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Mon fils, cet étalon. – Chapitre 14




Le lendemain, dimanche, ce ne fut que farniente et succulent repas concocté par Eva. Elle est vraiment bonne à marier. Les enfants s’en vont à la plage, ils ont rendez-vous avec leurs deux vieux.

Coco a invité Roger et sa femme, cette dernière étant revenue de son séjour, à prendre l’apéro.

18 h 45, on sonne. Coco appuie sur le bouton permettant l’ouverture du portillon. Qu’il est beau le petit Roger quand il est propre. Il fait facilement 10 ans de moins. Sa femme est jolie, comme le sont toutes les femmes de couleur. Elle est grande, 1m80 environ, mais cela est dû aux talons qu’elle porte, fine de hanche, mais un fessier énorme, on devine des seins ronds et fermes sous son boubou. Elle doit avoir 35 ans, elle n’est pas maquillée.

ROGER ! La classe, c’est pour nous que tu t’es fait beau ? lui lance Coco.

Ouais, ouais… On est dimanche tout de même.

Bonsoir, Mesdames, je me présente, car ce vieux paysan ne le fera pas… dit-elle avant de déposer un bisou sur les lèvres de son mari qui rougit. Sané… Qui est Coralie, qui est Christine ?

Coralie, Coco…

Christine, Christ…

Enchanté. Il n’arrête pas vos éloges sur vous et votre demeure. C’est magnifique…

On s’installe autour de la table de jardin. Pastis pour Roger, Martini rouge pour Sané, jus d’orange avec une pointe de vodka pour Coco et Moi. Coralie a fait les choses en grand. Les petits-fours sont délicieux, les verres se vident très vite, vite resservis par ma chérie. On parle sans gêne, sans trop de tabous.

On entend Mon Jéjé et son Eva arriver. Ces gros bêta sont déjà à poil quand ils nous rejoignent. Séna est sans voix devant le monstre de mon petit, Roger est au bord de l’apoplexie.

Hummm, Jérôme, mon fils. Eva, ma future belle-fille.

Ils ont le réflexe de se jeter à l’eau.

On revient de la plage et on n’a pas de change, dit Eva, en appui sur le bord du bassin.

Vous auriez pu vous renseigner si on avait des invités ! lui dis-je d’un air faussement courroucé.

Oui, on ne recommencera plus… Hihihihi.

Elle part rejoindre mon fils à la nage, ses grosses fesses émergeant de l’eau. Roger s’en pince les lèvres, Sané se passe la langue sur les lèvres.

Excusez-les. On a pris l’habitude de vivre à poil, sauf quand on a des invités, leur dit Coco, je suis confuse.

L’immense négresse se lève et laisse tomber son boubou. Elle est magnifique avec ses seins libres. Deux melons aux aréoles et aux tétons bandants. Le seul rempart qui lui reste est un string jaune, qu’elle fait glisser sensuellement sur ses cuisses, ses genoux et enfin sur ses mollets. Son geste est lent et sensuel. Elle ôte ses talons. Elle est de la taille de Coco, 1m70. Mais ce qui attire le plus nos regards, c’est sa poitrine, une merveille. Son ventre est plat, ses fesses rebondies et ses larges hanches sont un appel à la levrette.

Coco, qui ne veut pas être en reste, dénoue son paréo et tire sur le nud qui retenait le mien. Nous voilà sur un pied d’égalité, sauf un. Sané le fait se lever et le déshabille prestement. Il n’a pas de sous-vêtement, le bougre et arbore une érection que lui connaissait pas sa femme. Il a le sexe rasé, exigence de son épouse.

Jéjé et Eva qui ont suivi le spectacle depuis le fond de la piscine, sont subjugués par la beauté et la plastique de la jolie noire.

Hé, il bande… Hihihi.

On explose tous de rire, sauf Roger qui mate ma copine.

Bin alors mon bichon, tu es amoureux ? lui demande Sané.

Non, non, pas du tout…

Il nous ressert tous. On demande au couple comment ils se sont rencontrés.

Lors d’un voyage au Sénégal, Roger est tombé sous le charme de la belle Africaine. Elle était hôtesse d’accueil de l’hôtel. Elle aussi, nous précise Sané, que les critères de beauté ne sont pas les mêmes dans nos contrées que chez eux. Les femmes africaines préférant les hommes d’un âge certain et plus ils sont opulents, plus ils sont riches, normalement. Les blancs étant très prisés en Afrique de l’Ouest, ils sont rassurants et ils amènent souvent une vie meilleure.

Pendant ces explications, Jéjé et Eva sont sortis de l’eau et se douchent à l’extérieur.

Séna ne peut détacher son regard du rostre de mon fiston. Je souris intérieurement et l’imagine bien en train de prendre Sané en levrette pendant que l’on s’occuperait de son Roger.

Mon fils s’installe entre Eva et Sané. Étant la plus proche de Roger, je le vois bander, sa queue tressaute d’envie. Sané n’en peut plus, elle saisit la bite de mon fils de ses doigts fins. Elle ne le branle pas, elle la jauge.

Sacré bangala qu’il a ton fils, me dit Sané en me regardant, tu y as goûté ?

Je vais être franche avec toi, oui, et pas que goûté…

C’est sûr qu’avec un tel phénomène sous ton toit… Et des couilles aussi pleines… continue-t-elle en les soupesant. Je peux, demande-t-elle à Jéjé.

La seule réponse qu’elle obtient, c’est un hochement de tête. Elle ouvre une bouche immense et engloutit l’outil jusqu’au pubis. On est tous surpris, sauf Roger qui est venu se régaler de mon jus qui coule, maintenant, abondamment. Eva s’est levée et se dirige vers Coco comme une féline. Elle l’embrasse tout en lui pelotant les seins. Ma copine plonge sa main entre les cuisses de la petite. Elle doit être aussi trempée que moi, car elle en retire des doigts tous poisseux qu’elle porte à leur bouche. La langue râpeuse de Roger inspecte le moindre recoin de mon sexe et de mon clito. Il est doué, le bougre. Je me raidis sous l’effet de ma première jouissance de la soirée. Il peut être fier, le Roger. Il se met à quatre pattes, me présentant son anus. Sans réfléchir, je glisse en bas de ma chaise et je vais entre les fesses poilues du mari de Sané. Je darde ma langue et lui fais un anuligus. Les poils me dérangent, mais je m’en fiche. J’aspire, entre ma langue telle une catin.

Eva et Coco sont en 69 sur la pelouse, Sané et mon fils aussi. Ce n’est plus que râle et bruit de succion qui se perdent entre les chants des grillons, les seuls témoins de l’orgie, de notre orgie.

J’essaie d’introduire un doigt, ça rentre tout seul. Je m’enhardis, et j’en mets deux, puis trois. Il me dit :

Tu peux me fister, j’ai l’habitude avec ma salope de femme. Elle adore rentrer son poignet dans mon cul, mais, s’il te plaît, branle-moi en même temps.

J’exécute ses volontés. Tout d’abord, j’entre ma main et je serre le poing dans son conduit anal. Je me saisis de sa queue qui a pris un volume et une raideur peu commune. Je le branle tout en le fistant. Il couine, le cochon. Je ressors ma main, il lui enfourne presque tout mon avant-bras. Je tourne et retourne mon poing dans ses boyaux ? C’est chaud, c’est doux. Il gicle dans un beuglement énorme. Je reste fichée dedans un petit moment. La quantité de sperme expulsée est impressionnante, j’en ai plein la main, il en a juste sur son menton.

Il me remercie et va se resservir un p’tit coup. Je regarde Sané qui est prise en levrette par un Jéjé en sueur. Je me mets dessous la belle black et goûte à son jus. C’est fort, animal, bestial. Je me régale à sucer son énorme clito, à le mordiller. Elle hurle sa jouissance, Jéjé aussi et déverse une bonne dose de semence dans la matrice. Il s’affale sur son dos et l’embrasse. C’était sa première femme de couleur. Sané en est ravie.

Coco et Eva ont joui aussi. Elles sont en train de se lécher leur visage, de se laver. Je plonge, vite rejoint par les filles. Roger préférant se resservir et manger un bout en compagnie de mon fils.

On parle des exploits de Roger. Elle nous avoue qu’il est bien plus pervers qu’il n’y paraît. Elle nous racontera à l’occasion. Il est temps pour Eva et son Jéjé d’aller se coucher, ils ont cours demain.

Nous, étant lundi, nous ne travaillons pas. Roger se ressert un quatrième pastis, il n’a même pas touché au rosé. On sort, se douche et on se pose cul nu sur nos chaises. Rendez-vous est pris pour aller à la plage le lendemain matin avec Sané.

Après nous avoir aidés à débarrasser et à laver, Sané nous laisse et part avec son mari.

Il est impressionnant ce p’tit vieux, me dit Coralie.

Tu as vu, jusque-là… lui répondis-je en montrant la moitié de mon avant-bras.

On va se coucher dans la bonne humeur ? C’est blotti l’une contre l’autre que l’on s’endort.

Les cigales chantent leur douce mélopée. Je m’étire. Coco N’est plus là. Je me lève et me dirige vers la cuisine où l’odeur du café m’a attiré. Pas de Coco. Je vais sur la terrasse, elle y est en compagnie de Sané. Elles sont toutes les deux en train de siroter leur café, clope à la main. Je viens les rejoindre.

Alors ma puce, tu es enfin réveillée ?

Pourquoi, quelle heure est-il ?

11 h 00, ma chérie.

Je crois que la plage est annulée ?

Pas grave, me répond Sané, on a tout notre temps. On a qu’à flemmarder au bord de votre piscine.

Non, non. On a dit plage, alors ce sera plage. Bois ton café et après, je vous embarque.

Voilà, est à la plage en train de parfaire notre bronzage, Sané n’en a pas besoin et elle découvre le bonheur d’y être nue. Elle est allongée sur le dos et on peut voir son joli abricot. Ses lèvres s’ouvrent et laissent apparaître son tunnel d’un rose presque fluo. Un régal pour nos yeux qui ne quittent pas du regard cette zone. Ses seins montent et descendent au rythme de sa respiration. Elle nous regarde, nous sourit. Ma main s’égare sur sa douce poitrine, ses lèvres s’entrouvrent. Deux doigts de Coralie partent à l’aventure dans le tunnel nacré de notre victime. Sa respiration s’est accélérée, des gémissements apparaissent. Je me penche vers sa bouche et l’embrasse. Elle nous avoue que c’est la première fois qu’elle a des relations saphiques, mais qu’elle aime cela et qu’avec nous, elle est prête à aller jusqu’au bout de l’enfer.

Coco lui répond que ce n’est pas l’enfer, juste l’envie de jouir de nos corps et de profiter de ce que nous a donné le créateur et c’était fait pour s’en servir. Coralie ressort ses doigts tout englués et nous fait partager de l’odeur de cette gazelle. La langue de Sané est tout aussi rose que son sexe. C’est avec un plaisir non dissimulé que je lui mordille. Son souffle m’envahit les narines, Dieu qu’elle sent bon. Elle m’excite grave. Je la chevauche en appuyant ma cuisse sur son minou dégoulinant. Je ne peux m’arrêter de l’embrasser. Coco s’est mise à côté de nous et nous regarde en se doigtant.

Une ombre immense vient cacher le soleil, c’est mon Jéjé.

Que tu es belle maman !

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