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Quatuor en (R) majeur – Chapitre 1




Quatuor en (R)ut majeur

La brune Nicole nous avait là conviés à quelques réjouissances, dont elle avait le secret. Nous passâmes au salon. À la lueur de chandeliers nous avons débuté nos joutes érotiques.

Nicole dit à mon épouse Françoise : « Veuillez bien vous placer, ici sur la bergère, que je puisse ainsi bien lécher à ma guise car ceci, comme vous le savez déjà est lun de mes tous premiers vices. Jaime la rose chair de la couleur dun lumineux corail .

À quoi Françoise répondit : « Je connais vos goûts raffinés et je sais votre langue experte en la matière, je vais donc men remettre à votre dextérité linguale, dont je nai jamais eu à souffrir, bien au contraire »

Nouveaux rires de femmes émoustillées.

La belle Nicole saccroupit entre les longues cuisses de mon épouse. Là, elle entreprit de déguster, selon son habitude, le beau triangle brun frisé aux lèvres fines et rosées. Elle le gourmanda de sa petite langue rose pareille à un aspic, sallant et venant dans la belle fente entrouverte ; elle titilla, ô combien, le petit clitoris déjà dressé et tira les premiers gémissements à Françoise qui, tête en arrière dans la bergère, se tendait vers cette divine bouche qui savait être superbement lesbienne pour donner des jouissances incomparables.

Mon épouse Françoise : « Oh, quel ravissement, encore je vous prie, encor, oui, là-làààààà »Nicole, accroupie donc, officiait, je la voyais de dos, cuisses écartées tendues de bas et dun porte-jarretelles noirs ; je pouvais distinguer la plénitude de son siège, un merveilleux petit cul, délicieusement partagé avec son sillon fessier légèrement entrouvert qui laissait voir un anus ombré, cerné de soies brunes follettes. Vue superbe dont mon il averti se régalait.

En fervents amateurs de ces amours féminines, l’ époux de Nicole, et moi-même, nous employâmes à bien masturber nos membres déjà très bandés, dans une contemplation recueillie autant que silencieuse.

« Quelle belle foutrerie vous nous mettez en appétit, nallez point nous faire jeter notre sperme aux moineaux avant quil ne soit temps, par tant de galanteries dignes de Sappho ! »Et puis, il partit dans un halètement sourd, congestionné à la vue de nos deux sapphistes. Quil était bon de les voir ainsi saimer, infidèles dans leurs élans sapphiques ! Nicole écartait toujours plus le beau sexe rose à lhumide corail que ma Mie lui offrait, elle lapait, suçait, aspirait, dévorait littéralement le sexe, croquant le clitoris, vorace, passionnée une magnifique lesbienne.

Je fixais le joli fondement de notre belle et laissais vagabonder mon regard dans le beau sillon ombreux de la brune Nicole où je métais déjà, à dautres reprises, si souvent perdu, que ce soit de la langue comme du vit. La chair bandée à me faire mal, je mastiquais, bourses dansantes, essoufflé, tandis quAlbin à mes côtés semployait à même office, les yeux fixés sur les petits seins de Françoise qui dansaient, sous les caresses répétées de celle-ci.

Je dis : « Quel beau cul a votre Dame, mon cher, cest un enchantement et bien que je naie point à me plaindre de celui de ma femme, dont vous connaissez dailleurs les talents, je dois avouer que cest un émerveillement ! »

Ny tenant plus à la vue de ce noble cul, je vins me placer derrière notre vicieuse Sappho et pointai mon sexe dardé dans sa fente que la cyprine avait abondamment lubrifiée du fait de ce cunnilingus prolongé. Je glissai jusquaux bourses.Chacun de mes coups de vit imprime à la tête de notre amie un petit mouvement en avant et conduit la langue et la bouche de Nicole à venir simbriquer un peu plus dans la chatte de mon épouse qui accueille cette sapphique caresse avec toujours plus de plaisir. Le cul de Nicole répond coup pour coup à mon ventre et je finis par jouir abondamment ; cependant, avant de déconner de sa chatte, javise son petit trou, y pousse mon médius, le titille de la pulpe de mon doigt, il se rétracte, puis souvre, puis se rétracte encor , cerné de petits plis roses foncés qui le font ressembler à un petit soleil anusien

Puis, je déconne et pointe mon vit encore raide et la prend ferme en cul, ce quelle attendait« Aaaahh, mon bon Marquis, comme vous le mettez bien Ouiiii encore plus profond, je vous prie cest divin !!! » Là, je menfonce jusquaux bourses, fais mon chemin et fais aller et venir mon dodu vérin de chair dans son trou, donnant des claques sèches à ces hanches dévergondées, tandis quelle poursuit ses lichées profondes dans le beau con de ma femme. Un beau flot de semence que javais ménagé à ce beau et rond derrière, jaillit comme une rivière dans les bien cachés satins du fondement.

Nicole, prosternée au bas de la bergère avait délaissé son léchis du con de Françoise, lequel tout humide de cyprine et de salive de son amie, soffrait à la convoitise du vieux ; il ne se fit pas attendre et membre en main, vint se placer entre les cuisses de Françoise écartées au maximum.

Celle-ci reçut la queuline avec empressement

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