s’occupe de moi, elle ouvre mon short et glisse une main sur ma virilité en émoi.

Elle me masse la tige, elle la sort du slip et la prend en bouche. Quelle est belle, ma verge en bouche, elle me lèche le gland, elle me pompe, c’est terrible, je ne vais pas tenir longtemps à ce petit jeu. Je lui fais comprendre que je veux exploser en elle, bien au fond. Je me redresse, elle me prend ma tige et la dirige vers son puits d’amour. J’entre, c’est super, serré, humide et chaud. Je la pourfends, je suis au fond, prêt à exploser, j’aime ces secondes avant le feu d’artifice. J’entre, je sors, je m’enfonce jusqu’au fond, je la sens venir encore elle aussi, ça fait si longtemps me dit-elle, elle n’en peut plus, j’éjacule en elle avec une force inouïe.

Je n’ai jamais eu un plaisir si intense, peut être le fait que je la désirais fort et que souvent elle était l’objet de mes fantasmes …

Nous sommes des amants et il y a encore beaucoup à écrire …

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