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Oh! Je suis une putain ! – Chapitre 6




Je m’habituais à ce qui m’arrivait.

Mike me demandait quand il le voulait. Il passait me prendre à la fac, parfois, il entourait ma taille de son bras de géant pour m’emmener vers sa voiture, sous le regard des gens. Ensuite, il me tenait la main, la posait parfois sur sa jambe pendant qu’il conduisait. Avec le temps, il m’est arrivé de la poser instinctivement sur sa cuisse dès qu’il commençait à rouler. Je le sentais gonfler jusqu’à arriver devant chez lui. Il sortait de la voiture, le jeans déformé par sa trique, et il me tenait la main en traversant la route pour arriver devant chez lui. Je le regardais du coin de l’il, je baissais les yeux au début pour ne pas regarder autour de moi, mais ensuite, je m’en foutais, pire, des fois j’en étais… fier ? Je ne sais pas, en tout cas, j’ai pris pour habitude d’être à sa merci, de le laisser profiter de moi quand il en a besoin, de partager son lit, de lui offrir mes jambes, ouvertes ou fermées, de me tendre et de me détendre quand il le souhaite.

Je suis à lui et c’est devenu un acquis sans même qu’on ait eu à en parler.

A force de prévoir sa venue à la fac, je porte des chaussures de sport, à défaut de porter des talons pour ne pas me faire remarquer, quoique je voyais clairement le regard des hommes s’attarder sur mes hanches que je bougeais selon la démarche procurée par les hautes semelles. Selon mon amie Céline, mes fesses sont celles d’une femme « bien fourrée ». Elle n’a pas tort, je remarque qu’avec le temps et ce que Mike me fait, mes fesses prennent du volume, je le sens quand je m’assois, quand je m’habille, quand je marche et, surtout, quand il me prend. Il fournit plus d’efforts, pour me tenir, pour me soulever, il s’acharne davantage sur mes fesses, me les claque et me les presse fort. Il s’y accroche pour pouvoir me chevaucher et il ne me fait part d’aucune pitié.

Il s’excite davantage quand je mets un short très court ou un jeans moulant, il suffit que je m’oublie à m’accroupir pour ramasser quelque chose pour qu’il profite de l’occasion et se colle à moi, avant de ne plus me lâcher, jusqu’à se vide en moi, ou sur moi, après m’avoir souillée et mise hors de moi-même.

Les jambes galbées, les hanches arrondies, le ventre plat, la poitrine sensible, les lèvres pulpeuses et légèrement pendues, le regard fuyant et les cheveux mi-longs, quand je m’allongeais dans le lit de Mike et que je surprenais mon reflet dans la glace de l’armoire, je rougissais en me mordant les lèvres. Mike montrait parfois des signes de tendresse et commençait même à être jaloux. Une fois, il était garé et attendait que je lui achète ses cigarettes. Le vendeur du bureau-tabac me demandait comment je m’appelais, c’était un beau garçon aux yeux clairs et au teint mâte, on dirait qu’il venait des îles, il n’avait presque pas sa place dans ce décor de journaux, de friandises et de parfums bon marché. Je répondais sincèrement à ses questions en m’appuyant contre le comptoir. Le client derrière moi s’est serré contre moi, mais j’étais tellement obsédée par la clarté des yeux du vendeur que je croyais que c’était involontaire.

Mike s’est impatienté et est venu me chercher, et en me voyant ainsi, cernée d’un côté par un regard et d’un autre par des frottements, il a cassé la gueule du gaillard derrière moi et m’a tirée par le bras violemment pour m’emmener loin du bureau-tabac.

Je n’ai même pas payé le garçon. Mike ne m’a pas parlé pendant tout le trajet, même quand j’ai mis ma main sur son jeans et que j’ai entamé quelques caresses. Il restait de marbre, partout, sauf là où il le fallait. J’ai retiré ma main et j’ai eu les larmes aux yeux. Le soir, j’ai décidé de me débrouiller pour me rattraper, c’est à cette pensée que j’ai eu une grimace et que mon ventre s’est serré jusqu’à me faire mal, je rougissais en comprenant que j’étais devenu non seulement une femme à l’extérieur, mais que je commençais aussi à réfléchir comme telle. En plus d’être une femme, je suis une soumise. C’est mal ? Ça me comble de lui faire la cuisine, ça m’amuse de choisir ma tenue pour le soir, pour qu’il s’occupe de moi, ça me fait tout drôle de parler à mon amie Céline de Mike, de lui raconter son tempérament, et en contrepartie, elle me parle de son homme à elle.

Je n’ai jamais fait allusion à Mike comme « mon homme », mais juste y penser me pique au niveau de mon bassin pendant que je finis de préparer un délicieux plat que je mets au four.

Nous le dégustons sur la table du salon, cette table qui a plusieurs fois grincé sous mon poids. Mike m’évite du regard, mais revient à la charge quand je fais semblant de débarrasser en arquant exagérément mon dos. Je porte un long t-shirt. C’est tout. Mes fesses sont à l’air, couvertes par le t-shirt du moment que je ne bouge pas. Mais je fais en sorte de bouger beaucoup, de faire des pas sur la pointe des pieds, dévoilant la moitié de mon cul aux yeux de Mike qui continue de me faire la gueule. En revenant à la table, je remarque que la télécommande est par terre, à côté du canapé. Je me souviens aussi de notre première fois sur ce canapé, quand il a découvert que j’avais les fesses d’une femme. Et c’est en soupirant que je m’agenouille pour prendre la télécommande. Je sens le vent me caresser les fesses qui doivent être visibles sous un certain angle. Je me retourne et je surprends Mike en train de me fixer, je me retourne par terre et m’assois.

Je penche ma tête légèrement de côté et quelques mèches tombent sur mes yeux.

Ma lèvre tremble, j’ai peur qu’il soit sérieusement contrarié. Il se lève et je frémis tout entier quand il avance vers moi. Arrivé à mes pieds, il se penche et m’attrape par la cheville. Je panique et je faillis tomber à la renverse, mais je m’appuie sur mes coudes. Mon t-shirt remonte et toute la partie basse de mon corps est affichée, sous son regard ferme. J’ai presque honte de mon intimité, je bande fort, mais mon petit sexe n’est rien, comparé à la barre qui soulève grossièrement son short. Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai levé l’autre jambe encore libre pour effleurer sa queue avec mon pied. Il est dur et chaud sous mon pied froid. Mes pupilles grelottent quand Mike se met à quatre pattes pour s’approcher de moi, comme un gorille. Il tire violemment sur ma cheville et je me retrouve le t-shirt remonté jusqu’à la poitrine, étalé sous son corps musclé. Mike enlève son pull, ses pectoraux se crispent quand il attrape ma taille avec ses mains.

Je me sens minuscule, fin et fragile, et pourtant, j’ai envie qu’il soit sans pitié avec moi, comme il a l’habitude de le faire.

Non, j’ai envie qu’il le soit encore plus.

Je vais te mettre, Laïka. Tu vas crier. Ouvre ta gueule.

C’est quoi ton problème ?

Pas pour parler. Ouvre.

Dès que je le fais, il me crache au visage. Je ferme les yeux par réflexe, mais je les rouvre doucement et passe mes doigts sur mes lèvres, inquiète. Je tremble encore plus, les battements de mon cur s’accélèrent quand il me retourne à plat ventre pour cracher sur mon trou après avoir écarté mes fesses. Il me fait gémir avec ses deux doigts profondément enfouis en moi. Il les bouge, rapidement au début, puis doucement jusqu’à ce que je soulève instinctivement mon bassin pour mieux sentir ses doigts. Il me mord le lobe de l’oreille, me chuchote que je suis fait, j’ai à peine le temps de couiner qu’il rentre dans mon cul, facilement, jusqu’à la garde, avec son sexe d’étalon. Je lève la tête en criant quand tout mon corps est traversé d’une décharge, je me crispe, mais je me détends quand je sens sa queue veinée glisser en moi. Il m’écrase sur le sol, s’appuie sur ses poings et m’éclate sans s’arrêter. Mon trou fait des bruits de clapotement, j’ai l’impression de mouiller.

Mike je… pour tout à l’heure…

Ferme-la et prends.

Il m’encule, mes gémissements deviennent des cris qui agressent les murs du salon. La joue plaquée contre le carrelage, je suis punie par mon homme, je lui tends ma croupe pour qu’il me pénètre entièrement, il est en moi, il se serre, grogne en empoignant ma nuque, et gicle pour me remplir de sperme. Mes cheveux recouvrent mon visage, je respire difficilement, mon trou se serre autour de sa queue qu’il aspire pour tout recevoir, dans une ultime jouissance qui me fait trembler de partout, je lâche un petit sanglot et lève mon visage vers Mike qui m’embrasse goulûment en me tirant par les cheveux.

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