Je fais un pas vers l’extérieur, je suis dans un rêve. Il m’amène vers sa voiture, m’ouvre la porte comme un gentleman. Il me fait retirer mon manteau qu’il pose sur le siège arrière et referme dès que je suis assis. Il se mets au volant, me fait le sourire vicieux que je commence à connaitre et démarre.
Il démarre sans un mot. Moi n’ont plus je ne sais pas quoi dire.
– Tu es très jolie Martine, tu as compris que ce serait ton prénom ?
– Oui Philippe, je l’ai compris
– Et ?
– Et quoi Philippe, que fait-on quand on reçoit un compliment ?
– On remercie
– Et alors je t’ai dit que tu étais jolie.
– A oui merci Philippe
Une conversation étrange s’installe entre lui et moi. C’est plutôt un monologue de sa part. Il continue à me complimenter sur ma tenue et mon physique. J’aime entendre cet homme faire des éloges sur mon physique et ma tenue.
– Je savais que tu pouvais être féminine mais là je suis subjugué
– Comment te trouves tu ?
– Je suis surpris de pouvoir ressembler autant à une femme. Après qu’elle m’ai maquillé je ne me suis pas reconnu.
– Et alors tu te sens belle
– Oui Philippe, je me sens b.
Le mot reste coincé dans ma bouche. Je ne sais plus comment parler de moi.
– Nous y voilà, il faut que tu te laisses aller à parler de toi au féminin si tu veux vivre pleinement ce que tu souhaites devenir.
– Je vais essayer Philippe
– Je t’aiderais, je serais ton guide sur ce chemin que tu as choisi seule de prendre.
– Et donc
– Je me trouve..belle
Je l’ai dit. Je viens de parler de moi au féminin pour la première fois. Comme un déclic aussitôt je croise les jambes en me tournant vers le conducteur qui me transporte dans tous les sens du terme. Je me sens bien. Je suis zen et détendue.
– On part sur Paris, j’ai envie que tu profites de ta première journée avec la vraie toi dans la capitale.
– C’est gentil, mais vous n’allez pas me faire sortir de la voiture comme je suis ?
– Si j’en ai bien l’intention et tu le feras. Tu t’y es engagé hier je crois.
– Je suivrais vos instructions Philippe
– Pourquoi ?
– Parce que j’ai envie d’être votre salope
J’arrive à le dire plus facilement qu’hier, cela devient naturel. Il pose sa main sur mon genou. Je sens une décharge électrique dans tout mon corps. Sa main sur le collant me rappelle l’expérience du mess et mon sexe réagis.
– Aïe
– Ça ne va pas je t’ai fait mal tu as mal ?
– Non rien ça va
Ça ne va pas du tout. Mon sexe est coincé dans le carcan en lanière de cuir. Dès qu’il réagis il se fais comprimer par cet objet. Je suis sûr qu’il le sait d’où sa question. Peu importe cette main sur moi me fait du bien et je veux en profiter.
Cette main remonte doucement sur ma cuisse. Je la laisse progresser. Elle arrive au niveau de ma robe et s’insinue dessous. Ma verge est complètement comprimée maintenant mais je m’en fou, la main de Philippe est tellement chaude.
Il enlève sa main et me souris. Je suis aussitôt en manque de ce contact. Mais elle revient vite en s’insérant entre mes cuisses. Il donne un mouvement de doigt vers le haut me donnant l’information de décroiser mes jambes. Je le fais en douceur et sa main en profite pour se poser sur l’intérieur de ma cuisse gauche.
– Tu aimes que je pose ma main sur toi ?
– Oui Philippe
– Alors montre le moi
Je gémis de plaisir pour répondre à sa demande.
– Non pas ça, je sais que tu aimes cela. Je veux plus. Pense au roman que je t’ai donné.
C’est de " Histoire d’O" qu’il me parle donc il veut que j’écarte les cuisses et que je remonte ma robe sur ma taille pour que mes fesses soient en contact du siège. L’idée m’excite. Je mets chacune de mes mains de chaque côté de ma robe et je la remonte sur ma taille. Ensuite j’écarte doucement les jambes. Je me tourne vers lui et entrouvre ma bouche.
– Je constate que tu as lu le roman et que tu as bien retenu les leçons.
Il remonte maintenant sa main sur le haut de ma cuisse et arrive à l’aine. Je frémis. J’adore ce contact sur ma peau. Sa main glisse sur mon sexe et le dispositif dans lequel il se trouve. Il pose sa main dessus et descend vers mon anus. Je glisse sur le siège et j’écarte d’avantage les cuisses pour lui faciliter le passage.
Son index se fraye un passage entre mes fesses et atteint mon sphincter. Il appuis dessus. Je sens bien son doigt à travers le collant et le body. La sensation est aussi bonne que je l’imaginais. Je bascule la tête en arrière.
– Humm
– Je vois que tu es chaude ma belle.
Son doigt abandonne son exploration me laissant comme un vide doublé d’un coup de froid.
– Remet ta robe en place je dois faire le plein à la station qui arrive.
Je redescends ma robe et me redresse dans mon siège. Il met le clignotant et la voiture rejoint la station-service. Il fait le plein de la voiture et au lieu de reprendre notre trajet, il s’arrête sur le parking et coupe le moteur. Il fait le tour de la voiture et viens ouvrir ma porte. Il me tend la main.
– Viens
– Mais je .
– Viens c’est comme cela
Je sors de la voiture comme un mec, c’est-à-dire une jambe après l’autre. Cela lui donne une vue directe sur mon entre jambe.
– Remet tes jambes dans la voiture. Tu dois mettre les 2 pieds en même temps dehors si tu veux cacher ton intimité.
Je recommence l’opération et me tourne face à lui avec les genoux serrés. Il me prend la main et m’aide à me relever. Je rabaisse d’instinct ma robe. Il m’aide à mettre mon manteau, me prend le bras et m’emmène en me soutenant vers la station. Je sens que je vais défaillir tellement je me sens mal. Le fond de teins doit cacher la rougeur de mes joues.
– Redresse-toi, soit fier de ce que tu et d’être à mon bras ma jolie
– Oui Philippe
Je me redresse et me concentre sur la marche avec mes talons. Je me détends un peu au moment où nous rentrons dans la station. Il paye et se dirige vers les toilettes. Je suis prêt à le suivre. Il m’arrête et me dis à l’oreille.
– Toi c’est de l’autre côté.
Effectivement cela aurais été étrange de me voir dans les toilettes des hommes. Je rentre dans celle des femmes sans que personne ne remarque ma présente. Je rentre dans une cabine et là je découvre les joies de porter une robe et surtout un collant. Je baisse mon collant et m’assoir. Je passe ma verge sur le côté du body et je me soulage. Le dispositif n’est en rien gênant et cela me rassure.
Je me rhabille, passe au lavabo et me regarde dans le miroir. Ouah, je suis encore surpris de me voir. Je me trouve vraiment jolie. Je sors des toilettes et ne le voyant pas je me dirige vers la sortie. Il m’attend au machine à café.
– Tu veux un café
– Oui merci
– Alors tu es à l’aise
– Je suis surprise de me sentir aussi bien
– Chouette tu as compris comment t’exprimer. J’en suis très content. En plus j’aime ta petite voix
C’est vrai que depuis ce matin je parle tous doucement et vraiment pas fort avec un timbre de voix que je ne me connaissais pas. On prend notre café. Il pose sa main délicatement sur la mienne. Je suis à nouveau parcourus d’un frisson de bien-être. Il tire ma main vers lui.
– On y va, la journée est encore longue
On rejoint la voiture. En sortant de la station je sens le froid s’engouffrer sous ma robe et atteindre mes fesses et mon sexe. Encore une nouvelle sensation plaisante comme celle de sentir mes cuisses se frotter l’une à l’autre avec du nylon dessus.
Il m’ouvre encore la porte et me prend mon manteau. Je pose mes fesses sur le siège en laissant mes deux jambes sur le sol. Je le regarde dans les yeux. Je prends les bords de ma robe et la remonte sur mes hanches. J’ai envie de l’exciter.
Je rentre mes deux jambes dans la voiture. Il me sourit et claque la porte. Quand il monte de son côté j’ai les cuisses écartées.
– Cela t’excite on dirait
– Oui beaucoup Philippe
Il repose sa main sur l’intérieur de ma cuisse direction Paris.
Nous arrivons 1 heure plus tard. Il m’a échauffé avec sa main et mon sexe est toujours coincé. Le sien par contre réagis bien, je le voie durcir sous son pantalon, mais je n’ose pas faire un geste vers lui. Pourtant il me fait envie et j’ai plein de pensée érotique en pensant aux films qu’il m’a donnés.
Nous nous arrêtons au Louvre. Nous commençons une visite dans la partie tableau. il me donne des explications sur chacun. Sa culture est très grande et cela lui donne encore plus de charme. Je me colle à lui. Je commence à avoir très mal au pied. Mes rangers me font moins mal que ces bottines à talon. Je lui en fait part.
– Il faut savoir souffrir pour être belle.
– Oui mais j’ai vraiment mal Philippe
– Ok on y va
On est sortis pour reprendre la voiture. Enfin assis je soulage mes pieds endoloris. Nous roulons 30 minutes dans Paris et il s’arrête devant un hôtel proche de Montmartre. Un employé de l’hôtel prend les clés de la voiture et un autre décharge le coffre où se trouve 2 valises. Philippe m’aide à descendre. Qu’est-ce que j’ai mal aux pieds, j’ai tellement mal que je ne sens et ne pense plus la cage qui enserre mon sexe. Nous allons à l’accueil.
– Bonjour Mademoiselle, bonjour Monsieur
– Monsieur DUPOND
– Nous vous attendions, chambre 101 et 102, un chasseur vous accompagne
Pourquoi as-t-il pris 2 chambres, j’espérais être couché dans le même lit que lui. Il est vraiment étrange et cela le rend fascinant jour après jour. Nous prenons l’ascenseur. Le chasseur ouvre ma chambre et y dépose une valise rose, il referme derrière moi et je me retrouve seule dans une chambre magnifique dans un bel hôtel parisien.
Je m’assoie sur le lit et j’attends. Je regarde cette valise rose dont je ne connais pas le contenu et cela m’intrigue. La curiosité est trop forte et j’essaye de l’ouvrir. Elle a un code. C’est un maniaque de la sécurité et des codes cet homme. Une porte s’ouvre dans le mur et je vois Philippe qui me rejoint avec un grand sourire.
– Nous avons des chambres communicantes. Enlève tes chaussures, ton collant et ta robe et rejoins-moi.
– En lingerie ?
Il a fait le code de la valise qui m’est destinée et en sors un kimono en tulle noire et la paire de mule assortie.
– Oui, tu mettras cela
Les mules ont un talon de 5 cm. Je ne rajoute rien. J’enlève mes bottines. Ouah quel pied !!! puis le reste, j’enfile les mules et le kimono qui est complètement transparent et je le rejoins. Je frappe à sa porte
– Entre
J’entre dans une suite, je suis dans le salon où il m’attend.
– Tu es vraiment belle et sexy. Tu me plais
– Merci Philippe
– Tu as faim ?
– Oui Philippe
– Regarde la carte, on va utiliser le room service
Je choisis un steak frite qu’il transforme en steak salade pour ma ligne. Il ne veut pas que je grossisse ni que je m’aigrisse d’ailleurs. Il commande par téléphone son repas qu’il agrémente d’une bouteille de champagne. Il m’explique qu’après le repas je pourrais me reposer qu’il a des choses à faire et qu’il reviendra en fin d’après-midi pour notre soirée. On frappe à la porte
– Room service
– Va ouvrir
– Pas dans cette tenue !
– Si si
– Mais
– C’est un ordre, dépêche toi
Je me lève et meurtri je vais ouvrir en body et mule. Un jeune homme qui doit avoir mon âge entre en poussant un chariot en me regardant de la tête au pied.
– Où dois-je déposer
– Sur la table jeune homme
Il débarrasse son chariot et Philippe lui tend un billet. Pendant tout ce temps je suis resté prêt de la porte sans bouger.
– Comment tu la trouve ?
– Très jolie et très excitante monsieur
– Martine approche
Je me dirige vers Philippe. Quand je suis proche de lui il me tend la main. Dès qu’il me tiens, il me tire vers lui. Je suis collé à mon homme et dos eu serveur. Je m’oublie, c’est la première fois qu’il me prend dans ses bras. Je sens ses mains soulever le kimono et se poser sur mes fesses.
– Tu peux toucher son cul, elle veut devenir une salope, dis-moi ce que tu en penses ?
Je sens deux mains gantées se poser sur mes hanches et descendre doucement sur mes fesses. Je suis parcouru d’un frisson de plaisir et de gêne. Ma verge se réveille dans son logement. Je sens le sexe de Philippe gonfler sur mon ventre. Le jeune serveur continue ses caresses appuyer. Philippe me dit sans discrétion.
– Cambre-toi et écartes les cuisses ma belle salope
J’obéi comme j’en ai pris l’habitude et comme je commence à y prendre goût. Aussitôt une des mains du serveur descend le long de ma raie des fesses et glisse vers l’avant de mon entre-jambe. Elle s’arrête sur mon sphincter et joue avec, puis doucement passe vers l’avant. Elle prend en main le petit paquet dans lequel se trouve ma verge et je sens une hésitation.
– Tu as découvert son petit, tous petit secret. Elle te fait toujours de l’effet quand même
– Oh oui monsieur j’ai la bite qui va exploser mon pantalon.
Moi je suis blotti contre Philippe qui bande de plus en plus fort. Je gémis doucement du plaisir de me faire utiliser et de la honte que j’ai d’être offerte au premier venus. Philippe retire les mains du serveur de mon corps et laisse redescendre mon kimono.
– Désolé jeune homme se sera tout pour aujourd’hui. Nous sommes là 2 jours, peux être nous reverrons nous.
– Oui monsieur, ce sera avec joie. Vous avez beaucoup de chance. Bonne continuation
Il sort de la chambre. Philippe me fait un bisou sur la bouche et me redresse devant lui. C’est son premier bisous sur mes lèvres. Je vais m’évanouir de plaisir de de joie.
– Tu es parfaite et très obéissante, c’est ce que je veux. Passons à table.
Il me sert du champagne et nous mangeons en reparlant de la visite du Louvre. Après le repas il me demande de regagner ma chambre et de m’y reposer.
– Ce soir on sort et je te veux en pleine forme ma jolie
– Très bien Philippe à toute à l’heure.
Je le laisse et m’allonge sur mon lit en mettant la télé. Très vite la fatigues me submerge et je m’endors. C’est Philippe qui me réveille en fin d’après-midi.
– Debout la belle au bois dormant, tu dois te préparer. Une personne va venir dans 10 minutes pour t’aider. Passe sous la douche et attend là en peignoir. Je te vois dans 1 heure.
Il me laisse au bord du lit, pose sa main sur ma joue et amène mon visage vers le sien pour me faire une bise sur les lèvres. Je fonds. Il va dans sa chambre.