Nota : les prénoms ont été modifiés pour que l’histoire reste anonyme, sauf celui de ma compagne.
Cela faisait désormais un mois que j’étais installé dans cette nouvelle ville, à une centaine de kilomètres de ma famille. A tout juste 23 ans, je sortais d’une année sabbatique forcée, et j’avais décidé de me reprendre, chercher sérieusement du travail, et j’avais trouvé cette entreprise. L’opportunité de repartir sur une nouvelle vie, effacer les échecs passés, et montrer à mon entourage que je n’étais pas un moins que rien s’était présentée à moi, et j’ai su la saisir.
J’avais trouvé un studio meublé, dans un petit immeuble à quelques centaines de mètres de mon entreprise, m’évitant de prendre une voiture pour ces déplacements. J’avais rapidement pris le rythme de travail, et sympathisé avec la quarantaine d’employés de ma boîte.
Cela dit, je ne m’étais jamais trop préoccupé de la vie hors du cadre professionnel, jusqu’à une soirée amicale entre les résidents de l’immeuble, organisé par le syndicat de copropriété. Nous étions 7 locataires, et au cours de la soirée nous avions fait un tour de table afin de donner quelques informations sur chacun : Marie et Cédric, un jeune couple sans enfant, d’environ 25 ans ; Paul et Stéphanie, 35 et 37 ans, un autre couple avec 2 petits de 10 et 7 ans (Martin et Bastien) ; Nadège, une institutrice (27 ans) en remplacement ; Amandine et Julie, 2 amies étudiantes en colocation ; Marc, un cinquantenaire dans la même situation que moi ; Maria, une auxiliaire de vie, séparée, ayant ses enfants en garde alternée ; et moi-même.
La soirée s’était déroulée à merveille, par une douce soirée d’été, autour d’un barbecue, et, au cours de la soirée, j’ai proposé de jouer au mölkky, ce jeu de quille nordique. Etant 12 personnes, nous avons joué par équipes de 2, en choisissant une répartition aléatoire via une application, mais je me suis retrouvé 4 fois de suite avec Marie, qui débutait et était toute contente de se retrouver avec un joueur « expérimenté ». Après une première partie ratée, nous avons enchaîné les victoires, sous les regards déçus et jaloux de son compagnon. Puis nous avons fait des équipes de 4, l’aléatoire nous a séparé, mais la réussite est restée de mon côté. Nous avons reconduit ce genre de soirée, profitant d’un mois d’aout généreux, et je suis resté assez proche de Marie, avec qui nous faisions des sessions privées dans la cour de l’immeuble.
Cinq semaines plus tard, un dimanche soir, je rentrais de chez mes parents et j’ai croisé Cédric qui semblait partir, avec deux valises. En passant devant l’appartement du couple, j’ai entendu des pleurs. Jetant un il par la fenêtre du couloir, j’ai constaté que la voiture de Cédric avait disparu. Inquiet et curieux, j’ai frappé à la porte, afin de prendre des nouvelles de Marie. Elle m’a ouvert, vêtue d’une robe légère, et comme je l’avais entendu, en larmes.
— Marie ! Que t’arrive-t-il ?
— C’est Cédric, souffla-t-elle, il m’a dit qu’il partait pour un mois à Amsterdam, avec une collègue à lui qui lui tourne autour Et il a pris la plupart de ses affaires
— Oh désolé pour toi. Je ne savais pas où me mettre, ni que faire.
— Reste avec moi ce soir, je t’en prie…
J’acceptais, malgré la situation. Tant pis après tout, je ne devais rien à Cédric qui avait toujours été distant. Après avoir grignoté, elle a débouché un Bordeaux et nous nous sommes installés devant une comédie sur TF1. Marie s’était blottie contre moi et je tentais de résister, ne pas regarder son habillage léger qui mettait bien en valeur ses formes, et faire abstraction de l’odeur de son parfum envoutant Lors de la pub, je décidais d’une pause toilettes. Dans la salle de bain, mes yeux se sont arrêtés sur le séchoir. Les différents sous-vêtements en dentelle qui l’ornait faisaient de Cédric un homme des plus chanceux, ce qui me laissait perplexe sur sa capacité à tromper sa compagne. Enhardi par Saint Emilion, j’ai cherché du contenu similaire dans le panier de linge sale, et j’ai fini par trouver une culotte noire et vert bleu, que j’ai humée, et je suis resté électrisé par l’odeur. Je l’ai glissée dans ma poche, la quantité de linge dans le panier me garantissant de passer inaperçu. Chauffé à blanc, je décidais de marquer de la distance avec Marie pendant la deuxième partie du film, essayant de ne rien laisser paraître, je suis rentré chez moi et me suis fait plaisir avec mon trésor de la soirée. C’était puissant et enivrant, et il y avait maintenant mon odeur mêlée à celle de Marie sur le tissu.
J’ai passé la semaine à essayer de me raisonner sur le méfait accompli, et ne pas profiter de la faiblesse de Marie du moment, mais mon instinct me disait de foncer. Au moment où j’allais chercher sa pièce de tissus qui avait fini de sécher, j’ai reçu un sms de sa part le mercredi en rentrant du boulot :
« Tu veux venir ce soir, on se referait un film ? J’aimerais aussi que tu me ramènes ce que tu m’as emprunté, mais en la portant sur toi :’) »
Mon cur s’est temporairement arrêté de battre, et mon sang s’est glacé. J’avais été démasqué, pris à mon propre jeu, et je n’avais guère d’échappatoire : j’allais forcément la croiser tôt ou tard.
Après avoir m’être résigné, j’ai accepté le jeu, et je lui ai juste répondu « ok ». Avant de partir, j’ai enfilé la pièce de dentelle, et j’ai attendu de m’y habituer et que l’excitation diminue, avant de partir.
Je suis descendu d’un étage pour aller la retrouver. Elle m’a salué d’un échange de bises, a passé la main dans mon short, sur mes fesses, pour s’assurer que je l’avais bien écoutée. Le contact de sa main sur mes fesses au travers de la dentelle a relancé la machine. Comme si elle l’avait senti, elle a passé sa main à l’opposé, a pris la mesure, puis m’a susurré dans l’oreille :
— Visiblement il n’y a pas que moi que ça chauffe cette situation.
Sans crier gare, elle m’a poussé sur le canapé, a fait tomber mon short et a relevé mon t-shirt, pour me regarder avec son sous-vêtement. Son sourire malicieux en disait long sur ses intentions, et sur le choix qu’elle avait fait vis-à-vis de Cédric. Elle a commencé par embrasser mon membre au travers de la dentelle, puis elle a passé ses mains pour décalotter. Elle les a retirés, avant de décrire des formes cylindriques avec ses doigts sur mon gland. Au bord de la rupture, elle a retiré la culotte, m’a pris en bouche et a fait quelques va et viens. Sans avoir eu le temps de la prévenir, elle a reçu d’énormes giclées dans sa bouche, sans broncher. Elle a dégluti, est remontée sur moi et m’a langoureusement embrassé. Instinctivement, j’ai trouvé un sein, une fesse, que j’ai commencé à caresser au travers de sa robe. Pris d’un doute, je l’ai fait basculer et j’ai levé le doute : elle n’avait pas de culotte. A mon regard étonné, elle a répondu :
— Hé oui, elle n’est pas sur moi, vu qu’elle était sur toi.
Sans prendre le temps de lui répondre, je me suis jeté sur son abricot qu’elle avait soigneusement rasé, et qui ne demandait que ça. Enivré par son odeur de femme, je lui ai prodigué un de mes meilleurs cunnilingus, alternant ma langue et mon index dans son intimité, tantôt léchant et aspirant son clitoris, tantôt plongeant ma langue dans ce puit qui n’en finissait plus de suinter, tantôt y plongeant un doigt pour lui donner une autre sensation. Chavirant totalement sous mes assauts, elle a commencé à s’arque bouter avant de se libérer dans un long râle de jouissance. Affamé à l’idée de la pénétrer avec mon membre qui avait retrouvé sa vigueur, je suis remonté le long de son corps en faisant glisser sa robe. J’ai libéré ses seins qui n’attendaient que ça, en profitant pour les honorer d’un baiser et d’une succion pour entretenir le plaisir. En un mouvement elle retira mon t-shirt, puis m’indiqua un préservatif glissé entre 2 coussins du canapé, que j’ai aussitôt enfilé, avant de me positionner pour la prendre. M’introduisant délicatement en elle afin qu’elle profite de chaque millimètre de mon bâton, j’allumais la bombe à retardement. Me regardants de ses yeux émeraude, son visage se déformait au rythme de mes aller-retours. Puis elle a commencé à jouer avec son bassin, à imprimer le mouvement et me faire perdre mes sens. Le remarquant, elle a insisté, et m’a de nouveau tué se suicidant avec moi. Bigre, quelle diablesse !
— Oh là là, c’était terrible ! Je ne regrette rien, quel amant tu fais ! me souffla-t-elle après avoir repris ses esprits.
— Moi non plus dans ce cas. Puis nous nous sommes embrassés.
La soirée est passée, nous avons regardé le film blottis l’un à l’autre, puis décidé de faire lit à part afin d’être d’attaque le lendemain : nous avions chacun d’importantes responsabilités. Je me suis rhabillé, de la même manière que je suis venu, et je m’apprêtais à partir. Après m’avoir embrassé, les yeux plein de malice, elle m’a donné un sac et m’a dit :
— Pour le prochain coup