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Le couvent de la perversion – Chapitre 1




Sur Alice et sur Victoria sont entrées au couvent il y a deux semaines.

Faisant chambre commune, celles-ci ont noué des liens très fort dès le début.

De confidence en confidence, elles savaient qu’elles préféraient la compagnie des femmes à celle des hommes, car Alice s’était fait dépuceler par sa sur tandis que Victoria, c’était avec sa cousine.

Chaque nuit, elles s’entendaient se donner du plaisir sans jamais oser faire le premier pas, mais ce soir, l’ambiance dans la chambre était différente et les deux surs avaient envie de passer une étape.

Après de nouvelles confidences sur leurs expériences sexuelles, Victoria alla se coucher dans son lit. Elles éteignirent la lumière, mais Victoria n’arrivait pas à trouver le sommeil. Elle était bien trop excitée… Alice aussi d’ailleurs, car elle avait enlevé sa robe de nuit et était désormais nue dans son lit.

Elle commence à se caresser les seins, elle sent l’excitation monter, elle a chaud.

Elle se met sur son lit, nue, et les cuisses écartées au maximum.

Victoria entend les gémissements d’Alice, elle tourne sa tête, mais Alice a les yeux fermés.

Voyant qu’Alice a les yeux fermés, Victoria se lève doucement de son lit et fait glisser les bretelles de sa robe de nuit qui tombe par terre.

À présent nue, elle se dirige vers le lit d’Alice. Elle est tellement excitée que sa chatte est déjà toute mouillée.

Alice se caressait fort le clito. Excitée par ce spectacle, Victoria se penche vers Alice qui a les yeux fermés et pose sa bouche et sa langue sur le sein droit d’Alice.

Alice est surprise, mais une décharge électrique parcourt son corps. Elle ouvre les yeux et regarde Victoria. Leurs regards se croisent.

Hummm oui vas-y continue, lèche et bouffe-moi les seins Vic.

Hummm tu m’excites ma sur, je n’ai pas pu résister en t’entendant te branler hummm.

Tu as bien fait de venir, mais je t’attendais plus tôt frangine hummm oui, bouffe-moi les tétons, mords-les, tire-les hummm.

Hummm ça t’excite ma chienne quand je m’occupe de tes seins hein.

Ohhh oui putain, je mouille comme une chienne en chaleur, ma chatte est toute trempée hummm.

Ohhh oui vas-y Vic, continue, c’est trop bon.

Victoria mord, pince, et tire les tétons d’Alice

Ohhh oui putain Vic, tu me fais devenir salope, descends et bouffe-moi la chatte, vas-y… viens sur moi et donne-moi ta chatte que je m’en occupe aussi ahhhh.

Victoria se mit sur Alice, les jambes écartées et sa chatte devant sa bouche. Alice avait replié les cuisses vers elle de façon à ce que Victoria ait un accès total à ses trous. Les filles se bouffaient la chatte mutuellement sans retenue, passant du clito aux lèvres et s’enfonçant leurs langues bien au fond de leurs chattes qui dégoulinaient de mouille. Les gémissements et les bruits de mouille remplissaient la chambre. Alice devenait une furie.

Ohhh oui putain, défonce-moi la chatte, mets tes doigts et bouffe-moi mon cul de salope Vic.

Hummm oui hannnn, je vais bien te défoncer tes trous comme la pute en chaleur que tu es hummm.

Victoria mit deux puis trois doigts dans la chatte d’Alice et dilatait la rondelle d’Alice avec sa langue

Ahhhh ouiii, putain Vic, baise-moi fort, je suis ta grosse salope perverse, fais-moi jouir, fais-moi ce que tu veux.

Hummm, oui, ma grosse chienne, je vais bien te baiser tes trous à bites.

Attends, je reviens…

Victoria se leva du lit et ouvrit le tiroir de sa table de chevet pour en sortir un objet particulier qu’elle avait trouvé caché dans la réserve. Il s’agissait d’un gros cierge qui avait été bricolé de façon à ajouter un harnais. Victoria l’avait essayé pour régler les sangles à sa taille…

Mais qu’est-ce que tu fais Vic… C’est quoi ça ?

Victoria se retourna vers Alice et s’approchant du lit, dit à Alice :

Jai trouvé ça dans la réserve et c’est ça qui va te défoncer tes trous à bites ma chienne.

Ohhh oui vas-y Vic viens… viens me déchirer mes trous de pute.

Victoria se mit devant les trous d’Alice qui avait mis ses jambes sur ses seins et qui écartait au maximum ses trous avec ses doigts.

Vas-y surette, défonce-moi, déchire-moi, viole-moi mes trous de grosse pute.

Victoria tenait le cierge avec ses mains et le mit sur le trou du cul d’Alice.

Écarte bien ton cul. Je vais te violer brutalement la rondelle ma grosse pute.

Ohhh oui vas-y Vic, fais-le.

Tiens, prends ça, sale chienne en chaleur hannnn.

Le cierge força le trou du cul d’Alice et s’enfonça de moitié dilatant celui-ci. Alice avait pris un oreiller pour étouffer ses cris de jouissance, mais Victoria pouvait les entendre.

Ohhh ouiiiii putain vas-y encule-moi fort, déchire-moi le cul, vas-y ma sur, va plus loin plus fort, défonce-moi, viole-moi putain.

Hannnn oui ma grosse traînée, je vais te violer brutalement comme la pute que tu es… Tiens, prends ça, ton cul de grosse pute… hannnn hannnn hannnn hannnn hannnn hannnn hannnn hannnn.

Victoria pilonne la rondelle d’Alice à grands coups de reins et de cierge, le trou du cul d’Alice était complètement dilaté et trois bites pouvaient rentrer aisément. Elle continuait de défoncer violemment Alice.

Ohhh putain de salope de sur, tu aimes ça te faire déchirer le cul par grosse bite hein sale pute.

Ohhh ouiii hannnn hannnn putain que c’est bon Vic… viole-moi la chatte maintenant, vas-y déchire-moi, dilate-moi, fais-moi jouir.

Victoria enleva le cierge du cul d’Alice. Le trou du cul était complètement dilaté et Victoria pouvait voir l’intérieur du fondement d’Alice.

Ohhh putain comment je t’ai détruit la rondelle, tu vas avoir du mal à t’asseoir demain ma chienne.

Alice sentait l’air rentrer dans son cul, tellement il était ouvert.

Ohhh oui c’est vrai, mais c’est trop bon surette… vas-y, déchire-moi la chatte, fais-moi jouir comme une la grosse salope que je suis.

Victoria dirigea le cierge à l’entrée de la chatte d’Alice.

Ahhhh tiens ma grosse pute en chaleur, prends ça dans ton trou à sperme hummm hummm.

Le cierge força mais rentra d’un coup au fond de la chatte d’Alice qui étouffa un cri dans l’oreiller

Aaaahhhh ouiiiii putain surette viole-moi, je suis ta pute, ta salope, ta truie ahhhh ouiii putain, c’est bon, vas-y, défonce-moi fort.

Hummm oui tiens, prends ça ma grosse chienne que je baise comme une bonne pute hannnn hannnn hannnn hannnn hannnn hannnn.

Victoria défonçait violemment la chatte d’Alice à grands coups de cierge.

Ohhh putain, t’es vraiment une grosse salope ma surette, j’adore, tu me fais mouiller pendant que je te baise brutalement ton trou à bites hannnn hannnn hannnn tu aimes ça, hein ma pute de sur.

Ohhh putain, oui, vas-y, je vais jouir, vas-y plus fort, ça vient hannnnn ouiiii putain je jouiiiiis vas-y encore hannnnn.

Aaaahhhh ouiiii surette jouis sur ma grosse bite, vas-y, tiens, prends ça hannnn hannnn hannnn hannnn hannnn hannnn.

Victoria pilonnait la chatte totalement dilatée d’Alice. La cyprine coulait sur le cierge et dégoulinait de sa chatte et parcourait la raie de son cul. Alice n’avait encore jamais joui comme ça. Elle était immobile, en sueur, et haletait de plaisir. Victoria était à la limite de jouir, car une des lanières du cierge passait entre ses cuisses et pendant qu’elle défonçait sa sur, celle-ci lui branlait le clito.

Ohhh putain, tu vas me faire jouir aussi surette.

Victoria enleva le gode et vint au-dessus du visage d’Alice. Elle était accroupie, les cuisses écartées, et elle s’écartait la chatte avec les doigts en se branlant fort le clito.

Ahhhh ouiii putain, c’est bon, ouvre la bouche surette, je vais jouir, tu va boire ma cyprine hannnn hannnn ouiiiii putain ohhh hannnn je jouiiiiis, bois mon jus de chatte ma salope vas-yyyyyyy ouiiii.

Alice avait la bouche grande ouverte et la cyprine de Victoria jaillit de sa chatte en plusieurs geysers, arrosant le visage et remplissant la bouche d’Alice

Ohhh putain ouiiiii c’est bon, bois tout, putain ahhhhhh.

Hummm oui, il est bon ton jus, frangine hummm hummm.

Alice avalait avec plaisir la cyprine de Victoria. Une fois la jouissance terminée, les deux surs se blottirent l’une contre l’autre, en sueur et haletantes de plaisir.

Oh putain surette, c’était trop bon, tu m’as bien défoncé mes trous. Merci, je t’aime.

Mais de rien, ma chérie, tu m’as bien fait jouir aussi et j’ai adoré te défoncer.

Demain, c’est à mon tour de te défoncer violemment tes trous, ma sur.

Ce sera avec plaisir ma chérie… Bonne nuit, fais de beaux rêves.

Toi aussi, ma surette.

Alice et Victoria sembrassèrent amoureusement en mélangeant leurs langues et leurs salives puis tombèrent dans un sommeil profond rempli de satisfaction.

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