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Passage à l'acte – Chapitre 2




Une semaine déjà s’était écoulé depuis qu’Evelyne avait rencontré Dustin et fait l’expérience de

linfidélité.

Elle ne voyait toujours pas plus que d’habitude son mari, accablé de travail et, à vrai dire, il ne lui manquait pas. Elle repensait sans cesse au piquant de la situation qu’elle avait vécue.

Le fait de se donner à un parfait étranger l’avait excitée et comblée plus qu’elle ne l’avait encore jamais été.

Elle voulût réitérer la situation, mais avec un autre partenaire.

Le simple fait de vouloir cela et de vouloir sortir à la recherche d’un potentiel amant la faisait mouiller.

Elle prit une douche bien chaude et s’apprêta à partir à la chasse.

Petit tailleur soigné, collants quasi transparents, sous-vêtements en fine dentelle, chaussures à talons aiguilles, rouge à lèvre léger, parfum Chanel n°5 et manucure impeccable, elle se serait facilement fait passer pour un cadre supérieur tant le chic et la classe émanaient de son aura.

Evelyne prit sa voiture et se dirigea vers la périphérie de la ville, se laissant aller au hasard.

Elle recherchait sa nouvelle drogue, ces sensations si délicieuses d’il y a déjà une semaine…

Elle se gara dans un coin relativement calme et décida de se laisser continuer à pieds.

Les rues s’enchaînaient, elle semblait chercher activement à gauche et à droite la situation et l’homme qui allaient peut-être pouvoir l’apaiser.

L’avantage quand on est une femme, et de surcroît jolie, c’est qu’on a à peu près tous les hommes à sa portée. L’homme est programmé dans ses plus bas instincts à vouloir copuler.

Elle bifurqua dans une ruelle plus sombre, d’un pas calme et assuré.

Arrivée au milieu de la ruelle, une voix grave, qui l’a fit sursauter, s’adressa à elle :

" Hey m’dame, z’avez pas une ptite pièce s’il vous plaît ? Il fait faim ici "

Elle tourna la tête vers d’où venait la voix et vit vaguement, tapi dans une demi-obscurité, un homme d’une cinquantaine d’années assit contre le mur entre deux énormes caisses de carton en guise de maison et sur une couverture d’aspect douteux.

Il tendait la main vers elle. Un mendiant. Elle ne l’avait même pas remarqué et aurait pu continuer

son chemin sans même le voir.

Il n’était pas très beau, propre n’en parlons pas, portant de vieux vêtements partiellement usés et portait une barbe grisâtre datant visiblement de plusieurs jours.

Un sursaut se produisit en elle. L’homme ne l’attirait pas mais la situation improbable réveilla l’instinct primaire d’Evelyne.

Elle lui répondit après une brève hésitation :

" Je vous donnerai de quoi vous acheter à manger pendant un mois si vous faites ce que je vous demande "

Le vieux mendiant lui répondit que pour manger, il était près à peu près à n’importe quoi.

Sur ces bons mots, Evelyne eût une pensée perverse et excitante en cet instant et lui rétorqua :

" Bien. Tu vas commencer par baisser ton froc et me montrer ce que tu caches là dessous. Sans poser de questions. "

L’homme, surpris, avait depuis bien longtemps rangé sa fierté et après avoir marqué une brève hésitation, se leva puis, après avoir déboutonné son pantalon, et le laissa tomber à ses pieds. Il n avait même pas de caleçon.

Se retrouver le sexe nu face à cette superbe femme dans cette position le fit bander progressivement devant elle.

Evelyne avait été dominée par Dustin il y a une semaine, et maintenant c’était elle qui voulait dominer et expérimenter sexuellement le pouvoir.

Elle s’approcha du mendiant et lui dit :

" J’’ai besoin de me sentir vivante. Alors, tu vas faire comme je te dis pour me satisfaire. Branle toi devant moi. "

L’homme ne comprenait pas trop mais il était clair qu’il avait aussi envie de faire ce qu’elle exigeait de lui. Il s’exécuta donc et très vite sa queue atteignit sa taille maximale. Il décalotta alors son gros sexe, laissant apparaître un énorme gland violacé.

De grosses veines parcouraient son sexe et l’on pouvait apercevoir les deux couilles pleines de foutre.

Evelyne mouilla en voyant que le clochard lui obéissait au doigt et à l’oeil.

Déjà de légers spasmes de son bas-ventre appelaient. Elle dévorait la scène.

Elle était maintenant à côté de lui et elle se mit à quatre pattes sur la couverture, relevant sa jupe et abaissant ses collants et sa culotte jusqu’à ses genoux.

Elle se mit dans l’axe en lui tournant le dos, lui présentant sa croupe et lui dit :

Tu vas mettre ta queue dans mon cul. Magne toi "

Il ne se fit pas prier. Il prit sa bite de sa main droite et l’enfonça d’un coup dans l’anus de la belle.

Elle laissa échapper un cri, la douleur étant réelle mais celle-ci s’estompa tout aussi rapidement pour laisser place à une sensation de plénitude, une sensation qu’elle avait tant cherché à retrouver.

De ses mains sales, il se saisit des hanches d’Evelyne et commença un va et vient pour mieux contrôler la sodomie.

Le cul d’Evelyne était bien serré et son rectum moulait parfaitement son énorme queue.

Son sphincter anal était bien musclé et il sentait les contractions de plaisir qu’elle avait déjà et ne pouvait retenir.

Il la pilonna un moment et elle sentit qu’il grossissait en elle, signe qu’il prenait son pied.

D’ailleurs il poussait de grands râles rauques à chaque coup de boutoir.

Bien que seule cette sensation lui aurait été suffisante pour ce soir, elle ne voulait néanmoins pas s’en arrêter là.

Elle se retira donc d’un coup de la saillie du mendiant qui, surpris, commençait déjà a regretter de ne pas avoir joui assez vite dans le cul d’Evelyne. Il pensait que c’était déjà fini pour elle. Lui n’avait rien eu et n’aurait rien de plus.

Evelyne se redressa et finit d’enlever sa jupe, sa culotte en dentelle et ses collants, les posant à côté d’elle. Elle dégrafa également les boutons du haut de son tailleur.

Elle se plaça alors face à lui, toujours sur la couverture, entre les 2 gros cartons qui cachaient la scène, et s’allongea sur le dos.

Elle écarta ses jambes nues et laissa apparaître devant l’homme son intimité intégralement rasée.

Ses pieds étaient encore chaussés des talons aiguilles et cela apportait quelque chose au tableau érotique de la position.

La main droite manucurée d’Evelyne vint titiller délicatement son clitoris, alors qu’elle le regardait droit dans les yeux en lui disant autoritairement :

" Maintenant tu vas venir et me mettre ta bite dans ma chatte "

Le vieil homme comprit qu’il avait une seconde chance et il n’était pas prêt à la laisser passer cette fois-ci !

Maladroitement, le pantalon toujours au niveau des genoux, il s’approcha d’Evelyne.

Il ne voulait plus perdre de temps en l enlevant complètement, de peur qu’elle ne change encore subitement d’avis.

En même temps, Evelyne toujours avec son regard plongé dans les yeux du mendiant, tira la langue et ouvrit la bouche avec une légère grimace perverse, comprenant qu’elle faisait quelque chose de sale, et signe qu elle voulait qu’il lui donne ce qu’elle demandait.

Elle mit ses bras écartés au dessus de sa tête, en signe d’accueil et de don total de son corps.

Cette vue fit monter la pression dans le sexe du vieux pouilleux.

Son gros gland violacé et nervuré se rapprocha de l’entrée divine et il s’introduisit, cette fois en douceur, dans le chaud conduit lubrifié d’Evelyne. Un bien-être immédiat envahit sa queue.

Pressé, il se coucha sur elle de tout son poids et un rapide va-et-vient s’amorça.

Ne plus perdre de temps.

Il venait à peine de la pénétrer et déjà il voulait éjaculer en elle. Il reconnaissait cette vieille sensation perdue de quand il était encore actif sexuellement.

Elle, se sentait tout-puissante et, encouragée par cet état, voulu que le vieil homme jouisse toute sa vile semence en elle.

Elle était en extase de sentir ce vieil homme crasseux barbu et sentant le mâle mal lavé en elle.

Cela l’excitait même tant la situation lui aurait encore paru inimaginable il y a quelques semaines.

Elle contrastait à l’inverse, lui sentait son parfum enivrant et chaque détail de cette femme était soigné et parfait pour lui.

Il n’y avait plus aucune hésitation permise pour son membre : associé aux voluptés charnelles des va et vient, son gland appelait de plus en plus à laisser venir l’ultime plaisir.

Evelyne avait entre-temps remonté son chemisier pour laisser apparaître ses deux gros seins garnis de splendides gros mamelons et belles aréoles.

Cette vision acheva le clodo : sous la beauté de cette révélation, il déchargea en plusieurs longs jets puissants tout son sperme dans le vagin d’Evelyne, dans un gémissement de délivrance.

Elle le regardait dans les yeux et elle ouvrait la bouche de plus belle en tirant la langue, appelant encore plus de son foutre en elle.Elle semblait dire " Donne moi tout ".

Il la recouvrait de son corps, sa peau sale contre son corps sublime de femme. Son corps poilu viril sur son corps à elle, épilé et doux. Il l’imprimait de son odeur âcre en restant dans cette position missionnaire et pesant sur elle.

Agréablement étonnée par la longueur inhabituelle de l’éjaculation de ce SDF en elle, Evelyne déclencha un violent orgasme en poussant un cri incontrôlable qui, sur le moment, eût pu laisser croire à une agression dans la ruelle.

Et c’est exactement ce qui se passa dans la tête de l’homme :

L’homme surpris prit peur, songeant probablement qu’il allait avoir de gros ennuis. Il se retira précipitamment à grand regret de sa position et remis à la hâte son pantalon, s’éloignant à vive allure d’elle.

Evelyne émergeait de son orgasme.

Elle l’aurait bien retenu pour le rassurer, mais il était déjà trop tard.

Jambes écartées, en position semi-assise, un filet épais de sperme sortait de son sexe encore parcouru de spasmes.

Elle se releva à son tour et, regardant de gauche à droite si personne n’avait été alerté, se rhabilla.

Prise dans une atmosphère odorante, mélange savant d’urine, de baise et de sueur, elle laissa quelques billets sur les effets abandonnés près des cartons.

De retour à sa voiture et puis chez elle, Evelyne était satisfaite de son expérience sexuelle improbable.

Mais savait-elle déjà que bientôt elle en voudrait bientôt encore bien plus… ?

A suivre.

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