CHAPITRE IV – HALTE AU RACISME
Je ne peux être devenue nymphomane, pas si vite. Mais devient on vraiment nymphomane, ne portons nous pas ça dans nos gênes et on le découvre plus tard. De penser que c’est peut-être dans mes gênes, ça me fait paniquer.
Il faut que je sorte de cette torpeur. Alors je vais dans ma penderie. Prend une mini jupe écossaise ample de couleur jaune et un chemisier manche courte jaune dont je n’arrive bien sûr pas à fermer les boutons du haut à cause de mes gros seins.
Je vais faire mon devoir de bonne petite ménagère, je vais faire les courses, ça me changera les idées.
Une fois dans la rue, je sens une étrange sensation. Ca fait quelques jours que je ne suis pas sortie et il se produit en moi quelque chose de bizarre.
J’ai l’impression d’être nue. Oui. Il me semble que je suis nue dans la rue et ça me donne une sensation de bien être plutôt qu’une sensation de gêne.
Avant le fait de ne porter aucun sous vêtements ne me faisait ni chaud ni froid ! C’était naturel pour moi ! Mais aujourd’hui, avec ces merveilleux derniers jours à faire l’amour, ça me rend dingue. C’est difficile à décrire. Je suis bien, j’ai des frissons dans tout le corps, mon ventre brûle, mes seins sont durs. Oui ! Je suis excitée ! Terriblement excitée !
C’est dans cet état que je marche dans la rue. J’ai l’impression que tout le monde me regarde. C’est flippant et agréable en même temps.
Un bus arrive à toute bombe. J’ai juste le temps de faire un écart sur le trottoir pour éviter d’être aspirer par le souffle.
Il passe à côté de moi, et là le pire se produit. L’appel d’air fait s’envoler ma jupe, et l’espace de 4 secondes, j’ai le minou et les fesses à la vue de tout le monde. La honte m’envahit. Je n’ose pas regarder autour de moi, mais je sais que l’incident n’est pas passé inaperçu car j’entends un sifflet d’admiration dans mon dos.
Je n’ose pas me retourner pour voir qui a sifflé et j’accélère mon pas en me mettant plus à l’intérieur du trottoir.
Je suis troublée. Un homme a vu mes fesses nues, connaît mon petit secret concernant le dessous de mes habits. Un homme sait qu’il n’a qu’à soulever ma jupe pour profiter immédiatement de moi. Si cet homme était un violeur, il pourrait me prendre sans avoir à faire l’effort d’enlever ma petite culotte. C’est la que je me rends compte qu’en m’habillant de la sorte, je suis à la merci de n’importe quel vicieux.
C’est dans cet état d’esprit que j’entre dans l’épicerie du quartier. Je me sens épiée. J’ai l’impression que tout le monde sait, que tout le monde à vu.
C’est idiot ce qui vient de m’arriver. En général je ne sors jamais en jupe dans la journée, et il suffit que je le fasse pour qu’un con de bus passe à côté de moi et la soulève.
Je suis au rayon des produits cosmétiques et je fais une autre maladresse. Je veux prendre un shampoing qu’y est sur l’étagère la plus basse. Pour ce faire, je me penche en avant. Je sens alors un doigt qui se pose sur mon clitoris et remonte délicatement sur ma chair rose en s’insinuant entre mes grandes lèvres.
Ca s’est passé en l’espace d’une seconde. Je me redresse violement et me retourne. Il y a tellement de monde dans cette petite épicerie qu’avec tous les efforts que j’emploie à trouver un indice et savoir quel est l’enfoiré qui a fait ça, je ne sais pas qui est le coupable.
C’est la totale. Il y a un homme dans cette épicerie, tout près de moi, qui sait que je suis nue sous ma jupe et qui a une envie folle de me faire l’amour. C’est effrayant car un homme qui est capable de caresser le minou d’une jeune femme par surprise dans un endroit public, est un homme capable de tout. Mais quelle idée j’ai eu de me pencher comme ça. J’aurais du m’accroupir plutôt, comme l’aurais fait n’importe quelle femme.
Je suis rouge de honte. Dire que ça peut être n’importe quel homme qu’il y a autour de moi. C’est peut être le petit gros là, ou le cinquantenaire ici, ou bien l’arabe là. Oh non ! Pas ça ! Pas un arabe !
J’ai peur. Un cabas plein dans chacune de mes mains, je me dirige alors vers la caisse. Je veux payer et partir vite d’ici.
Oh merde ! Il y a un monde fou qui attend à la caisse. C’est simple, la file d’attente est si longue que plus de la moitié d’une allée est inaccessible aux clients en quête de produit.
En d’autres circonstances ça ne m’aurait pas dérangé. Mais là ! Sachant qu’il y a un homme qui veut sans doute me violer, ça me fait flipper. Au bout de quelques secondes, je sens un corps contre moi. Je n’en prends pas ombrage car la file d’attente s’allonge et les gens doivent donc se resserrer les uns près des autres.
Pourtant je me sens mal à l’aise. Alors je fais un petit mouvement pour me décoller un peu de ce buste.
Aussitôt le corps se recolle à mon dos. Là je ne peux plus avancer, sinon je vais être collé contre le mec qui est devant moi. Je reste donc comme ça.
Je sens alors 2 mains passer sous ma jupe et se poser sur mes fesses nues. J’ai un sursaut. Je ne peux pas repousser ces mains pour la bonne et simple raison que j’ai les cabas dans mes mains. Je ne peux même pas me baisser pour les poser, car ça donnerait encore plus le champ libre à celui qui caresse mes fesses. Car le temps que je réfléchisse à comment me débarrasser de ces mains, celles ci ont commencé à les masser.
Je ne sais pas quoi faire. Je pourrais crier à l’aide. Mais je suis trop timide pour ça, j’aurais trop honte que l’on pense que j’ai provoqué l’homme avec ma mini-jupe et mon chemisier trop ouvert.
Je remue des hanches pour essayer de me dégager mais je n’y parviens pas. Les mains glissent sur mes cuisses, puis remontent sur mes fesses, se dirigent vers mes hanches, glissent sur mon ventre. J’ai envie de crier, de hurler, de partir en courant mais je ne peux pas. Je panique tellement que j’en suis pétrifiée. Les mains descendent vers mon pubis imberbe. J’ai chaud je transpire, je voudrais tant me dégager. Je remue des hanches pour essayer de me débarrasser de ce salaud mais impossible. Une main abandonne mon pubis. Elle sort de sous ma jupe.
L’autre main glisse un peu plus bas. L’index est juste à la pointe de mes grandes lèvres. Je serre les jambes pour empêcher le doigt de s’insinuer entre mes grandes lèvres. Le doigt ne force pas l’entrée et se contente de glisser sur le bas de mon pubis dans l’espoir qu’enfin je lui laisse le passage. Il peut crever.
L’autre main se pose alors sur mon chemisier. Doucement elle remonte. Elle glisse à l’intérieur des pans celui ci qui est trop ouvert.
La main glisse jusqu’à la base du globe de mon sein droit. Elle remonte lentement sur le globe et déjà je sens le bout des doigts sur mes tétons.
Je m’aperçois alors que durant le laps de temps durant lequel la main est passée du bas de mon chemisier à mes seins, je n’ai pas bougée.
Ou plutôt si, j’ai bougé, mais pas de la bonne manière, pour la bonne raison que j’ai relâchée la pression que je faisais avec mes 2 cuisses pour empêcher le doigt de s’insinuer entre mes grandes lèvres, et ce coquin est en train de glisser sur ma chair rose intime. Le doigt est en train de jouer avec mon bouton d’amour et je ne fais plus rien pour le repousser. J’ai chaud, mon ventre brûle. La main gauche de l’homme est carrément poser sur mon sein droit et le masse doucement. Je me surprends à écarter un peu plus les jambes. Je me mords les lèvres, j’ai envie de gémir. L’homme me rend dingue. J’ai une envie folle de lui faire l’amour. J’ai une envie folle qu’il me fasse jouir en me caressant comme ça. Je sens ma cyprine couler entre mes cuisses, je suis folle d’excitation. Mes tétons sont dressés, mon clitoris gonflé et hyper sensible. Je me mords les lèvres jusqu’au sang, j’échappe un petit gémissement. Les mains s’échappent alors de mon corps.
L’homme a dû m’entendre gémir et n’a pas voulu attirer l’attention vers nous.
Je soupire de soulagement et de désespoir en même temps.
L’homme ne me touche plus pendant les 20 minutes que j’attends de passer en caisse.
Ca fait une drôle d’impression de rester 20 minutes devant un homme que vous ne connaissez pas et à qui vous avez fait une démonstration de salope en vous laissant toucher par lui. Oui ! Il doit penser que je suis une drôle de salope, et j’ai la même sensation. Je me comporte comme une salope et ça me fait peur. Mais qu’est ce qui m’arrive bon sang !
Le temps que les articles défilent sur le tapis roulant de la caisse, je suis rouge de honte. Je n’ose pas regarder le patron de l’épicerie. J’ai l’impression qu’il sait ce qui vient de se passer. J’ai l’impression que tout le monde sait.
Je rougis encore plus, lorsqu’une main se pose sur mes fesses et se met à les caresser. Là, je pourrais m’en débarrasser facilement puisque je n’ai plus les mains prisonnières des cabas, pourtant, je ne fais aucun geste. Je laisse la main profiter de ma chair ferme. Je laisse l’index glisser entre mes grandes lèvres. Je le laisse le bout de l’index écraser mon clitoris. Je laisse le bout de l’index remuer pour faire rouler mon clitoris. Je brûle d’envie de faire l’amour, je brûle d’envie d’être prise. Je veux que cet homme me fasse l’amour, je veux lui faire l’amour, je veux aller chez lui, ou je veux qu’il vienne chez moi et me baise toute la journée.
Le doigt s’échappe. Je transpire. L’épicier s’en aperçoit et me dit :
— Ca va Mlle ?
Moi :
— Oui ! Oui ! ça va aller !
Je remarque alors que l’épicier lorgne sérieusement dans mon décolleté. Je jette un coup d’oil discret vers mes seins en baissant la tête et je rougis de honte. Pour me caresser les seins tout à l’heure, le salaud à dégrafer 2 boutons de mon chemisier qui était pourtant déjà très ouvert.
Je prends le porte monnaie en tremblant sans me rajuster car j’aurais trop honte de le faire. A ce moment là, catastrophe. Je sens 2 mains venant de derrière passer sous mes bras. Puis je les sens saisir les pans de mon chemisier et. les écarter brusquement.
Mes seins jaillissent, offert aux yeux de l’épicier. Je suis rouge écarlate. Le salaud a fait ça si vite que je n’ai même pas eu le temps de réagir. Etrangement je sens les pointes de mes tétons s’allonger. Je n’ose pas regarder l’épicier, pourtant je me doute qu’il doit être bouche bée en louchant sur mes gros seins nus. Mes mains tremblent. Je pose le porte monnaie sur le comptoir et ragrafe les boutons de mon chemisier.
Je paye.
Je n’ai jamais eu aussi honte de ma vie. Quel enfoiré d’avoir fait ça ! Certes, je reconnais que d’être seins nus devant l’épicier m’a donné des bouffées de chaleur, m’a excitée, mais là, mon toucheur est allé beaucoup trop loin et je n’ai plus du tout envie de faire l’amour avec lui. La colère fait place à l’envie.
D’énervement je donne un grand coup de coude vers l’arrière et je cogne le torse de l’homme. Il n’a pas même un gémissement, mais ça me fait du bien de l’avoir frappé.
Je prends mes sacs et sort de l’épicerie. Je n’y reviendrais plus jamais. Je suis grillée ici. Je n’oserais plus jamais affronter le regard de l’épicier.
Je me dirige vers chez moi les cabas à la main. Ca doit être un 6éme sens chez les femmes, mais je sens quelqu’un qui me suit.
Je n’ose pas me retourner et accélère. Je suis sûre que mon toucheur de l’épicerie ne compte pas s’arrêter là. Il veut me baiser, c’est sûr.
Je le sens de plus en plus. J’entends même ses pas rapides. Je me retourne.
Quelle horreur ! C’est l’arabe de l’épicerie. C’est lui qui m’a touché en me donnant un plaisir fou. C’est avec lui que j’avais envie de faire l’amour toute la journée.
Je me mets à courir tant bien que mal. Je sens ma jupe se soulever quand je cours. En plus je lui montre mes fesses nues.
J’entre dans une rue en trombe. Je cours, je suis essoufflée, je n’en peux plus. J’arrive au bout de la rue. Les pas de l’arabe se font plus présents. Merde ! Une impasse !
Je suis coincée.
Je me retourne alors, épuisée, et d’un ton suppliant, je dis :
— Laissez-moi tranquille ! Prenez mon argent si vous voulez, mais laissez moi tranquille !
L’arabe s’approche de moi. Il est tout près. Ses yeux me fusillent du regard. Un regard perçant et haineux. Je suis tétanisée.
Il dégage une violence incroyable. Le plus étrange, c’est que malgré ses origines, je le trouve beau. Il dégage une assurance, une domination et doit en faire craquer plus d’une à partir du moment où la femme n’est pas raciste comme moi. Le top du top c’est qu’il une grande balafre sur la joue qui devrait le rendre horrible, mais au contraire, ça le rend encore plus beau, plus.. Excitant.
D’un geste violent et sans que j’ai le temps d’esquiver, l’arabe ouvre les pans de mon chemisier violement. Les boutons sautent, et il rabat le chemisier jusqu’à mi bras, pour ne pas que je puisse bouger les bras, je suis torse nu devant lui.
Je suis pétrifiée. Je sais que ce salaud va me violer. Cette idée me rend dingue. Alors je le bouscule et part en courant dans le sens inverse en essayant de remonter le chemisier sur mes épaules, pour retrouver la rue d’ou je viens, pour être parmi les passants, il n’y a que là que je serais en sécurité.
J’entends l’arabe courir derrière moi. Les pas se rapprochent. Je me mets à pleurer en courant. Tout en continuant à me battre avec mon chemisier, ce qui ralentit considérablement la course.
L’enfoiré m’attrape par les cheveux et me tire violement. Tout va alors très vite. Il me tire contre le mur d’une maison, me colle la face contre.
Aussitôt, je sens ma jupe se trousser jusqu’à ma taille. Je suis tellement épuisée par ma course folle que je n’ai même pas la force de me débattre.
Puis je sens ses mains écarter mes cuisses et presque aussitôt, son gland se coller à ma vulve. Il donne un coup de rein violent et s’enfonce en moi.
Il m’agrippe par les seins, et il se met à aller et venir dans mon ventre à toute vitesse avec une violence folle. Ses mains massent mes seins violement. Avec ses doigts il tire sur mes tétons tout en continuant à me baiser comme un fou. Car ce qu’il fait ce n’est pas faire l’amour, mais baiser, et encore, le mot est faible.
Je transpire comme une folle. Je sens mon minou brûler. Il est trempé de cyprine. Le sexe de l’arabe va de plus en plus facilement en moi. C’est alors qu’a ma grande surprise, j’échappe un gémissement, pas un gémissement de douleur. Non ! Un gémissement de plaisir.
Un gémissement, puis un autre, quelques secondes plus tard, puis un autre et encore un autre, si bien que je ne fais plus que ça, gémir.
Les pointes de mes seins n’ont jamais été aussi longues, aussi excitées. De moi même je me cambre pour qu’il aille encore plus profondément en moi. Je suis folle, complètement folle, je ne peux résister à lui crier mon plaisir :
— Huum ouiiii ! Encooooreee ! Encoooreee ! Oh ouiii c’est booon ohhhhhhh.encoooooreeee !
Et oui ! Je suis en train de prendre un plaisir incroyable à ce que ce sale arabe me viole en pleine rue.
Il accélère de plus belle. Il me donne un coup de boutoir encore plus puissant que les autres et je crie :
— ooooooh ouuuuuuuuuuiiiiiii je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis !
Et je suis prise d’un orgasme phénoménal. Jamais je n’avais pris un tel plaisir, et il faut que ce soit un arabe qui me le donne ce plaisir fou.
Il continue de m’enfiler, car c’est vraiment le terme adéquat, tout en continuant à martyriser mes gros seins.
Puis je sens une chaleur intense au fond de mon ventre, et je jouis une seconde fois en hurlant encore plus fort :
— ouuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !
Le salaud vient de jouir, il a explosé au fond de moi, lâchant plusieurs jets brûlant !
Puis il sort de mon minou ! Je reste collée au mur ! J’entends qu’il fouille dans mon sac à main ! Puis il se colle contre mon dos, et me susurre à l’oreille :
— T’as de la chance que j’ai pas le temps salope ! Sinon je t’aurais donné ma queue à sucer ! La prochaine fois tu me suceras sans que j’aie à te forcer ! Tu as goûté à ma queue ! Tu ne pourras plus me résister!
Puis il se détache de moi et ses pas s’éloignent dans la rue. Pour qu’il se prend se connard ! Il croit que parce qu’il m’a fait jouir je suis devenue folle de lui, il rêve non ?
N’importe quelle fille aurait pleuré et serait aller porter plainte à ma place. Mais je me vois mal aller au commissariat avec ma jupe sexy et mon chemisier ouvert. Le chemisier ouvert ça peut passer, puisque ça peut passer comme les conséquences du viol, ce qui est un peu vrai d’ailleurs, mais la jupe qui dévoile mes fesses et mon minou dès que je me penche et le fait d’être sans culotte ça ne passera jamais. Les flics penseront illico que j’ai provoqué l’arabe.
Quant au fait de pleurer, je n’en ai pas envie du tout pour la bonne raison que ce viol m’apporté un plaisir inégalable.
Je découvre alors mon sac à main vidé sur le sol. Bien sûr, mon porte-monnaie n’y est plus. Je fais un inventaire rapide en remettant les objets dans le sac. A première vue, il ne manque rien d’autre.
J’essaie de rajuster mon chemisier, mais c’est quasiment impossible. Il n’y a plus un seul bouton. Je trouve pourtant la solution à mon problème, je fais un noud avec les pans. Bien sûr, j’ai l’air d’une sacré salope, parce que ce n’est plus un décolleté que je porte, mais une grande ouverture sur mes seins. Il n’y a plus que mes tétons de couverts, et encore, au moindre mouvement, ils s’échappent du chemisier. Quand je pense que je vais devoir rentrer comme ça à la maison, sans pouvoir rajuster les pans de temps à autres puisque je dois porter les cabas, une honte phénoménale m’envahie.
Je marche dans l’impasse pour rejoindre la grande rue. Heureusement, je ne suis pas très loin de l’appart. Je marche en regardant droit devant, sans détourner les yeux vers les passants. Pourtant je sens que l’on me regarde. Pour preuve, des sifflets vicieux retentissent sur mon passage. Quelle honte !
J’arrive enfin devant mon immeuble. Je monte les deux étages en courant presque. Je ne croise aucun voisin. J’ouvre la porte de l’appart. C’est fini, je suis désormais tranquille.
Je pose les cabas, range les courses dans le placard et le frigo, et je me déshabille à toute vitesse et me précipite sous la douche comme le font toutes les femmes qui se font violer, pour purifier mon corps et me débarrasser des souillures de ce sale arabe.
Je n’en suis pas pour autant traumatisée car je ne peux pas vraiment dire que ce soit un viol. Mon semblant de résistance n’a pas duré plus d’une minute puisque ensuite je me suis littéralement offerte. Il n’empêche que je me dégoûte, car je me suis laisser prendre par un arabe, et que je l’ai même encouragé à me baiser plus fort.
Après ce viol plein de consentement de ma part, et une bonne douche purificatrice, je sors de la salle de bain et je ressens un désir que je n’avais jamais ressenti: J’ai envie d’être nue ! J’ai envie de rester nue toute la journée !
Je m’allonge sur le canapé en lisant pour oublier cet arabe qui m’a fait jouir. Je ne veux pas y penser, mais il revient sans arrêt dans ma tête. Je revois ses yeux perçants, son regard méchant, ses muscles saillants sous son « marcel ». Je le revois ouvrir les pans de mon chemisier. J’entends les craquements des boutons qui sautent. Je sens sa main attraper mes cheveux, ses mains écarter mes cuisses, son gland se coller à ma vulve et son manche pénétrer en moi. Je sens ses mains agripper mes seins. Je sens son sexe aller et venir en moi profondément.
Je m’aperçois alors que j’ai mis mes doigts dans mon ventre et que je suis en train de me masturber. Je me mets à gémir comme une petite chienne. Je me tortille sur le canapé. Je revois par flash le visage de mon arabe violeur. Il est beau, merveilleusement beau. J’ai envie de jouir et je suis consciente que ce ne sont pas mes doigts qui me donnent du plaisir, mais cet arabe. mon arabe !
J’ai une envie folle ! J’ai une envie dingue d’avoir son sexe dans ma bouche, une envie folle de le sucer, une envie irrésistible de m’humilier. Huummm qu’est ce que j’aurais aimé lui faire une fellation, ça me rend dingue !
On sonne à la porte !
Je sors de mes vapeurs et encore toute émotionnée je vais en titubant presque vers la porte. Je n’ouvre pas et demande :
— Qui c’est ?
Une voix machiavélique répond :
— C’est aujourd’hui qu’on s’amuse !
Mon voisin revient à la charge. Je ne pensais pas qu’il ferait vraiment ce qu’il avait dit, mais je me trompais !
Comme je ne réponds pas, il dit à travers la porte :
— Souviens-toi de notre marché, petite coquine !
Toujours ces menaces. Sans hésiter, j’ouvre la porte de l’appartement.
Je vois mon voisin avec son air vicelard. Il me regarde de la tête au pied en bavant presque. Je me souviens alors que je suis complètement nue. J’étais tellement surprise par la sonnette que je n’y ai pas pensé.
Lui :
— Ah c’est pour ça que tu n’as pas répondu de suite ! Tu voulais accueillir ton cher voisin en lui montrant que tu étais prête ! Tu es encore plus salope que je le croyais !
Que voulez vous que je réponde ? Ce con croit que je me suis mise à poil pour lui, pour m’offrir à lui !
IL me prend le poignet et dit :
— Allez viens on va chez moi !
Moi :
— Eh ca va pas non ! Je vais pas me promener nue dans l’immeuble !
Lui, avec beaucoup de calme :
— Ce serait dommage que ton copain apprenne ce que tu fais les après midi !
Alors je le laisser me tirer en dehors de l’appart. Il prend les clés de la porte et me dit :
— Tiens ferme ! Tu vas pas laisser ton appart ouvert !
Je me retourne alors et ferme la porte à clé. Je ressens alors une chaleur intense dans mon minou. Oui, rien que le fait de savoir qu’il est en train de loucher sur ma chute de rein et sur mes fesses m’excite, et je suis sûre que mon salaud de voisin l’a fait exprès.
Je me retourne pour le suivre. Je suis toute rouge de honte.
D’un geste élégant, le voisin m’invite à passer devant lui.
Puis il me rejoint et au lieu de mettre son bras autour de ma taille comme les amoureux, lui pose sa main sur mes fesses et nous marchons côte à côte ainsi.
La chaleur de mon minou redouble d’intensité. Cette main sur mes fesses m’excite au plus haut point. Un sentiment de soumission inonde mon cerveau, un sentiment merveilleux que je n’avais alors jamais ressenti. Un sentiment qui me rassure et m’effraie en même temps car je sens que je suis prête à faire tout ce qu’il me demandera. et pas à cause de son chantage
Nous arrivons devant la porte de son appartement. Mon esprit était tellement perturbé que je n’ai même pas eu peur de croiser un autre voisin. Heureusement, ça ne s’est pas produit.
Il ouvre la porte qu’il n’avait pas fermée à clé. Sans doute a t-il pensé qu’il n’en avait pas pour longtemps pour venir me chercher, que je n’allais pas résister.
Cette petite chose anodine fait monter encore le sentiment de soumission et je mouille de plus belle.
Il me fait entrer toujours avec sa main posée sur mes fesses. Le salon est immense et quasiment vide. Il n’y a pratiquement aucun meuble. Juste une table et 2 chaises et petit meuble sur lequel est posée une télévision.
C’est étrange et très froid. Nous continuons d’avancer dans l’immense salon vide. Il y a une immense glace qui couvre tout un pan de mur et je me vois nue en train de marcher avec la main de mon vieux voisin sur mes fesses. L’air supérieur qu’il prend en marchant, accroît un peu plus mon sentiment d’infériorité, ma soumission. Au fond du salon il y a une porte du coté du pan de mur en glace. Toujours avec sa main sur mes fesses, il m’invite à franchir cette porte.
La pièce dans laquelle nous pénétrons, n’a pas de fenêtre sur l’extérieur et bien que la lumière ne soit pas allumée, on y voit comme en plein jour et pour cause. Un pan de mur est une grande baie vitrée qui donne sur. le salon.
Je comprends alors, que la glace du salon est une glace sans tain. Celui qui est dans le salon se voit dans la glace, et celui qui est dans la pièce ou je suis actuellement à toute vue sur le salon. C’est génial et étrange en même temps. Mon minou s’inonde de liqueur car je sais qui si mon voisin m’a fait visité cette pièce, ce n’est pas anodin.
Il parle enfin :
— Tu vois ma chérie devant toi, juste devant le mur d’en face ce qu’il y a ?
Je regarde attentivement dans le salon. Je vois alors un objet qui semble jaillir du sol long d’une cinquantaines de cm. Comme j’ai une mauvaise vue, je distingue mal ce que c’est.
Devinant sans doute à cause de mes yeux plissés pour mieux y voir, que je n’arrive pas à distinguer exactement ce que c’est, il me dit :
— Bon, va dans le salon, et va voir ce que c’est !
J’obéis et marche lentement, nue, vers la porte. Une fois dans le salon, mon excitation décuple. Rien que de savoir que je suis devant la glace, que je ne peux voir que moi tout en sachant pertinemment que je suis observé de l’autre côté, ça me rend dingue.
Je me dirige doucement vers l’objet en roulant des hanches. Je ne sais pas pourquoi je marche comme ça. Je suis tellement excitée par la situation que je ne peux pas m’en empêcher.
Je découvre alors fixée au sol un sexe factice. Un gode très long et très gros. Je mouille comme une fontaine car je devine à peu près ce que je vais devoir faire.
J’entends une voix dans un haut parleur, c’est le voisin :
— Maintenant, regarde contre le mur !
J’obéis et je vois un autre gode similaire à l’autre, fixé au mur. Il est à la hauteur qu’il faut pour qu’une femme puisse s’empaler dessus en levrette.
Ce que je remarque également c’est qu’il y a 2 cordes qui pendent du plafond au niveau du gode fixé au sol, 2 cordes munies chacune d’elle d’une poignée.
La voix de mon voisin résonne encore dans le haut parleur.
— Montre moi la première chose que tu ferais si le gode qui est au sol était celui d’un homme !
C’est donc ici que tout commence.
Comme je sais qu’il veut voir en grand panoramique ce que je dois faire, je me mets à genoux entre le gode au sol et le mur, de dos au mur. Alors, en regardant ce sexe qui jaillir devant moi, mon arabe violeur revient dans ma tête. Je repense à ce dont je rêvais quand je me caressais pour lui sur mon canapé. Alors doucement, je prends le gode entre les mains, baisse la tête en envoyant mes longs cheveux sensuellement vers l’arrière, et je pose ma bouche sur le faux gland.
Pour je fais glisser mes lèvres tout le long du gros manche en sortant la langue pour le lécher. Là j’y suis, je suis en plein fantasme. Ce sexe que je suis en train de lécher c’est celui de mon arabe. Je mouille de partout. Ma bouche remonte vers le gland, j’ouvre mes lèvres et doucement je gobe le gland de mon arabe. Je fais aller et venir ma bouche le long du sexe de mon arabe. Je fais tourner ma langue en même temps. C’est merveilleux, le gode se échauffe au fur et à mesure que je le pompe. C’est comme en vrai. Pour moi ce n’est définitivement plus un gode, c’est le sexe de mon arabe. Je commence à gémir comme une folle tout en suçant mon arabe. Le sexe devient brûlant et tout à coup je reçois des jets brulants au fond de la gorge. Des jets de spermes, de vrai sperme. Mon arabe vient de jouir dans a bouche et j’avale tout jusqu’à la dernière goutte.
Quand je retire ma bouche du sexe, un filet de sperme s’étire de ma bouche au gland factice. Mais comment donc du vrai sperme puisse gicler d’un gode.
— Eh oui ! ma chérie ! C’est du vrai de vrai !
J’en avais oublié mon voisin. Sa voix dans le haut parleur me provoque un spasme de plaisir. Il m’a regardé, observer pendant que je suçais ce gode avec autant d’ardeur que si c’était un vrai sexe d’homme. Je dois paraître ridicule, je suis humiliée, humiliée mais heureuse.
— Qu’est ce que tu ferais après !
Je n’hésite pas. Je me mets en levrette. Je passe une main entre mes cuisses pour attraper le gode fixé au mur. Je recule légèrement pour coller le faux gland à mon minou et je pousse les fesses vers l’arrière. Le sexe s’enfonce en moi jusqu’au plus profond de mon intimité.
En gémissant, j’avance et recule les fesses pour me faire l’amour. Je me fais l’amour, les yeux fixés sur le gode fixé au sol, qui est juste à hauteur de ma bouche. Des idées folles parcourent ma tête. Ce gode, chaque fois que je le regarde me semble être celui de mon arabe violeur. Cette idée de le sucer m’obsède. Alors tout en avançant et reculant les fesses, je repose mes lèvres sur le gland de mon arabe, ouvre la bouche.
— Attrape les poignets ! Je veux voir tes seins battre la mesure !
Je pousse un gémissement plus fort que les autres car une fois de plus j’avais oublié le voisin en train de me mater. Je m’humilie devant lui, je me comporte comme la pire des salopes, et j’aime ça, je suis à sa disposition, et j’aime ça.
Je prends alors les poignées qui sont très hautes. J’ai les bras tendu vers le haut, les mains accrochées au poignet, et ma bouche est juste à la hauteur du sexe de mon arabe.
Ma bouche gobe à nouveau le gland et je suce mon arabe tout en me faisant baiser par. Par qui ? Je me surprends alors à oublier que c’est un gode qui me prend comme le gode que je suce n’est autre pour moi que le sexe de l’arabe. Je me surprends à penser me faire prendre par un homme. Je me surprends à croire que je suce mon arabe et que je me fais prendre par quelqu’un d’autre. Quelqu’un d’autre que je ne connais pas, quelqu’un d’autre que je n’ai jamais vu, quelqu’un d’autre qui fait que mon humiliation est encore plus terrible, et ce quelqu’un d’autre, ça paraît complètement insensé quand on me connaît, ce quelqu’un d’autre donc n’est autre. qu’un autre arabe !
Et je me mets à gémir comme une folle en allant et venant de plus en plus vite sur la queue de mon arabe imaginaire pendant que je suce mon arabe violeur.
Dans mon esprit, je suis prise par 2 arabes, je fais l’amour avec 2 hommes de la race que je hais le plus au monde et le pire c’est que je n’ai jamais pris autant de plaisir. Je sens le sexe de l’arabe qui me baise en levrette devenir brûlant comme celui de mon arabe violeur tout à l’heure.
Va t-il m’envoyer sa liqueur lui aussi ?
Je gémis de plus en plus, une envie de jouir dingue me prend. J’ai la chair de poule, tous mes sens sont en émoi, mes seins battent la mesure sous moi, ça me rappelle que mon voisin est en train de me mater alors que je me démène sur ces 2 sexes factices qui ne le sont plus pour moi.
Le sexe de mon arabe violeur se met à chauffer intensément dans ma bouche tellement je m’applique à lui apporter du plaisir.
Celui qui démonte mon minou est de plus en plus brûlant. Cette chaleur me rend dingue, complètement dingue. Je remue des fesses dans tous les sens, j’avale le sexe de mon violeur bien profondément, il devient aussi brûlant que celui qui me prend. Puis des jets brûlants dans mon ventre et presque aussitôt dans ma bouche. Je pousse un cri de jouissance phénoménal :
— Huuuuuuuuum oooooooooooouuuuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !
La liqueur masculine n’arrête pas de gicler dans mon minou et dans ma bouche. Le goût est vraiment merveilleux, c’est pas possible, c’est du vrai sperme. J’avale tout ce qui gicle jusqu’à m’en étouffer. Ca coule de ma bouche, jusqu’à mes seins. J’en ai partout, sur le cou, les épaules, le visage. Ca déborde également de mon sexe à grands flots, puis ça s’arrête.
J’ai du sperme plein la bouche. Je m’extirpe du sexe de mon arabe imaginaire. Je me mets à genoux, puis je laisse couler de ma bouche le sperme qui la remplie. Ca coule sur mes seins et sur mon ventre. Une envie folle me prend, j’ai envie d’enduire mon corps de tout ce sperme. Alors avec mes mains, j’étale bien la liqueur masculine sur mes seins, sur mon ventre, sur mon minou. Mon corps luit de ce liquide blanchâtre et délicieux.
— Qu’est ce que tu as envie de faire maintenant, petite salope ? Laisse toi aller !
Il me rend dingue ce mec. Chaque fois qu’il parle, des frissons de plaisir parcourent mon corps et le fait qu’il vienne de me traiter de petite salope n’a fait qu’accroître ce plaisir. Alors sans hésiter, je me lève pour me mettre au dessus du sexe de mon arabe violeur. Doucement je m’accroupis. Le gland ne tarde pas à toucher mon minou. Je pousse un gémissement. Puis j’écarte alors mes cuisses au maximum, je prends chaque poignée dans chacune de mes mains et je me laisse glisser en m’empalant sur le sexe.
Pourquoi ai-je écarté les cuisses aussi grandes ? Tout simplement parce que je veux offrir a mon voisin le magnifique spectacle du gode allant et venant en moi. Je veux qu’il voit bien ma chatte grande ouverte engloutir le sexe de mon arabe violeur.
Je me mets alors à monter et à descendre sur le sexe en m’aidant avec les poignées. C’est très humiliant et très jouissif d’être ainsi dévoilé au possible devant cet homme que je ne peux pas voir et qui me regarde derrière la glace. Je me mets à gémir comme une dingue. Je me dandine comme une folle en secouant ma tête dans tous les sens. J’ai envie qu’il me voit de partout. J’ai envie qu’il voit mes fesses écartées avec le sexe qui disparaît et réapparait. Alors sans enlever le manche de ma chatte, je fais demi-tour. Toujours les mains accrochées aux poignées je monte et je descends sensuellement en ondulant des reins. C’est en ouvrant les yeux que j’avais gardé fermés, que je vois à quelques cm de mon visage, le sexe de mon arabe imaginaire. Des frissons parcourent mon corps. J’ai envie de le prendre dans ma bouche. Alors je me penche en avant. J’ai les bras tirés en arrière car je suis penchée en avant, je colle mes lèvres sur le gland de mon arabe imaginaire, puis tout en continuant à monter et à descendre sur le manche de mon violeur, je gobe le sexe de l’arabe sorti de mon imagination.
— SALOPE !
— Ooooooooooooooooooooh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! je jouiiiiiiiiiiiis !
La voix de mon voisin combinée avec l’arabe dans mon ventre et l’autre dans ma bouche m’a fait jouir. La jouissance m’a fait lâcher le sexe que je suçais, et une quantité incroyable de sève s’écrase sur mon visage. Je m’extirpe alors du sexe qui me défonçait et un nouveau flot de sève gicle sur mes fesses et mon minou.
Je reste prostrée tellement la jouissance a été forte. Je suis couverte de sperme et j’adore ça.
Je roule sur le sol, et me mets sur le dos dans une position plus qu’indécente. Je me tortille doucement les cuisses écartées en me caressant le minou, sans aucune gêne par rapport aux regards de mon voisin derrière la glace.
Je sens alors une main prendre la mienne. J’ouvre les yeux. C’est mon voisin qui m’intime de me lever. Pantelante, je me lève.
Une fois de plus il pose sa main sur mes fesses. Il est toujours habillé et la façon qu’il a de marcher à côté de moi avec cette main sur mes fesses me donne de plus en plus de plaisir. J’ai de plus en plus le sentiment d’être dominée, de lui être soumise. Je me sens bien.
Il me guide à travers la pièce contre la glace.
Cet appartement est vraiment plein de surprise. Il y a 2 chaines qui sont fixées à la glace, et au bout de ces chaînes, une menotte. Le salaud a du installer ça discrètement pendant que je me démenais sur les sexes de mes 2 arabes. Elles sont environ à 1.50 m du sol. A environ 80 cm du sol, il y a une lame de fer en arc de cercle fixée également a la glace et qui s’ouvre et se ferme. Un collier de torture comme on en utilisait au moyen âge
Le voisin me dit :
— Mets toi en levrette devant la glace !
J’obéis en me demandant ce qu’il me réserve, les menottes et le demi-collier ne me disant rien qui vaille. Pourtant j’obéis quand même. Jusque là il ne m’a donné que du plaisir et il n’y a pas de raison que ca change.
Il attrape mon avant bras droit, le tire vers le haut et l’attache à la menotte. Puis il fait de même avec mon poignet gauche.
Je me retrouve donc en levrette, les mains attachées en l’air et ma bouche collée contre la glace. C’est alors que je sens mon cou emprisonné.
Mon voisin vient de rabattre le demi-anneau derrière mon cou et le fixe à la glace.
Je ne peux plus bouger ni les mains, ni la tête. Je me crois dans un véritable scénario sado maso. Dans la position ou je suis il peut faire ce qu’il veut de moi. Je ne peux absolument pas me débattre. Et pour tout vous dire je n’en ai pas envie car je sais que la suite va être formidable malgré que je ne sois pas très confiante.
Je me cambre car je sens qu’il va me prendre, mais j’entends la porte qui donne dans la salle d’observation se refermer. Dans ma position et le visage collé contre la vitre je ne peux absolument pas voir ce qui se passe dans la pièce, c’est pour ça que je ne l’ai pas vu sortir.
Et là je me mets à mouiller de plus belle. J’imagine le coquin en train de me regarder de l’autre côté dans cette position de soumission et ça me rend dingue.
J’entends un petit bruit bizarre. Un petit bruit de moteur électrique, près de mon visage.
Puis je sens quelque chose se coller à mes lèvres. Quelque chose de chaud et de dur. J’ouvre alors la bouche sans hésiter, et un sexe d’homme entre dans ma bouche.
Je pousse un gémissement. C’est extraordinaire. Mon voisin a passé son sexe par un trou de l’autre côté de la glace et donc de la pièce contigüe et ce salaud doit me regarder en train de le sucer a travers la glace sans tain.
C’est terriblement excitant de sucer un homme que l’on ne voit pas. C’est humiliant au possible. Le voisin doit me prendre pour une affamée du sexe, pour une nymphomane mais je m’en fous. Je le suce et le suce encore en gémissant, les seins pendant dans le vide, les mains emprisonnées par les menottes et mon cou bloqué par le fer. Il peut faire ce qu’il veut de moi dans cette position, je serais complètement incapable de me débattre. Ca m’excite encore ^plus et je le suce de mieux en mieux. Quel dommage que ses testicules ne sortent pas a travers la glace, sinon je les prendrais dans ma bouche et les goberais, les lècherais, les sucerais hummmm.
Je gémis comme une petite chienne. Je suis en train de me démener comme une dingue à sucer ce merveilleux sexe quand j’entends la voix de mon voisin :
— Ca va petite salope !
Une chaleur extraordinaire envahit alors mon ventre. Bien sûr parce qu’il a dit ça, mais surtout parce que la voix ne vient pas du haut parleur. Ces mots ont été susurrés à mon oreille.
Mon sexe brûle car je comprends alors que ce n’est pas mon voisin que je suis en train de sucer, mais un autre homme. Et là je suis sûre que ce n’est pas un gode, c’est un vrai sexe qui appartient à un vrai homme, un homme que je ne connais pas, que je ne vois pas, j’ai juste son sexe dans ma bouche.
Et ce sexe se met alors à aller et venir dans ma bouche. L’homme ne bougeait pas jusque la, mais la il se met à prendre ma bouche comme si il prenait mon minou et c’est merveilleusement humiliant.
Je sens alors un gland se coller à mon minou. J’ai un sursaut, non pas de surprise mais de plaisir. Le sexe s’enfonce en moi.
— Huuuuuuuuuuuuuuummmmmmmmmmmmmmmmmmmmm !!
Ce n’est pas un gémissement que je viens de pousser mais un véritable cri étouffé par le sexe de l’invité surprise.
Le voisin se met alors à aller et venir en moi. Mon sexe est en feu, je suis à 2 doigts de jouir
Le voisin a les mains agrippées à mes fesses et me prend comme une chienne, a grands coups de boutoirs. Je gémis de plus en plus, la jouissance monte inexorablement. Le sexe inconnu va et vient dans ma bouche, je fais tourner ma langue autour du membre, j’ai une envie folle de sperme, j’ai une envie folle d’avaler cette sève qui va gicler de ce sexe.
Le voisin sent que je vais jouir car il accélère ses coups de reins, ceux ci se font plus profonds, plus violents. Je n’en peux plus. Des frissons envahissent mon corps, je me sens transportée vers un état second, vers un autre monde. Un liquide brûlant gicle au fond de ma gorge, et là. je jouis dans un long :
— huuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuummmmmmmmmmmm !
J’avale avec délectation le nectar qui se trouve dans ma bouche. Je suis heureuse, frissonnante, soumise.j’aime ça !
Le voisin qui n’a pas joui sort de mon minou. Le sexe de mon inconnu sort de ma bouche.
Le voisin, sans un mot, retire le collier de fer qui entravait mon cou, sans pour autant retirer les menottes. Il m’aide à me redresser. J’ai les yeux mi clos, incapable de revenir dans la réalité des choses tellement je me sens bien.
Je sens alors un bandeau se poser sur mes yeux. Je soupire de soulagement car je comprends que ce n’est pas terminé pour moi. Le voisin me fait faire demi-tour. Je ne vois rien, mais j’imagine que je suis de dos à la glace.
Le voisin me fait alors mettre à genoux et me dit :
— Colle bien tes fesses à la vitre et cambres toi !
Sans hésiter et même avec empressement, je me mets dans la position qu’il désire. J’ai toujours les bras vers le haut et le buste à la verticale, à cause des menottes placées très haut sur le mur de glace.
Le froid de la glace me donne des frissons. Je suis impatiente. Impatiente parce que je sais que l’inconnu de derrière la glace va mettre une fois de plus son sexe dans le trou de la glace, et va me prendre comme ça.
Je l’imagine louchant sur mon dos et mes fesses offertes à lui. Je l’imagine me mater dans cette position de soumission, cette position humiliante, cette position dans laquelle je m’offre à lui totalement.
Je n’attends pas longtemps avant de sentir le sexe se coller à ma vulve et entrer lentement.
Doucement, je commence à gémir en laissant le sexe aller et venir en moi. Puis, le plaisir devenant incontrôlable, je me mets à remuer des reins.
Je pousse des gémissements de plaisir. Ces gémissements s’intensifient à mesure des allées et venues du sexe dans mon ventre.
Les allées et venues se transforment en coups de boutoirs et je sens mes seins lourds se balancer dans le vide. Sans doute mon voisin est il là, et doit regarder mes seins danser cette farandole infernale.
Je suis dans un état proche du nirvana, je ne peux tenir plus longtemps. Il n’y a pas que moi d’ailleurs, puisque je sens le sexe à l’intérieur de moi gonfler et se durcir d’une manière significative. L’homme va jouir, je vais jouir, nous allons échanger notre plaisir ohhhhhhhh :
— Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! Je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiissss !
Jamais je n’ai pris un pied pareil. Jamais !
Le sexe se retire de moi. Le voisin retire mes menottes, me relève, enlève mon bandeau. Je suis tellement pantelante que je suis presque incapable de marcher toute seule.
Le voisin me porte presque jusqu’au canapé, et m’allonge. Il attend que je reprenne mes esprits.
J’ouvre les yeux et je le vois fumant une cigarette, assis sur un fauteuil devant moi. Il me regarde tranquillement.
Je ne peux m’empêcher de lui poser la question qui me titille depuis le départ :
— Comment avez-vous eu tout ce sperme qu’il y a dans les sexes factices !
Je n’ose pas dire « gode », je ne sais pas pourquoi, je trouve ce mot vulgaire.
Il sourit et dit :
— Je suis directeur d’une banque de sperme ! J’en ai des litres et des litres a ma portée ! Alors aujourd’hui, j’en ai pris un demi litre rien que pour toi ! Dis-toi bien que tu as avalé et que tu as pris dans ta chatte le sperme d’une vingtaine d’hommes !
Au lieu de m’outrer, la situation m’excite au plus haut point. Je me lève alors, me mets a genoux devant lui et commence à défaire sa braguette.
Mais à mon grand étonnement, il me repousse en disant :
— N’insiste pas, je suis totalement impuissant !
Moi je sursaute, et dis :
— Mais alors.
Je ne fini pas ma phrase car il dit :
— Et oui ! Ce n’est pas moi qui te baisais pendant que tu pompais le mec derrière la vitre !
Il y avait donc inconnus ! Deux hommes qui m’ont fait jouir pendant que mon voisin me regardait.
— Ils sont encore derrière la vitre tu sais !
Je prends ça comme une invitation et je me lève pour me diriger vers les 2 godes avec lesquels je me suis baisé tout à l’heure. Les sexes de mes 2 arabes.
Je me mets à quatre pattes entre le sexe qui sort du sol et celui qui est fixé au mur, et après avoir lécher le gode qui est fixé au sol, je recule