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Ma tendre maman – Chapitre 4




Lévidence

Nous poursuivons notre promenade, les rues se remplissent de touristes, le soleil est de la partie, il fait presque chaud. Hélène stoppe, et me fait face. Je la devine anxieuse. Prenant une profonde inspiration :

Mon Amour ! Ce que l’on vient de faire tous les deux n’a rien d’anodin, surtout dans notre situation familiale. Je ne veux surtout pas gâcher ta jeunesse, tu as peut-être envie de fonder une famille, sache que je ne pourrai jamais te donner d’enfant ! Alors si je dois m’effacer, je le ferai, et cette matinée restera à tout jamais gravée au plus profond de moi.

Les larmes lui coulent sur les joues, un doute monstrueux la torture, va-t-elle me perdre ? Je suis dans le même questionnement, regrette-t-elle de s’être donnée à moi, son fils !

Je vais essuyer ses larmes, et la prendre dans mes bras, sa tête va se poser sur mon épaule, je lui caresse le dos tout en douceur. Ma réponse à toutes ses questions, je vais lui susurrer à l’oreille.

Hélène, mon Amour, je le sais tout cela, mais l’important pour moi, c’est notre bonheur à tous les deux, je vais t’aimer comme jamais un homme ne t’a aimée. Malgré nos liens familiaux, je ne peux plus vivre sans toi, je te considère comme ma compagne, mon amante, ma femme !

C’est bien vrai tout ce que tu me dis ?

Pourquoi mentirais-je !

Tu ne regretteras jamais tes paroles, moi aussi, je vais t’aimer comme jamais on ne t’a aimé !

La joie, le bonheur, bref l’amour avec un grand A, emplit nos curs, je cherche ses lèvres et nous entamons un baiser long et passionné en plein milieu de la rue, sans nous soucier de la foule qui déambule, nous faisant même bousculer par un couple, le monsieur nous lançant :

Vous pourriez faire vos cochonneries ailleurs !

Cette remarque nous fait éclater de rire. Midi sonnant aux cloches de l’église, nous partons en direction du port des pêcheurs, pour y dégoter un petit restaurant.

Nous déjeunons en terrasse, profitant de la douceur de cette fin d’automne. Face à face, nous trinquons à notre bonheur et je lui dépose un tendre baiser sur les lèvres. Le repas terminé, nous poursuivons notre balade qui nous conduit vers la plage. Nous nous y promenons longuement, main dans la main. Intérieurement, je me dis : elle ne fait pas son âge, elle en parait dix de moins. Notre balade nous mène au Rocher de la Vierge, envahi par les touristes, lieu romantique sil en est. Au retour, nous prenons quelques selfies afin dimmortaliser ce moment. Je m’appuie contre la balustrade, Hélène vient se blottir dans mes bras telle une femme amoureuse, me déposant de nombreux baisers sur les lèvres, baisers que je partage avec délectation. Je ressens tout l’amour quelle me porte, je l’enserre de mes bras, sa poitrine s’écrase contre mon torse.

Notre câlin de ce matin était torride, tu m’as fait découvrir un petit truc que je ne connaissais pas !

Je sais bien ce dont elle veut me parler, mais je joue le parfait innocent.

Quas-tu donc découvert ?

Tu le sais bien !…

Je ne vois pas du tout !

Tu n’es qu’un grand coquin, mais je t’adore !

Heureux de le savoir !

Arrête, tu sais bien de quoi je veux parler, tu as léché un endroit particulier de mon intimité, c’est vraiment nouveau pour moi !

Tu n’as jamais pratiqué ?

Non jamais, aucun homme n’a eu accès à cet endroit !

Tu voudrais que je recommence ?

Bien sûr que je veux, ce n’était pas désagréable du tout, et même plus, si tu vois ce que veux dire !

Je comprends parfaitement ton désir !

J’ai un peu peur, surtout d’avoir mal, tu seras doux ?

Ce sera tout en douceur, mais rien ne presse !

Tu es un ange, mon chéri d’amour !

Toute cette discussion osée et coquine me surprend un peu, je ne pensais pas que ma belle se lâcherait aussi vite. Il y en a un, à qui cela donne des envies, je me sens de plus en plus à l’étroit dans mon jean. D’un mouvement imperceptible, Hélène se frotte contre la protubérance qui déforme mon jean.

Monsieur aurait-il une grosse envie ?

Et pas quune grosse, mon amour, jai très envie de toi, ma chérie !

Je crois, non, j’en suis sûre, j’ai la même envie que toi !

Mon amour ne peut pas être plus serré qu’elle nest, son pubis écrase mon engin, prisonnier de mon jean, qui ne demande qu’une chose, sortir à l’air libre.

Hélène me murmure à l’oreille :

Tu es tout dur, et moi je suis toute mouillée ! De te sentir contre moi avec ton sexe tout raide me rend folle de toi !

On rentre ?

Oh toi, tu me fais faire des folies, je suis prête à te suivre au bout du monde !

Main dans la main, nous nous dirigeons d’un pas rapide pour rejoindre la voiture qui va nous ramener vers notre petit nid douillet, lequel va accueillir encore une fois nous ébats charnels. Dans la voiture, ma main caresse sa cuisse avec tendresse. Hélène ne dit rien, elle se contente de me regarder, avec un grand sourire. Ses yeux pétillent de malice, je peux lire le feu du désir dans son regard. Nous montons quatre à quatre les deux étages qui conduisent à mon appartement. La porte à peine refermée, nos lèvres se soudent, Hélène se voit plaquée contre la porte dentrée, notre baiser est puissant, intense, on se dévore la bouche mutuellement, nos langues tournoient dans un ballet amoureux. Nos mains repartent à la découverte de nos corps respectifs. Hélène se retrouve assise sur le meuble à chaussures, elle sagrippe à mon cou, dans une étreinte fusionnelle. En un clin d’il, nous nous retrouvons torse nu tous les deux, je dégrafe maladroitement son soutien-gorge.

Nous voici seulement vêtus de nos jeans et baskets, le tableau est surréaliste, ma bouche a quitté ses lèvres, je tète ses jolis tétons, tout durs et qui pointent fièrement. La tête en arrière et les yeux fermés, elle se délecte de mes léchouilles en gémissant doucement. Elle ne reste pas inactive, me caressant le torse avec tendresse. La position n’étant pas spécialement confortable, je stoppe ma succion.

Tu as déjà fini ?

Peut-être !

Ah non, ne me fais pas ça !

Je marque un temps darrêt avant de lui répondre, tandis quelle trépigne dimpatience !

Je te taquine, bien sûr que je n’ai pas fini, on va dans la chambre, ce sera plus confortable !

Hélène est soulagée par ma réponse, ses bras m’enserrent le cou.

Ne me fais plus jamais un truc pareil, tu me chauffes, et puis, plus rien, je ne te dis pas la frustration que j’ai ressentie !

Nous nous dirigeons vers la chambre, Hélène se laisse tomber sur le lit, les seins à l’air, je lui enlève ses baskets. Le jean déboutonné, Hélène soulève son bassin pour me permettre de lui ôter le pantalon, je constate les dégâts sur son string, une grosse auréole macule le voile blanc, je comprends sa frustration quand j’ai interrompu mes léchouilles…

Je me débarrasse de mon jean et boxer à la vitesse de léclair, mon bâton damour, comme dirait Hélène, est prêt pour la joute !

Me voici à genoux devant ma chérie, on se regarde dans le blanc des yeux, dans un mouvement érotique, elle me caresse le ventre avec le bout de son pied. Une idée me traverse l’esprit, je prends son pied dans ma main, et lui fais des petits bisous sur la plante, ce qui lui provoque des chatouilles, je continue en gratifiant de bisous ses orteils, Madame semble apprécier, car elle me tend son autre pied, auquel japplique le même traitement. Abandonnant ses jolis pieds aux ongles ornés dun vernis rouge, mes baisers couvrent sa jambe, je sens sur mes lèvres les frissons qu’elle ressent. Continuant ma séance de bisous, je remonte lentement vers son visage, effectuant une halte sur ses seins. Parvenue à ses lèvres, Hélène les entrouvre pour me recevoir, ses bras autour de mon cou m’enserrent avec douceur. Nous commençons à nous embrasser avec tendresse, nos langues senroulent, pour jouer la partition de l’amour. Je délaisse ses lèvres, Hélène essaie de me retenir.

En abandonnant sa bouche, elle devine mon intention, je recommence mes bisous pour descendre vers son triangle damour. Sous leffet de mes sensuels bisous, Hélène gémit doucement, en très grande câline qu’elle est, elle savoure !

Devinant mes intentions, elle écarte en grand ses jolies jambes, ce qui me donne un accès parfait à lendroit de mes désirs ! Je demeure un instant en admiration devant son buisson, d’un mouvement impatient, Hélène soulève son bassin pour soffrir à mes lèvres, ma langue va imprimer un mouvement sur toute la longueur de sa vulve.

Oh oui, encore et encore !

Faire un cunnilingus à une femme est un de mes péchés mignons, surtout à mon amour, le nectar sucré qui sort de sa minette constitue pour moi un aphrodisiaque. Mon pouce agace son clito, pendant que ma langue fouille au plus profond son jardin dÉden. Hélène soulève de plus en plus son bassin pour me sentir au plus profond d’elle, son corps commence à ressentir les prémices de l’orgasme. Ses mouvements deviennent désordonnés, ses ahanements résonnent dans la chambre, Hélène baragouine des phrases, dont je ne comprends pas le moindre mot. Son corps se tend comme la corde dun arc, elle émet un cri de bonheur, un jet abondant de son nectar m’inonde la bouche. Je me désaltère de ce délice, mon inconscient compare ses flots aux grandes eaux de Versailles. En relevant la tête, je vois Hélène les yeux fermés, elle savoure sa jouissance jusquau bout. Relevant légèrement sa tête, les yeux entrouverts et avec un large sourire, elle me lance :

Merci, mon amour, cétait géant !

J’aime te donner du plaisir, pour moi aussi, cétait grandiose !

Me tendant les bras, elle me dit :

Viens en moi, je veux te sentir mon chéri !

Une telle invitation ne peut se refuser, le temps que je me redresse, Hélène relève ses jambes en se passant la langue sur les lèvres, cet acte érotique et provocateur veut tout dire. Ma belle souhaite profiter de mon bâton damour. Je me positionne sur elle, tandis quHélène dépose ses chevilles sur mes épaules. Nos regards sélectrisent, encore une fois, nous allons nous unir, pour ne plus faire quun.

Mon gland entre en contact avec sa vulve, mon sexe investit sa minette sur un train de sénateur.

Vas-y doucement, ce nest que du bonheur à cette vitesse !

Avec lenteur, j’atteins le fond en donnant un petit mouvement de bassin lui déclenchant un énorme gémissement. Nous retrouvons vite de la douceur. Je reste toujours planté dans son tréfonds, tandis que nous nous embrassons. Hélène commence à me malaxer avec des contractions vaginales qui me font frémir. Nos lèvres toujours soudées, je débute mes mouvements, toujours en douceur. Je ressors et replonge toujours à la vitesse de lescargot. Malgré la lenteur de mes mouvements, notre excitation grimpe en flèche. Notre baiser devient anarchique, nous peinons de plus en plus à contrôler nos mouvements, Hélène me tenant par le cou, je sens ses ongles qui commencent à s’enfoncer dans mes chairs. Rompant notre baiser, mes yeux se posent sur nos entrejambes, dans sa position, on a limpression que je l’ouvre en deux à chaque fois que je l’investis.

Mon chéri, comme je te sens bien, continue, je vais partiiiiiiir !

Malgré la lenteur de notre rapport, je ressens les prémices du plaisir poindre, nous ahanons de concert, les derniers mouvements sont complètement désordonnés. Les ultimes allers et retours se font de manière incontrôlée, Hélène me comprime de plus en plus fort, et boum, mon plaisir débarque, me foudroyant avec une intensité démesurée ! Ponctuant mon acte de gémissements rauques, je me répands bien au fond de sa matrice. Mon amour me suit dans la seconde, son corps se tétanise de plaisir, son vagin demeure contracté un long moment autour de mon bâton. Hélène lâche de profonds soupirs de plaisir. À bout de forces, je m’affaisse sur la femme qui fait battre mon cur, seuls résonnent dans la chambre nos souffles courts.

À suivre…

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