Je me suis réveillée reposée. J’ai merveilleusement bien dormi. Il n’est plus dans le lit, mais je sens son odeur. Mon corps est imprégné de sa délicieuse odeur. Je reste quelques minutes à me remémorer nos ébats, je souris, je suis heureuse. Le diamant est toujours au tour de mon cou, il étincelle, retransmet mon état d’esprit.

Je me lève, enfile une chemise de mon père. La chambre d’ami est ouverte et vide. Dans le salon, personne non plus. Le lit a repris sa forme de canapé. Suis-je seule dans la maison ? Un petit mot sur la table basse "Nous sommes allés nous promener, revenons vers midi". J’ai deux heures devant moi de tranquillité à faire ce que je veux. Et tout de suite, je veux jouer avec mon gode en imaginant qu’il s’agit de mon père.

Mais, la porte de ma chambre est fermée. Je frappe, merde, mon sale cousin est resté lui aussi. Il répond avec un ton narquois

C’est occupé.

Ouvre.

Non.

Ouvre tout de suite, c’est ma chambre.

Je men fiche. Les invités dabord.

Tu fais chier ! Je vais prendre ma douche et t’as intérêt à ouvrir après.

Bonne douche.

Je me lave, frustrée que mon plan soit contrecarré. Je sors, habillée d’une serviette. Je frappe à nouveau à ma porte et cest le même sketch

Il faut que je m’habille.

Reviens plus tard, je suis occupé.

Tu fais quoi ? T’as pas intérêt à fouiller dans mes affaires.

Pourquoi, t’as des choses à cacher ?

Non… Mais ouvre cette putain de porte, connard ! Sinon

Et j’entends les tiroirs de ma commode s’ouvrir. Le salaud, j’ai envie de le tuer. Je tambourine contre le bois, et enfin, la clé, il l’entre-ouvre et me montre mon gode

C’est ça que tu ne voulais pas que je trouve ? C’est devenu tellement commun chez les filles d’en avoir un.

Lâche ça, je ne veux pas que tu mettes tes sales pates dessus.

Ho, mince alors, tu ne voudras plus l’utiliser. Comment va faire une petite branleuse comme toi ?

Tu devrais peut-être te l’astiquer plus souvent, ça te rendrait plus intelligent.

Espèce de

Et je pousse d’un coup pour libérer le passage, il se prend la porte en plein visage et j’en profite pour reprendre possession de mon antre.

Maintenant, tu sors de ma chambre.

Putain, salope, tu as failli me casser le nez.

Et c’est-ce que je vais faire si tu ne dégages pas tout de suite.

Essaie pour voir.

Faut pas me le dire deux fois. Je m’approche de lui et tente de le gifler. Il esquive. Je re-tente sans plus de succès. Ca l’amuse et se moque de moi. Une troisième tentative et ma serviette glisse, me trouvant toute nue devant lui. Je suis aussi surprise que lui qui a les yeux fixés sur moi. Je me baisse pour la récupérer en l’engueulant "Vas-y, te gène pas, mate !". J’attrape la serviette, il pause un pied dessus

Qu’est-ce que tu fous ? Ca t’amuse de m’humilier encore plus ?

Je pensais pas que tu étais aussi bien foutue.

T’as dit quoi ?

Et le tissu de son caleçon se déforme à vue d’il, il se met à bander. Il est tout d’un coup gêné et mets ses mains devant. Je me relève en cachant mes seins et mon minou et lui disant

T’inquiète pas, j’en ai déjà vu d’autres… Mais, c’est toi qui es gêné de me voir à poil en fait.

Non, je men fous Je vais te laisser t’habiller et prendre ma douche.

Je me précipite sur la porte pour la fermer à clé et je la retire de la serrure, la gardant dans la main, contre ma poitrine. Il a l’air tout bête, ses mains toujours devant son sexe.

Tu peux ouvrir, s’il te plait ?

C’est ça qui fallait faire ? Me montrer à poil pour que tu arrêtes de me faire chier ? Et bien, viens chercher la clé si tu oses.

Il n’ose pas, devient rouge. La vache, je ne m’imaginais pas une telle réaction de sa part. Je poursuis à l’embêter, je découvre mes seins et mon pubis en ajoutant "Ben alors, t’as pas peur de moi tout de même…". Je vais plus loin, bombe le torse, me cambre, me caresse la poitrine. Il regarde le plafond, le mur. Il transpire, j’ai l’impression qu’il va faire un malaise. Et ça me vient comme une évidence

T’es puceau ?

Hein ? Pfff… Bien sûr que non…

Regarde-moi !

Il essaie, mais n’arrive pas à garder les yeux sur mon corps. Je m’avance vers lui, il aimerait reculer mais est déjà contre le mur. J’avance… Il ne reste plus que quelques centimètre entre nous deux. Je lui dis "Pardon pour le nez" et fais un petit bisou dessus.

Il a lair si démuni, si vulnérable. Je ne sais pas pourquoi, mais ça me donne une envie de lui, une forte envie sexuelle. Mais Merde quoi, cest mon sale con de cousin Il doit déjà me prendre pour une salope, ce nest peut-être pas la peine den rajouter. Il faut quil parte vite de cette chambre avant que je ne perde le contrôle.

Je lui tends la clé pour sortir, sa main tremble, la mienne aussi, et elle tombe sur le sol. Je me baisse aussitôt pour la récupérer, magenouille. Je suis à bonne hauteur, je sens lodeur de son sexe qui me fait tourner la tête. Je tiens fermement cette putain de clé dont je narrive pas à lui donner. Je suis entrain de craquer totalement. Et Adrien minterpelle, convaincue quil la veut

— Pauline Cest de linceste entre cousin ?

— Quoi ?… On sen fout, non ?

— Je crois que oui en fait. Tu me fais trop bander.

— Déshabille-toi, je vais moccuper de ça.

Related posts

Douceur et gentillesse – Chapitre 1

historiesexe

Relations anales à cinq – Chapitre 1

historiesexe

un bon après midi – Chapitre 4

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .