Bonjour lecteur, Bonjour lectrice,

Je suis lingère. En fait, je repasse. Je repasse de la main droite ou de la gauche, indifféremment. Tu sais, que ce n’est pas toujours aisé de changer de main….

Chaque vêtement a une histoire. J’imagine la personne à laquelle il appartient. Chaque tenue me raconte une histoire, l’histoire de ces gens qui me donne leur linge à repasser. Et c’est une de ces histoires que je vais te raconter. Certaines panières sont ennuyeuses à mourir. Mais parfois .

Éducation à l’ancienne.

Je reçois d’un enseignant, un tas de linge du plus pur style universitaire. J’en arrive au dernier pantalon noir qui me résiste. Une boule gonfle la poche. Je déteste les mouchoirs dans les poches ! Je fouille et

Oups ! J’ai entre les doigts un adorable string de dentelle noire taille S ! Tu veux que je te raconte ?

Monsieur le Professeur vient d’avoir 52 ans. Le physique athlétique et une belle masse de cheveux gris coupés court contrastent avec une barbe très noire bien entretenue. Le regard sévère du prof qui n’a pas envie qu’on perturbe son cours, vous cloue sur place. Donc, ce professeur convoque à la fin de l’heure une élève dont les notes catastrophiques demandent une prise en main sérieuse.

— Mademoiselle, votre comportement et vos résultats sont inadmissibles. Je vous avais demandé des efforts, mais vous ne voulez rien entendre. Je me vois donc dans l’obligation de vous punir.

L’ingénue qui doit avoir 20 ans, se dandine d’un pied sur l’autre tandis que sa jupe tournoie autour de ses cuisses. Les cheveux châtains clairs et lisses balaient son corps de danseuse. Avec effronterie et en le regardant droit dans les yeux elle demande :

— Ah oui ! Et tu vas faire quoi ?

Les yeux du professeur s’étrécissent il recule sa chaise et attrape le poignet de la jeune fille.

— Vous allez savoir tout de suite ce qui arrive aux impudentes !

Il la couche brutalement sur son genou gauche tandis que sa jambe droite emprisonne celles de la fille. Il maintient les poignets de sa captive dans le dos. Ainsi entravée elle est à sa merci. Elle se débat et l’insulte mais il la tient fermement sans effort.

— C’est une bonne fessée que vous méritez, tenez-vous tranquille.

Il soulève la jupe et marque un temps d’arrêt. Un bout de dentelle noire sépare deux globes laiteux et fermes. Troublé il caresse la peau douce et satinée.

— Pervers ! Dégueulas !

La main frappe violemment. La jeune fille crie, tandis qu’une pluie de claques s’abat sur ses fesses. Elle hurle, se tortille, pleure et promet qu’elle sera sage, mais la main continue de rougir sa peau. À bout de souffle, épuisée elle abdique.

— Là c’est bien, calmez-vous !

La main si brutale quelques secondes plus tôt, se fait caressante en effleurant le postérieur. Il la sent se détendre et trembler de tous ses membres puis elle se rebiffe.

— Va te faire foute connard !

Immédiatement les claques reprennent. La demoiselle se tortille pour échapper à la gifle mais la main s’abat immanquablement sur son derrière qui a pris la couleur d’une pomme d’amour.

Il sent les ruades moins énergiques.

Le professeur recommence à flatter le cul magnifique .La jeune fille ne bouge plus. Il masse très doucement les fesses. Elle retient son souffle. Lorsque les doigts épais glissent dans sa raie, elle gémit, encore abasourdie par le brusque passage du cinglant orage à l’onctueuse caresse. Les doigts descendent plus bas, ils connaissent leur but, glissent sur la dentelle humide, remontent puis le plus long plonge enfin dans l’aven ruisselant qui palpite frénétiquement .Elle gémit plus fort, tant la caresse, tel un arc-en-ciel, déploie ses couleurs étincelantes au fond de son ventre. L’homme commence un va-et-vient langoureux son doigt modelant tendrement la grotte mystérieuse, l’élargissant tout en douceur pour faire pénétrer un deuxième doigt.

La fille halète et murmure des sons incohérents, ses fesses se soulèvent à la rencontre des doigts qui la besognent sans relâche. Elle pousse un cri lorsque d’autres doigts saisissent son clitoris, le pince, ses jambes s’écartent sous le plaisir. Ses cheveux balayent le sol et ses mains s’accrochent aux pieds de la chaise. Rien ne la distrait de ce plaisir qui va croissant.

La première gifle sur son bourgeon gonflé lui arrache un long cri enfiévré. Les doigts pilonnent sa chatte, faisant jaillir des jets de cyprine qui forment une flaque sur le plancher. Des dizaines de petites claques excitent son clitoris. Puis, trois doigts s’enfoncent profondément en elle et recommencent leurs va et vient féroces. Elle n’essaie plus de se soustraire, mais au contraire, va à la rencontre de l’aphrodisiaque qui la rend folle de désir.

Les mains du professeur sont de nouveau sur ses fesses.

— Je veux que vous comptiez chaque claque que je vais déposer sur vos fesses et que vous me remerciez pour le mal que je me donne. Avez-vous compris ?

— Oui Monsieur.

Docilement la fille compte les coups sur ses fesses.

— Un, merci Monsieur.

    Deux, merci Monsieur.

Ainsi se poursuit la séance. Elle espère qu’il replongera les doigts dans sa chatte si elle lui obéit bien. Ses fesses la brûlent. La douleur fait couler les larmes de ses yeux sans qu’elle ne s’en aperçoive.

Elle ne la sens plus, tout entière concentrée sur l’afflux de sang qui gonfle son sexe d’une voluptueuse excitation.

À cinq, la main arrête de frapper pour malaxer sa chatte. Elle gémit de plaisir. Il pince les grandes lèvres, les étire et elle sent ses seins se tendre et gonfler. Elle les caresse pendant qu’il retourne aux fesses qu’il pétrit puissamment. Il écarte les globes exposant à la lumière cru de la classe, l’anus et la chatte gonflée d’excitation et de désir. Elle se cambre, impudique, pour mieux s’offrir.

Écartelée par les mains masculines qui empoigne son sexe soumis, elle ressent les pulsations d’une félicité ravageuse. Elle se livre, esclave de la main qui heurte son clitoris, ses fesses, sa chatte. Elle ne sait plus ce que le Maître fait. Elle divague, supplie. Il étire ses lèvres produisant des ondes puissantes amplifiées par le martèlement des doigts toujours violemment empressés dans son vagin. Son corps et en feu. L’homme prend plaisir à faire retomber la pression en allégeant son emprise. Il ne la touche plus. La Belle, supplie :

— Je vous en prie n’arrêtez pas .Pitié continuez

— Écartez vos jambes ! Mieux que ça !

Elle s’exécute, soumise, désireuse d’obéir à cette voix grave qui la mène au plaisir. Des sanglots dans la voix elle implore :

— Non, ne me laissez pas comme ça C’est trop bon,… Je ferais tout ce que vous voudrez, mais continuez, je vous en prie

— Tout ce que je voudrais ? Demande l’homme.

— Oh oui ! Tout ! Je le jure ! S’il vous plaît Monsieur .

Satisfait le maître laisse ses mains habiles reprendre possession de cette croupe rouge et tendue vers lui. Il claque les fesses puis les caresses délicatement, alternant les sensations à un tel rythme que sa captive ne sait plus si c’est la douceur et la douleur qu’elle recherche. Trois doigts abusent profondément son sexe béant fouillant impitoyablement tous les plis, chaque recoin est livré à leurs obscènes explorations. Les hanches de la Belle partent à la rencontre de son plaisir se livrant chaque fois un peu plus au libidineux professeur qui masturbe violemment, mais avec une maestria fabuleuse, son clitoris.

La jeune fille sanglote en appelant la délivrance. Son corps, secoué de tremblement arrive au paroxysme du plaisir. Alors, l’adroit pédagogue, tout en continuant à pilonner de ses doigts le vagin ruisselant, glisse son petit doigt dans le cul de son élève.

La jouissance est immédiate, violente, survoltée. Elle hurle, les larmes mouillent son visage extatique autant que sa cyprine, torrent furieux qui se déverse sur les mains laborieuses de son pédagogue.

La tempête acharnée qui ébranle tout son jeune corps semble ne pas connaître de fin tant la jouissance la propulse sur le sommet des crêtes, là où l’orgasme ravage les sens de sa délicieuse nuit infinie.

Lorsque l’homme pose une main apaisante sur le sexe gonflé et palpitant une bienheureuse lassitude la détend.

Elle lève, ses yeux marrons, éperdus de reconnaissance vers son maître. Celui-ci la relève avec une infinie douceur, essuie avec un mouchoir les larmes du joli visage. Il l’écarte de lui, s’agenouille devant elle et lui retire son string pour éponger avec une courtoisie chevaleresque, son entrecuisse.

— Voilà Mademoiselle, vous savez à quoi vous en tenir. Une bonne note vous jouissez. Une mauvaise et vous n’aurez droit qu’à la fessée, le choix vous appartient.

Et sur ces dernières recommandations le professeur quitte la salle en ayant pris soin d’empocher son trophée ; un petit bout de dentelle noire.

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