Il arrive des fois, où l’on se remémore des moments qui ont compté pour nous, qui sont d’énormes souvenirs de complicité avec les personnes que l’on apprécie le plus. Cette histoire qui se déroule pendant les vacances d’été – est un de ces moments que je n’oublierai jamais.
Ça fait maintenant plusieurs jours que maman, Liliane, a décidé de faire une randonnée sur les hauts plateaux montagneux dans les Alpes suisses. Mais voilà déjà deux semaines j’ai commencé mes vacances et qu’il pleut presque tous les jours… Dès le premier jour ou le soleil pointe le bout de son nez, Liliane, déjà prête à partir vient réveiller son jeune fils à l’aurore…
— Didier … Didier, réveille-toi c’est l’heure, dit-elle en posant sa main dans le dos de son fils et le secouant un peu, elle ouvre les volets, la lueur brillante et rosée éclabousse ses formes sveltes mais voluptueuses et enrobe ses jambes juste recouvertes d’une jupe mi-cuisse et son petit top gris à bretelles qui épouse parfaitement ses formes devient rosé par cette douce lumière… C’est une très belle femme.
J’émerge, de mon sommeil, je regarde le réveil sur ma table de nuit, je n’en crois pas mes yeux mi- ouverts !
— Putain ! Maman, t’es folle ou quoi ? C’est que 5 h 55 du mat
— Oui mon cher je sais mais je t’ai dit que quand on part en montagne, on se réveille tôt.
Elle commençait à prendre la couverture pour la tirer, d’un air de dire "debout", j’eus juste le temps de l’en empêcher, pour qu’elle ne me voie pas nu. Surprise sans doute, de ma nudité, elle lâcha la couverture et dit simplement
— Habille-toi vite
— Euh ! Dis-je un peu gêné. Oui maman ! Laisse-moi cinq minutes et je te rejoins.
Liliane descend au salon et fini de préparer les deux sacs à dos. Elle y ajoute le pique-nique, des bouteilles d’eau et mon appareil photo. Quelques minutes plus tard je rejoins ma mère au salon après avoir vite pris une douche et mis un short et T-shirt pour la marche. Elle finissait de charger le sac dans le coffre de la voiture. Après 35 minutes de route sinueuse à la lueur du lever du soleil. Liliane arrêta la voiture au bord d’un petit chemin sous un arbre. Au moment où l’on s’apprêtait à sortir, le soleil éclairait sa chevelure châtain clair, elle était magnifique, j’avais l’impression de découvrir cette femme que je connais depuis si longtemps : ma maman.
Voilà maintenant une bonne heure que nous marchions sur un petit sentier dans la forêt, le jour c’est déjà bien levé, les oiseaux ont commencé à chanter fortement. J’appréciais ce moment plein de plénitude, maman avait raison, c’est agréable de se lever tôt. Tout à coup, tout devient plus lumineux, la forêt se terminait et laissait place à une grande clairière avec une vue magnifique sur les sommets montagneux…
— Waouh maman c’est trop beau ici, dis-je en écarquillant les yeux encore plus.
— Eh bien, je t’avais dit mon cher que ça valait la peine de se lever tôt.
— Oui t’avais raison mais à six du mat ! C’est quand même tôt maman. Oh t’as vu, il y a même des vaches au sommet de prés.
Une carte postale de la pub Milka ! Il ne manquait plus que la vache violette…
— Ben oui mon cher, c’est normal, c’est l’alpage !, dit Liliane amusée que son fils découvre ce qu’est un alpage.
— Allez Didier, on monte encore 10 minutes et on aura un joli point de vue, tu pourras prendre des photos de beaux paysages.
— OK maman, j’te suis !
Après quelques minutes, nous voilà arrivés sur une petite crête avec une magnifique vue sur les montagnes et sur la vallée en contrebas. Liliane sort du sac mon sac mon appareil photo sachant qu’elle sait que j’adore ça, et me le tend avec un sourire.
— Tiens voilà ! Tu vois j’ai pensé à tout mon cher.
— Cool, merci maman.
Ses yeux verts pétillaient de me voir si heureux, et je m’approchais d’elle et lui fit un énorme bisou, sur sa joue réchauffée par le soleil en caressant ses épaules chaudes et nues elles aussi.
— C’est vrai que ça vaut la peine. Il y a une bonne lumière pour les photos là.
Liliane heureuse que cette journée plaise à son fils elle s’assied sur un rocher et profite de la vue…
Je commence à faire des photos des alentours et je me retourne vers ma mère.
— Fais un sourire maman.
— Oh mais non ! Didier ! S’il te plait ! Je ne suis pas photogénique, dit-elle un peu gênée et cachant son sublime visage dans ses mains.
— Allez maman ! Ça fera un joli souvenir avec les montagnes derrière.
— Bon d’accord c’est bien parce que c’est toi
Elle se détend un peu et laisse son fils prendre quelques photos.
Elle relevait la tête, comme attirée par les rayons de soleil qui illuminaient son visage, sur le rocher, les genoux ramenés sur sa poitrine voluptueuse entourés de ses bras menus qui commençaient à devenir roses. Je la photographiais sous différents angles, j’étais si fier, elle était si belle.
— Celles où j’ai une sale tête, tu les supprimeras d’accord ???
Je ne crois pas que ma mère avait conscience de sa beauté et de son pouvoir de séduction. À sa demande, je regardais les images prises. Une était très sexy, j’apercevais sa culotte de dentelles noires, alors que sa jupe remontée laissait apparaître tout le galbe de ses cuisses. Je l’effarais, à mon grand regret je crois, connaissant ma mère elle aurait été très mal à l’aise de cette photo. Pour les autres, rien à jeter.
Maman ! Tu es belle
— Oui maman t’inquiète mais elles sont toutes jolies je trouve.
— Ben j’espère bien !, dit-elle amusée.
Et là, à cet instant, un beau cheval brun et noir surgit derrière Liliane. Il pose le bout de son museau sur l’épaule de la maman. Surprise, elle sursaute et pousse un petit cri aigu qui fait reculer le cheval.
— Trop drôle maman, il est venu te dire coucou, dit Didier en riant.
— Oui, ben il aurait pu prévenir, dit-elle, encore surprise par sa récente rencontre avec l’animal.
— Viens là, mon petit, dit-elle en tendant la main vers le cheval qui vient vers elle et pose direct son museau sur l’épaule de Liliane.
— Ah, ben je crois que tu as trouvé un nouveau copain maman. Attends, je fais une photo.
Il se déplace un peu et fait une photo de sa maman et de son nouvel ami… Et là, au même moment, le cheval sort sa langue qui touche le sein de Liliane en laissant une tache de salive sur le top.
— Oh le coquin, dit la maman, surprise.
— Ah ben on dirait qu’il t’aime bien, maman
— Il ne sait pas ce qu’il fait, dit-elle, un peu gênée.
Mais au même moment, le cheval avance d’un pas et ressort sa langue qui cette fois glisse un peu dans le décolleté de Liliane. Elle tente de le repousser, mais le cheval attrape le bord du top et tire dessus, ce qui fait lâcher les deux bretelles. Morte de honte, elle tape sur le museau de l’animal qui recule d’un coup, arrachant complètement le top. Etonnée, mal à l’aise, elle tente aussitôt de cacher avec ses mains son soutien-gorge en dentelle rose.
— Oh mon Dieu, chéri, je suis désolée. Mais il est fou ce cheval !!!!! Des choses pareilles, dit-elle, toute troublée.
— Euh, oui, ça va maman ? dit Didier, un peu choqué.
— Oui mon chou, juste un peu secouée.
Elle attrape son top par terre.
— Je crois que celui-là est mort
Elle regarde sa poitrine.
— Oh mais maintenant j’ai de la bave partout, dit la maman
Elle saisit son top et commence doucement à essuyer sa poitrine avec le top.
Didier observe cette scène surréaliste. C’est la première fois qu’il voit sa maman en soutien-gorge, ses yeux sont comme aimantés dessus. Là, Liliane s’en rend compte.
— Oh chéri, je suis désolée que tu aies vu ça, c’est la honte !!
— Euh, non maman, ce n’est pas grave, comme ça j’en aurai enfin vus, dit-il gêné et troublé.
— Comment ça, chéri ??
— Euh, ben c’est la première fois que je vois une femme en soutien-gorge.
— Ah mon Dieu, et faut que ça tombe sur ta maman. Tu diras merci au cheval alors, dit-elle amusée.
Elle tourne la tête pour voir où est le cheval et le voit à quelques mètres, mais là elle devient toute rouge en voyant que l’animal a une érection.