Ma belle mère a toujours été un objet (quel mot) de convoitise pour moi. Mais attention il y a de la tendresse, affection naturelle liée à la relation qui nous unit- elle est la mère de ma femme – et à notre histoire et nos épreuves.
Après le décès de mon beau père, elle est restée seule et comme nous avons toujours été très proche l’un de l’autre, cette disparition n’a fait qu’alimenter nos petits jeux, d’abords de mots, puis de geste, mais sans jamais déborder.
Puis en ce jour d’été, alors que j’étais allé la voir pour préparer les vacances, nous l’emmenons toujours avec nous quelques jours, quelques chose s’est passée.
A 70 ans, c’est une très belle femme, bien conservée, aux formes épanouies, elle a des seins incroyables et un fessier magnifique. Et comme à chaque fois qu’on lui repose de venir, c’est le même cinéma, elle ne veut pas nous gêner, pas envie, veut rester seule Je suis donc face à elle en train d’essayer de la convaincre. La tâche est ardue et je dois déployer des trésors d’arguments et faire montre de volonté.
Non, je ne viendrais pas, de toute façon , je ne peux que vous embêter.
Arrétez, c’est ridicule, vous savez qu’on vous aime.
Je suis une gène pour les autres, plus personne ne veut s’embêter avec moi, je suis trop vieille.
ça suffit, non, vous ne croyez pas vous exagérez ?
Tu crois ça – me répond t’elle – qui voudrait de moi, quel homme ?
Mais il ne s’agit pas de ça et vous le savez, on vous parle de nous, des enfants
Tu sais je suis seule depuis tellement longtemps, je n’ai plus qu’une envie, c’est partir.
Ah bon et la peine que vous feriez aux autres, vous y songez ?
Tu sais, me répond t’elle, à qui je manquerais ?
A moi – et sur ces mots je la prends dans mes bras, je la sent vulnérable et triste. Elle me serre contre elle, et me dit à l’oreille :
Tu as toujours été là pour moi, je suis tellement heureuse que tu sois mon gendre.
Vous savez que je vous aime infiniment, vous êtes aussi tout pour moi – et en même temps je me fais la réflexion, que je vais peut être un peu loin.
Merci mon grand, c’est gentil de dire ça à une vieille femme.
Vieille, vous plaisantez, vous avez pleins de beaux jours devant vous et vous êtres très désirable – Oh merde, là ça dérape, je le sens.
Elle me regarde, les yeux dans les yeux et me stupéfie en me disant :
Tu sais tu ne serais pas mon gendre, je ferai l’amour avec toi.
Là je suis vraiment mal, j’ai une érection, qu’elle doit commencer à sentir puisqu’elle est toujours dans mes bras, mais elle se serre encore plus contre moi. Elle lève alors la tête vers moi et me dit :
Après tout ça ne sort pas de la famille !
J’ai à peine le temps de bafouiller un pitoyable : mais Mireille qu’elle pose ses lèvres sur les miennes. Là c’est trop, je l’embrasse alors avec fougue, elle m’accorde sa bouche et je l’entoure de mes bras. Non pas ici, gémit-elle, allons dans la chambre. D’un pas chaloupé, nous allons vers sa chambre et je l’attire vers le lit. Elle rit – c’est beau de la voir rire – et elle a perdu son chemisier en cours de route. J’avoue l’avoir un peu aidé d’ailleurs. Mais le temps semble tourner autrement et nous sommes ailleurs alors que je dégrafe son soutien gorge
Je me suis jeté sur ses gros seins et les lui mordille, les lui lèche. Elle ne me repousse plus, elle m’agrippe même me retenant, voulant que je lui fasse du bien. Je me débraguette d’une main, alors que je lui malaxe une de ses grosses mamelles de l’autre. elle vacille un peu, alors je l’aide à se mettre sur le lit. Elle regarde ma queue qui vibre toute seule et part à la pêche. Elle l’attrape, la caresse et c’est à mon tour de gémir de bonheur. Mireille a les yeux brillants, fixant – avec gourmandise – mon sexe.
Il est gros, me dit-elle, bien gros et doux
Continuez comme ça Mireille. Je commence à haleter, il faudrait que je me calme avant de commettre l’irréparable !
Elle se penche un peu et donne un cou de langue furtif sur le gland. Dire que j’ai attendu si longtemps pour ça. Elle m’avale et me fait coulisser quelques instants dans sa bouche. Mais c’est déjà trop fort, trop de désir, d’envie, je me retire à regrets.
Tu n’aimes pas ? me dit-elle.
bien au contraire, mais j’ai tellement envie que je risque de venir trop vite. A mon tour, dis-je en la faisant s’allonger et écarter les jambes.
Je suis agenouillé entre ses belles cuisses et je lui lèche la chatte. Mon dieu qu’elle sent bon, c’est un véritable plaisir. J’en profites pour lui mettre un doigt inquisiteur dans l’anus. Comme je suis en train de la lécher, elle ne fait que gémir encore plus. Alors, j’ignore pourquoi encore, mais je m’enhardis à lui mettre un second doigt, puis voyant qu’elle se soulève et accompagne même cette intrusion, y met un troisième. Mireille râle, et se dandine sur mes doigts. Je les enfonce plus loin, les ressort et les fait rentrer alternativement.
Elle paraît prête à tout et me dis plein de petits mots doux.
Aah, mon grand, vas-y, mets tes doigts, c’est trop bon
Je m’arrête de lui brouter la chatte – j’ai beau être multi tâche, je ne peux parler la bouche pleine.
Vous aimez ça ?
Oui, oui continues comme ça Aaah
Ma queue est dure comme du bois (oui, je sais cette image est affligeante), je me redresse alors et lui demande doucement :
Vous voulez que je vous sodomise, ma Mimi chérie ?
S’il te plaît oui, je ne l’ai jamais fait, mais j’ai envie
Je me positionne, soulève ses cuisses tout en les écartant et lentement pose la tête du gland sur son illet. Je mets un doigt dessus tourne, puis l’enfonce avant de le retirer et d’enfoncer mon gland à la place. Elle se crispe un peu mais m’encourage d’un mouvement de tête :
Vas-y, mon chéri
Je décide de rentrer à fond et la tenant par les hanches, force l’entrée, lui dilatant complètement l’ouverture. Puis millimètres après millimètres, je rentre totalement, me rendant compte que cette sodomie avec une femme qui vous attire autant, c’est facile !
Mireille a l’air d’apprécier, passé les premiers instants, un soupir d’aise passe ses lèvres et elle m’invite à aller plus loin.
Mon gendre, oui au fond !! c’est fou, qu’est ce qui me prends ? – Aaaaaah c’est bon
Ma queue a doublé de volume, tandis que je coulisse doucement dans son rectum. Elle a beau ne pas avoir été lubrifiée, j’ai la sensation qu’elle a envie de faire l’amour depuis tellement longtemps ; le décès de mon beau-père remonte à des années et comme elle n’a connu aucun homme depuis ; et qu’elle est prête à tout, chaude et disponible. Je l’encule doucement, alors que les yeux mi clos elle caresse mon torse tendrement. Elle regarde le membre qui la pénètre, puis remonte vers mes yeux, me sourit, et les referme, se soumettant à la pénétration qui semble la combler.
ho, oui encore, gémit-elle. Ses seins se soulèvent et je ne peux m’empêcher de les caresser, elle sourit encore et m’attire à elle. Nos bouches se collent et elle m’offre sa langue.
Je ralentis et intriguée, Mireille me regarde. Je l’aide à se retourner et la fait se cambrer un peu, ses chairs délicieuses et opulentes faisant encore ressortir la majesté de son cul. Je pointe mon gland vers son trou et doucement le fait rentrer. Elle geint, se dilatant afin d’aider à la pénétration. Mireille se tourne enfin un peu vers moi et je peux l’embrasser. Sa bouche est fraiche, la tension qui m’habite redescend un peu. Je ralentis le rythme de ma queue dans son anus. Elle gémit tout en m’offrant sa bouche.
Oooh, mon grand, elle est grosse, me dit-elle avec un timide sourire sur le visage.
Elle vous plait ma mimi chérie ?
Oh oui, vas-y mon gendre chéri, vas-y au fond
Je reprends de la vitesse, mon ventre percute son beau cul et je rentre de plus en plus dans son trou de balle.
Ses gémissements se transforment en halètements. Mes mains se sont saisit de ses gros seins et je les malaxe vigoureusement. J’ai l’impression que je vais exploser, mais je réussit à contrôler un peu la montée du plaisir. Ma belle mère est en train de perdre pied, sa jouissance arrive, mon bonheur est total ! Sodomiser sa belle mère c’est sûrement le fantasme le plus incroyable qui soit, mais quand on a un fort sentiment pour elle, c’est encore plus fabuleux.
Je sens que je ne pourrais jamais tenir très longtemps alors je lui demande de se retourner. Nous nous séparons quelques instants, elle se met sur le dos et écarte ses belles cuisses. Je redirige mon membre vers son trou, alors qu’elle regarde comme fascinée ma queue qui rentre de nouveau dans son rectum. Elle pousse un soupir alors que je recommence à coulisser en elle, prenant plaisir à la voir rentrer et sortir, puis rentrer à nouveau.
Elle me tiens par les bras et gémit rapidement. Je me penche pour lui sucer les pointes des seins, elle grogne presque de contentement, m’attrapant par la tête pour prolonger les mordillements que je fais subir à ses mamelons. Je remonte un peu et nous nous dévorons la bouche, nos langues jouant l’une avec l’autre, quand soudain elle se raidit et je la sens m’inonder Elle vient de jouir violemment et ses yeux sont brillants.
Je ralentis et me retire d’elle.
C’était bon pour vous, ma Mimi ? je lui demande.
Mon grand c’était délicieux, tu m’as donné beaucoup de plaisir, mais tu n’as pas jouit – me demande t-elle interrogative.
Heu, non, je me demandais si ?
Quoi me dit-elle, qu’est-ce qui te ferai plaisir ?
Vous voulez bien me sucer et me faire jouir dans votre bouche ?
Je la sens interdite, effrayée ? Puis elle se décide.
Viens mon chéri, je vais te soulager !
Je l’aide à se redresser, nous échangeons un long baiser, puis elle s’agenouille devant moi.
Mireille a le visage au niveau de ma queue et la regarde un peu inquiète. Puis elle se décide, elle l’attrape d’une main et commence à la caresser.
Tu aimes ça, mon grand ?
Oh, oui allez-y continuez je la supplie.
Elle pose un baiser sur le bout du gland, l’odeur semble ne pas lui déplaire – il faut dire que ma belle mère est une femme d’une propreté incroyable, aussi j’imagine que son petit trou ne doit pas être sale. Il semble toujours très bizarre de voir une femme sucer un homme qui vient de l’enculer, mais si elle est bien propre
Elle descend jusqu’à mes couilles et en lèche une. Je gémit de plaisir, alors que ma belle mère les suce doucement l’une et l’autre. Maintenant elle remonte et engloutit mon gland, puis lèche ma hampe sur toute la longueur, puis se décidant enfin fait coulisser sa bouche autour de moi.
Je défaille presque tant le contact de la bouche est doux. Mireille ne s’arrête plus et entame une extraordinaire fellation. Je sens que je ne pourrais pas tenir alors que je lui caresse les cheveux et les joues. Puis elle commence à pétrir mes testicules alors que sa langue joue avec mon gland gonflé, ses doigts s’acharnent, je sens mêmes ses ongles à un moment, tandis qu’elle pompe avec force.
Je je vais jouir, ma chérie c’est bon
Ces paroles semblent l’encourager, Mireille accélère encore et d’un coup je me tends, une vague de chaleur irradiant de mes reins !
Mon sperme gicle avec force dans sa bouche, Mireille a un mouvement de recul, mais courageusement reste les lèves vissées à mon sexe.
Elle tire ma semence, avalant du mieux qu’elle peut, mais c’est abondant et une grande quantité déborde et coule sur son menton.
Je finis de jouir en râlant, Mireille continuant quelques instants ses douces manuvres. Puis je me retire de sa bouche, elle a un hoquet, alors que d’un main elle récupère le sperme qui a coulé sur son menton et glissé jusqu’à ses seins. Elle le goûte encore et lèche ses doigts.
Ce n’est pas mauvais, tu sais ! me dit-elle.
Oh Mireille c’est fantastique, est la seule phrase – probablement un peu ridicule – que je trouve à répondre.
Elle se redresse et me sourit.
Merci mon chéri, c’était merveilleux, si nous allions nous laver.
Nous nous dirigeons vers la salle de bain. Quelques ablutions plus tard, nous nous rhabillons et repassons au salon.
Tu sais mon grand, ça a été fabuleux, mais je ne sais pas si c’était raisonnable.
Je ne sais pas si ça l’était, mais vous êtes fabuleuse et faire l’amour avec vous c’est indescriptible.
Oui, mais tu as ta femme, et je ne veux pas faire de mal à ma fille.
Ni moi, je lui réponds, mais elle est peu disponible et même si je l’aime faire l’amour avec vous c’est tellement fort que j’ai envie de le refaire.
Mireille rougit un peu à ces mots, elle semble flattée.
D’accord, me répond t’elle, à une seule condition : je ne veux pas qu’elle le sache jamais, tu me le promets ?
Bien sûr ma Mimi chérie, je vous aime trop pour vous faire du mal à toutes les deux.
Sur cette promesse, nous nous séparons, un dernier baiser sur la bouche, Mireille est fraiche et humide, avant de partir, me dit à l’oreille ;
J’aimerais que tu me tutoies quand nous faisons l’amour, tu veux bien ?
Puis : Tu reviens demain ?
Je la regardes heureux comme tout et me penchant doucement vers elle, je baise ses lèvres un dernière fois et lui dit : à demain ma chérie et prépares toi à avoir beaucoup de plaisir.
Mireille me sourit, tapote doucement mon bras et je sors de chez elle le cur battant et anticipant nos prochaines retrouvailles.